Auswahl der wissenschaftlichen Literatur zum Thema „Epistémologie féministe du positionnement“

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Zeitschriftenartikel zum Thema "Epistémologie féministe du positionnement"

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Mistry, Jyoti, und Christine Eyene. „Jesus and the Giant : l'usage de la violence comme positionnement féministe“. Africultures 74-75, Nr. 3 (2008): 85. http://dx.doi.org/10.3917/afcul.074.0085.

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Immongault, Marthe Christine, und Claire Lapointe. „Une analyse féministe des représentations sociales de la réussite scolaire de lycéennes gabonaises : entre tradition et émancipation“. Articles hors thème 31, Nr. 2 (12.02.2019): 177–95. http://dx.doi.org/10.7202/1056248ar.

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Dans leur étude d’inspiration ethnographique sur les représentations sociales de la réussite scolaire, les auteures ont constaté chez les lycéennes gabonaises la présence d’une conscience des rapports sociaux de sexe et l’émergence d’une forme de féminisme. Les lycéennes sont à la recherche d’un équilibre entre leur désir d’autonomie et d’émancipation et leur respect des rôles sexués traditionnels. Ce positionnement semble engendrer des transformations dans les pratiques de vie individuelle, familiale, sociale et professionnelle. Pour les adeptes du statu quo, il existe une dichotomie entre cette affirmation des filles et la culture africaine, la première trahissant la seconde.
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Mahrouse, Gada. „Justice globale et positionnement du sujet racialisé chez les militants chrétiens du Nord“. Thème 18, Nr. 1 (30.05.2011): 115–36. http://dx.doi.org/10.7202/1003524ar.

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Au cours des dernières années, le mouvement altermondialiste et les Forums sociaux mondiaux (FSM) ont fait l’objet de critiques sérieuses. En effet, dès le deuxième FSM en 2002, certains commençaient à se demander si ces rencontres ne se prêtaient pas à la « colonisation de la résistance » (Mngxitama 2005). D’autres ont remarqué et commenté la prédominance des groupes du Nord aux différents forums. Mon objectif est d’étudier le positionnement racialisé des groupes confessionnels et de leurs membres habitant les pays du Nord. La méthode utilisée pour comprendre le processus de racialisation est en grande partie influencée par les méthodologies féministe, postcoloniale et antiraciste ; celles-ci cherchent à révéler les façons dont la connaissance est produite pour établir et maintenir des relations inégales, ainsi que pour construire des subjectivités au moyen de représentations et de modes de pensée racialisés. L’une des questions pratiques que mon analyse soulève est la suivante : les activistes des pays du Nord devraient-ils même participer aux mouvements mis en cause ici ? De plus, étant donné les inquiétudes croissantes exprimées par le mouvement altermondialiste et les gens qui participent aux FSM, j’ai tenu à soulever des questions qui nécessitent un examen beaucoup plus poussé ; j’ai aussi voulu faire ressortir le besoin de recherches universitaires plus soutenues et d’études approfondies sur les liens existant entre l’Église, la théologie et le mouvement altermondialiste.
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Pujante González, Domingo. „Apertura: No hay palabras...“ HYBRIDA, Nr. 5(12/2022) (27.12.2022): 3. http://dx.doi.org/10.7203/hybrida.5(12/2022).25813.

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Il me regarde. Parfois il murmure des mots que je ne comprends pas. Et puis il s’assoit sur le lit, et il rabat les couvertures. Il dit mon nom tout bas, tu dormais, mon amour ? Là il n’y a plus d’espoir, je sais que ça commence. J’ouvre les yeux sur le noir de la chambre qui peu à peu s’éclaire et dévoile le visage de papa. Il n’y a pas de mots pour ce qu’il me fait dans la chambre. Voix coupée, je ne pourrai jamais le dire. À moi seule je le dis pour ne pas me perdre de vue. Lori Saint-Martin (1999). Mon père, la nuit (p. 7). L’instant même. Nous voilà au troisième solstice d’hiver pour la revue HYBRIDA. J’ai eu la chance de passer mon anniversaire à Montréal, de recevoir l’automne aux couleurs changeantes, de savourer l’énergie du jaune, ma couleur préférée, décliné à l’infini : citron, cadmium, moutarde, ocre, auréolin, indien, de Naples, de Sienne, de Cambodge… L’Association Internationale des Études Québécoises, incarnée dans la précieuse figure de Suzie Beaulieu, a contribué à la réussite de ce séjour d’un mois à l’Université de Montréal, accueilli par une personne magnifique et généreuse, écrivaine prestigieuse à juste titre, Catherine Mavrikakis, qui venait de publier son dernier roman Niagara (2022), ainsi que par son entourage académique et familial, son frère Nicolas Mavrikakis, perspicace critique d’art ; son conjoint, l’insigne professeur de littérature Terry Cochran, et leur fille Loulou, toujours le sourire aux lèvres et aux yeux… Le mois d’octobre est spécialement animé du point de vue culturel à Montréal ce qui m’a permis de participer à une intense vie culturelle : nouvelles publications, activités théâtrales, expositions artistiques, cycles organisés par la cinémathèque québécoise (dont la superbe rétrospective sur l’œuvre du canadien Bruce LaBruce)… Je me suis plu à visiter les intéressantes librairies montréalaises toujours en ébullition. J’ai eu la chance d’entrer en contact direct avec le monde éditorial québécois qui connaît certainement un nouvel âge d’or, des maisons d’édition d’une longue tradition comme Gallimard, dont l’ancien directeur Rolf Puls m’a parlé de tant d’anecdotes littéraires en nous régalant avec des huîtres et des oursins des mers du Nord, et dont l’actuelle directrice générale, Florence Noyer, m’a ouvert également les portes. Tout comme les éditions du Boréal où je suis passé plusieurs fois, reçu magnifiquement par Jean Bernier, avec qui j’ai passé des moments d’intense complicité où j’ai pu partager la passion pour Marie-Claire Blais, qu’il connaît dans le moindre détail, et le deuil à cause de la disparition douloureuse, cet intense mois d’octobre, du jeune écrivain Simon Roy, qui était venu à Valence présenter son premier roman Ma vie rouge Kubrick (2014) ; ainsi que celle de Lori Saint-Martin quelques jours plus tard. Il me reste à mentionner la maison d’édition Héliotrope. Un vrai bijou. J’ai eu le privilège de partager quelques conversations littéraires et humaines de haut niveau et une belle promenade du côté du Mont Royal, avec une halte dans la petite pâtisserie du quartier portugais pour prendre un vrai café, avec sa directrice, écrivaine elle-aussi, Olga Duhamel-Noyer, une âme sœur, qui dirige cette maison respirant sans aucun doute un air nouveau, fortement stimulant. Ma valise était donc bien pleine au retour à Valence et j’aurai de quoi lire dans les prochains mois. Tout cela m’a permis de rencontrer, parfois intensément, dans divers contextes, plusieurs écrivain·e·s, tous les âges confondus, dont je signalerai, par ordre alphabétique, Martine Audet, Arianne Bessette (écrivaine discrète et sensible avec qui j’ai connecté immédiatement), Lula Carballo (« ma Lula », mon double), David Clerson, Pierre-­André Doucet (charmant auteur et musicien acadien spécialement remarquable), Clara Dupuis-Morency, Benjamin Gagnon Chainey, Julien Guy-Béland (personne exceptionnelle, engagée, et écrivain percutant), Monique Proulx, que j’ai reçue à Valence et que j’apprécie énormément comme écrivaine et comme personne, avec qui j’ai partagé des croissants et de la confiture faite maison sur son balcon en regardant les arbres perdre leurs feuilles lorsqu’elle me dédicaçait son dernier roman Enlève la nuit (2022) ; et, bien entendu, Lori Saint-Martin. Je ne voudrais pas oublier le professeur de l’Université de Montréal Alex Noël, qui s’intéresse à la littérature québécoise récente et à la mémoire queer, et qui m’a fait découvrir le travail de l’artiste multidisciplinaire canadienne, originaire de l’île Maurice, Kama La Mackerel et le professeur espagnol de l’Université du Québec à Montréal Antonio Domínguez Leiva, écrivain lui-aussi, dont j’avais perdu la trace et avec qui je partage bien des intérêts littéraires autour du corps, de la monstruosité et du « panique ». Une dernière mention spéciale pour deux danseurs : Francis Paradis, personne instruite et empathique qui est restée tout le temps à mon écoute et m’a fait découvrir des lieux remarquables ; et, enfin, le danseur tunisien Achraf El Abed, en asile politique à Montréal à cause des persécutions LGBT dans son pays, n’ayant pas pu venir à Valence pour ces raisons lors du Colloque Queer Maghreb que nous avons organisé en juin 2022. Il a dansé pour nous en privé chez moi dans le quartier du Red Light de Montréal, pas loin de l’emblématique Café Cléopâtre, le jour de mon anniversaire, en compagnie de ma collègue et amie Adela Cortijo, qui était venue pour l’occasion. Je n’oublierai jamais ce moment magique. Merci à tous et à toutes pour avoir contribué à rendre ce séjour montréalais si spécial et si riche dans tous les sens. Comme je l’annonçais, nous avons perdu Lori Saint-Martin, excellente professeure, traductrice et écrivaine canadienne, ayant choisi le français comme langue d’asile et de refuge, d’identité réinventée, et surtout personne proche et généreuse, disparue dans la Seine, subitement. Des ombres spectrales ont envahi mon cœur et mes pensées à cause de ce destin trop funeste, trop tragique, trop romanesque, tellement j’ai envie de ne pas y croire… et, pourtant, Lori n’est plus là. Juste un dernier message sur WhatsApp quelques jours avant l’hécatombe : « Aquí todo bien » (« tout va vient ici »). Elle adorait l’espagnol, sa nouvelle demeure, sa nouvelle passion. Lori, mon amie, tu as troublé mon âme et laissé un grand vide difficile à combler. Je n’ai que des mots de gratitude envers toi. Et, pourtant, la vie continue à couler, elle coule et coule… comme les larmes des mères qui perdent leurs enfants dans toutes les guerres de la planète. Cette planète Terre qui pleure de plus en plus fort pour que l’on prenne soin d’elle, pour que l’on développe une conscience écologique efficace et durable… Temps catastrophiques, oui… excessifs, oui… scandaleux, oui… Et, pourtant, temps de Saturnales et de Noël, de fêtes, de chants et de vœux, de décorer les maisons, d’allumer les bougies et d’offrir des cadeaux, de rêves de santé, de paix et d’amour… tellement on a besoin de diluer les tensions que l’on ressent ; temps d’apaiser nos esprits… de se ressourcer, de reprendre haleine… de se projeter dans un meilleur avenir… malgré… Revenons à nos moutons… Le Dossier central de ce cinquième numéro de la revue HYBRIDA, coordonné par Fabio Libasci, vise à s’interroger sur les multiples enjeux de la notion d’extrême, que ce soit du point de vue chronologique que du point de vue conceptuel. En effet, l’expression « extrême contemporain », étant en perpétuel déplacement, reste spécialement attirante mais problématique, depuis sa création attribuée à Michel Chaillou, à la toute fin des années 80 du siècle dernier. On assisterait, de nos jours, à une « deuxième génération » de l’extrême contemporain. On pourrait donc l’actualiser pour faire référence aux productions littéraires et culturelles récentes au sens large. Du point de vue thématique, l’extrême est vite associé à la notion de limite, de démesure, voire de violence. En ce sens, force est de constater une tendance et une présence des esthétiques de rupture et des formes de l’excès chez des auteur·e·s contemporain·e·s, plus ou moins jeunes, ce qui nous a menés à nous pencher sur les usages et, peut-être les abus, de cette notion poreuse et changeante. Ce Dossier est composé de quatre articles venus de Côte d’Ivoire, de Finlande et de France. Ils abordent l’œuvre des écrivain·e·s Azo Vauguy, Koffi Kwahulé et Hélène Cixous et des cinéastes tels qu’Anne Fontaine, Christopher Doyle ou Julien Abraham. Dans la section Mosaïque, nous publions quatre articles très intéressants également. Hassna Mabrouk, de l’Université Chouaïb Doukkali (Maroc), en s’appuyant sur le révisionnisme historique proposé par les études postcoloniales et subalternes, s’empare de la figure historique de l’explorateur et interprète du début du XVIe siècle Mostafa Al-Azemmouri ou Estevanico, connue essentiellement en Europe sous l’angle de la relation de voyage de Cabeza de Vaca, trop eurocentrée, pour y opposer d’autres représentations de l’explorateur comme celle du personnage Al-Azemmouri qui apparaît dans le roman de Kebir M. Ammi, Les Vertus immorales (2009) où les représentations artistiques qui perdurent dans la ville marocaine d’Azzemmour où il est né. Ahmed Aziz Houdzi, de l’Université Chouaïb Doukkali également, analyse les transformations identitaires du sujet diasporique par rapport aux événements historiques dans le contexte français marqué par les attentats terroristes qui ont eu lieu à Paris en 2015. Il fait une fine lecture de Ce vain combat que tu livres au Monde (2016) de Fouad Laroui où le personnage principal se débat entre le désir d’intégration dans la société laïque et la tentation intégriste incarnée par l’État islamique. Lourdes Rubiales Bonilla de l’Université de Cadix (Espagne) se penche sur « l’affaire Batouala ». Dans son article, elle analyse avec précision les clés de la réception et de la diffusion dans la presse du moment du Prix Goncourt de 1921 octroyé au roman Batouala. Véritable roman nègre de René Maran. Ainsi, elle s’efforce de démontrer les mécanismes de la censure pour essayer de neutraliser le discours politique de l’auteur. Enfin, Diana Requena Romero de l’Université de Valence (Espagne) revient sur la problématique liée à l’étude des personnages féminins dans l’œuvre de Boris Vian. Pour ce faire, elle prend un corpus peu étudié qui est celui des nouvelles de l’auteur afin d’y déceler les processus de métamorphose du corps et les images de l’hybridation de la femme-animal située dans des espaces intermédiaires. Dans la section Traces, plus créative, nous publions trois contributions. Nous avons l’honneur de publier un texte fragmentaire bilingue (en français et en espagnol) de l’écrivaine québécoise, originaire de l’Uruguay, Lula Carballo intitulé restos de barrios (« des restes de quartiers ») où les bribes du passé se mélangent à la rupture du discours à la recherche de nouvelles voies d’expression littéraire. Son premier roman Créatures du hasard (2018) a été spécialement apprécié par la critique. Elle a aussi publié l’album illustré Ensemble nous voyageons (2021), co-écrit avec Catherine-Anne Laranjo et illustré par l’artiste Kesso. Carballo explore avec délicatesse et subtilité la mémoire liée aux souvenirs d’enfance et d’adolescence dans un contexte social spécialement marqué par la pauvreté et la migration, ainsi que les hybridations culturelles et la quête identitaire guidée par l’émotion et par un clair positionnement féministe aux côtés des minorités. Alexandre Melay nous offre [Timescapes], un document photographique présenté par l’auteur où il met en valeur ses préoccupations environnementales et nous fait partager son regard engagé face à « l’impossibilité du paysage » et « l’implacable déconstruction structuraliste du sujet ». Ces photographies en noir en blanc, sorte de cartographie de villes grises, polluées, envahies par les déchets et les éléments inhospitaliers, à l’ère du « Capitalocène », constituent un bel exemple de l’« extrême urbain contemporain ». Enfin, Natalia L. Ferreri de l’Université Nationale de Cordoba et Francisco Aiello de l’Université Nationale de Mar del Plata (toutes deux en Argentine) ont eu la générosité de choisir notre revue pour publier un long entretien en espagnol avec l’écrivaine française (née en Argentine en 1968) Laura Alcoba intitulé « ¿Para qué sirven las historias ? » (« À quoi servent les histoires ? »). Après l’évocation de son sixième et dernier roman intitulé Par la forêt (2022) où la narratrice évoque des expériences traumatiques telles que l’infanticide, le suicide et l’exil, Ferreri et Aiello passent en revue, d’une manière savante et subtile en même temps, les questions essentielles qui traversent l’écriture d’Alcoba où le geste de la traduction, la langue maternelle et la matière des histoires occupent une place prépondérante. Nous inaugurons la section Éventail, où nous voudrions, par le biais des recensions ou des comptes rendus, aérer et diffuser des publications de recherche ou de création proches des intérêts et des perspectives qui animent notre revue. En ce sens, nous publions l’intéressante et complète recension de Martine Renouprez de l’Université de Cadix (Espagne) sur le livre de Laurence Hansen-Love (2022), Planète en ébullition. Écologie, féminisme et responsabilité. Notre revue commence à décoller, à être indexée, répertoriée, présente un peu partout dans le monde grâce au grand intérêt démontré particulièrement par les chercheur·e·s africain·e·s. Un grand merci à vous. Bonne lecture et rendez-vous en juin 2023 pour questionner les « frontières » dans un Dossier intitulé LIMES. Sol invictus.
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Jacquesson, Chloé. „« Sautant en mille morceaux sans pouvoir m/e disjoindre complètement » : sur quelques effets d’illisibilité dans Le Corps lesbien de Monique Wittig“. Fabula-Lht : Crises de lisibilité, Nr. 16 (17.01.2016). http://dx.doi.org/10.58282/lht.1663.

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Resume :En 1973, Monique Wittig, écrivain publiant depuis 1964 chez Minuit et militante féministe, signe Le Corps lesbien. Inscrit dans le sillage du Nouveau roman, écrit et publié dans le contexte du mouvement des femmes, ce texte énigmatique ménage des effets d’illisibilité, tant par sa forme que par son positionnement esthétique et politique. Cet article se propose d’en rendre compte, en rapportant ces effets à une stratégie de déstabilisation des conditions et modalités de la lisibilité qui vise à rendre possible l’émergence, dans le texte littéraire, d’un sujet historiquement exclu de la représentation.
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Dissertationen zum Thema "Epistémologie féministe du positionnement"

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Guérin, Alexane. „Qualifier, témoigner, dénoncer le viol ordinaire : la justice réparatrice comme espace de justice épistémique“. Electronic Thesis or Diss., Paris, Institut d'études politiques, 2024. http://www.theses.fr/2024IEPP0005.

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Alors que la mythologie du viol construit ce crime comme un événement extraordinairecausé par un inconnu déviant, cette thèse propose une conceptualisation du « violordinaire » à partir de trois critères : la relation de proximité entre la victime etl’auteur, la situation de quotidienneté et l’intimité entre les deux individus. Le conceptde viol ordinaire, loin de banaliser les violences de genre, permet de dévoiler lesmécanismes hétéronormés à l’oeuvre dans la (re)production des violences sexuelles,dans le sillage des théorisation féministes américaines du « date rape » des années1980. À partir des savoirs expérientiels de cinq femmes recueillis lors d’entretienssemi-directifs, ce travail de recherche analyse les injustices épistémiques que cesvictimes subissent lorsqu’elles cherchent à qualifier, témoigner et dénoncer leur viol(injustices herméneutiques, testimoniales, agentielles, silenciation, etc.).L’épistémologie féministe du positionnement a permis de se décentrer dessignifications pénales de ce qui rend justice et des comportements déterminés par lafigure de la « victime idéale ». En effet les attentes de justice épistémique identifiéesne correspondent pas aux logiques et finalités pénales, qu’il s’agisse, pour lesvictimes, de nommer l’événement à l’aune du continuum de la violence sexuelle, defaire le récit du viol et de ses conséquences sans que leur crédibilité ne soit évaluée,d’être reconnue en tant que victime sans devoir performer des normes stéréotypéesou de confronter l’homme qui a commis le viol pour obtenir des réponses à leursquestions. Cette thèse montre que le paradigme de la justice réparatrice est à mêmede répondre à ces attentes normatives par les espaces de dialogue et d’écouteinconditionnelle qu’il propose. À partir d’un travail de terrain réalisé au Québec au seind’un réseau de justice réparatrice extra-judiciaire, cette recherche démontre que lamédiation relationnelle observée permet aux victimes de se réapproprier leuragentivité épistémique, radicalement niée pendant le viol
While rape mythology constructs this crime as an extraordinary event caused by adeviant stranger, this thesis proposes a conceptualisation of 'ordinary rape' based onthree criteria: the relationship of proximity between the victim and the perpetrator,the everyday situation and the intimacy between the two individuals. Far fromtrivialising gender-based violence, the concept of ordinary rape reveals theheteronormative mechanisms at work in the (re)production of sexual violence, in thewake of the American feminist theories of 'date rape' in the 1980s. Based on theexperiential knowledge of five women gathered in semi-directive interviews, thisresearch analyses the epistemic injustices that these victims suffer when they seek todescribe, testify about and denounce their rape (hermeneutic, testimonial, agentialinjustices, silencing, etc.). The standpoint theory has made it possible to move awayfrom the penal meanings of what makes for justice and from behaviours determinedby the figure of the 'ideal victim'. The expectations of epistemic justice identified donot correspond to the logic and aims of the criminal justice system, whether it is amatter of victims naming the event according to the continuum of sexual violence,recounting the rape and its consequences without having their credibility assessed,being recognised as a victim without having to perform stereotyped norms, orconfronting the man who committed the rape to obtain answers to their questions.This thesis shows that the restorative justice paradigm is able to meet thesenormative expectations through the spaces for dialogue and unconditional listeningthat it offers. Based on fieldwork carried out in Quebec within an extra-judicialrestorative justice network, this research shows that the relational mediation observedenables victims to reclaim their epistemic agency, which was radically denied duringthe rape
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Grino, Claire. „Corps, genre et nouvelles technologies biomédicales : reconfigurations antinaturalistes au sein des théories féministes“. Thesis, Paris 1, 2015. http://www.theses.fr/2015PA010523/document.

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La matérialité biologique du corps humain est devenue l'objet d'interventions inédites au moyen de nouvelles technologies biomédicales, comme la procréation médicalement assistée, les tests génétiques, la contraception hormonale. Cette thèse part des difficultés inhérentes à une approche antinaturaliste pour aborder la dimension biologique des corps sexués. “On ne naît pas femme, on le devient” : mais qu'en est-il des corps ? Les technologies biomédicales investissent la chair selon des modalités qui échappent aux grilles d'analyses matérialiste et butlérienne. Faut-il y voir une réfutation du constructivisme, la revanche d'un socle biologique – hormonal, génétique, moléculaire – primant sur les effets anatomiques de la socialisation, comme le suggèrent les partisan·e·s d'un material turn féministe ? À partir d'une analyse de l'évolution de la notion de nature, définie comme "vie elle-même" depuis la révolution moléculaire de la biologie, cette thèse propose une autre interprétation, en définissant les technologies biomédicales comme des technologies de pouvoir relevant d’une biopolitique moléculaire de genre. Sans infirmer la perspective constructiviste, ces médiations sociales originales (adossées au nouveau paradigme épistémique) permettent de comprendre comment les frontières et limites du genre sont déplacées, tout en produisant des identités, des expériences et des subjectivités genrées inédites. En dégageant les coordonnées d'un véritable dispositif biomédical, notre étude comparative entre techniques disciplinaires et biopolitique moléculaire de genre plaide pour une critique antinaturaliste renouvelée, s’articulant à une critique de la technique qui permette d'inventer collectivement des moyens pour se réapproprier démocratiquement les technologies biomédicales
The biological materiality of the human body has become an object of unprecedented interventions through “new biomedical technologies” as medically assisted procreation, genetic tests, or hormonal contraception. This thesis interrogates the difficulties inherent to anti-naturalist approaches in order to address the biological dimension of sexed bodies. “One is not born a woman, one becomes one”, but is this also true for the body? The analytical frames of materialist or deconstructivist feminism cannot cease the modalities through which biomedical technologies invest the flesh. Do biomedical technologies make constructivist approaches obsolete through the revenge of a biological – hormonal, genetic, molecular – ground that tops the anatomical effects of socialization? Partisans of a feminist “material turn” seem to think so. After analyzing how the molecular biology revolution changes the very concept of nature in defining it as “life itself”, I offer an alternative interpretation by defining biomedical technologies as technologies of power that stem from a molecular biopolitics of gender. Instead of overturning constructivist perspectives, these new social mediations (residing on a new epistemic paradigm) help understanding a shift in what has been seen as the limits of gender. This shift creates unprecedented identities, experiences and subjectivities of gender. In exposing the coordinates of the biomedical apparatus, this comparative study between disciplinary techniques and molecular biopolitics of gender pleads for a renewed anti-naturalist critique that takes the form of a critique of technology in order to allow for a collective appropriation of biomedical technologies
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