Auswahl der wissenschaftlichen Literatur zum Thema „Écoles privées – Corée (République)“

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Zeitschriftenartikel zum Thema "Écoles privées – Corée (République)"

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White, Bob W. „L’incroyable machine d’authenticité“. Anthropologie et Sociétés 30, Nr. 2 (28.02.2007): 43–63. http://dx.doi.org/10.7202/014113ar.

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Résumé En 1971 la République Démocratique du Congo (l’ancien Congo belge) est devenue le Zaïre et le concept d’authenticité a été mis au centre d’un projet nationaliste qui utilisait le passé pour se projeter dans l’avenir. En même temps que le gouvernement Mobutu se forçait à créer une image et une identité nationale unifiée (zaïroise), il insistait sur l’existence de plus de 350 groupes ethniques qui composaient la mosaïque du paysage national. La gestion de cette diversité reposait en grande partie sur une stratégie de mise en public des chants et danses traditionnels des principaux groupements ethniques et linguistiques du pays : l’animation politique et culturelle. Inspirée par la pensée de la négritude mais aussi par les spectacles patriotiques que Mobutu avait observés lors d’une visite officielle en Corée du Nord et en Chine, l’animation politique et culturelle dominait non seulement la sphère publique, mais aussi l’imaginaire politique du pays. L’imposition de ce phénomène dans tous les aspects de la vie publique (écoles, entreprises privées, entreprises d’État, télévision et radio, associations de quartier) a permis à Mobutu de consolider son autorité en tant que « Président-Fondateur » et « Père de la Révolution », mais il cela a eu aussi pour effet de transformer la façon dont la notion de la culture est vécue et comprise.
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Fornerod, Anne. „École et Religion en Droit français“. Anuario de Derecho Eclesiástico del Estado, 16.10.2023. http://dx.doi.org/10.55104/adee_00007.

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In France, public schools play a central role in determining students’ relationship to religion. It is based on a set of legislative principles dating from the regime of the Third Republic (1870-1940) which are still applicable today and are characterized by a close and decisive link with laïcité. However, a significant place is given to private schools –overwhelmingly Catholic– in the name of freedom of education. However, the societal repercussions of the development of new religious movements, including Islam, are reflected in public schools by the promotion of laïcité as a value to which students must adhere and likely to lead to tensions with their freedom of religion. This conception of laïcité is present in the law of August 24, 2021 confirming respect for the principles of the Republic, which has brought restrictions to the freedom of education by strictly framing the home education of children and private schools without contract L’École publique joue en France un rôle central dans la détermination du rapport à la religion des élèves. Elle s’appuie sur un ensemble de principes législatifs datant du régime de la IIIe République (1870-1940) qui sont toujours applicables aujourd’hui et se caractérisent par un lien étroit et déterminant avec la laïcité. Toutefois, une place conséquente est faite aux écoles privées –très majoritairement catholiques– au nom de la liberté de l’enseignement. Or, les répercussions sociétales du développement de nouveaux mouvements religieux, dont l’Islam, se traduisent à l’École publique par la promotion d’une laïcité comme valeur à laquelle les élèves doivent adhérer et susceptible d’entraîner des tensions avec leur liberté de religion. Cette conception de la laïcité est présente dans la loi du 24 août 2021 confortant le respect des principes de la République qui a apporté des restrictions à la liberté de l’enseignement en encadrant strictement l’instruction en famille des enfants et les écoles privées hors contrat.
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Dissertationen zum Thema "Écoles privées – Corée (République)"

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Yun, Minjung. „Le service public de l'éducation en Corée du Sud“. Electronic Thesis or Diss., Université Paris-Panthéon-Assas, 2023. http://www.theses.fr/2023ASSA0054.

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L’éducation publique coréenne, qui a contribué à la croissance économique et de la démocratie en moins de cent ans, était la fierté du pays, mais elle s’est érodée sous l’effet du poids de l’éducation privée et la crise de l’éducation publique. À partir de la prise de conscience de ces problèmes, cette thèse débute avec l’intention d’obtenir des idées éducatives et juridiques applicables à l’éducation coréenne en analysant le domaine du service public de l’éducation française. Le problème lié au statut ambigu des écoles privées et celui du principe de neutralité incorrectement appliqué sont souvent indiqués comme problèmes juridiques observés dans le service public de l’éducation en Corée du Sud. Comme solution à ce problème, l’introduction du concept de service public français et des fondements juridiques associés, tels que la classification des services publics fondée sur la norme fonctionnelle, la délégation de service public, le respect des principes du service public et la résolution active des litiges par le biais de tribunaux administratifs, mérite d’être envisagée. Le service public exige le respect de principes connexes, donc l’introduction de la notion de service public peut également contribuer à résoudre les problèmes liés au principe de neutralité. L’obligation de neutralité ne s’étend pas au domaine de la vie privée, et ne doit pas servir de base juridique pour la privation des droits fondamentaux. De plus, les écoles privées religieuses, bénéficiant de subventions de l’État, doivent respecter le principe de neutralité plutôt que d’imposer une religion spécifique aux membres de l’école
The South Korean public education which contributed to the success of economic growth and democracy within a century was the pride of the country, but it eroded under the weight of the private school system and the public education crisis. Being aware of these issues, this thesis aims to obtain educational and legal ideas that apply to the education in South Korea by analyzing the French public service of education. Issues related to the ambiguous status of private schools and the neutrality principle incorrectly applied are usually reported as legal issues observed in the South Korean public service of education. As a solution to these issues, consider introducing the French concept of public service and related legal basis such as classification of public services based on functional standards, delegation of public services, respect for public service principles and active resolution of disputes through administrative courts are worth considering. The public sector requires respect for related principles and the introduction of the concept of public service can contribute to the resolution of problems related to the neutrality principle. The obligation of neutrality does not extend to the area of private life and should not serve as a legal basis to deprive fundamental rights. In addition, private religious schools which receive public subsidies, must respect the principle of neutrality instead of enforcing a specific religion on the members of the school
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Yie, Sook-Kyung. „La dualité de l'école secondaire du second cycle de la Corée du Sud, dans sa dynamique“. Paris 10, 1990. http://www.theses.fr/1990PA100036.

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La question a été posée sur la raison pour laquelle les phénomènes inattendus avaient été produits après la reforme d'égalisation de l'enseignement secondaire du second cycle en Corée du sud. Les phénomènes inattendus ont été présentes en quatre points : la particularité des lycées privés dans la ligne d'égalisation, les nouvelles disparités issues de la réforme, les anomalies de l'enseignement secondaire au second cycle et la continuation du conflit idéologique parmi les étudiants. En supposant que un attribut de l'école secondaire du second cycle sud-coréenne y avait joué et en définissant cet attribut comme la dualité scolaire, cette étude a commencé d'abord par les considérations sur l'histoire scolaire : l'humanisme confucianiste qui domina l'éducation traditionnelle et influe encore sur la conception de l'éducation chez les coréens, le processus de formation de l'école moderne, la politique éducative coloniale. Ensuite, par l'analyse socio-institutionnelle sur les phénomènes caractéristiques après la libération, l'expansion scolaire et l'homogénéisation idéologique dans l'école, et sur les situations concrètes ayant causé la reforme, elle a conduit à proposer trois éléments qui permettent de mettre en évidence la dualité scolaire : l'engouement pour l'instruction, la lutte idéologique et l'autonomie relative. Enfin trois catégories de dualité ont été présentées: le double intérêt, méritocratique et égalitaire, la double logique de l'évolution, histoire déterminée par la structure sociale et autonomie relative, et la double fonction, homogénéisation et lutte
The reform for the equalization of the secondary education had produced the undeirable phenomena in South Korea. This study began with the question as to the reason of these phenomena: the particularity of the private high schools, the new disparities issued from the reform, the anomalies of the secondary education and the continuation of the ideological conflict among the students. With the assumption that an attribution of the high school of south Korea affected these phenomena and with the definition of this attribution as the duality of the schooling, firstly this study concentrated upon the consideration of the historical characteristics of the schooling in Korean society: the confucian humanism in the traditional education, the process of formation of the modern school, the colonial educational policy. Secondarily, the situations resulting the reform, the education al expansion and the ideological homogenization in the school, were analyzed on the socio-institutional view point. Through this analysis, this study proposed three explicative elements for the duality of the schooling: the engrossment for the instruction, the ideological struggle and the autonomy relative. And three categories of the duality were presented: the double interest, meritocratic and equalitarian, the double fonction, homogenization and struggle, and the double logic of the evolution, history determined by the given society and the autonomy relative
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Simien, Côme. „Des maîtres d’école aux instituteurs : une histoire de communautés rurales, de République et d’éducation, entre Lumières et Révolution (années 1760-1802)“. Thesis, Université Clermont Auvergne‎ (2017-2020), 2017. http://www.theses.fr/2017CLFAL029.

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Cette thèse a pour objet la grande énigme scolaire de la Révolution française : l’échec de l’école publique et le succès des écoles privées (cette dichotomie publique-privée ayant été créée par la Révolution). Loin de s’expliquer d’abord par le conservatisme politique et religieux des classes populaires, ainsi que les historiens l’ont affirmé depuis la fin du XIXe siècle, la déroute du projet scolaire républicain, n’est en réalité ni évidente de partout (en ville, l’école publique n’est pas en échec), ni linéaire (elle ne survient pas avant le printemps 1795 dans les campagnes). Pour la comprendre, il importe surtout de l’inscrire dans une histoire au long cours : depuis les années 1760, l’école élémentaire (celle où l’on apprend à lire, écrire et compter) a été appropriée par les communautés villageoises, au point de devenir une véritable « institution de proximité », contrôlée dans les faits par le groupe des co-résidents, malgré toutes les règles édictées par la monarchie et l’Église catholique afin d’en confier la direction aux évêques et aux curés. « Institution de proximité », l’école l’est d’autant plus aisément devenue que les enseignants de la fin de l’Ancien Régime (presque tous laïcs) accomplissaient au village (mais pas en ville) un ensemble de services extra-scolaires essentiels à l’affirmation de cet « esprit de localité » que l’on sait être si prononcé dans les communautés rurales du XVIIIe siècle : ce sont eux qui sonnaient les cloches paroissiales, entretenaient l’horloge communale, arpentaient les terres de la communauté et en dressaient la carte, chantaient la messe lors du culte, assuraient l’entretien de l’église et assuraient les fonctions de secrétaire-greffier de la collectivité locale. Au sein du village, l’enseignement dispensé par le maître d’école était du reste lui même perçu comme un lieu de perpétuation de la « personnalité collective locale » : au cours du second XVIIIe siècle, les pratiques pédagogiques des régents d’école ont en effet fini par intégrer le vaste complexe des « coutumes » locales. À ce titre, les communautés rurales imposaient aux enseignants qu’elles recrutaient (et qu’elles regardaient comme leur « serviteur ») qu’ils se conforment en tous points aux pratiques scolaires traditionnelles du village, freinant ainsi l’introduction dans les campagnes des innovations pédagogiques pensées par la Réforme catholique (La Salle, Démia, etc.) et par les Lumières. Bien avant 1789, les collectivités locales ont donc appris à éviter les prescriptions scolaires extérieures au village pour administrer l’école en fonction de leurs propres attentes.La Révolution, bien plus qu’elle ne contrarie cette emprise du local sur l’école, contribue au contraire à accentuer ce processus au long cours, malgré ses ambitions, tôt affirmées et maintes fois rappelées, d’imposer un « État instructeur » – comme l’avaient réclamé les Lumières depuis l’expulsion des Jésuites. À partir de 1789 et jusqu’en l’an II, alors que disparaissent rapidement les autorités de tutelle traditionnelle des petites écoles (évêques, intendants) et que les communautés rurales sortent parallèlement renforcées par la création des municipalités communales, les villages parviennent enfin pleinement à exercer une autorité souveraine sur l’école et ses enseignants. Tout change à partir du printemps 1795, lorsque deux nouvelles lois scolaires tentent d’arracher l’école publique de la sphère des compétences communales. Les villages se détournent aussitôt de cette dernière, pourtant massivement investie l’année précédente, et ouvrent dans le même temps de nombreuses écoles privées (autorisées par les deux mêmes lois). Au fond, il faut d’abord voir dans ce mouvement un moyen pour les collectivités locales de ne pas être dépossédées de leurs usages coutumiers de l’école. [...]
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