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Dissertationen zum Thema „Dystrophie myotonique de type 1 (DM1)“

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Lallemant, Louison. „Pathologie neuronale et gliale en lien avec les atteintes neurologiques de la dystrophie myotonique de type 1 (DM1)“. Electronic Thesis or Diss., Sorbonne université, 2023. https://accesdistant.sorbonne-universite.fr/login?url=https://theses-intra.sorbonne-universite.fr/2023SORUS404.pdf.

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La dystrophie myotonique de type 1 (DM1) est une maladie neuromusculaire grave affectant de nombreux tissus et organes. Les manifestations neurologiques varient du dysfonctionnement exécutif chez les adultes aux déficits d'attention chez les enfants, en passant par une déficience intellectuelle sévère dans les cas congénitaux. Les manifestations neurologiques de la DM1 ont un impact important sur la vie quotidienne des patients et de leurs familles, et il n’existe actuellement aucun traitement pour cette maladie. La DM1 est causée par l'expansion anormale d'une répétition CTG dans le gène DMPK. Les transcrits DMPK mutés sont toxiques car ils s’accumulent dans le noyau de la cellule, perturbant l’activité d’importantes protéines de liaison à l’ARN. En conséquence, les cellules DM1 présentent un métabolisme anormal de l’ARN et une régulation anormale de nombreux transcrits en aval. Malgré les progrès dans la compréhension de la physiopathologie musculaire, les mécanismes de la maladie restent flous et méconnus dans le SNC. Nous ne savons toujours pas quels types de cellules et voies moléculaires sont principalement affectés dans le cerveau, ni comment ils contribuent aux symptômes neurologiques de la DM1. Afin d'étudier ce problème, notre laboratoire a développé un modèle murin transgénique de la DM1 : les souris DMSXL expriment des transcrits DMPK humain contenant plus de 1000 répétitions CUG dans plusieurs tissus, notamment dans le cerveau. Ces souris présentent des phénotypes comportementaux, électrophysiologiques et neurochimiques pertinents de la DM1. A l'aide de ce modèle murin, l'objectif de ma thèse était de mieux comprendre les mécanismes cellulaires et moléculaires impliqués dans les anomalies neuronales, mais aussi non neuronales liées aux atteintes neurologiques de la DM1. Je me suis d'abord concentrée sur la caractérisation des différents types cellulaires du cerveau des souris DMSXL. Une étude multi-omique a été réalisée sur les neurones, les astrocytes et les oligodendrocytes ces souris. Nos résultats, qui montrent que les cellules gliales sont davantage impactées par les répétitions CTG, ont permis de mieux comprendre les mécanismes cellulaires et moléculaires de la DM1 dans le SNC, mais surtout de souligner l'importance d'étudier non seulement les neurones, mais aussi les astrocytes et oligodendrocytes dans le contexte pathologique de la DM1. Je me suis ensuite impliquée dans l'étude de la pathologie des astrocytes dans la DM1. Nous avons ainsi démontré que les astrocytes DMSXL présentaient une ramification réduite et une adhésion cellulaire altérée, et avaient un fort impact négatif sur la neuritogenèse. Parallèlement, j'ai également participé à l'étude de l'altération oligodendrogliale dans la DM1. Nous avons constaté que l'ARN CUG toxique perturbe le programme moléculaire de différenciation des oligodendrocytes (OL), en association avec des modifications du transcriptome se produisant au cours de la transition des cellules progénitrices des oligodendrocytes (OPC) en OL et conduisant à une hypomyélinisation transitoire chez la souris. J'ai également étudié la pathologie neuronale chez la souris DMSXL. Nos résultats ont démontré que l’accumulation de foci d’ARN toxiques dans les neurones perturbe principalement la phosphorylation des protéines, ce qui semble conduire à des défauts morphologiques neuronaux associés à des troubles de la dynamique des vésicules et à des défauts de transport axonal.Les 3 types cellulaires du cerveau présentent donc des dommages importants dans le cadre de la DM1, qui pourraient avoir un impact sur des processus cruciaux du fonctionnement cérébral. En effet, nous avons démontré une altération de la neurotransmission et de la plasticité synaptique chez la souris DMSXL. Dans l'ensemble, mes travaux ont permis de mieux comprendre les mécanismes cellulaires et moléculaires spécifiques des astrocytes, des oligodendrocytes et des neurones dans la pathologie cérébrale de la DM1
Myotonic dystrophy type 1 (DM1) is a severe neuromuscular disease affecting many tissues and organs. The debilitating neurological manifestations vary from executive dysfunction in adults, to attention deficits and low processing speed in pediatric patients, to severe intellectual disability in congenital cases. DM1 neurological manifestations have a profound impact on the daily life of patients and their families, and there is currently no treatment for this disease. DM1 is caused by the abnormal expansion of a CTG repeat in DMPK gene. Expanded DMPK transcripts are toxic because they accumulate in the cell nucleus, disrupting the activity of important RNA-binding proteins. As a consequence, DM1 cells show abnormal RNA metabolism and processing of many downstream transcripts. Despite progress in the understanding of the muscle pathophysiology, the disease mechanisms remain unclear in the CNS. We still do not know which cell types and molecular pathways are primarily affected in the brain and how they contribute to DM1 neurological symptoms. In order to investigate this problem, our laboratory has developed a transgenic mouse model of DM1: DMSXL mice express expanded human DMPK transcripts in multiple tissues, notably in the brain, and display relevant behavioral, electrophysiological and neurochemical phenotypes. Using this mouse model, the objective of my thesis was to better understand the cellular and molecular mechanisms involved in the neuronal and non-neuronal impairment linked to the neurological damages of DM1. I first focused on the characterization of the different cell types in the DMSXL brain. A multi-omics study was carried out on DMSXL neurons, astrocytes and oligodendrocytes. Our results, which show that glial cells are more impacted by CTG repeats, have allowed us to better understand the cellular and molecular mechanisms of DM1 in the CNS, but above all to emphasize the importance of studying not only the neurons, but also astrocytes and oligodendrocytes in the pathological context of DM1. I then got involved in the study of astrocyte pathology in DM1. We thus demonstrated that DMSXL astrocytes exhibited reduced ramification and impaired cell adhesion, and had a strong negative impact on neuritogenesis. In the same time, I also participated in the study of oligodendroglia impairment in DM1. We found that the toxic CUG RNA disrupts the molecular program of oligodendrocyte (OL) differentiation, impairing the transcriptome changes occurring during the oligodendrocyte precursor cells (OPC)-OL transition and leading to transient hypomyelination in mice. I also studied the neuronal pathology in DMSXL mice. Our results demonstrated that the accumulation of toxic RNA foci in neurons perturbs mainly protein phosphorylation, which seems to lead to neuronal morphological defects associated with vesicle dynamics impairment and axonal transport defects. The three main cell types of the brain therefore present significant damage in the context of DM1, which could have an impact on crucial processes of cerebral functioning. Indeed, we have demonstrated an alteration in neurotransmission and synaptic plasticity in DMSXL mice. All together my work has provided novel insight into the cell-specific mechanisms operating in DM1, demonstrating the implication of astrocyte, oligodendrocyte and neuron defects in a DM1mouse model, and contributing towards an integrative understanding of brain pathology
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Minier, Lisa. „Evaluation de la personnalité, du coping et de la régulation émotionnelle de patients atteints de Dystrophie Myotonique de type 1 (DM1)“. Thesis, Paris 10, 2019. http://faraway.parisnanterre.fr/login?URL=http://bdr.parisnanterre.fr/theses/intranet/2019/2019PA100112/2019PA100112.pdf.

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Le Dystrophie Myotonique de type 1 (DM1) est une maladie neuromusculaire aux atteintes multiples qui induisent notamment de l’émoussement affectif, de l’apathie, de l’hypersomnolence, de la fatigue, ainsi qu’un déficit de cognition sociale et de théorie de l’esprit. Nous avons évalué les traits de personnalité, le coping et la régulation émotionnelle de 60 patients atteints de DM1. In fine, il s’agissait de proposer, à partir de ces éléments, une prise en charge psychothérapeutique adaptée à leurs besoins. Concernant la personnalité, le résultat le plus frappant concerne la dimension N. Contrairement à ce que nous attendions (des scores élevés du fait de la maladie et de ses répercussions), les patients inclus dans notre échantillon obtiennent des scores similaires à ceux de notre groupe contrôle tout-venant. Nos résultats relatifs au coping témoignent d’une utilisation variée des 10 stratégies que nous avons évaluées. Toutefois, l’apathie et la motivation réduite ressortent comme des obstacles qui limiteraient leur mise en place pour faire face à la DM1. Enfin, l’apathie et la fatigue ne semblent pas influencer la régulation émotionnelle dans notre échantillon. De plus, la stratégie Réévaluation cognitive ne semble pas être impactée par la maladie, ce qui pourrait se révéler un atout important dans la préservation de la qualité de vie des patients malgré la progression de leurs atteintes. En termes de psychothérapie, une Thérapie Comportementale et Cognitive a été développée spécifiquement pour ces patients et apporte des résultats prometteurs. D’autres pistes de psychothérapies pourraient être intéressantes à explorer, notamment la thérapie d’acceptation et d’engagement
Myotonic Dystrophy type 1 (DM1) is a neuromuscular disease with multiple impairments leading to blunted affect, apathy, hypersomnia, fatigue, social cognition deficit and theory of mind deficit. In this research, personality traits, coping, and emotion regulation of 60 DM1 patients were assessed. All this information will help us design DM1 adapted psychological care.Regarding personality, our main result is that patients show similar N scores to the healthy control group despite our expectations (high scores in relation with the severity of the disease and its complications). In the light of our coping results, it seems that DM1 patients are using a large variety of coping strategies. However, apathy and reduced motivation constitute obstacles for coping strategies. Finally, apathy and fatigue do not influence emotion regulation in our sample DM1. Furthermore, Cognitive reevaluation strategy seems preserved from the disease’s consequences. This strategy might be an important advantage in the preservation of quality of life in DM1, despite the disease progression. A DM1 specific Cognitive Behavioral Therapy showed promising results. Other psychotherapeutic approaches could be explored, namely Acceptance and Commitment Therapy
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Coldefy, Maurin Anne-Sophie. „Implication des voies de signalisation des MAPK, ERK1/2 et p38, dans la dystrophie myotonique de type 1 (DM1)“. Nice, 2006. http://www.theses.fr/2006NICE4059.

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Au cours de nos travaux de recherche, nous nous sommes principalement intéressés aux implications des voies de signalisation ERK1/2 et p38 dans la dystrophie myotonique de type ou DM1. La DM1 est la dystrophie musculaire la plus fréquente chez l’adulte. Cette pathologie multi-systémique atteint particulièrement les muscles squelettiques (myotonie, fonte musculaire progressive, altération de la différenciation musculaire). La DM1 est une maladie génétique à transmission autosomale dominante. Le défaut génétique est une insertion de triplets nucléotidiques CTG dans la région 3' non traduite du gène DMPK. Ce gène code pour une sérine/thréonine kinase, dont la fonction reste inconnue à ce jour. Les voies de signalisation des MAPK ERK1/2 et p38 jouent un rôle essentiel dans la transduction du signal et régulent de nombreuses fonctions cellulaires, notamment la différenciation musculaire. Nous avons montré que l'activation de ERK1/2 et p38 est significativement diminuée dans des biopsies de patients DM1. D’après nos études réalisées sur des souris transgéniques sur-exprimant ou invalidées pour le gène Dmpk, la diminution de l'activation de ERK1/2 et p38 ne semble pas corrélée à une diminution de l’expression de DMPK dans la DM1. Cependant, dans des cellules C2C12 exprimant des répétitions CUG en aval du gène de la GFP, l'activation de ERK1/2 et p38 est également diminuée. Ainsi, l’expression de transcrits contenant des triplets CUG répétés pourrait altérer l’activation des MAPK, ERK1/2 et p38, que nous avons observée dans la DM1. A ce jour, nous n’avons pu conclure sur un mécanisme précis d’altération des activations de ERK1/2 et p38 dans la DM1. Néanmoins, les outils que nous avons développés récemment et l’ensemble de nos résultats ouvrent de nouvelles perspectives pour une meilleure compréhension de l’implication des MAPK ERK1/2 et p38 dans la DM1, mais également de la régulation de Dmpk au cours de la différenciation musculaire
The aim of this work was to characterize a putative role of ERK1/2 and p38 MAPK in the myotonic dystrophy 1, called DM1. DM1, the most frequent dystrophy in adults, is a multi-systemic disorder which mainly affects skeletal muscles (myotonia, progressive wasting and weakness, delay in muscular differentiation). DM1 is an autosomal dominant inherited disease. The genetic mutation is an expansion of CTG trinucleotide repeats tract in the DMPK 3’ untranslated region. DMPK encodes a serine/threonine kinase but its function is still unknown. ERK1/2 and p38 MAPK signalling pathways play central and essential roles in cells physiology and are implicated in various cellular processes including muscular differentiation. We show that ERK1/2 and p38 activation is significantly diminished in muscular biopsies from DM1 patients. This diminished activation is not correlated with a diminution of DMPK expression in DM1, as we observed in transgenic mice, Dmpk knock-out or DMPK over-expressing mice. However, in C2C12 cells expressing CUG repeats in 3’ UTR of GFP, ERK1/2 and p38 activation is altered. In DM1, the diminution of ERK1/2 and p38 activation could be due to the expression of CUG repeats tract rather than to the decrease of DMPK expression. Our results and our recently developed molecular tools will enable us to further understand the implication of ERK1/2 and p38 MAPK in DM1 as well as Dmpk function in muscular differentiation
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Ney, Michel. „Rôle de l'inclusion de l'exon 7 de BIN1 dans la faiblesse musculaire des patients atteints de dystrophie myotonique“. Thesis, Strasbourg, 2016. http://www.theses.fr/2016STRAJ077/document.

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La dystrophie myotonique de type 1 (DM1), est une maladie génétique héréditaire affectant environ 1/8000 personnes. Les patients souffrant de DM1 développent essentiellement des troubles musculaires tels qu’une faiblesse et une atrophie musculaire. La cause de la DM1 est expliquée par la mutation du gène "DMPK". Lors de ma thèse, j’ai pu démontrer que l’épissage de l’ARNm BIN1 était altéré dans le muscle DM1. En effet, l’exon 7 de BIN1, qui est absent du muscle normal, est exprimé de façon aberrante chez les patients DM1. En utilisant un modèle murin, j’ai prouvé que l’expression forcée de l’exon 7 de BIN1 altérait simultanément la structure et la fonction du muscle. Nous avons notamment observés une diminution de la taille des fibres musculaires et une augmentation de la faiblesse musculaire, comparé à des souris normales. Par conséquent, ce travail aidera à la compréhension du mécanisme de la maladie et pourrait expliquer les causes de la faiblesse musculaire et de l’atrophie
Myotonic dystrophy of type 1 (DM1), is an inherited genetic disease affecting around 1 in 8000 person. Patients suffering from DM1 develop essentially muscle disorders such as muscle weakness, muscle loss and atrophy. The cause of DM1 is explained by the mutation of a gene called “DMPK“.During my thesis, I discovered that the alternative splicing of BIN1 mRNA was altered in the muscle of DM1 patients. Indeed, the BIN1 exon 7, which is normally absent in healthy muscle, is aberrantly expressed in DM1 muscle. By using a mouse model, I found that the forced expression of BIN1 exon 7 was responsible of the alteration of both muscle structure and function. Notably, we found a decrease in muscle fibers area (atrophy) and an increase of muscle weakness, compared to wild-type mice. Therefore, this work will help in the understanding of the disease mechanism and could explain the causes of muscle weakness and atrophy, which have never been elucidated to this date
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De, Dea Diniz Damily. „The study of the consequences of serca1’s missplicing on muscle function in myotonic dystrophy type 1“. Electronic Thesis or Diss., Sorbonne université, 2018. http://www.theses.fr/2018SORUS569.

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La Dystrophie myotonique de type 1 (DM1) est une maladie neuromusculaire affectant notamment le muscle squelettique avec la présence d’une myotonie et d’une atrophie progressive et causée par une expansion anormale de triplets CTG dans le 3’UTR du gène DMPK. L’expression des ARN mutés induit la perte de fonction du facteur d’épissage MBNL1 et conduit à la réexpression de formes fœtales de certains transcrits dans les tissus adultes de patients DM1. J’ai développé un modèle de cellules musculaires exprimant de manière conditionnelle de 960 répétitions CTG interrompues, afin d’identifier des nouveaux mécanismes impliqués dans la dysfonction musculaire. Suite à l’expression ciblée d’ARN-960CUG dans des myotubes, une analyse du transcriptome montre la présence d’un certain nombre de fonction/processus biologiques typiques de la DM1. En revanche, l’induction de voies non associées à la DM1 et l’absence de phénotype suggèrent que notre modèle n’est pas approprié pour l’étude des mécanismes moléculaires. J’ai fait aussi une étude de l’impact du défaut d’épissage d’ATP2A1 (SERCA1), présent chez les patients DM1, sur la fonction musculaire. J’ai utilisé une approche antisens afin de favoriser l’exclusion de l’exon 22 d’Atp2a1 dans un muscle contrôle, conduisant à la réexpression de l’isoforme fœtal Serca1b. Chez la souris sauvage adulte, ce défaut provoque un ralentissement de la contraction et une perte de masse musculaire. Chez le poisson-zèbre, cette modification d’épissage provoque une altération de la locomotion. L’ensemble de ces résultats indique que la réexpression de Serca1b affecte la fonction musculaire et pourrait contribuer aux symptômes musculaires dans la DM1
Myotonic Dystrophy Type 1 (DM1) is a neuromuscular disease that affects mainly the skeletal muscle with the presence of myotonia and progressive atrophy and is caused by abnormal CTG expansion in the 3'UTR of the DMPK gene. The expression of the mutated RNA induces the loss of function of the MBNL1 splicing factor and leads to the re-expression of fetal isoforms of certain transcripts in the adult tissues of DM1 patients. In order to identify new mechanisms involved in muscle dysfunction, I developed a model of muscle cells conditionally expressing 960 interrupted CTG repeats. Following the targeted expression of RNA-960CUG in myotubes, transcriptome analysis shows that despite the presence of functions/biological processes typical of DM1, the induction of non-DM1 associated pathways and the absence of phenotype suggest that this model is not appropriate for this study of molecular mechanisms. I also did a study of the impact of the ATP2A1 (SERCA1) misplicing, present in DM1 patients, on the muscular function. I used an antisense approach to promote the exclusion of exon 22 from Atp2a1 in the muscle of two animal models, leading to the reexpression of the Serca1b fetal isoform. The re-expression of Serca1b in the muscle of adult wild-type mice leads to a slowing contraction and a loss of muscle mass. In zebrafish, this modification on Atp2a1 splicing causes an alteration on the locomotion. All of these results indicate that reexpression of Serca1b affects muscle function and may contribute to muscle symptoms in DM1
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Vergnol, Amélie. „Les isoformes CaVβ1 : rôle dans la formation de la jonction neuromusculaire et implication dans la physiopathologie de la Dystrophie Myotonique de type 1“. Electronic Thesis or Diss., Sorbonne université, 2024. http://www.theses.fr/2024SORUS305.

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Quatre protéines CaVβ (CaVβ1 à CaVβ4) sont connues comme des sous-unités régulatrices des canaux Ca2+ dépendants du voltage (Voltage-gated Ca2+ Channels, VGCC), chacune ayant des profils d'expression spécifiques selon leur fonction. Bien qu'elles soient principalement reconnues pour leur rôle dans la régulation des VGCC, les protéines CaVβ peuvent également agir indépendamment de ces canaux, en tant que régulateurs de l'expression génique. Parmi ces protéines, CaVβ1 est exprimée dans le muscle squelettique sous différentes isoformes. L'isoforme adulte constitutive, CaVβ1D, est localisée au niveau du sarcolemme et plus précisément à la triade, où elle joue un rôle crucial dans la régulation de CaV1 et ainsi du mécanisme de Couplage Excitation-Contraction (CEC), essentiel à la contraction musculaire. Dans cette thèse, nous nous sommes concentrés sur les isoformes embryonnaires/périnatales de CaVβ1, moins étudiées, y compris la CaVβ1E précédemment décrite. Nous avons étudié leurs rôles dans les systèmes neuromusculaire et musculaire. En effet, la protéine CaVβ1 s'est révélée essentielle au développement correct de la Jonction NeuroMusculaire (JNM), mais l'implication spécifique de ses isoformes y reste inconnue. Notre étude a donc évalué le rôle des isoformes CaVβ1 à différents stades de la formation et de la maturation/maintien de la JNM. Parallèlement, étant donné la dérégulation de CaVβ1 dans la dystrophie myotonique de type 1 (DM1), nous avons exploré son rôle fonctionnel dans ce contexte pathologique. Nous avons tout d'abord identifié CaVβ1A comme une isoforme exprimée pendant l'embryogenèse et les stades périnataux. Nos résultats ont révélé que l'expression des isoformes CaVβ1 est régulée par l'activation différentielle des promoteurs au cours du développement : un promoteur1 dans l'exon 1 contrôle l'expression de CaVβ1A/E, tandis qu'un promoteur2 dans l'exon 2B contrôle l'expression de CaVβ1D. Il est intéressant de noter qu'un endommagement du nerf déclenche une réactivation du promoteur1, conduisant à la réexpression des transcrits de CaVβ1A/E.De plus, nous avons découvert que les isoformes embryonnaires/périnatales de CaVβ1 sont essentielles pour la pré-empreinte in vitro des myotubes et que leur expression postnatale influence la maturation/maintien de la JNM. Dans le contexte pathologique de la DM1, nous avons observé une augmentation de l'expression de CaVβ1A/E, qui semble atténuer la myotonie, un symptôme caractéristique de cette pathologie. De plus, nous avons trouvé que la modulation de leur expression est liée aux protéines MBNL, centrales dans la physiopathologie de la DM1. En conclusion, ce travail de thèse a permis de clarifier les connaissances sur les différentes isoformes de CaVβ1 dans le muscle squelettique et d'apporter de nouveaux éléments sur leur rôle dans deux contextes indépendants : le développement de la JNM et de la physiopathologie de la DM1. Comprendre la régulation des isoformes protéiques de CaVβ1 dans le muscle squelettique est essentiel pour déchiffrer les mécanismes de l'homéostasie musculaire et potentiellement identifier de nouvelles approches thérapeutiques pour faire face aux pathologies musculaires
Four CaVβ proteins (CaVβ1 to CaVβ4) are described as regulatory subunit of Voltage-gated Ca2+ channel (VGCC), each exhibiting specific expression pattern in excitable cells based on their function. While primarily recognized for their role in VGCC regulation, CaVβ proteins also function independently of channels, acting as regulators of gene expression. Among these, CaVβ1 is expressed in skeletal muscle as different isoforms. The adult constitutive isoform, CaVβ1D, is located at the sarcolemma and more specifically at the triad, where it plays a crucial role in regulating CaV1 to control Excitation-Contraction Coupling (ECC) mechanism, essential for muscle contraction.In this thesis, we further explored the less studied CaVβ1 isoforms, with a particular focus on embryonic/perinatal variants, including the previously described CaVβ1E. We investigated their roles in the neuromuscular and muscular systems. Indeed, CaVβ1 proteins have been showed as essential for NeuroMuscular Junction (NMJ) development, though the involvement of specific isoform remains unclear. Our investigation assessed the role of CaVβ1 isoforms at different stages of NMJ formation and maturation/maintenance. Additionally, given the deregulation of CaVβ1 in Myotonic Dystrophy Type 1 (DM1), we explored its functional role in this muscular pathological context.First, we identified CaVβ1A as another isoform expressed during embryogenesis and perinatal stages. Our findings revealed that CaVβ1 isoforms expressions are regulated by the differential activation of promoters during development: a promoter1 in exon 1 drives CaVβ1A/E expressions, while a promoter2 in exon 2B controls CaVβ1D expression. Interestingly, nerve damage in adult muscle triggers a shift toward the promoter1 activation and leading to the re-expression of CaVβ1A/E transcripts. Furthermore, we found that CaVβ1 embryonic/perinatal isoforms are critical for proper in vitro pre-patterning of myotubes and that their postnatal expressions influences NMJ maturation/maintenance. In the pathological context of DM1, we observed the increased expression of CaVβ1A/E, which appears to mitigate myotonia symptoms. In addition, we found that the modulation of their expression is linked with MBNL proteins, which are central in the pathophysiology of DM1. In conclusion, this thesis work has clarified knowledge of the various CaVβ1 isoforms in skeletal muscle and provides new insights into their role in two independent contexts of NMJ development and DM1 pathophysiology. Understanding CaVβ1 protein regulation in skeletal muscle is essential to decipher muscle homeostasis mechanisms and potentially identify new therapeutic targets to face muscular disorders
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Bigot, Anne. „Mécanismes de sénescence et programme myogénique“. Paris 6, 2007. http://www.theses.fr/2007PA066397.

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Le vieillissement cellulaire se caractérise par un épuisement de la capacité proliférative des cellules et entraîne une entrée irréversible en sénescence. Dans une première partie, nous montrons que ce processus altère le programme myogénique des cellules satellites. La seconde partie consistait à déterminer les voies impliquées dans l’induction du mécanisme de sénescence. Nous montrons que la sénescence des cellules satellites est induite par les voies p53 et p16. L’inactivation de ces 2 voies bloque le processus de sénescence et permet leur immortalisation. Enfin dans certaines pathologies musculaires un arrêt prolifératif précoce des cellules satellites a été observé. C’est le cas de la dystrophie myotonique de Steinert (DM1), pathologie dans laquelle une expansion anormale d’un triplet CTG a été observée dans le gène de la DMPK. Nous montrons que cet arrêt n’est pas dû à un épuisement de la capacité proliférative des myoblastes mais est induit pas un mécanisme de sénescence prématurée. Les expansions CTG induisent l’activation précoce de la voie p16 et entraînent une dérégulation de l’homéostasie des télomères.
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Arandel, Ludovic. „Développement d'une thérapie génique pour la Dystrophie Myotonique de type 1“. Electronic Thesis or Diss., Sorbonne université, 2023. http://www.theses.fr/2023SORUS229.

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Les Dystrophies Myotoniques de type 1 (DM1) et (DM2) sont des maladies multisystémiques autosomiques dominantes avec une forte composante neuromusculaire. Ces pathologies se caractérisent essentiellement par une myotonie, une faiblesse musculaire progressives, des déficiences cognitives, et des défauts de conduction cardiaque. Ces maladies sont causées par une amplification anormale de séquences répétées C(C)TG situées respectivement dans la région 3’UTR du gène de la DMPK et dans l’intron du gène CNBP. Ces séquences contenant les expansions sont transcrites et retenues dans le noyau des cellules sous forme d’agrégats riboprotéiques. La présence de ces ARN-C(C)UG toxiques induisent la séquestration des protéines de liaisons à l’ARN de la famille MBNL conduisant à leur perte de fonction et à la dérégulation d’évènements d'épissages alternatifs dont plusieurs ont été associés à des symptômes cliniques chez les patients. A jour ce jour, il n’existe aucun traitement pour la DM. Dans ce travail de thèse, j’ai développé un outil de thérapie génique basé sur une modification de la protéine MBNL1. Ce dérivé de MBNL tronqué dans sa partie C-terminale (MBNLΔ), agit comme leurre pour libérer les protéines MBNL endogènes séquestrées par les ARN mutés. Notre approche été validée dans des cellules musculaires issue de patient DM1 et dans un modèle murin de la maladie après injection de virus AAV. Le traitement par le MBNLΔ permet la délocalisation des protéines MBNL endogènes des foci, modifie la dynamique des foci, corrige le transcriptome ainsi que la myotonie, et ce 1 an après injection
Myotonie dystrophy types 1(DM1) and 2 (DM2) are autosomal dominant multisystem diseases with a strong neuromuscular component. They are characterized by progressive myotonia, muscle weakness, cognitive impairment, and cardiac conduction defects. These diseases are caused by abnormal amplification of C(C)TG repeat sequences located in the 3'UTR region of the DMPK gene and in the intron of the CNBP gene, respectively. These expansion-containing sequences are transcribed and retained in the nucleus as riboprotein aggregates. The presence of these toxic C(C)UG RNAs induces sequestration of the MBNL family of RNA-binding proteins, leading to their loss of function and deregulation of alternative splicing events, many ofv/hich are associated with clinical symptoms in patients. There is currently no1reatment for DM. In this thesis, I have developed a gene therapy tool based on a modification of the MBNL1 protein. This C- terminal truncated MBNL derivative (MBNLΔ) acts as a decoy to release endogenous MBNL proteins sequestered by mutant RNAs. Our approach was validated in muscle cells from DM1 patients and in a mouse model of the disease after AAV virus injection. Treatment with MBNLΔ allows the delocalisation of endogenous MBNL proteins from the foci, modifies the foci dynamics, corrects the transcriptome and myotonia, which is maintained 1 year after injection
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Gagnon, Éric. „La qualité de vie chez les personnes atteintes de dystrophie myotonique de type 1“. Thesis, Université Laval, 2012. http://www.theses.ulaval.ca/2012/28772/28772.pdf.

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La dystrophie myotonique de type 1 (DM1) est une maladie neuromusculaire caractérisée par des atteintes multisystémiques selon des portraits cliniques liés à quatre phénotypes (congénital, infantile, adulte et léger). Les personnes atteintes de DM1 peuvent présenter différents phénotypes avec plusieurs niveaux d’atteintes, mais nous ne possédons aucune information sur leur qualité de vie (QV) respective. RÉSULTATS. Les personnes atteintes de DM1 avec le phénotype léger présentent une QV reliée à la santé et une QV subjective supérieure à celles atteintes du phénotype adulte. La relation entre la QV reliée à la santé et la QV subjective est généralement faible. Pour les deux phénotypes, les relations entre les sous-échelles en lien avec les capacités physiques présentent des relations modérées à élevées. CONCLUSION. Les résultats démontrent bien les caractères distinctifs entre les deux phénotypes étudiés et la nécessité d’en faire une évaluation plus approfondie. Des études subséquentes sont nécessaires pour identifier les facteurs explicatifs et préciser les interventions cliniques.
Myotonic dystrophy type 1 (DM1) is a hereditary neuromuscular disorder characterised by multisystemics anomalies. DM1 is delimited by four clinical phenotypes (congenital, childhood, adulthood and mild). These different phenotypes have different levels of disability but little is known about their respective quality of life (QOL). RESULTS. Subjects with the mild phenotype present superior subjective QOL and health-related quality of life (HRQOL) than the subjects with the adult phenotype. Relations between subjective QOL and HRQOL is usually at a low level but with both studied phenotypes, physically related relations between the different subscales show moderated to elevated relations. CONCLUSION. The results show the difference between the adult and the mild phenotypes and the relevance to make complementary studies so as to identify the explanatory factors making for better clinical interventions.
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Gagnon, Éric. „La qualité de vie chez les personnes atteintes de dystrophie myotonique de type 1“. Master's thesis, Université Laval, 2011. http://hdl.handle.net/20.500.11794/23494.

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La dystrophie myotonique de type 1 (DM1) est une maladie neuromusculaire caractérisée par des atteintes multisystémiques selon des portraits cliniques liés à quatre phénotypes (congénital, infantile, adulte et léger). Les personnes atteintes de DM1 peuvent présenter différents phénotypes avec plusieurs niveaux d’atteintes, mais nous ne possédons aucune information sur leur qualité de vie (QV) respective. RÉSULTATS. Les personnes atteintes de DM1 avec le phénotype léger présentent une QV reliée à la santé et une QV subjective supérieure à celles atteintes du phénotype adulte. La relation entre la QV reliée à la santé et la QV subjective est généralement faible. Pour les deux phénotypes, les relations entre les sous-échelles en lien avec les capacités physiques présentent des relations modérées à élevées. CONCLUSION. Les résultats démontrent bien les caractères distinctifs entre les deux phénotypes étudiés et la nécessité d’en faire une évaluation plus approfondie. Des études subséquentes sont nécessaires pour identifier les facteurs explicatifs et préciser les interventions cliniques.
Myotonic dystrophy type 1 (DM1) is a hereditary neuromuscular disorder characterised by multisystemics anomalies. DM1 is delimited by four clinical phenotypes (congenital, childhood, adulthood and mild). These different phenotypes have different levels of disability but little is known about their respective quality of life (QOL). RESULTS. Subjects with the mild phenotype present superior subjective QOL and health-related quality of life (HRQOL) than the subjects with the adult phenotype. Relations between subjective QOL and HRQOL is usually at a low level but with both studied phenotypes, physically related relations between the different subscales show moderated to elevated relations. CONCLUSION. The results show the difference between the adult and the mild phenotypes and the relevance to make complementary studies so as to identify the explanatory factors making for better clinical interventions.
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Légaré, Cecilia. „Déterminants génétiques et épigénétiques de la variabilité phénotypique de la dystrophie myotonique de type 1“. Mémoire, Université de Sherbrooke, 2017. http://hdl.handle.net/11143/11602.

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La dystrophie myotonique de type 1 (DM1) est une maladie à transmission autosomale dominante causée par une répétition trinucléotidique CTG située dans la région 3’ non-traduite du gène dystrophia myotonica protein kinase (DMPK). La prévalence mondiale de la DM1 est de 8,26 personnes atteintes par 100 000 habitants : celle-ci est presque 20 fois plus importante au Saguenay-Lac-St-Jean en raison d’un effet fondateur. La présentation clinique de la DM1 peut comprendre divers symptômes dont de la faiblesse musculaire, de la myotonie, des cataractes, de l’insuffisance respiratoire, de l’arythmie cardiaque, de l’hypersomnolence et des troubles cognitifs et endocriniens. Par ailleurs, une grande variation dans la présence et la sévérité de ces symptômes est observée chez les patients et celle-ci n’est qu’en partie expliquée par la longueur des répétitions CTG. Plusieurs mécanismes pourraient expliquer la variabilité inexpliquée dont les défauts d’épissage, la mauvaise régulation des facteurs de transcription, la traduction non-ATG associée aux répétitions et les modifications épigénétiques, en particulier la méthylation de l’ADN. L’objectif de ce projet était donc d’évaluer l’impact de la méthylation de l’ADN au locus DMPK sur la variabilité phénotypique des patients atteints de DM1. Nous rapportons que la méthylation de l’ADN mesurée en amont et en aval de la répétition CTG est respectivement corrélée négativement et positivement avec la longueur de la répétition CTG. La présence d’une interruption de la répétition est associée à un niveau plus élevé de méthylation de l’ADN. À l’aide de modèles de régression linéaire multiple, nous démontrons que la méthylation de l’ADN contribue significativement et indépendamment de la longueur des répétitions CTG, à expliquer la variabilité́ de la force des dorsifléchisseurs de la cheville, de la force de préhension, de la force des pinces, de la capacité́ vitale forcée, du débit expiratoire de pointe, de la pression expiratoire et inspiratoire maximale. La méthylation de l’ADN explique une fraction de la variabilité phénotypique en DM1 et en association avec la longueur de la répétition CTG pourrait aider à améliorer la prédiction de la progression de la maladie chez ces patients.
Abstract : Myotonic dystrophy type 1 (DM1) is an autosomal dominant disorder caused by a CTG repeat extension in the 3’ untranslated region of the dystrophia myotonica protein kinase (DMPK) gene. Worldwide, the prevalence of DM1 is 8.26 affected persons per 100 000 persons, but it goes up to 158 affected persons per 100 000 in the Saguenay-Lac-St-Jean region of the province of Quebec (Canada) due to a founder effect. Clinical presentation includes muscular weakness, myotonia, cataracts, respiratory insufficiency, cardiac arrhythmia, hypersomnolence and endocrine and cognitive problems. There is a large variability in the presence and severity of these symptoms that is only partially explained by the CTG repeat length. Many mechanisms such as splicing defects, impaired regulation of transcription factors, repeat-associated non-ATG translation and epigenetic modifications, including DNA methylation, may explain this variability. The objective of this study was to assess the impacts of DNA methylation measured at the DMPK gene locus on phenotypic variability in DM1. We report that DNA methylation upstream of the repeat was negatively correlated with CTG repeat length whereas downstream DNA methylation was positively correlated. The presence of a variant repeat within the CTG repeat was associated with a higher level of DNA methylation. Linear multiple regression models support that DNA methylation contributes significantly and independently of the CTG repeat length to the variability of the ankle dorsiflexor, grip and pinch strengths, as well as forced vital capacity, peak expiratory flow and maximal inspiratory and expiratory pressures. DNA methylation could thus explain part of the phenotypic variability in DM1 and, together with CTG repeat length, could help improve the prediction of the progression of the disease.
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Brien, Mélissa. „Habitudes alimentaires et apports nutritionnels chez les personnes présentant une dystrophie myotonique de type 1“. Thèse, Université Laval, 2016. http://constellation.uqac.ca/3882/1/Brien_uqac_0862N_10187.pdf.

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L’objectif de cette étude était de décrire les habitudes alimentaires et les apports nutritionnels des patients atteints de dystrophie myotonique de type 1 (DM1). Au total, 32 femmes et 20 hommes souffrant de DM1 et suivis à la Clinique des maladies neuromusculaires de Jonquière, ont complété un journal alimentaire de 3 jours non consécutifs (2 jours de semaine et 1 jour de fin de semaine). Parmi ces patients, 13,5 % étaient en sous-poids alors que 51,9 % présentaient de l’embonpoint ou de l’obésité. Les apports moyens en lipides et en glucides ne respectaient pas l’étendue des valeurs acceptables pour ces macronutriments. Les apports moyens étaient également insuffisants pour la majorité des micronutriments. Finalement, la consommation d’aliments des quatre groupes du Guide alimentaire canadien était inférieure aux recommandations. Les résultats démontrent qu’une proportion importante des patients avec DM1 présente une alimentation inadéquate. The aim of this study was to describe the eating habits and the dietary nutritional intakes of patients affected by myotonic dystrophy type 1 (DM1). The participants, 32 women and 20 men suffering from DM1 and followed at the Clinique des maladies neuromusculaires de Jonquière completed a three days food journal (2 week days and 1 week-end day). Among these patients, 13.5% were underweight and 51.9% were overweight or obese. The mean carbohydrate and lipid intakes did not respect the acceptable macronutrient distribution range. In addition, the mean intakes were insufficient for most of the micronutrients. The consumption of foods from the four food groups was generally inferior to Canada’s recommendations. Results demonstrated that many individuals suffering from DM1 have an inadequate diet.
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Desjardins, Patrick. „Évaluation de la capacité fonctionnelle chez des patients atteints de la dystrophie myotonique de type 1“. Thesis, Université Laval, 2013. http://www.theses.ulaval.ca/2013/30290/30290.pdf.

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L’évaluation chez les patients atteints de dystrophie myotonique de type 1 (DM1) pose souvent un problème aux cliniciens, car il existe peu d’outils d’évaluation qui permettent d’évaluer objectivement et quantitativement les limitations fonctionnelles. Le but de cette recherche est donc de valider la batterie de tests UQAM-YMCA chez des patients atteints de DM1. Quarante participants (18 hommes et 22 femmes) âgés de 45,9 +/-10,8 ans ont réalisé 17 tests regroupés en six déterminants de la capacité fonctionnelle : la vitesse segmentaire, le temps de réaction simple; la force et la puissance musculaire; l’équilibre statique; la mobilité musculoarticulaire; la capacité de déplacement pédestre. Des 40 participants, 20 sont atteints de DM1 et 20 sont sains. La fidélité des tests pour le groupe DM1 a été démontrée par une procédure test-retest réalisée à une semaine d’intervalle et révèle des valeurs de corrélation généralement supérieure à 0,80. En comparant les moyennes du groupe expérimental et du groupe témoin (test-t, échantillons indépendants), on remarque une différence significative (p<0,05) pour 15 des 17 tests. De plus, une analyse discriminante pas-à-pas a permis de classer correctement 97.5 % des participants dans le bon groupe (DM1 vs sains). Globalement, les performances fonctionnelles des personnes atteintes de DM1 sont équivalentes à celles d’individus de plus de 70 ans. La batterie de tests UQAM-YMCA s’avère donc être un outil d’évaluation sensible, précis, valide et fidèle afin d’évaluer la capacité fonctionnelle chez des patients atteints par la DM1.
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Merien, Antoine. „Étude de la fonction des protéines MBNL au cours du développement à l’aide de cellules souches humaines induites à la pluripotence“. Thesis, université Paris-Saclay, 2021. https://www.biblio.univ-evry.fr/theses/2021/interne/2021UPASQ015.pdf.

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L'épissage alternatif est apparu comme un mécanisme fondamental non seulement pour la diversification des isoformes des protéines mais aussi pour la régulation spatio-temporelle du développement. Par conséquent, une meilleure compréhension de la manière dont ce mécanisme est régulé permettrait non seulement d'élucider les principes biologiques fondamentaux, mais aussi de déchiffrer les mécanismes pathologiques impliqués dans les maladies dans lesquelles ces processus moléculaires sont dérégulés. Dans le cadre de cette thèse, nous avons utilisé des cellules souches pluripotentes humaines pour déchiffrer, au cours de la myogenèse humaine, le rôle des protéines MBNL, une famille de régulateurs d'épissage spécifiques aux tissus dont la perte de fonction est associée à la dystrophie myotonique de type 1 (DM1), une maladie neuromusculaire héréditaire. Grâce à la technologie CRISPR/Cas9, nous avons généré des cellules souches pluripotentes d'origine humaine (hiPSC) déplétées en protéines MBNL et évalué les conséquences moléculaires et fonctionnelles de cette perte sur la génération de cellules musculaires squelettiques. Nos résultats ont indiqué que les protéines MBNL sont spécifiquement requises pour la maturation myogénique tardive mais pas pour l'engagement myogénique précoce. Par une analyse transcriptomique, nous avons pu mettre en évidence les voies moléculaires régulées par ces protéines durant la myogenèse, ainsi que les phénomènes de compensation entre les paralogues MBNL. Cette étude nous a également permis d’identifier un nouveau défaut d’épissage alternatif dans la DM1, régulé par les protéines MBNL, et qui aboutit à des anomalies structurelles du compartiment post-synaptique musculaire. Ensemble, nos résultats révèlent à la fois la temporalité de l’action des protéines MBNL dans la myogenèse humaine et permettent également d’identifier de nouvelles voies moléculaires régulées par ces protéines et pouvant être impliquées dans le développement de la DM1. A plus long terme, les outils développés dans cette étude devraient également faciliter l'identification de nouvelles stratégies thérapeutiques capables de faire face à la perte de fonction de ces protéines
Alternative splicing has emerged as a fundamental mechanism not only for the diversification of protein isoforms but also for the spatiotemporal control of development. Therefore, a better understanding of how this mechanism is regulated has the potential not only to elucidate fundamental biological principles, but also to decipher pathological mechanisms involved in diseases where normal splicing networks are mis-regulated. As part of this thesis, we took advantage of human pluripotent stem cells to decipher during human myogenesis the role of MBNL proteins, a family of tissue-specific splicing regulators whose loss of function is associated with Myotonic Dystrophy type 1 (DM1), an inherited neuromuscular disease. Thanks to the CRISPR/Cas9 technology, we generated human-induced pluripotent stem cells (hiPSCs) depleted in MBNL proteins and evaluated the molecular and functional consequences of this loss on the generation of skeletal muscle cells. Our results indicated that MBNL proteins are specifically required for the late myogenic maturation but not for early myogenic commitment. By a transcriptomic analysis, we were able to highlight the molecular pathways regulated by these proteins during myogenesis, as well as the compensatory effects between MBNL paralogs. This study also allowed us to identify a new alternative splicing defect in DM1, regulated by MBNL proteins, which leads to structural abnormalities of the muscular post-synaptic compartment. Together, our results reveal the temporal requirement of MBNL proteins in human myogenesis and allow the identification of new molecular pathways regulated by these proteins that could be involved in the development of DM1. In the longer term, the tools developed in this study should also facilitate the identification of new therapeutic strategies capable to cope with the loss of function of these proteins
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Tran, Hélène. „Mécanismes moléculaires associés aux changements d'épissage de Tau dans une Tauopathie, la dystrophie myotonique de type 1“. Phd thesis, Université du Droit et de la Santé - Lille II, 2010. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00625483.

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"La pathologie Tau est une lésion neuronale commune à plus d'une vingtaine de maladies neurodégénératives. Elle correspond à l'agrégation des protéines Tau anormalement modifiées. Les mécanismes moléculaires impliqués dans l'agrégation de Tau demeurent encore mal compris. Toutefois, parmi les différentes hypothèses étiologiques, celle d'une dérégulation de l'épissage alternatif de Tau nous intéresse tout particulièrement. Ici, nous considérons la dystrophie myotonique de type 1 (DM1) comme maladie " modèle " pour étudier cette relation, puisqu'elle présente à la fois une dérégulation de l'épissage alternatif de Tau et des agrégats Tau. La DM1 est la forme adulte la plus fréquente de dystrophie musculaire. Il s'agit d'une maladie héréditaire à transmission autosomale dominante caractérisée par des répétitions CTGn>50 instables localisées dans la région 3'UTR du gène DMPK. Les mécanismes impliqués supposent un gain de fonction toxique des ARN mutés conduisant à une modification de l'épissage alternatif de nombreux transcrits parmi lesquels Tau. Dans ce contexte, nos objectifs étaient 1) de caractériser le défaut d'épissage de Tau dans le cerveau de plusieurs cas DM1 2) de modéliser ce défaut d'épissage afin d'identifier les facteurs trans-régulateurs impliqués et 3) de proposer une approche visant à restaurer un épissage normal. Le défaut d'épissage de Tau a été observé dans tous les cas analysés. Celui de l'exon 10, en revanche, n'a été rapporté que chez deux cas, qui, de façon intéressante, présentaient également une augmentation de l'expression des protéines CELF, décrites comme protéines régulatrices de l'épissage de Tau. Outre les protéines CELF, nous nous sommes également intéressés à MBNL1. MBNL1 est un facteur d'épissage jouant un rôle essentiel dans la physiopathologie de la DM1 où il a été décrit comme séquestré dans les foci. Peu de choses sont connues sur MBNL1 dans le cerveau et sur son rôle sur l'épissage alternatif des transcrits neuronaux. Ici, nous montrons que le niveau d'expression cérébrale de MBNL1 ne varie pas entre les cas DM1 et contrôles. En revanche, nous montrons que son épissage alternatif est dérégulé dans le cerveau. Notre étude de relation entre la structure et la fonction de la protéine suggère que ce changement d'épissage favorise sa séquestration dans les foci en modifiant sa localisation nucléaire, son activité de facteur d'épissage et ses propriétés d'oligomérisation. Le changement d'épissage de MBNL1 n'influence pas celui de Tau. Cependant, sa perte de fonction reproduit un profil d'épissage similaire à celui observé dans les cerveaux DM1. De plus, nous montrons que la surexpression de MBNL1, en présence des répétitions CTG suffit à restaurer un épissage normal de Tau et de plusieurs autres transcrits dérégulés dans la DM1. Enfin, des expériences complémentaires réalisées avec des protéines tronquées non fonctionnelles en tant que facteur d'épissage suggèrent que la restauration d'un profil d'épissage normal dans la DM1 serait due à la saturation des sites de liaisons CUG, ce qui permettrait de libérer les protéines MBNL1 séquestrées. Ces constructions semblent donc présenter un potentiel intérêt pour inverser les changements d'épissage observés dans la DM1 et sont actuellement en cours d'études. "
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Tran-Ladam, Hélène. „Mécanismes moléculaires associés aux changements d'épissage de Tau dans une Tauopathie, la dystrophie myotonique de type 1“. Thesis, Lille 2, 2010. http://www.theses.fr/2010LIL2S037/document.

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La pathologie Tau est une lésion neuronale commune à plus d’une vingtaine de maladies neurodégénératives. Elle correspond à l’agrégation des protéines Tau anormalement modifiées. Les mécanismes moléculaires impliqués dans l’agrégation de Tau demeurent encore mal compris. Toutefois, parmi les différentes hypothèses étiologiques, celle d’une dérégulation de l’épissage alternatif de Tau nous intéresse tout particulièrement. Ici, nous considérons la dystrophie myotonique de type 1 (DM1) comme maladie « modèle » pour étudier cette relation, puisqu’elle présente à la fois une dérégulation de l’épissage alternatif de Tau et des agrégats Tau. La DM1 est la forme adulte la plus fréquente de dystrophie musculaire. Il s’agit d’une maladie héréditaire à transmission autosomale dominante caractérisée par des répétitions CTGn>50 instables localisées dans la région 3’UTR du gène DMPK. Les mécanismes impliqués supposent un gain de fonction toxique des ARN mutés conduisant à une modification de l’épissage alternatif de nombreux transcrits parmi lesquels Tau. Dans ce contexte, nos objectifs étaient 1) de caractériser le défaut d’épissage de Tau dans le cerveau de plusieurs cas DM1 2) de modéliser ce défaut d’épissage afin d'identifier les facteurs trans-régulateurs impliqués et 3) de proposer une approche visant à restaurer un épissage normal. Le défaut d’épissage de Tau a été observé dans tous les cas analysés. Celui de l’exon 10, en revanche, n’a été rapporté que chez deux cas, qui, de façon intéressante, présentaient également une augmentation de l’expression des protéines CELF, décrites comme protéines régulatrices de l’épissage de Tau. Outre les protéines CELF, nous nous sommes également intéressés à MBNL1. MBNL1 est un facteur d’épissage jouant un rôle essentiel dans la physiopathologie de la DM1 où il a été décrit comme séquestré dans les foci. Peu de choses sont connues sur MBNL1 dans le cerveau et sur son rôle sur l’épissage alternatif des transcrits neuronaux. Ici, nous montrons que le niveau d’expression cérébrale de MBNL1 ne varie pas entre les cas DM1 et contrôles. En revanche, nous montrons que son épissage alternatif est dérégulé dans le cerveau. Notre étude de relation entre la structure et la fonction de la protéine suggère que ce changement d’épissage favorise sa séquestration dans les foci en modifiant sa localisation nucléaire, son activité de facteur d’épissage et ses propriétés d’oligomérisation. Le changement d’épissage de MBNL1 n’influence pas celui de Tau. Cependant, sa perte de fonction reproduit un profil d’épissage similaire à celui observé dans les cerveaux DM1. De plus, nous montrons que la surexpression de MBNL1, en présence des répétitions CTG suffit à restaurer un épissage normal de Tau et de plusieurs autres transcrits dérégulés dans la DM1. Enfin, des expériences complémentaires réalisées avec des protéines tronquées non fonctionnelles en tant que facteur d’épissage suggèrent que la restauration d’un profil d’épissage normal dans la DM1 serait due à la saturation des sites de liaisons CUG, ce qui permettrait de libérer les protéines MBNL1 séquestrées. Ces constructions semblent donc présenter un potentiel intérêt pour inverser les changements d’épissage observés dans la DM1 et sont actuellement en cours d’études
Tau pathology is a brain lesion common to more than twenty neurodegenerative disorders. It consists of the abnormal aggregation of the microtubule-associated protein Tau into neurofibrillary tangles. Mechanisms underlying Tau aggregation are not fully understood yet. However, among the different etiological hypothesises, the one of a relationship between Tau mis-splicing and Tau aggregates particularly interests us. Here, we proposed a disease model, being myotonic dystrophy type I (DMI), in which Tau mis-splicing and Tau aggregate occur. DM1 is the most common adult form of muscular dystrophy. It is an inherited autosomal disorder characterised by a dynamic instable CTG repeats (over 50) in the 3’UTR of DMPK gene. DM1 pathogenesis is suggested to result from a RNA toxic gain of function whereby mutant transcripts modify the splicing machinery activity leading thus to a mis-splicing of several pre-mRNA targets including Tau. In this context, our objectives were to 1) characterize Tau mis-splicing in several DM1 brain patients 2) Model it and identify the trans-regulating splicing factors likely involved and 3) Propose a therapeutic approach to reverse it. Tau mis-splicing was always observed for both exons 2 and 3 in human adult DM1 brain and consisted of a reduced inclusion. Tau exon 10 splicing was seldom mis-regulated and associated with an increase of the CELF proteins family. CELF proteins are splicing factors previously described to regulate alternative splicing of Tau exons 2, 3 and 10. In addition to the CELF proteins, we also investigated the potential role of the splicing factor MBNL1, which was shown to play an essential role in DM1 physiopathology through its sequestration by the CUG repeats. MBNL1’s brain expression was ill-defined. Here, we report that MBNL1’s expression level was not altered but its splicing modified in adult DM1 brain. In addition, we provide evidences by a relationship study between the structure and the function of MBNL1 that this mis-splicing event favored its sequestration to the foci by modifying its cell-localization, splicing activity and oligomerization properties. MBNL1 mis-splicing does not influence Tau mis-splicing. However its loss of expression reproduced the mis-splicing of Tau exons 2/3 as observed in DM1 brain. Interestingly, the overexpression of MBNL1 in the presence of the CTG repeats partially restored a normal splicing of Tau as well as several other mis-regulated pre-mRNA targets. Further experiments performed with different molecular constructs lead us to hypothezied that the reversal of the abnormal splicing events observed in DM1 was mediated by a saturation of the CUG binding sites that lead to the release of a free pool of MBNL1, recovering thus its splicing function. This work leads us to design a new molecular tool that might be of interest to reverse the pathological events observed in DM1
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Dhaenens, Claire-Marie. „"Etude de l'effet trans-dominant de la mutation du gène de la dystrophie myotonique (type 1) sur l'épissage des gènes MBNL1 et Tau"“. Lille 2, 2006. http://www.theses.fr/2006LIL2S029.

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La dystrophie myotonique de Steinert (DM1) est une maladie génétique de transmission autosomique dominante (19q13). La mutation consiste en l'expansion anormale d'une séquence (CTG)n située dans la région 3' non traduite du gène DMPK, codant une protéine kinase. L'expression clinique de la DM1 est multisystémique. La myotonie, signe clinique majeur, est associée à des troubles cardiaques et endocriniens, une cataracte ainsi qu'à des troubles neurologiques. Il a été décrit des lésions neurofibrillaires résultant de l'agrégation des protéines Tau dans le cerveau des patients DM1. Ces lésions sont associées à une modification de l'épissage des transcrits du gène Tau. La physiopathologie de la DM1 repose sur l'hypothèse d'un gain de fonction toxique des ARNm du gène DMPK. Ceux-ci s'accumulent dans le noyau sous forme d'inclusions protéoribonucléaires ou " foci ". Un facteur d'épissage de la famille Muscleblind, MBNL1, se trouve séquestré dans ces foci. L'effet trans-dominant des axpansions CUG se manifeste par une altération de l'épissage alternatif de plusieurs transcrits tels la troponine T cardiaque (cTNT), le récepteur de l'insuline (IR), ou encore un canal chlore (ClC-1). La relation entre le défaut d'épissage des transcrits de Tau, la mort neurolnale et l'hypothèse physiopathologique de la DM1 restait à établir. Afin d'envisager cette possible relation, l'un de nos objectifs a été d'analyser l'effet trans-dominant des expansions (CUG)n et la perte de fonction de MBNL1 sur l'épissage de Tau. Nous avons montré que la dérégulation de l'épissage de Tau était directement liée à un effet trans-dominant des expansions (CUG)n. De plus, l'invalidation de l'expression cellulaire de MBNL1 reproduit le défaut d'épissage de Tau observé dans la DM1. L'analyse des transcrits MBNL1 dans le cerveau des patients a montré une réexpression du transcrit foetal de MBNL1 au détriment des transcrits adultes. Nous avons par ailleurs réalisé une étude de la relation structure-fonction des isoformes de MBNL1. Les capacités de liaison et de régulation de l'épissage des différentes isoformes sont identiques, mais certaines semblent contrôler de façon spécifique l'épissage de MBNL1. En conclusion, notre travail a mis en évidence le rôle de l'effet trans-dominant de la mutation du gène DMPK dans la dérégulation de l'épissage de deux nouveaux gènes cibles Tau et MBNL1.
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Laurent, François-Xavier. „Une nouvelle fonction pour la DEAD-box ARN hélicase p68/DDX5 dans la Dystrophie Myotonique de type 1“. Phd thesis, Université Paris Sud - Paris XI, 2011. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00662593.

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La Dystrophie Myotonique de type 1 (DM1) est cause par l'expansion anormale d'un triplet CTG dans la partie 3'UTR du gène DMPK, entrainant l'agrégation du transcrit mutant dans des inclusions ribonucléoprotéiques appelées foci. D'après plusieurs études structurales sur des courtes répétitions CUG, il a été proposé que les expansions CUG se replient en une structure en tige-boucle qui interfère avec l'activité de plusieurs facteurs lié au métabolisme de l'ARN et altère leur fonction cellulaire. Le facteur d'épissage muscleblind-like 1 (MBNL1) a été identifié par sa capacité à interagir avec les répétitions CUG. In vivo, ces répétitions entrainent la séquestration de cette protéine aboutissant en une déplétion nucléaire. Un autre facteur d'épissage, la CUG Binding protein (CUGBP1), est également impliqué dans la pathologie. Au lieu d'être séquestré par les répétitions, la stabilité protéique de CUGBP1 est augmentée dans les tissus DM1 entrainant un gain d'activité pour ce facteur. La séquestration de MBNL1 et la stabilisation de CUGBP1 résultent en la dérégulation de l'épissage alternatif de plusieurs transcrits musculaires et du cerveau et la réexpression d'isoformes protéiques fœtales dans les tissus adultes. Cependant, de récentes études suggèrent que d'autres facteurs ou voies de signalisation que celles faisant intervenir MBNL1 et CUGBP1 pourraient être impliquées dans la pathologie DM1.Le but de mon travail de thèse a été d'identifier de nouveaux facteurs ayant la capacité d'interagir avec les répétitions CUG. A l'aide d'une purification sur chromatographie d'affinité utilisant un ARN contenant 95 répétitions CUG comme appât, nous avons identifié l'ARN hélicase p68/DDX5. p68 fait partie de la famille des protéines DEAD-box, caractérisée par un core protéique conservé constitué de neufs domaines hautement conservés, dont le motif DEAD, à l'origine du nom de ces protéines. p68 est impliquée dans de nombreux aspects du métabolisme de l'ARN, dont la transcription, l'épissage, l'export, la traduction et la dégradation des ARN. Nous avons montré, que p68 colocalise avec les foci CUG dans un modèle cellulaire exprimant la partie 3'UTR du gène DMPK contenant de longues répétitions CTG. Nous avons identifié que p68 augmente l'interaction de MBNL1 sur les répétitions CUG et une structure secondaire particulière d'un élément régulateur de l'ARN pré-messager cardiac Troponin T (TNNT2), dont l'épissage est dérégulé dans la pathologie. L'insertion de mutations dans le core de l'hélicase de p68 abolit l'effet de p68 sur la fixation de MBNL1 ainsi que la colocalisation de p68 avec les expansions CUG in vivo, suggérant que le remodelage des structures secondaires ARN de manière ATP-dépendante par p68 facilite l'interaction de MBNL1. Nous trouvons également que la compétence de p68 pour réguler l'inclusion de l'exon alternatif 5 de TNNT2 dépend de l'intégrité des sites de fixation de MBNL1.Nous proposons que p68 agit comme un modificateur de l'activité de MBNL1 sur ces cibles d'épissage ainsi que sur les expansions CUG à l'origine de la pathologie.
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Picchio, Lucie. „Mise en place, caractérisation phénotypique et transcriptomique d'un modèle de Drosophilie de la Dystrophie Myotonique de type 1“. Thesis, Clermont-Ferrand 1, 2013. http://www.theses.fr/2013CLF1MM15/document.

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La dystrophie myotonique de type 1 (DM1) ou maladie de Steinert est la maladie génétique neuromusculaire la plus commune avec une incidence de 1/8000 à travers le monde. Cette maladie multisystémique touche particulièrement les muscles squelettiques (myotonie, faiblesse et perte musculaires) et le coeur qui présente des symptômes variés comme des troubles de la conduction et des arythmies. La DM1 est causée par une expansion instable de répétitions CTG dans la région 3’ non traduite du gène DMPK. Les individus sains possèdent entre 5 et 37 répétitions CTG tandis que les patients DM1 portent entre 50 et plusieurs milliers de répétitions. Il est bien établi que les expansions de répétitions non codantes forment des foci dans les noyaux musculaires où elles séquestrent le facteur d'épissage MBNL1. Toutefois, l'implication de la stabilisation et l'accumulation de CUGBP1 hyperphosphorylé par la PKC dans la maladie est un sujet controversé dans la communauté DM1. Dernièrement, en plus de la rupture de l'équilibre entre MBNL1/CUGBP1, plusieurs mécanismes ont été mis en cause dans la pathogenèse de la DM1. Parmi eux, l'expression perturbée de facteurs de transcription, la maturation altérée de miARNs, l'activation de kinases... chacune de ces altérations menant au final à une perturbation du transcriptome. Afin d'étudier l'effet de la toxicité des répétitions sur les phénotypes et lestranscriptomes, nous avons généré trois lignées de Drosophile inductibles et site-spécifiques exprimant 240, 600 et 960 répétitions de triplets. Nous avons travaillé en parallèle sur une lignée atténuée pour mbl (orthologue de MBNL1) et deux lignées gain de fonction bru -3 (orthologue de CUGBP1). Exprimées dans les muscles somatiques, les répétitions CTG conduisent à une mobilité réduite, le fractionnement des fibres musculaires, une réduction de leur taille et une altération du processus de fusion des myoblastes de manière dépendante de Mbl et Bru-3. En outre, l'expression des répétitions cause une hypercontraction musculaire dépendante de Mbl et due à un mauvais épissage de dSERCA. L'analyse transcriptionnelle comparative réalisée sur les muscles larvaires des différentes conditions pathologiques montre que l'atténuation de mbl reproduit 70-82% des dérégulations transcriptomiques des larves DM1 alors que le gain de fonction bru-3 représente 32-53% des altérations transcriptomiques des lignées DM1. Ainsi Mbl est un facteur clé des dérégulations observées dans les muscles somatiques des lignées DM1. Au contraire, les analyses physiologiques effectuées sur les coeurs adultes suggèrent que Bru-3 est un facteur clé dans la mise en place des phénotypes cardiaques. En effet, d'une part, l'atténuation de mbl dans le coeur cause une cardiomyopathie dilatée, un symptôme rarement diagnostiqué chez les patients. D'autre part, les lignées gain de fonction bru-3 et DM1 présentent de la fibrillation qui évolue avec l'âge ou la taille des répétitions vers un phénotype qui rappelle l'insuffisance cardiaque chez les patients
Myotonic Dystrophy Type 1 (DM1) or Steinert's disease is the most common genetic neuromuscular disorder affecting 1 out of 8000 people worldwide. This multisystemic disease affects particularly the skeletal muscles (myotonia, muscle weakness and wasting) and the heart, which can exhibit various symptoms like conduction disturbances and arrhythmia (auricular fibrillation and flutter). DM1 is caused by an unstable CTG repeat expansion in the 3' non-translated region of the DMPK gene. In healthy individuals, the number of CTG repeats ranges from 5 to 37 whereas DM1 patients carry from 50 to thousands repeats. It is well established that when expanded non-coding repeats aggregate into foci within muscle nuclei and sequester the MBNL1 splicing factor. However, the involvement of the stabilization and accumulation of CUGBP1 following PKC hyper-phosphorylation in the disease is a controversial matter in the DM1 community. Lately, in addition to the disruption of the balance between MBNL1/CUGBP1, several mechanisms were identified as part of the DM1 pathogenesis. Among them, transcription factors perturbations, altered maturation of miRNA, kinases activation… each of them leading eventually to transcriptomic alterations. In order to investigate the effect of toxic repeat expression on phenotypic and transcriptomic alterations, we generated three inducible site-specific Drosophila lines expressing 240, 600 and 960 triplet repeats. We worked in parallel on a mbl (MBNL1 orthologue) knocked-down line and two bru-3 (CUGBP1 orthologue) gain of function lines. When expressed in somatic muscles, CTG repeats lead to altered motility, fiber splitting, reduced fiber size and affected myoblast fusion process in a Mbl and Bru-3 dependent manner. In addition, toxic repeats cause fiber hyper-contraction in a Mbldependentmanner due to dSERCA mis-splicing. Comparative transcriptional profiling performed on larval muscles of different conditions show that mbl attenuation reproduces 70-82% of DM1 transcriptomic deregulations whereas bru-3 gain of function represents 32-53% of transcritomic alterations. Thus Mbl appears as a key factor of transcripts deregulations observed in DM1 muscles. On the contrary, physiologic analyses performed on adult hearts suggest that Bru-3 is a key factor for cardiac phenotypes. Indeed, on one hand, mbl attenuated flies display dilated cardiomyopathy, a symptom barely diagnosed in patients. On the other hand, bru-3 gain of function line and DM1 lines display fibrillation, which evolves withage or repeat size into a phenotype reminiscent of heart insufficiency in patients
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Carpentier, Céline. „Etude de l'épissage alternatif de l'exon 2 de Tau dans un modèle de tauopathie : la dystrophie myotonique de type 1“. Thesis, Lille 2, 2013. http://www.theses.fr/2013LIL2S031.

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Une altération de l’épissage alternatif est impliquée dans certaines pathologies telles que la Dystrophie Myotonique de type 1 (DM1). La DM1 est une maladie génétique multisystémique appartenant à la famille des maladies à expansion de triplets. En effet, bien que non traduites, les expansions CUG localisées en 3’ des transcrits DMPK répriment l’exportation nucléaire de ces transcrits. Ce phénomène entraine notamment une dérégulation de l’activité de plusieurs facteurs régulateurs d’épissage parmi lesquels les familles CELF (CUGBP and ETR-3 like factor) et MBNL (MuscleBlind like). Cette dérégulation aboutit à un défaut d’épissage alternatif de nombreux transcrits, en particulier dans les muscles squelettiques, le cœur et le cerveau. On compte parmi ces transcrits dérégulés celui du gène MAPT codant pour les protéines Tau. Six isoformes de Tau, issues de l’épissage alternatif des exons 2, 3 et 10, sont principalement exprimées dans le cerveau adulte humain. Dans le cerveau DM1, ces exons sont préférentiellement exclus.La régulation et la dérégulation de l’épissage alternatif de l’exon 2 de Tau dans la DM1 peuvent être étudiées via l’utilisation de minigènes. Ces minigènes sont constitués de séquences Tau plus ou moins délétées insérées dans un vecteur plasmidique. Nous avons démontré que la nature de ce vecteur a une influence sur l’épissage. La construction de différents minigènes a donc permis de sélectionner celui le plus adapté à la recherche des séquences cis régulatrices de Tau. L’étude de ces minigènes démontre l’existence d’éléments cis répresseurs éloignés de l’exon, entre les nucléotides +500 et +2100 en aval de l’exon 2. Par contre, les éléments ciblés par les répétitions CTG dans la DM1 sont proximaux à l’exon 2, dans les 250 pb de part et d’autre de l’exon. Dans ces expansions CTG peuvent être séquestrés certains facteurs d’épissage tels que ceux de la famille MBNL. Dans notre modèle cellulaire, l’extinction de l’expression de MBNL1 ou l’utilisation de minigènes mutants MBNL démontrent que ces facteurs sont impliqués dans la régulation et la dérégulation de l’épissage de l’exon 2 de Tau. De plus, la surexpression de MBNL2 restaure un épissage normal de l’exon 2 en présence de la mutation DM1. Cette restauration est augmentée lorsque MBNL1 est également surexprimé suggérant un effet synergique de ces deux facteurs. Par la suite, nous avons étudié l’intervention d’autres familles de facteurs ubiquitaires ou impliqués dans les pathologies à expansion de triplets. Les facteurs conduisant à la dérégulation de l’exon 10 dans la DM1 n’étant que très peu connus, l’épissage du transcrit de Tau endogène a été analysé afin d’étudier à la fois les exons 2 et 10. Ainsi, de nouveaux facteurs impliqués dans la régulation de l’exon 2 (CELF2, 4 et 6, PTB1 et 2, Sam68, MBNL2) et de l’exon 10 (Sam68, MBNL2, Fox 1 et 2) ont été identifiés. Pour la première fois, l’implication des facteurs CELF5, SC35, SRp20, SRp75, 9G8 pour l’exon 2 et CELF3, hnRNPA1 et Fox1 pour l’exon 10 dans la restauration d’un épissage normal en présence de la mutation DM1 a été identifiée. En conclusion, les exons 2 et 10 de Tau, bien que tous deux dérégulés dans la DM1, sont régulés et dérégulés de façon différente
Myotonic Dystrophy Type 1 (DM1) belongs to the group of pathologies referred as misregulated alternative splicing or spliceopathies. DM1 is a multisystemic inherited disease characterized by an unstable CTG-repeat expansion in the 3’ UTR of the DMPK gene. These CUG expansions are not translated, but they inhibit nuclear exportation of DMPK transcripts modifying in this way, the pool of available splicing regulating factors like CELF (CUGBP and ETR-3 like factor) and MBNL (Muscleblind Like) families. This deregulation leads to a default of alternative splicing of numerous transcripts, particularly in skeletal muscle, heart and brain. Beyond them, we focus on RNA from the microtubule-associated protein Tau (MAPT). In human brain, six Tau RNA variants have been described from alternative splicing of exons 2, 3 and 10. In DM1 brains, it has been reported a repression of the inclusion of these exons. The functionality of alternative splicing of Tau exon 2 in DM1 can be studied by the use of minigenes. These minigenes are constituted of Tau sequences more or less deleted, inserted in a plasmidic vector. We demonstrated that the nature of the vector has an influence on splicing. The construction of different minigenes permit to choose the one more adaptated to the research of cis-elements involved in both normal and pathological splicing of Tau RNAs. So, cis elements implicated in regulation of Tau exon 2 are distant of the exon (between nucleotides +500 and +2100 upstream exon 2). On the over hand, cis elements targeted by CUG repetitions in DM1 are close to exon 2 (in 25O nucleotides around exon 2). In this CUG expansions, some splicing factors like MBNL family members can be sequestered. In our cellular model, extinction of expression of MBNL1 and the use of minigenes mutants for MBNL sites show that these factors are implicated in both regulation and deregulation of Tau exon 2 alternative splicing. Moreover, over-expression of MBNL2 can restore a normal Tau exon 2 splicing in presence of DM1 mutation. This restoration is increased when MBNL1 is also over-expressed, suggesting a synergic effect between MBNL1 and MBNL2. Secondly, we studied the involvement of other families of splicing factors such as ubiquitary factors (SR, hnRNP) or factors implicated in others pathologies with triplets expansions (p68, Sam68, Fox). Exon 10 deregulation was very studied in FTDP-17 (Frontotemporal dementia and parkinsonism linked to chromosome 17) but not in DM1. So, Tau endogene has been analysed to study both exon 2 and 10. So, new factors implicated in regulation of exon 2 (CELF2, 4, 6, PTB1 and 2, Sam68, MBNL2) and 10 (Sam68, MBNL2, Fox 1 and 2) were identified. For the first time, the implication of the factors CELF5, SC35, SRp20, SRp75, 9G8 for exon 2 and CELF3, hnRNPA1, Fox1 for exon 10 in the restoration of a normal Tau splicing in presence of DM1 mutation have been identified. In conclusion, our data show that Tau exon 2 and 10, both alterated in DM1 pathology, are regulated and deregulated by different mechanisms
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Algalarrondo, Vincent. „Troubles de l'excitabilité cardiaque dans la dystrophie myotonique de type 1 et l'insuffisance cardiaque : étude de deux modèles murins“. Paris 7, 2014. http://www.theses.fr/2014PA077040.

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Le tissu cardiaque est actif électriquement et propage l'influx électrique par une série de processus physiologiques complexes. Le travail présenté ici étudie la capacité des myocytes à générer et à propager un tel influx sur deux modèles de rongeurs : un modèle murin de dystrophie myotonique de type 1 (DM1) et un modèle de rat présentant une insuffisance cardiaque et un remodelage atrial. La DM1 est une pathologie associée à des troubles de la conduction cardiaque et des arythmies. La DM1 est due à l'expansion toxique d'une séquence de triplets CTG. Le mécanisme des troubles conductifs est actuellement inconnu. Nous avons établi un parallèle entre la DM1 et les différentes pathologies issues d'une mutation du canal sodique cardiaque Nav1. 5 (syndrome de Brugada) chez les patients DM1. Ces similitudes plaidaient pour une anomalie du courant sodique IN,. Dans le modèle murin DMSXL, il existait effectivement une sensibilité anormale aux bloqueurs de 'Na et une cinétique accélérée de l'inactivation d'INa. Ces résultats plaident pour une altération d'IN, dans la genèse des troubles conductifs dans la DM1. La fibrillation atriale (FA) est l'arythmie la plus fréquente chez l'homme et est fortement associé à l'insuffisance cardiaque (IC). Dans un modèle d'IC, nous avons caractérisé le remodelage atrial et avons mis en évidence une perte d'excitabilité atriale associé. Celle ci était associée à des altérations atriales à l'étage cellulaire et tissulaire. L'intégration de ces altérations dans un outil de modélisation a confirmé l'existence d'une balance entre remodelage cellulaire et tissulaire au cours du remodelage atrial
Cardiac tissue is electrically active and propagates electrical impulses through a series of complex physiological processes. Here, we examined the ability of myocytes to generate and propagate cardiac influx in two rodent models: a mouse model of myotonic dystrophy type 1 (DM1 ) and a rat model of heart failure and atrial remodeling. DM1 is a disease associated with conduction disorders and cardiac arrhythmias. DM1 is due to the toxic expansion of a CTG sequence. The mechanism of conduction disorders is currently unknown. We established a parallel between DM1 and various pathologies resulting from a mutation of the cardiac sodium channel Nav1. 5 (Brugada syndrome) in DM1 patients. These similarities suggested for an abnormal cardiac sodium current IN,. In the murine model DMSXL of DM1, there was indeed an increased sensitivity to 'Na blockers and 'Na inactivation was accelerated. These results suggested that 'Na is involved in the genesis of conduction disorders in DM1. Atrial fibrillation (AF) is the most common arrhythmia in humans and is strongly associated with heart failure (HF). In an HF model, we characterized the atrial remodeling and demonstrated that atrial excitability was decreased. Atrial remodeling was also associated with atrial alterations at the cellular and tissue level. The integration of these alterations in a computer model confirmed the imbalance between cellular and tissue remodeling during atrial remodeling
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Pontual, Laure de. „Identification de nouveaux facteurs chimiques capables de moduler l'instabilité des répétitions CTG dans la dystrophie myotonique de type 1“. Electronic Thesis or Diss., Sorbonne université, 2024. https://accesdistant.sorbonne-universite.fr/login?url=https://theses-intra.sorbonne-universite.fr/2024SORUS198.pdf.

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La dystrophie myotonique de type 1 (DM1) est la dystrophie la plus fréquente chez l'adulte avec une prévalence estimée à 1 : 8000 individus. C'est une maladie multi-systémique caractérisée par des atteintes musculaires, cardiaques, cognitives et digestives responsables d'une réduction de l'espérance et de la qualité de vie des patients. Elle est causée par une expansion anormale de répétitions CTG en 3'UTR du gène DMPK. Dans la population générale, le nombre de répétitions est inférieur à 35 CTG tandis qu'il dépasse 50 CTG et peut atteindre jusqu'à plusieurs milliers de répétitions chez les patients. Comme dans d'autres maladies causées par une expansions de triplets répétés, l'expansion CTG est instable chez les patients DM1. La taille des répétitions CTG augmente entre les générations (instabilité intergénérationnelle) et au sein des tissus au cours de la vie des patients (instabilité somatique). Or, le nombre de répétitions héritées ainsi que le niveau d'instabilité somatique corrèlent avec l'âge d'apparition des symptômes ainsi qu'avec leur sévérité. S'attaquer à la mutation elle-même pour stabiliser ou réduire le nombre de répétitions CTG est la voie thérapeutique la plus prometteuse puisque cela permettrait d'agir sur l'ensemble des mécanismes physiopathologiques qui découlent de la présence de la mutation.Dans un premier temps, mes travaux de thèse ont porté sur l'identification de molécules chimiques de repositionnement capables de moduler l'instabilité des répétitions. Le criblage des 1280 molécules de la chimiothèque Prestwick m'a permis d'identifier 39 molécules candidates qui modifient l'expression d'un gène rapporteur suggérant qu'elles pourraient moduler l'instabilité des répétitions. Après étude directe de leur effet sur l'instabilité, j'ai pu exclure quatre de ces molécules qui ne modulent pas l'expression des répétitions. J'ai montré qu'une cinquième molécule, la clomipramine, était capable de moduler l'instabilité des répétitions dans le modèle cellulaire de criblage mais pas dans des modèles cellulaires DM1 murins et humains.Parallèlement, j'ai démontré que RGFP966, un inhibiteur sélectif d'HDAC3, induisait des contractions des répétitions CTG dans des fibroblastes murins DM1 avec environ 650 répétitions CTG. Cet effet semble dépendre de la dose de RGFP966 ou de la taille de la répétition CTG car il n'a pas été reproduit dans des fibroblastes humains DM1 avec 350 CTG. Une approche RNA-seq dans les cellules murines traitées avec RGFP966 a permis d'identifier plusieurs gènes candidats impliqués dans la réplication de l'ADN, comme modificateurs possibles de l'instabilité. J'ai également montré une diminution de la transcription bidirectionnelle de DMPK associée à une probable hyperméthylation en aval des répétitions dans les cellules murines DM1. En conclusion, mes données suggèrent que RGFP966 module l'instabilité des répétitions CTG dans la DM1 par de multiples mécanismes, incluant potentiellement une modification de la structure chromatinienne au locus DM1 et des altérations de la réplication de l'ADN.L'ensemble de mon projet de thèse a permis de progresser dans la compréhension des mécanismes de l'instabilité et dans l'identification de molécules chimiques modulant la dynamique de l'instabilité. Mes travaux de thèse ont également permis de relever les limites de chacun des modèles utilisés et la complexité d'identifier de petites molécules modifiant la dynamique des triplets CTG en utilisant des modèles cellulaires rapporteurs. Par ailleurs, j'ai participé au développement pour la DM1 du séquençage à longues lectures (avec et sans amplification), un nouvel outil rapide et très informatif pour analyser la mosaïque somatique
Myotonic dystrophy type 1 (DM1) is the most common dystrophy in adults, with an estimated prevalence of 1:8000 individuals. It is a multisystemic disease characterized by muscle, cardiac, cognitive, and digestive impairments, which contribute to a reduction in both life expectancy and quality of life for patients. DM1 is caused by an abnormal expansion of CTG repeats in the 3'UTR of the DMPK gene. In the general population, the number of repeats is under 35 CTG, whereas in patients, it exceeds 50 CTG and can reach several thousand repeats. As in other diseases caused by repeat expansions, the CTG expansion in DM1 is unstable. The repeat size increases across generations (intergenerational instability) and within tissues during a patient's lifetime (somatic instability). The number of inherited repeats and the level of somatic instability correlate with the age of onset and severity of symptoms. Thus, targeting the mutation itself to stabilize or reduce CTG repeat length is the most promising therapeutic strategy, as it would address all the pathophysiological mechanisms resulting from the mutation.Initially, my thesis work focused on identifying repositioned chemical molecules capable of modulating repeat instability. Screening the 1280 molecules from the Prestwick Chemical Library allowed me to identify 39 candidate molecules that alter the expression of a reporter gene, suggesting they could modulate repeat instability. After directly studying their effect on instability, I excluded four of these molecules that do not modulate repeat expression. I demonstrated that a fifth molecule, clomipramine, can modulate repeat instability in the screening cell model but not in murine and human DM1 fibroblasts.Concurrently, I showed that RGFP966, a selective HDAC3 inhibitor, induced contractions of CTG repeats in murine DM1 fibroblasts with approximately 650 repeats. This effect appears to depend on the dose of RGFP966 or the size of the CTG repeat, as it was not replicated in human DM1 fibroblasts with 350 CTG repeats. An RNA-seq approach in murine cells treated with RGFP966 identified several candidate genes involved in DNA replication as possible modifiers of instability. I also showed a decrease in bidirectional DMPK transcription associated with a probable hypermethylation downstream of the repeats in murine DM1 cells. In conclusion, my data suggest that RGFP966 modulates CTG repeat instability in DM1 through multiple mechanisms, potentially including chromatin structure modification at the DM1 locus and alterations in DNA replication.Overall, my thesis project contributed to the understanding of repeat instability mechanisms and the identification of chemical compounds that modulate instability dynamics. My work also highlighted the limitations of each model used and the complexity of identifying small molecules that alter CTG triplet dynamics in reporter cell models. Additionally, I participated in developing long-read sequencing (with and without amplification) for DM1, providing a rapid and highly informative new tool for the analysis of somatic mosaicism
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Laustriat, Delphine. „Les cellules souches pluripotentes en modélisation pathologique pour l'identification de nouvelles cibles thérapeutiques : application à la Dystrophie Myotonique de type 1“. Thesis, Evry-Val d'Essonne, 2010. http://www.theses.fr/2010EVRY0017.

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La Dystrophie Myotonique de type 1 (DM1) ou maladie de Steinert est une des atteintes neuromusculaires parmi les plus fréquentes chez l’adulte et pour laquelle il n’existe de solution thérapeutique autre que symptomatique à l’heure actuelle. La mutation, une expansion instable d’un triplet CTG dans la région 3’ transcrite non traduite du gène codant la DMPK, conduit notamment à la dérégulation de protéines de liaison à l’ARN, ce qui engendre différents défauts d’épissage alternatif qui sont associés aux atteintes multisystémiques observées dans la maladie. La disponibilité d’un diagnostic préimplantatoire a permis la dérivation de lignées de cellules souches embryonnaires humaines (CSEh) à partir d’embryons portant la mutation causale. Ces lignées, et désormais les cellules souches induites à la pluripotence issues de patients, constituent des sources prometteuses de modèles pour l’étude des maladies génétiques. Outre la possibilité d’étudier la pathologie dans un contexte naturel, ces cellules offrent l’accès à tous les phénotypes cellulaires sans limite quantitative. Ceci en fait un outil de choix pour les approches de criblage à grande échelle, et notamment celles de génomique fonctionnelle, qui visent à explorer de manière systématique l’implication de gènes dans une maladie. L’objectif de mes travaux de doctorat a été de démontrer l’intérêt de tels cribles en développant une approche par perte de fonction, via le mécanisme d’interférence par l’ARN (ARNi), pour identifier de nouvelles cibles thérapeutiques pour la DM1 en utilisant une lignée de CSEh exprimant la mutation causale. Après avoir identifié une population de progéniteurs mésenchymateux issus de cette lignée qui exprime deux biomarqueurs de la DM1 - les foci et le défaut d’épissage de l’INSR - et qui est adaptée à une approche de crible par transfection, mes travaux ont consisté à développer, miniaturiser puis automatiser les étapes de transfection et de détection des phénotypes pathologiques. Le crible de collections de siRNAs a permis d’identifier plusieurs gènes candidats, parmi lesquels ELAVL1 qui apparaît comme une nouvelle cible thérapeutique pour la DM1. En effet, l’extinction de son expression permet d’améliorer plusieurs défauts d’épissages et de normaliser l’anomalie de capture du glucose. Nous avons montré que l’enrichissement de sa fraction nucléaire par l’utilisation d’activateurs de l’AMPK, composés classiquement indiqués pour la prise en charge du diabète de type 2, permettait de reproduire cet effet restaurateur. Mes travaux ont ainsi montré l’intérêt d’associer, et particulièrement dans le cas des maladies rares, les approches de crible par ARNi aux cellules souches pluripotentes modèles de maladies pour l’identification de nouvelles cibles moléculaires afin d’accélérer le développement de thérapeutiques
Myotonic Dystrophy type 1 (DM1), or Steinert disease, is one of the most common neuromuscular disorders in adults for whom no therapeutic solution other than symptomatic is available at present. The mutation, which consists in an unstable CTG expansion located in the 3' transcribed but untranslated region of the DMPK gene, leads in particular to the deregulation of several RNA-binding proteins. This engenders various splicing defects that are associated to the multisystemic symptoms. The availability of a preimplantation genetic diagnosis enabled the derivation of human embryonic stem cell lines (hESC) from embryos carrying the causative mutation. These cell lines, and now the induced pluripotent stem cells established from patients, constitute promising models for genetic disease’s exploration. Besides the possibility to investigate the pathology in a natural context, these cells open the way to every cell phenotypes without any quantitative restriction and thus appear as a valuable tool for large scale screening, and particularly for functional genomics approaches that systematically explore the involvement of genes in a given phenotype. The aim of my work was to explore the potential of such an approach by developing a loss of function RNA interference screen in order to identify new therapeutic targets by using a hESC line expressing the DM1 mutation. To that purpose we first identified a disease relevant cell population, i.e. hESC derived-mesenchymal progenitors expressing two DM1 biomarkers – foci and INSR splicing defects, suitable for large scale siRNA transfection. Then we developed, miniaturized and automated the transfection’s and phenotype detection’s steps. Finally, once all the conditions determined, we conducted a screening of a siRNA library targeting RNA-binding proteins that led to the identification of several candidate genes, including ELAVL1 which appears as a new DM1 therapeutic target. Indeed, its knockdown resulted in the improvement of several pathological splicing defects and normalized the glucose uptake impairment. We also showed that the enrichment of its nuclear fraction through the use of AMPK activators, some of which being widely prescribed anti-diabetic drug, was able to mimic this corrective effect. My work thus underlies the interest of coupling RNAi screening to pathological pluripotent stem cells for the identification of new therapeutic targets with the view to accelerate drug discovery, and particularly in the case of rare diseases
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Vautrin, Audrey. „Etude des dérégulations de l'épissage alternatif du pré-ARN messager de la troponine T cardiaque humaine associées aux dystrophies myotoniques de types 1 et 2 et des caractéristiques du facteur d'épissage MBNL1 impliqué dans ces pathologies“. Thesis, Nancy 1, 2011. http://www.theses.fr/2011NAN10141/document.

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Les amplifications de répétitions de triplets CTG dans le gène DMPK humain sont à l'origine de la dystrophie myotonique de type 1 ou DM1. Les répétitions CUG présentes dans les ARNm DMPK séquestrent le facteur d'épissage MBNL1 au sein de foci nucléaires et dérégulent l'épissage des pré-ARNm cibles de MBNL1. Par ailleurs, 9 isoformes de MBNL1, produites par épissage alternative, coexistent dans les cellules. Dans un premier temps nous avons recherché quels exons constitutifs ou alternatifs étaient requis pour la reconnaissance des ARN, la régulation de l'épissage et la localisation cellulaire de MBNL1. Nous avons ensuite entrepris de rechercher par l'approche SELEX les séquences de haute affinité pour MBNL1. Nous avons ainsi identifié une séquence conservée de 12 nucléotides de long, contenant un seul motif de fixation pour MBNL1 et adoptant une structuration tige-boucle particulière. L'importance de cette structuration a été confirmée par l'existence de mutants compensatoires au sein des ARN sélectionnés. Finalement nous avons étudié les mécanismes de régulation de l'inclusion de l'exon 5 du pré-ARNm de la troponine T cardiaque humaine (hcTNT). Une approche in cellulo nous a permis d'identifier les séquences minimales requises pour la régulation de l'épissage en conditions normales et en présence des répétitions CUG. Au sein de ces séquences nous avons identifié 6 nouveaux sites MBNL1 dont nous avons montré l'importance fonctionnelle in cellulo et in vitro. Nous avons également mis en évidence l'implication d'autres séquences régulatrices dans la régulation de l'inclusion de l'exon 5 du pré-ARNm hcTNT et un rôle de la protéine hnRNP H dans ces régulations. L'ensemble de ces données apportent de nouveaux éléments d'information importants pour la compréhension de la DM1
Amplifications of CTG motifs in the human DMPK gene are responsible for Myotonic Dystrophy of type 1. The resulting CUG repeats in pre-mRNAs capture the MBNL1 splicing factor, leading to mis-regulation of MBNL1 pre-mRNA targets. Due to the recent discovery of MBNL1 and its numerous isoforms (9) resulting from alternative splicing, little is known on how MBNL1 regulates splicing and how a decreased level of available MBNL1 generates splicing miss-regulations. First, we defined which of the MBNL1 alternative and constitutive exons are required for: i) RNA binding, ii) splicing activity and, iii) MBNL1 sub-cellular localization. Second, for a more precise definition of the MBNL1 RNA binding properties, we performed SELEX experiments using a library of RNA stem-loop structures containing a 18-nt long randomized sequence. Its leads to the identification of 12-nt long sequence adopting a peculiar stem-loop structure, whose importance for MBNL1 binding was revealed by its preservation by compensatory base-pair mutations. Finally, based on the above data, we studied the mechanisms involved in regulation of hcTNT exon 5 splicing. By in cellulo assays, we defined the hcTNT pre-mRNA region required for both normal inclusion and for the trans-dominant effect of CUG repeats. Within this region, we identified six new potential MBNL1 sites and demonstrated their functional role by in vitro and in cellulo assays. We also identified several additional splicing regulatory elements involved in normal and CUG-deregulated exon 5 inclusion and already showed a role of hnRNP H in splicing regulation. Altogether, our data bring new information important for understanding the pathology
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Roussel, Marie-Pier. „Adaptations du muscle squelettique induites par l'entraînement physique en résistance, aigu et chronique, chez les patients atteints de dystrophie myotonique de type 1“. Thèse, Université Laval, 2017. http://constellation.uqac.ca/4446/1/Roussel_uqac_0862N_10399.pdf.

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La dystrophie myotonique de type 1 (DM1) est une maladie multisystémique dominante qui représente la myopathie la plus fréquente chez l’adulte. Le muscle squelettique est particulièrement affecté : il s’atrophie et perd 1 à 3 % de sa force maximale par année. Les interventions cliniques sont sécuritaires en DM1 et certaines études rapportent même des augmentations de force musculaire. Toutefois, les dosages optimaux et les mécanismes physiologiques expliquant ces gains demeurent inconnus. Afin d’élucider ces questions, ce mémoire se divise en deux volets. Le premier volet (objectif 1) présente une revue systématique de type scoping review, qui résume les connaissances portant sur l’effet des interventions cliniques sur le muscle squelettique chez les personnes affectées par la DM1 et qui identifie les manques d’évidences scientifiques à ce sujet. Le second volet (objectif 2) étudie l’effet de l’exercice excentrique aigu sur les voies de signalisation de synthèse et de dégradation protéique dans le muscle squelettique. Pour ce second volet, 10 hommes atteints de DM1 ont accepté de participer à une séance unique d’exercice excentrique et de subir une biopsie musculaire avant et après l’exercice. La revue systématique rapporte que des gains de force sont possibles chez des individus atteints de DM1, cependant les résultats rapportés sont très hétérogènes. De plus, il existe de grandes lacunes au sujet de la compréhension des mécanismes physiologiques sous-jacents. Les résultats obtenus dans la réalisation du second volet de ce mémoire démontrent également une grande hétérogénéité dans les réponses observées chez les patients atteints de DM1. Par contre, ceux-ci suggèrent que, malgré le défaut génétique, les mécanismes impliqués dans l’hypertrophie semblent similaires à ceux rapportés chez le sujet sain. L’ensemble de ces connaissances aidera à guider les professionnels de la santé dans la prescription d’exercice à cette population dans le but d’améliorer la qualité de vie des personnes atteintes.
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Denis, Jérôme Alexandre. „MODELISATION PATHOLOGIQUE DES MALADIES MONOGENIQUES PAR L'UTILISATION DES CELLULES SOUCHES EMBRYONNAIRES HUMAINES. PREUVE DE CONCEPT APPLIQUEE A LA DYSTROPHIE MYOTONIQUE DE TYPE 1“. Phd thesis, Université d'Evry-Val d'Essonne, 2010. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00545797.

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Parmi leurs applications prometteuses, les lignées de cellules souches embryonnaires humaines (hES) présentent un potentiel inestimable pour améliorer la compréhension des mécanismes moléculaires et cellulaires impliqués dans le développement de maladies monogéniques. Cette application de modélisation pathologique est devenue possible grâce à l'utilisation de lignées hES porteuses de la mutation causale d'une maladie monogénique, obtenues au cours d'un diagnostique pré-implantatoire. L'équipe dans laquelle j'ai effectué mes travaux de thèse a démontré que des lignées hES et leurs progénies, porteuses de la mutation causale de la dystrophie myotonique de type 1 (DM1), exprimaient des défauts moléculaires caractéristiques de la pathologie, permettant ainsi leur analyse de façon plus pertinente par rapport à des cultures primaires dérivées de biopsies de patients et validant l'utilisation de ce modèle cellulaire. Dans ce contexte, dans la première partie de mon travail de thèse, mon objectif a été de mettre au point des conditions de culture permettant la différenciation des cellules hES normales et mutantes vers le lignage neural afin d'obtenir des populations homogènes de progéniteurs neuraux et de cellules souches neurales, puis de les caractériser sur le plan phénotypique et fonctionnel. Par une étude transcriptomique, j'ai ensuite comparé le profil d'expression de ces progéniteurs neuraux à une autre population homogène de précurseurs mésenchymateux. J'ai ainsi identifié des gènes et des voies de signalisation spécifiques à chacune de ces populations. (Article 1). Dans la seconde partie de mes travaux, ma contribution au projet de modélisation pathologique de DM1 a été d'utiliser ces progéniteurs neuraux et les cellules souches neurales mutés pour explorer les mécanismes physiopathologiques responsables des symptômes neurologiques observés dans cette pathologie. J'ai ainsi identifié une anomalie dans une voie de signalisation cellulaire perturbée, la voie la voie mTORC1, basée sur l'observation selon laquelle les cellules NSC porteuses de la mutation DM1 proliféraient plus lentement que les cellules contrôles (Article II). J'ai également étudié l'expression la protéine Tau, connue pour son implication dans la maladie d'Alzheimer, et mis en évidence des modifications suggérant une altération du transport axonal dans les neurones issus des lignées hES mutantes. Ces résultats, associés à ceux réalisés dans l'équipe, permettent d'apporter la preuve de concept de l'intérêt d'un tel modèle cellulaire pour la modélisation pathologique des maladies monogéniques.
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Ghanem, Dana. „Mécanismes moléculaires de la régulation et de la dérégulation de l'épissage alternatif de Tau et cTNT dans la Dystrophie Myotonique de Type 1“. Phd thesis, Université du Droit et de la Santé - Lille II, 2009. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00430481.

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La Dystrophie Myotonique de type I (DM1) est une maladie génétique à transmission autosomique dominante. Elle est due à une expansion pathologique de triplets CTG au sein de la région 3'UTR du gène DMPK. Les individus atteints de DM1 souffrent d'une atteinte multi-systémique, qui se caractérise, sur le plan moléculaire, par une altération de l'épissage alternatif de plusieurs transcrits privilégiant l'expression d'isoformes foetales. L'hypothèse physiopathologique majeure de la DM1 repose sur un gain de fonction toxique des ARNm mutés conduisant à des altérations de facteurs régulateurs d'épissage des familles Mbnl et CELF. Dans le cerveau de patients atteints de DM1, un défaut d'épissage alternatif du transcrit de Tau conduit à la surexpression de l'isoforme foetale avec, notamment, une exclusion préférentielle des exons 2 et 3. Ce défaut s'accompagne d'une agrégation de la protéine, signe d'une dégénérescence neuronale. Ainsi, le premier objectif de ce travail a été de mieux connaître les mécanismes moléculaires responsables du phénotype d'épissage pathologique de Tau dans la DM1. Nous nous sommes également intéressés au transcrit de la Troponine T cardiaque (cTNT), transcrit exprimé dans le coeur et dont l'altération d'épissage avec la DM1 conduit à un profil d'épissage de type foetal. Concernant Tau, nos résultats montrent que le profil d'épissage foetal., et en particulier, l'exclusion des exons 2 et 3, est un phénotype qui peut être obtenu par différentes voies moléculaires impliquant différents éléments cis régulateurs. Dans la DM1, ce phénotype résulte d'un mécanisme bien spécifique. Pour l'exon 2, celui-ci semble impliquer un « silencer » intronique situé dans une région relativement loin en aval de l'exon. Cette même région semble également médier l'effet du facteur d'épissage ETR-3, facteur appartenant à la famille CELF et qui favorise l'exclusion des exons 2 et 3. Pour ce qui est de la régulation de l'exon 5 de cTNT, celle-ci met en cause plusieurs éléments cis régulateurs, tous localisés dans les 150 nucléotides introniques encadrant l'exon. Parmi ces éléments, on identifie un « silencer » et un « enhancer » en amont de l'exon et deux « enhancers » en aval. Nos résultats montrent qu'une région intronique en amont est indispensable à l'effet des expansions de CTG. De plus, dans cette région, nous avons identifié de nouveaux sites fonctionnels de fixation du facteur d'épissage Mbnl1 par rapport à ceux décrits dans la littérature. En conclusion, nos travaux mettent en évidence plusieurs éléments cis régulateurs d'épissage alternatif de Tau et cTNT. Pour ces transcrits, les régions introniques en jeu dans l'effet des expansions de triplets CTG le sont également dans l'effet des facteurs Mbnl ou CELF. Ces résultats confortent l'hypothèse physiopathologique des mécanismes de dérégulation de l'épissage alternatif dans la DM1. Ils montrent également la spécificité des mécanismes mis en jeu dans la pathologie, fournissant ainsi des cibles thérapeutiques
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Gauthier, Morgane. „Etude des mécanismes moléculaires de la Dystrophie Myotonique de Type 1 à l'aide de cellules souches embryonnaires humaines porteuses de la mutation causale“. Thesis, Evry-Val d'Essonne, 2012. http://www.theses.fr/2012EVRY0009/document.

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Les cellules souches embryonnaires humaines (hESC) représentent un nouvel outilbiologique au potentiel prometteur pour l’amélioration de la compréhension des mécanismes moléculaires et cellulaires impliqués dans le développement de maladies monogéniques. Cette application est dans un premier temps devenue possible grâce à l’utilisation de lignées de cellules souches embryonnaires humaines porteuses de mutation causale de pathologie, obtenues au cours d’un diagnostique pré-implantatoire. Mon travail de thèse s’est inscrit dans la validation de ce nouveau concept en utilisant des lignées de cellules souches embryonnaires humaines porteuses de la mutation causale de la Dystrophie Myotonique de type 1 (DM1). Ces cellules, ainsi que leurs progenies neurales et mésenchymateuses représentent un modèle pertinent pour l’étude des conséquences physiopathologiques de la mutation DM1 dans la mesure où elles reproduisent certaines caractéristiques moléculaires connues de la pathologie. Mon projet a eu pour objectif de caractériser d’un point de vue moléculaire et physiopathologique deux nouvelles altérations géniques identifiées par transcriptome différentiel entre les cellules contrôles et DM1. Ainsi, ce travail nous a permis d’identifier un nouveau marqueur, le facteur de transcription ZNF37A, dont l’expression est diminuée en association avec la mutation DM1 et qui serait impliqué dans les défauts myogéniques caractérisant cette pathologie. Parallèlement nous avons identifié un nouveau défaut d’épissage alternatif d’un gène impliqué dans la guidance axonale, l’EphA5 qui pourrait être impliqué dans les défauts cognitifs des patients DM1
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Ghanem, Le Dizès Dana. „Mécanismes moléculaires de la régulation et de la dérégulation de l'épissage alternatif de tau et cTNT dans la dystrophie myotonique de type 1“. Lille 2, 2009. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00430481/fr/.

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La Dystrophie Myotonique de type I (DM1) est une maladie génétique à transmission autosomique dominante. Elle est due à une expansion pathologique de triplets CTG au sein de la région 3'UTR du gène DMPK. Les individus atteints de DM1 souffrent d'une atteinte multi-systémique, qui se caractérise, sur le plan moléculaire, par une altération de l'épissage alternatif de plusieurs transcrits privilégiant l'expression d'isoformes foetales. L'hypothèse physiopathologique majeure de la DM1 repose sur un gain de fonction toxique des ARNm mutés conduisant à des altérations de facteurs régulateurs d'épissage des familles Mbnl et CELF. Dans le cerveau de patients atteints de DM1, un défaut d'épissage alternatif du transcrit de Tau conduit à la surexpression de l'isoforme foetale avec, notamment, une exclusion préférentielle des exons 2 et 3. Ce défaut s'accompagne d'une agrégation de la protéine, signe d'une dégénérescence neuronale. Ainsi, le premier objectif de ce travail a été de mieux connaître les mécanismes moléculaires responsables du phénotype d'épissage pathologique de Tau dans la DM1. Nous nous sommes également intéressés au transcrit de la Troponine T cardiaque (cTNT), transcrit exprimé dans le coeur et dont l'altération d'épissage avec la DM1 conduit à un profil d'épissage de type foetal. Concernant Tau, nos résultats montrent que le profil d'épissage foetal. , et en particulier, l'exclusion des exons 2 et 3, est un phénotype qui peut être obtenu par différentes voies moléculaires impliquant différents éléments cis régulateurs. Dans la DM1, ce phénotype résulte d'un mécanisme bien spécifique. Pour l'exon 2, celui-ci semble impliquer un « silencer » intronique situé dans une région relativement loin en aval de l'exon. Cette même région semble également médier l'effet du facteur d'épissage ETR-3, facteur appartenant à la famille CELF et qui favorise l'exclusion des exons 2 et 3. Pour ce qui est de la régulation de l'exon 5 de cTNT, celle-ci met en cause plusieurs éléments cis régulateurs, tous localisés dans les 150 nucléotides introniques encadrant l'exon. Parmi ces éléments, on identifie un « silencer » et un « enhancer » en amont de l'exon et deux « enhancers » en aval. Nos résultats montrent qu'une région intronique en amont est indispensable à l'effet des expansions de CTG. De plus, dans cette région, nous avons identifié de nouveaux sites fonctionnels de fixation du facteur d'épissage Mbnl1 par rapport à ceux décrits dans la littérature. En conclusion, nos travaux mettent en évidence plusieurs éléments cis régulateurs d'épissage alternatif de Tau et cTNT. Pour ces transcrits, les régions introniques en jeu dans l'effet des expansions de triplets CTG le sont également dans l'effet des facteurs Mbnl ou CELF. Ces résultats confortent l'hypothèse physiopathologique des mécanismes de dérégulation de l'épissage alternatif dans la DM1. Ils montrent également la spécificité des mécanismes mis en jeu dans la pathologie, fournissant ainsi des cibles thérapeutiques
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Denis, Jérôme. „Modélisation pathologique des maladies monogéniques par l'utilisation des cellules souches embryonnaires humaines : preuve de concept appliquée à la dystrophie myotonique de type 1“. Thesis, Evry-Val d'Essonne, 2010. http://www.theses.fr/2010EVRY0042/document.

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Parmi leurs applications prometteuses, les lignées de cellules souches embryonnaires humaines (hES) présentent un potentiel inestimable pour améliorer la compréhension des mécanismes moléculaires et cellulaires impliqués dans le développement de maladies monogéniques. Cette application de modélisation pathologique est devenue possible grâce à l’utilisation de lignées hES porteuses de la mutation causale d’une maladie monogénique, obtenues au cours d’un diagnostique pré-implantatoire. L’équipe dans laquelle j’ai effectué mes travaux de thèse a démontré que des lignées hES et leurs progénies, porteuses de la mutation causale de la dystrophie myotonique de type 1 (DM1), exprimaient des défauts moléculaires caractéristiques de la pathologie, permettant ainsi leur analyse de façon plus pertinente par rapport à des cultures primaires dérivées de biopsies de patients et validant l’utilisation de ce modèle cellulaire. Dans ce contexte, dans la première partie de mon travail de thèse, mon objectif a été de mettre au point des conditions de culture permettant la différenciation des cellules hES normales et mutantes vers le lignage neural afin d’obtenir des populations homogènes de progéniteurs neuraux et de cellules souches neurales, puis de les caractériser sur le plan phénotypique et fonctionnel. Par une étude transcriptomique, j’ai ensuite comparé le profil d’expression de ces progéniteurs neuraux à une autre population homogène de précurseurs mésenchymateux. J’ai ainsi identifié des gènes et des voies de signalisation spécifiques à chacune de ces populations. (Article 1). Dans la seconde partie de mes travaux, ma contribution au projet de modélisation pathologique de DM1 a été d’utiliser ces progéniteurs neuraux et les cellules souches neurales mutés pour explorer les mécanismes physiopathologiques responsables des symptômes neurologiques observés dans cette pathologie. J’ai ainsi identifié une anomalie dans une voie de signalisation cellulaire perturbée, la voie la voie mTORC1, basée sur l’observation selon laquelle les cellules NSC porteuses de la mutation DM1 proliféraient plus lentement que les cellules contrôles (Article II). J’ai également étudié l’expression la protéine Tau, connue pour son implication dans la maladie d’Alzheimer, et mis en évidence des modifications suggérant une altération du transport axonal dans les neurones issus des lignées hES mutantes. Ces résultats, associés à ceux réalisés dans l’équipe, permettent d’apporter la preuve de concept de l’intérêt d’un tel modèle cellulaire pour la modélisation pathologique des maladies monogéniques
Among their promising applications, human embryonic stem cells lines (hES) have huge potential to improve the understanding of molecular and cellular mechanisms involved in the development of monogenic diseases. This application of modeling pathologic became possible using hES cell lines carrying the causal mutation of a monogenic disease, obtained during pre-implantation diagnosis. The team where I did my thesis work demonstrated that hES cell lines and their progeny, carrying the causal mutation in myotonic dystrophy type 1 (DM1), expressing the molecular defects characteristic of the pathology, allowing more relevant analysis than primary cultures derived from biopsies of patients and validates the use of this cell model. In this context, in the first part of my thesis, my goal was to develop culture conditions for hES cell differentiation into normal and mutant neural lineage in order to obtain homogeneous populations of neural progenitors and neural stem cells and to characterize their phenotypic and fonctional preperties. Next, using a transcriptomic method, I compared the expression profile of neural progenitors to another homogeneous population of mesenchymal precursors. Thus, I identified genes and signaling pathways specific to each of these populations. (Article 1). In the second part of my work, my contribution to the pathological modeling of DM1 was to use these mutant neural progenitor cells and neural stem cells to explore the pathophysiological mechanisms involved in neurological symptoms observed in this pathology. Thus, I have identified a cell signaling pathway defects in mTORC1 pathway based on the observation that NSC cells carrying DM1 mutation proliferated more slowly than control cells (Article II).At last, I also studied the expression of Tau protein, a protein involved in Alzheimer’s disease and I have highlighted changes suggesting impairement of axonal transport in neurons derived from hES cell lines mutant. These results, together with those performed in the team, can provide proof of concept for the benefit of such a cell model for modeling disease monogenic diseases
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Maury, Yves. „Utilisation de cellules souches pluripotentes humaines pour le développement de criblages phénotypiques dans le cadre de la dystrophie myotonique de type 1 et l'amyotrophie spinale infantile“. Thesis, Evry-Val d'Essonne, 2013. http://www.theses.fr/2013EVRY0019/document.

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Les cellules souches pluripotentes (CSP) humaines sont devenues en quelques années des modèles de choix pour étudier les mécanismes cellulaires et moléculaires qui gouvernent l'apparition de maladies monogéniques, mais également pour le développement de criblages à haut débits afin d'identifier parmi plusieurs milliers de molécules chimiques celles qui ont un potentiel thérapeutique. C'est dans ce contexte de criblage que mes travaux de thèse s'inscrivent, alliant automatisation et miniaturisation de la biologie des CSP dans le cadre de deux maladies monogéniques, l'amyotrophie spinale infantile (SMA) et la dystrophie myotonique de type I (DM1). De manière générale, la mise en place d'une telle stratégie repose sur trois étapes essentielles qui sont l'obtention de CSP porteuses d'une mutation donnée, l'identification d'un modèle d'étude pertinent et la réalisation du criblage à proprement parlé. L'obtention de CSP humaines repose sur deux approches principales. La première consiste en la dérivation de cellules embryonnaires humaine (hES) issues de diagnostiques préimplantatoires et la seconde repose sur la reprogrammation de cellules somatiques par l'induction de pluripotence (iPS). Une partie de mon travail a consisté en la création de cellules iPS modèles de la SMA et leur caractérisation par une approche à haut débit. Par la suite un travail d'optimisation du protocole de génération de motoneurones à partir de CSP humaines a permis d'accélérer et augmenter les rendements de production de ces cellules qui sont principalement affectées dans la SMA. Enfin, l'utilisation de cellules hES porteuses de la mutation causale de la DM1 a permis le criblage de 12000 molécules et a conduit à l'identification d'une famille chimique capable de restaurer plusieurs défauts typiques de cette maladie tels que des défauts d'épissage et de fusion moléculaire
For only few years, Human pluripotent stem cells (PSC) have become wide spread models in order to study and decipher cellular or molecular mechanims involved in monogenic diseases, but also for the development of large scale screening strategies allowing the identification of new therapeutics among thousands of chemicals. Mythesis research aimed at the development of such strategies, miniaturizing and automating PSC biology within the framework of two monogenic diseases, namely spinal muscular atrophy (SMA) and myotonic dystrophy type 1 (DM1).Basically, PSC based screening programs are generally built around three main steps which are the access to a stem cell model, the identification of a relevant cell type and lastly the screening campaign. There is actually two main ways to generate human PSC. Firstly, human embryonic stem cells (hES) can be derived from the inner cell mass of blastocyte through a pre-implantation diagnosis and secondly, induced pluripotent stem cells (iPS) can be generated after somatic cell reprogramming in vitro. A part of my work has consisted in the generation of hiPS cellular models for SMA by reprogramming fibroplasts that carried SMN1 gene deletion, followed bay the characterization of several dozen of independant clones with high throughput. Then an optimization process of the protocol for the generation of Motoneuron from PSC has been done multiplying experimental conditions. This finally allowed the description of a fast and efficient protocol to generate the most affected cell type in SMA. Finally, DM1 mutated hES were uded for the screening of 12.000 compounds among which a chemical family has been identified to rescue DM1 typical splicing and myogenesis defects
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Allard-Chamard, Xavier. „Impact du génotype de l'ACTN3 sur la conservation et l'évolution de la force musculaire chez les individus atteints de dystrophie myotonique de type 1“. Master's thesis, Université Laval, 2018. http://hdl.handle.net/20.500.11794/33549.

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Protocole d'entente entre l'Université Laval et l'Université du Québec à Chicoutimi
Le but de cette investigation vise à analyser l’impact du génotype de l’ACTN3 sur la conservation et l’évolution de la force musculaire chez les individus atteints de DM1. Cette étude se veut une recherche longitudinale, les patients ayant été évalués sur deux périodes séparées de 9 ans (temps 1 et temps 2). L’analyse de l’impact du génotype de l’ACTN3 comporte deux volets. Le premier volet a pour objectif d’identifier si l’absence de protéine alpha-actinine 3 (génotype 577XX) provoque chez les personnes atteintes de DM1 un niveau de force musculaire global plus faible que chez l’individu des deux autres génotypes, en l’occurrence 577RX et 577RR. Le deuxième volet, quant à lui, a pour objet la comparaison de la perte de force musculaire entre le temps 1 et le temps 2 des trois génotypes. Les patients ont été recrutés dans le registre de la clinique neuromusculaire du Saguenay. Les personnes invitées à participer à cette étude devaient avoir été testées par une analyse génétique confirmant la présence de la maladie (phénotype adulte et tardif) et être âgées de 18 ans ou plus. Un total de 113 participants, soit 42 hommes et 71 femmes, a été en mesure de compléter cette étude longitudinale. Ces derniers ont été évalués à l’aide de 17 tests musculaires. Les résultats du temps 2 ont montré que l’absence de la protéine alpha-actinine 3 chez les hommes atteints de DM1 induisait un niveau de force musculaire global plus faible que chez ceux de génotype 577RX. En effet, le sexe masculin de génotype 577XX a vu sa force décroître plus rapidement au fil des années. Somme toute, si l’encadrement le permet, connaître le profil génotypique associé au gène ACTN3 chez les hommes atteints de DM1 est un élément important à prendre en considération afin de ralentir la progression de la maladie et d’optimiser les stratégies de réadaptation
The purpose of this investigation was to analyze the impact of the genotype of ACTN3 on the conservation and evolution of muscle strength in individuals with DM1. This study was a longitudinal study, the patients having been evaluated on two different occasions with 9 years in between (time 1 and time 2). The analysis of the impact of the ACTN3 genotype had two components. The first part aimed at identifying whether the absence of alpha-actinin 3 protein (genotype 577XX) caused a lower level of overall muscular strength in people with DM1 when compared to the other two genotypes, in this case 577RX and 577RR. The second part aimed at comparing the loss of muscle strength between time 1 and time 2 for the three genotypes. Patients were recruited from the Saguenay Neuromuscular Clinic Registry. Those invited to participate in this study had been previously tested by a genetic analysis confirming the presence of the disease (adult and late phenotype) and be 18 years of age or older. A total of 113 participants, 42 men and 71 women, were able to complete this longitudinal study. These were assessed using 17 muscle tests. At time 2, results showed that the absence of alpha-actinin 3 protein in men with DM1 induced a lower level of overall muscle strength than men with 577RX genotype. Indeed, the male genotype 577XX had a more rapid decrease in strength over the years. In light of these results, knowing the genotype profile associated with the ACTN3 gene in men with DM1 is an important element to consider in order to optimize rehabilitation strategies.
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Mery-Bories, Julie. „Utilisation des cellules souches pluripotentes humaines pour avancer dans la compréhension des atteintes neuromusculaires associées à la Dystrophie Myotonique de type 1 Building neuromuscular junctions invitro“. Thesis, université Paris-Saclay, 2021. https://www.biblio.univ-evry.fr/theses/2021/interne/2021UPASL012.pdf.

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La dystrophie myotonique de type 1 (DM1) est une maladie neuromusculaire rare, principalement caractérisée par une myotonie, une faiblesse et une atrophie musculaire. La DM1 est une maladie autosomique dominante causée par une expansion anormale de triplets CTG, corrélée à la gravité de la maladie, située dans la région 3' non codante du gène DMPK. Cette mutation engendre un gain de fonction toxique des ARNm mutants qui s'agrègent dans le noyau en séquestrant des protéines de liaisons à l'ARN comme la famille des protéines MBNL. Plusieurs études ont suggéré une implication des motoneurones et de la jonction neuromusculaire dans les défauts musculaires observés chez les patients DM1. Cependant, les mécanismes à l'origine de ces atteintes sont encore peu compris. Le but de ce projet était de mettre en lumière les conséquences directes et indirectes de la mutation DMPK et de la séquestration des protéines MBNL dans le compartiment pré-synaptique et de déterminer la contribution pathologique des motoneurones dans la physiopathologie de la DM1. Grâce à un récent développement publié par l'équipe permettant de différencier efficacement des motoneurones à partir de cellules souches humaines induites à la pluripotence (hiPSC), nos résultats démontrent que les motoneurones dérivés de hiPSC DM1 présentent un défaut d'arborisation neuritique, retrouvé lors de la déplétion des protéines MBNL dans ce même type cellulaire. Pour évaluer les conséquences fonctionnelles de ce défaut, nous avons développé un modèle humain de co-culture de motoneurones dérivés de hiPSC associés à des cellules musculaires primaires humaines sur un support micropatterné. Nos résultats démontrent que la mutation DM1, présente uniquement dans le compartiment pré-synaptique, mène à des défauts fonctionnels post-synaptiques. De façon intéressante, des résultats identiques sont obtenus après l'extinction des protéines MBNL dans le compartiment pré-synaptique. Par une approche transcriptomique, nous avons identifié un panel de gènes dérégulés impliqués dans la plasticité synaptique pouvant potentiellement affecter la fonctionnalité ou l'intégrité de la jonction neuromusculaire. Ces résultats soulèvent l'importance de nouvelles contributions dans la pathogénicité de la DM1
Myotonic Dystrophy type I (DM1) is a rare neuromuscular disease that is mainly characterized by myotonia, progressive muscle weakness and wasting. DM1 is an autosomal dominant disorder caused by an expanded CTG repeat in the 3' UTR of DMPK gene. This abnormal expansion leads to a toxic gain-of-function of the mutated mRNAs which aggregate within the nucleus in association with different RNA binding proteins such as the MBNL family proteins. Several studies suggest the involvement of motoneurons and the neuromuscular junction in the muscular defects observed in DM1 patients. However, the mechanisms by which this intercellular system might be affected in DM1 is still poorly understood. The aim of this project was to decipher the direct and indirect consequences of the DMPK mutation and the impact of MBNL sequestration in the pre-synaptic compartment and determine the pathological contribution of motorneurons in DM1 physiopathology. Thanks to the recent development by the team of a protocol allowing the efficient conversion of human pluripotent stem cells (hiPSCs), our results demonstrated that DM1 hiPSC-derived motoneurons exhibit a defective neuritic arborization that can be mimicked by the depletion of MBNL proteins. To further evaluate the functional consequences of these findings, we developed a humanized cellular model based on the coculture of hiPSC-derived motoneurons and micropatterned human primary skeletal muscle cells. Our results demonstrated that expression of DM1 mutation only in the pre-synaptic compartment led to functional defects at the post-synaptic level. Interestingly, similar results were obtained with the specific depletion of MBNL proteins in the pre-synaptic compartment.Thanks to a transcriptomic approach, we identified a panel of deregulated genes involved in synaptic plasticity which may affect function or stability of the neuromuscular junction. Altogether, these findings hold several new implications for DM pathogenesis
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Beaulieu, Daniel. „Inhibition de la différenciation myogénique par un facteur soluble sécrété par des myoblastes dérivés de muscules squelettiques de sujets atteints de la dystrophie myotonique de type 1“. Thesis, Université Laval, 2005. http://www.theses.ulaval.ca/2005/22662/22662.pdf.

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La dystrophie myotonique de type 1 (DM1), la maladie neuromusculaire la plus fréquente chez l’adulte, est causée par une expansion de CTG dans la partie 3’ non traduite du gène codant pour la protéine dystrophy myotonic protein kinase, DMPK. La forme adulte de la maladie est caractérisée, notamment, par une faiblesse musculaire, de la myotonie, des cataractes et des troubles cardiaques. La forme congénitale, la forme la plus sévère de la maladie, est caractérisée par de l’hypotonie, une détresse respiratoire aiguë et un retard psychomoteur important. La régénération des fibres musculaires est déficiente dans la forme adulte de DM1, tandis qu’un retard de maturation du système musculaire est observé dans la forme congénitale. A ce jour, les mécanismes moléculaires par lesquels l’expansion de CTG affecte le développement ou la régénération du système musculaire sont inconnus. Des travaux ont démontré que le sérum de mères ayant un enfant atteint de la forme congénitale de la DM1 contient un facteur soluble inhibant la différenciation terminale des myoblastes. Il est encore indéterminé si ce facteur est produit par la mère ou sécrété par le fœtus. Nous avons émis l’hypothèse qu’un facteur soluble était sécrété par les myoblastes prélevés de patients atteints de forme congénitale de la DM1 qui inhibe la différenciation terminale des précurseurs des cellules musculaires. Les résultats obtenus démontrent que les myoblastes DM1 sécrètent un facteur soluble de masse moléculaire inférieure à 30 kDa inhibant la différentiation myogénique. Cet effet est associé une diminution spécifique de la myogenin. L’effet de ce facteur soluble est proportionnel à la longueur de l’expansion des CTG. L’identification et la caractérisation du facteur soluble sécrété spécifiquement par les myoblastes DM1 permettra une meilleure compréhension des mécanismes moléculaires responsable des défauts de développement du système musculaire observés dans la forme congénitale, et des défauts de régénération des fibres musculaires observés dans la forme adulte de la DM1. L’identification de ce facteur soluble est présentement en cours.
Myotonic dystrophy (DM1), the most common form of inherited neuromuscular disease in adults, affects 1 in 8000 individuals worldwide. DM1 is an autosomal dominant muscular dystrophy with very variable symptom presentations. Adult onset DM1 is primarily characterized by myotonia, muscle wasting and weakness, but also affects a number of organs and tissues. One characteristic of the disease is the presence of a severe congenital form (CDM1), which differs from the adult form. CDM1 is characterized by a delay in the development of skeletal muscles. This form is associated with hypotonia, respiratory complications and mental retardation. DM1 is caused by the expansion of an unstable CTG trinucleotide repeat in the 3’untranslated region of the myotonic dystrophy protein kinase (DMPK) gene. To date, the mechanisms by which the DM1 mutation affects skeletal muscles development or regeneration are unknown. A previous study demonstrated that serum produced by mothers of children with congenital myotonic dystrophy inhibits myogenic differentiation. In this study, we hypothesized that CDM1 myoblasts secrete a soluble factor that blocks myogenic differentiation. We provide evidence that this soluble factor is produced by DM1 and CDM1 myoblasts which may be involved in their deficiency to fuse. The inhibitory effect is proportional to the length of the CTG repeat expansion. In addition, the delay in muscle differentiation is associated with a specific reduction in myogenin gene expression. We believe that the DM1 mutation triggers the expression of a soluble factor, which is able to block myogenic differentiation. The identification of this soluble factor is presently under investigation.
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Beaulieu, Daniel. „Inhibition de la différenciation myogénique par un facteur soluble sécrété par des myoblastes dérivés de muscules squelettiques de sujets atteints de la dystrophie myotonique de type 1“. Master's thesis, Université Laval, 2006. http://hdl.handle.net/20.500.11794/18661.

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La dystrophie myotonique de type 1 (DM1), la maladie neuromusculaire la plus fréquente chez l’adulte, est causée par une expansion de CTG dans la partie 3’ non traduite du gène codant pour la protéine dystrophy myotonic protein kinase, DMPK. La forme adulte de la maladie est caractérisée, notamment, par une faiblesse musculaire, de la myotonie, des cataractes et des troubles cardiaques. La forme congénitale, la forme la plus sévère de la maladie, est caractérisée par de l’hypotonie, une détresse respiratoire aiguë et un retard psychomoteur important. La régénération des fibres musculaires est déficiente dans la forme adulte de DM1, tandis qu’un retard de maturation du système musculaire est observé dans la forme congénitale. A ce jour, les mécanismes moléculaires par lesquels l’expansion de CTG affecte le développement ou la régénération du système musculaire sont inconnus. Des travaux ont démontré que le sérum de mères ayant un enfant atteint de la forme congénitale de la DM1 contient un facteur soluble inhibant la différenciation terminale des myoblastes. Il est encore indéterminé si ce facteur est produit par la mère ou sécrété par le fœtus. Nous avons émis l’hypothèse qu’un facteur soluble était sécrété par les myoblastes prélevés de patients atteints de forme congénitale de la DM1 qui inhibe la différenciation terminale des précurseurs des cellules musculaires. Les résultats obtenus démontrent que les myoblastes DM1 sécrètent un facteur soluble de masse moléculaire inférieure à 30 kDa inhibant la différentiation myogénique. Cet effet est associé une diminution spécifique de la myogenin. L’effet de ce facteur soluble est proportionnel à la longueur de l’expansion des CTG. L’identification et la caractérisation du facteur soluble sécrété spécifiquement par les myoblastes DM1 permettra une meilleure compréhension des mécanismes moléculaires responsable des défauts de développement du système musculaire observés dans la forme congénitale, et des défauts de régénération des fibres musculaires observés dans la forme adulte de la DM1. L’identification de ce facteur soluble est présentement en cours.
Myotonic dystrophy (DM1), the most common form of inherited neuromuscular disease in adults, affects 1 in 8000 individuals worldwide. DM1 is an autosomal dominant muscular dystrophy with very variable symptom presentations. Adult onset DM1 is primarily characterized by myotonia, muscle wasting and weakness, but also affects a number of organs and tissues. One characteristic of the disease is the presence of a severe congenital form (CDM1), which differs from the adult form. CDM1 is characterized by a delay in the development of skeletal muscles. This form is associated with hypotonia, respiratory complications and mental retardation. DM1 is caused by the expansion of an unstable CTG trinucleotide repeat in the 3’untranslated region of the myotonic dystrophy protein kinase (DMPK) gene. To date, the mechanisms by which the DM1 mutation affects skeletal muscles development or regeneration are unknown. A previous study demonstrated that serum produced by mothers of children with congenital myotonic dystrophy inhibits myogenic differentiation. In this study, we hypothesized that CDM1 myoblasts secrete a soluble factor that blocks myogenic differentiation. We provide evidence that this soluble factor is produced by DM1 and CDM1 myoblasts which may be involved in their deficiency to fuse. The inhibitory effect is proportional to the length of the CTG repeat expansion. In addition, the delay in muscle differentiation is associated with a specific reduction in myogenin gene expression. We believe that the DM1 mutation triggers the expression of a soluble factor, which is able to block myogenic differentiation. The identification of this soluble factor is presently under investigation.
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Fortin, Anne-Marie. „Impact d'un programme d'exercices ciblé sur la force musculaire, la capacité cardiorespiratoire et l'amélioration des capacités fonctionnelles chez des adultes atteints de dystrophie myotonique de type 1“. Master's thesis, Université Laval, 2018. http://hdl.handle.net/20.500.11794/31593.

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Protocole d'entente entre l'Université Laval et l'Université du Québec à Chicoutimi
L’entraînement d’adultes atteints de dystrophie myotonique de type 1 a des spécificités encore méconnues. Le but de cette recherche est donc de vérifier l’impact d’un programme d’entraînement ciblé sur la force musculaire, l’endurance cardiorespiratoire ainsi que sur l’amélioration des capacités fonctionnelles chez des adultes atteints de DM1. Neuf participants (4 femmes et 5 hommes) âgés de 47,8 ± 4,6 ans ont complété un programme d’entraînement d’une durée de 8 semaines combinant un entraînement en force, un circuit d’endurance cardiorespiratoire ainsi que des exercices fonctionnels. En comparant les résultats du groupe avant et après les 8 semaines d’entraînements, on remarque une amélioration significative (p<0,05) pour 4 des 6 tests de force 1 RM et une tendance à l’amélioration de la capacité fonctionnelle. La durée du projet, l’absence d’un groupe témoin et le faible nombre de participants font en sorte qu’une interprétation prudente des résultats est requise. Malgré ces contraintes, les résultats préliminaires obtenus sont très prometteurs.
Training of adults suffering from myotonic dystrophy type 1 (DM 1) has specificities still unknown. The purpose of this research is therefore to verify the impact of a periodized training program targeted on muscle strength, cardiorespiratory endurance as well as improving functional capacities in adults with DM1. Nine participants (4 women and 5 men) aged 47.8 ± 4.6 years completed an 8-week training program combining strength training, cardiorespiratory endurance training and functional exercises. Comparing the results of the group before and after the 8 weeks of training, we noticed a significant improvement (p<0.05) for 4 of the 6 RM muscular strength tests and a tendency to improve the functional capacity. The duration of the project, the absence of a control group and the small number of participants mean that a careful interpretation of the results is required. Despite these constraints, it remains that the preliminary results obtained are very promising.
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Philippe, Jean-Vincent. „Décryptage des mécanismes de régulation de l’épissage de l’exon 5 du pré-ARNm de la troponine T cardiaque : étude du rôle de l’épissage alternatif des pré-ARNm dans la réponse des cellules de vertébrés au stress oxydant“. Thesis, Université de Lorraine, 2015. http://www.theses.fr/2015LORR0298/document.

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La dystrophie myotonique de type 1 (DM1) est une maladie génétique caractérisée par une dégénérescence des muscles squelettiques accompagnée d’une myotonie. Cette maladie est due à une expansion instable de triplets CTG dans la région 3’ non traduite du gène DMPK. L’accumulation des ARNm DMPK mutés au sein de foci nucléaires conduit à la séquestration du facteur d’épissage MBNL1 et à des altérations de l’épissage alternatif de nombreux ARNm. En particulier, l’inclusion de l’exon 5 au sein du pré-ARNm de la troponine T cardiaque (hcTNT) est renforcée chez les patients DM1. Cette inclusion anormale participe aux anomalies cardiaques présentées par les patients. Les travaux de l’équipe, menés en collaboration avec l’équipe de Nicolas Sergeant à Lille, sur la régulation de l’épissage de l’ARNm hcTNT avaient établi l’existence de 8 sites MBNL1, dont 6 nouveaux, situés de part et d’autre de l’exon 5 et la présence de régions activatrices et inhibitrices de l’inclusion fixant des facteurs d’épissage dont l’identité n’était pas connue. L’un des objectifs de ma thèse était d’étudier l’importance fonctionnelle in cellulo de chacun des 8 sites MBNL1. J’ai ainsi pu montrer que chacun des 6 nouveaux sites participe à l’inhibition de l’inclusion de l’exon 5 par MBNL1. Les données obtenues nous ont amené à proposer un modèle dans lequel MBNL1 s’associe avec les triplets de sites MBNL1 situés de part et autre de l’exon 5 et entraine la formation d’une structure à longue distance via des interactions protéiques MBNL1-MBNL1. Cette structure isolerait l’exon 5 dans une boucle et limiterait la fixation du spliceosome. Par ailleurs, j’ai mis en œuvre une approche de purification de RNP formées en extrait nucléaire pour identifier d’autres facteurs régulant l’inclusion de l’exon 5. La protéine hnRNP H a ainsi pu être identifiée. Sa capacité à activer l’inclusion de l’exon 5 in cellulo et à entrer en compétition avec MBNL1 pour la régulation de l’inclusion de l’exon 5 via sa fixation sur des sites localisés dans l’exon 5 et en aval de cet exon a pu être confirmée. La seconde partie de ma thèse a porté sur l’étude de l’effet d’un stress oxydatif généré par 500 µM d’H2O2 sur le profil global d’épissage alternatif des pré-ARNm de cellules HeLa. Lors de ce travail, j’ai pu établir que la réponse des cellules HeLa au stress oxydatif implique deux phases de réponse : une phase précoce (1h-8h) caractérisée par un fort taux de mortalité associé à une forte augmentation du taux de d’entités oxygénées réactives (ROS) intracellulaire et une phase tardive (16h-24h) corrélée à une diminution du taux de ROS intracellulaires et une surexpression des ARN satellite III. Sur la base de ces données, une analyse globale du transcriptome par emploi de puces à exons (Affymetrix) a été réalisée à partir d’ARN totaux isolés 1h, 2h, 4h et 24h après le début du stress. Nous avons ainsi identifié des modulations d’expression et d’épissage spécifiques de chacune des deux phases. L’analyse des données par des outils bio-informatiques a permis de mettre en évidence des fonctions cellulaires bien définies qui sont plus particulièrement affectées lors d’un stress oxydant. Enfin, pour comprendre l’origine des variations d’épissage observées lors d’un stress oxydant, j’ai entrepris d’analyser les effets de ce stress sur le niveau d’expression et la localisation cellulaire des composants du spliceosome ou des facteurs qui s’associent pour réguler son activité
Myotonic distrophy of type 1 (DM1) is a genetic disease characterized by skeletal muscle degeneration associated to myotonia. DM1 results from the instable expansion of CTG repeats within the 3’ untranslated region of the DMPK gene. The accumulation of mutated DMPK mRNAs within nuclear foci leads to the sequestration of the MBNL1 splicing factor and causes splicing misregulation of numerous pre-mRNAs. Among altered events the increase of the inclusion of exon 5 in the human cardiac troponin T (hcTNT) mRNA is of particular importance, since it contributes to the cardiac symptoms presented by the patients. Through collaborative work with N. Sergeant’s team from Lille, the team has studied the molecular bases of hcTNT exon 5 inclusion regulation and mapped 8 MBNL1 binding sites, including 6 new ones, within intronic regions surrounding exon 5. They also identified positive and negative splicing regulatory elements of which protein partners remain unidentified. The first objective of my PhD thesis was to test the functional importance of each individual MBNL1 binding site. The obtained results established that the 6 newly identified MBNL1 binding sites are involved in splicing regulation by MBNL1 and lead us to propose a new regulation model in which MBNL1 binds on triplets of MBNL1 sites present on each side of exon 5 and form a long distance structure via MBNL1-MBNL1 protein interaction. The formation of this looping-structure is expected to isolate exon 5 and limit its recognition by the spliceosome. In addition I searched for protein partners of the identified regulatory elements by affinity chromatography. By this way, I identified hnRNP H as a positive regulator of exon 5 inclusion. Its capacity to compete with MBNL1 to regulate splicing in cellulo by binding on exonic and intronic binding sites was further confirmed. The second part of my PhD work corresponds to the study of the global impact of oxidative stress, generated by exposition of HeLa cells to 500 µM of H2O2, on alternative splicing. This allows us to establish that the response of HeLa cells to oxidative stress involve two distincts phases: an early one (1h-8h) characterized by poor survival rate and high intracellular ROS content and a late phase (16-24h), associated with a decrease of the intracellular ROS level and the overexpression of the long non coding sat III RNAs. Based on this observation, we performed a transcriptome global analysis by using exon arrays from Affymetrix on RNA samples isolated 1, 2, 4 or 24 hours after the induction of the oxidative stress. We identified changes of the gene expression level or mRNA splicing pattern specific of each of the response phases. Data computing by bio-informatic tools identified the most affected cellular processes and functions during the cell response to oxidative stress. In order to better understand the mechanisms underlying alternative splicing modulation during oxidative stress, I started to study the impact of oxidative stress on the expression level and the cellular localization of spliceosome components and most common splicing regulation factors
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Marteyn, Antoine. „Etude des mécanismes moléculaires et cellulaires impliqués dans le développement de la dystrophie myotonique de type 1 à l'aide de cellules souches embryonnaires humaines porteuses de la mutation causale“. Thesis, Evry-Val d'Essonne, 2010. http://www.theses.fr/2010EVRY0018/document.

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Parmi leurs applications prometteuses, les cellules souches pluripotentes humaines présentent un potentiel inestimable pour améliorer la compréhension des mécanismes moléculaires et cellulaires impliqués dans le développement de maladies monogéniques. Cette application est dans un premier temps devenue possible grâce à l’utilisation de lignées de cellules souches embryonnaires humaines (CSEh) porteuses de mutation causale de maladie monogénique, obtenues au cours d’un diagnostique pré-implantatoire, puis dans un second temps par la reprogrammation des cellules somatiques en cellules souches pluripotentes (iPS). Dans le cadre de la validation de ce concept, nous avons démontré que des lignées de CSEh porteuses de la mutation causale de la dystrophie myotonique de type 1 (DM1), ainsi que leursprogénies neurales et mésodermiques, exprimaient des défauts moléculaires caractéristiques de la pathologie. Par l’intermédiaire d’une étude transcriptomique comparative, nous avons identifié une liste de biomarqueurs pouvant être considérés comme une nouvelle signature moléculaire de la DM1. Parmi ces derniers, nous avons montré que l’anomalie d’expression de certains gènes de la famille SLITRK était à l’origine des défauts d’arborisation neuritique mis en évidence dans des cellules motoneuronales dérivées des CSEh mutées, et que ces cellules peuvent interagir avec leur ciblemusculaire. Parallèlement, nous avons identifié un facteur de transcription à domaine Krab dont l’expression est fortement altérée dans la DM1 et qui semble être impliqué dans les défauts de régénération musculaire associé à des fins thérapeutiques en définissant leur capacité à modéliser une maladie génétique de façon suffisamment précise pour permettre d’élaborer des biothérapies spécifiquement liées aux mécanismes moléculaires mis en jeu
Human pluripotent stem cells present far reaching implication not only for their therapeutic potential but also for the understanding of the molecular and cellular mechanisms of monogenic diseases. This application became at first possible by using human embryonic stem cells lines (hES) carrying the causal mutation of the monogenic disease, obtained during pre-implantation genetic diagnosis, thereafter through the development of somatic cells reprogramming into pluripotent stem cells (iPS). In line with this concept, we provided evidence that hES lines carrying the causal mutation of myotonic dystrophy type 1 (DM1), as well as their neural and mesodermal progenitors, expressed characteristic molecular defects of the pathology. Through a comparative study of their transcriptome profile, we identified a list of biomarkers which can be considered as new molecular signature of DM1. Among these genes, we showed that abnormal expression of some genes of the SLITRK family was responsible for the defective neuritic outgrowth observed in motor neuron cells derived from mutated hES, but that these cells could nonetheless interact with their muscular target. In parallel, we identified a Krab domain transcription factor which expression is strongly altered in DM1 and which seems to be involved in muscular regeneration defects associated with DM1. In conclusion, the aim of this work was to extend the spectrum of hES cells use for therapeutic purposes by accurately defining their capacity to model a genetic disease, enabling the elaboration of biotherapies targeted to disease specific molecular mechanisms
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Petitclerc, Émilie. „Association entre le profil de force musculaire et les capacités fonctionnelles aux membres inférieurs chez les personnes atteintes des phénotypes adulte classique et adulte tardif de dystrophie myotonique de type 1“. Mémoire, Université de Sherbrooke, 2015. http://hdl.handle.net/11143/8031.

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Résumé: But : Les objectifs étaient de 1) décrire les profils de force musculaires aux membres inférieurs (MIs) et les capacités aux déplacements des personnes présentant les phénotypes adulte classique (DM1-AC) et adulte tardif (DM1-AT) de la dystrophie myotonique de type 1 (DM1), et 2) d’explorer l’influence de la faiblesse des MIs sur les capacités aux déplacements dans cette population. Méthode : Cette étude consiste en une analyse secondaire de données issues d’une plus large recherche qui visait à identifier les déterminants de la participation sociale et de la qualité de vie de personnes atteintes de DM1 (n = 158 DM1-AC et n = 42 DM1-AT). La force de quatre groupes musculaires des MIs a été mesurée à l’aide du bilan musculaire manuel (BMM) et du bilan musculaire quantitatif (BMQ) par dynamométrie manuelle. Les capacités aux déplacements ont été évaluées à l’aide de tests standardisés (échelle d’équilibre de Berg, vitesse de marche et Timed Up & Go). Résultats : Le phénotype DM1-AT présente moins de faiblesse et d’incapacités que le phénotype DM1-AC (p < 0,001 – 0,020). Le BMM ne détecte pas de faiblesse chez le phénotype DM1-AT mais des pertes de force au BMQ de 12 % à 20 % ont été identifiées chez ce phénotype, excepté pour les fléchisseurs du genou, entrainant des limitations aux déplacements chez 22 % à 48 % de ces individus. Dans le phénotype DM1-AC, l’atteinte musculaire était légèrement plus importante en distal qu’en proximal. Selon ces résultats, les phénotypes DM1-AC et DM1-AT présentent des portraits distincts et les données relatives à chacun devraient être analysées séparément. Une progression générale de la faiblesse au BMQ et des scores aux tests fonctionnels a été observée en fonction des cotes de l’échelle Muscular Impairment Rating Scale (MIRS). Un déficit de force au BMQ (excepté pour les fléchisseurs du genou) et des incapacités fonctionnelles ont aussi été observés dès les premières cotes de la MIRS. Finalement, les dorsifléchisseurs de la cheville et les extenseurs du genou semblent être de bons indicateurs de la fonction des membres inférieurs en DM1. Conclusion : Cette étude a permis de dresser un portrait des atteintes de la force musculaire aux MIs et des capacités fonctionnelles liées aux déplacements pour chacun des phénotypes DM1-AC et DM1-AT de la DM1, ainsi que d’explorer la contribution de la faiblesse des groupes musculaires évaluées sur les capacités aux déplacements dans cette population. Ces résultats contribueront à mieux déterminer les cibles d’évaluation et d’interventions en réadaptation et à mieux définir le processus d’évaluation dans le contexte des essais thérapeutiques à venir.
Abstract: Purpose: The purposes of this study were 1) to describe lower limbs muscle strength and mobility capacities, and 2) to explore the respective contribution of lower limb muscle weaknesses on mobility in the adult and late-onset phenotypes of myotonic dystrophy type 1 (DM1). Methods: This study is a secondary analysis of part of the results of a larger study, whose purpose was to identify social participation and quality-of-life determinants in 200 DM1 patients (158 adult and 42 late-onset). The strength of four lower limb muscle groups was assessed using manual muscle testing (MMT) and handheld dynamometry quantitative muscle testing (QMT). Mobility capacities were assessed using standardized tests (Berg balance scale, 10 Meter Walk Test and Timed Up & Go). Results: Although the late-onset phenotype showed less weaknesses and mobility limitations than the adult phenotype (p <0.001-0.020), and although MMT showed no weakness in the late-onset phenotype, quantitative strength losses of 12-20% were measured in this phenotype, with the exception of the knee flexors. These weaknesses led to mobility limitations in 22-48% of participants with the late-onset phenotype. In the adult phenotype, muscle strength impairment was slightly more important distally than proximally (2-2.5/10 and 5.8-8.2% for MMT and QMT, respectively) (p <0.001-0.002). According to those results, the adult and late-onset phenotypes show different profiles of lower limb impairment, and should not be pooled for data analysis. A general progression of quantitative muscle weakness and of mobility scores was observed according to the Muscular Impairment Rating Scale (MIRS) classification. Quantitative weaknesses, with the exception of the knee flexors, and mobility limitations were observed from the first MIRS grades. QMT is therefore definitely a more effective tool for measuring weakness in DM1. Finally, ankle dorsiflexors and knee extensors seem to be good indicators of lower limb function in DM1. Conclusion: This study allowed a better characterization of lower limb weaknesses and mobility limitations in the adult and late-onset phenotypes of DM1, and explored the contribution of lower limb weaknesses on mobility capacities in this population. These results will be useful for developing more specific rehabilitation programs and for optimizing the evaluation of these impairments in the context of the upcoming therapeutic trials. Keywords: Myotonic dystrophy type 1, phenotypes, muscle strength, mobility capacities, lower limbs, explanatory variables, physiotherapy.
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Mosbach, Valentine. „Contraction de répétitions de trinucléotides par induction ciblée d'une cassure double brin“. Thesis, Paris 6, 2017. http://www.theses.fr/2017PA066040.

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Les répétitions de trinucléotides sont des séquences répétées en tandem pouvant subir, chez l'homme, de larges expansions à l'origine de nombreuses maladies génétiques. La dystrophie myotonique de type 1 (DM1) est due à l'expansion d'une répétition CTG en 3'UTR du gène DMPK. Les mécanismes d'instabilités des répétitions, peu connus, reposeraient sur leur capacité à former des structures secondaires constituant un obstacle aux mécanismes impliquant une synthèse d'ADN. Nous avons montré qu'une TALEN induisant une cassure double brin dans les répétitions CTG à l'origine de la DM1 insérées chez la levure Saccharomyces cerevisiae permettait de manière efficace et spécifique d'aboutir après réparation à leur contraction. Le mécanisme de réparation est dépendant uniquement de deux gènes, RAD50 et RAD52, suggérant la formation de structures aux extrémités de la DSB devant être retirées pour initier la réparation, suivis d'une réaction de SSA entre les répétitions aboutissant à leur contraction. L'efficacité et spécificité d'un système CRISPR-Cas9 à contracter ces répétitions chez la levure ont été comparées à la TALEN. L'induction de CRISPR-Cas9 n'aboutit pas à la contraction des répétitions mais à des réarrangements chromosomiques suggérant un manque de spécificité et un mécanisme de réparation différent de celui de la TALEN. Enfin, nous avons étudié si ces nucléases peuvent contracter ces répétitions CTG à des tailles non pathologiques dans des cellules de mammifères. L'induction de la TALEN dans des cellules de souris transgéniques DM1, puis dans des fibroblastes humains de patients DM1 montre des résultats préliminaires encourageant de contraction des répétitions
Trinucleotides repeats are a specific class of microsatellites whose large expansions are responsible for many human neurological disorders. Myotonic dystrophy type 1 (DM1) is due to an expansion of CTG repeats in the 3’UTR of DMPK gene, which can reach thousands of repeats. Molecular mechanisms leading to these large expansions are poorly understood but in vitro studies have shown the capacity of these repeats to form secondary structures, which probably interfere with mechanisms involving DNA synthesis. We shown that a TALEN used to induce double-strand break (DSB) in DM1 CTG repeats integrated in the yeast Saccharomyces cerevisiae is specific and leads to highly efficient repeat contractions after repair. Mechanism involved in TALEN-induced DSB only depends of RAD50 and RAD52 genes, suggesting the formation of secondary structures at DSB ends that need to be removed for repair initiation, followed by an intramolecular recombinaison repair such as SSA between repeats leading to their contraction. We compared the efficiency and specificity of a CRISPR-Cas9 and the TALEN to contract CTG repeats in yeast. Surprisingly, CRISPR-Cas9 induction do not lead to repeat contraction but to chromosomal rearrangement, suggesting a lack of specificity and a different repair mechanism than with the TALEN. At last, we studied whether these nucleases could contract CTG repeats to a non-pathological length in mammalian cells. Finally, TALEN induction in DM1 transgenic mice cells, and in DM1 human fibroblasts show promising repeat contractions
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Dincã, Diana Mihaela. „Mechanisms of brain dysfunction in myotonic dystrophy type 1 : impact of the CTG expansion on neuronal and astroglial physiology“. Thesis, Sorbonne Paris Cité, 2017. http://www.theses.fr/2017USPCB054/document.

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La dystrophie myotonique de type 1 (DM1), ou maladie de Steinert, est une maladie qui touche plusieurs tissus, dont le système nerveux central (SNC). L’atteinte neurologique est variable et inclut des troubles de la fonction exécutive, des changements de comportement et une hypersomnolence dans la forme adulte, ainsi qu’une déficience intellectuelle marquée dans la forme congénitale. Dans leur ensemble, les symptômes neurologiques ont un fort impact sur le parcours académique, professionnel et les interactions sociales. Aujourd’hui aucune thérapie n’existe pour cette maladie. La DM1 est due à une expansion anormale d’un triplet CTG non-codant dans le gène DMPK. Les ARN messagers DMPK, porteurs de l’expansion, s’accumulent dans le noyau des cellules (sous forme de foci) et perturbent la localisation et la fonction de protéines de liaison à l’ARN, notamment des familles MBNL et CELF, ce qui entraîne des défauts d’épissage alternatif, d’expression, de polyadenylation et de localisation d’autres ARN cibles. Malgré le progrès récent dans la compréhension des mécanismes de la maladie, les aspects cellulaires et moléculaires de l’atteinte neurologique restent méconnus: nous ne connaissons ni la contribution de chaque type cellulaire du cerveau, ni les voies moléculaires spécifiquement dérégulées dans chaque type cellulaire. L’objectif de ma thèse a été de répondre à ces deux questions importantes en utilisant un modèle de souris transgéniques et des cellules primaires dérivées de celui-ci. Pour mon projet, j’ai utilisé les souris DMSXL générées par mon laboratoire. Ces souris reproduisent des caractéristiques importantes de la DM1, notamment l’accumulation des ARN toxiques et la dérégulation de l’épissage alternatif dans plusieurs tissus. L’impacte fonctionnel des transcrits DMPK toxiques dans le SNC des souris DMSXL se traduit par des problèmes comportementaux et cognitifs et par des défauts de la plasticité synaptique. Afin d’identifier les mécanismes moléculaires associés à ces anomalies, une étude protéomique globale a montré une dérégulation de protéines neuronales et astrocytaires dans le cerveau des souris DMSXL. De plus, l’étude de la distribution des foci d’ARN dans les cerveaux des souris et des patients a montré un contenu plus élevé dans les astrocytes par rapport aux neurones. Ensemble, ces résultats suggèrent une contribution à la fois neuronale et gliale dans la neuropathogenèse de la DM1. L’étude protéomique globale des cerveaux des souris DMSXL, a aussi montré des défauts de protéines synaptiques spécifiques des neurones, que nous avons par la suite validés dans le cerveau des patients. SYN1 est hyperphosphorylée d’une façon CELF-dépendante et RAB3A est surexprimé en réponse à l’inactivation de MBNL1. Les protéines MBNL et CELF régulent l’épissage alternatif d’un groupe de transcrits au cours du développement, et leur dérégulation dans la DM1 entraîne l’expression anormale d’isoformes d’épissage embryonnaires dans le tissu adulte. Dans ce contexte, j’ai étudié si les défauts des protéines RAB3A et SYN1 sont associés à une dérégulation d’épissage, et si les anomalies des protéines synaptiques identifiées dans la DM1 reproduisent des évènements embryonnaires de la régulation de RAB3A et SYN1. Mes résultats indiquent que les défauts de ces protéines dans les cerveaux adultes ne sont pas dus à une altération de l’épissage alternatif des transcrits et ne recréent pas des évènements embryonnaires. La neuropathogenèse de la DM1 va, donc, au delà de la dérégulation de l’épissage et d’autres voies moléculaires restent à explorer dans les cerveaux DM1. Afin d’identifier des sous-populations cellulaires susceptibles à l’accumulation des ARN toxiques, nous avons étudié la distribution des foci dans plusieurs régions cérébrales. (...)
Myotonic dystrophy type 1 (DM1) is a severe disorder that affects many tissues, including the central nervous system (CNS). The degree of brain impairment ranges from executive dysfunction, attention deficits, low processing speed, behavioural changes and hypersomnia in the adult form, to pronounced intellectual disability in the congenital cases. The neurological manifestations have a tremendous impact on the academic, professional, social and emotional aspects of daily life. Today there is no cure for this devastating condition. DM1 is caused by the abnormal expansion of a CTG trinucleotide repeat in the 3’UTR of the DMPK gene. Expanded DMPK transcripts accumulate in RNA aggregates (or foci) in the nucleus of DM1 cells, disrupting the activity of important RNA-binding proteins, like the MBNL and CELF families, and leading to abnormalities in alternative splicing, gene expression, RNA polyadenylation, localisation and translation. In spite of recent progress, fundamental gaps in our understanding of the molecular and cellular mechanisms behind the neurological manifestations still exist: we do not know the contribution of each cell type of the CNS to brain dysfunction, or the molecular pathways specifically deregulated in response to the CTG expansion. The aim of my PhD project has been to gain insight into these two important questions using a relevant transgenic mouse model of DM1 and cell cultures derived thereof. In my studies I used the DMSXL mice, previously generated in my host laboratory. The DMSXL mice express expanded DMPK mRNA with more than 1,000 CTG repeats. They recreate relevant DM1 features, such as RNA foci and missplicing in multiple tissues. The functional impact of expanded DMPK transcripts in the CNS of DMSXL mice translates into behavioural and cognitive abnormalities and defective synaptic plasticity. To identify the molecular mechanisms behind these abnormalities, a global proteomics analysis revealed changes in both neuron-specific and glial-specific proteins in DMSXL brain. We also investigated RNA foci in DMSXL and human DM1 brains and found non-homogenous distribution between cell types, with a higher foci content in astrocytes relative to neurons. Together these results suggest that both neuronal and glial defects contribute to DM1 neuropathogenesis. The global proteomics analysis of DMSXL brains also identified abnormalities in neuronal synaptic proteins that we have validated in human brain samples. SYN1 is hyperphosphorilated in a CELF-dependent manner while RAB3A is upregulated in association with MBNL1 depletion. CELF and MBNL proteins regulate the alternative splicing of a subset of transcripts throughout development, and their deregulation in DM1 leads to abnormal expression of fetal splicing isoforms in adult DM1 brains. In this context, I have studied if RAB3A and SYN1 deregulations observed in adult brains are associated with splicing abnormalities or if they recreated embryonic expression and phosphorylation events. My results indicate that the synaptic proteins abnormalities observed in adult DMSXL brains are not caused by defective alternative splicing and do not recreate embryonic events. Thus, DM1 neuropathogenesis goes beyond missplicing and other molecular pathways must be explored in DM1 brains. To better understand the cellular sub-populations susceptible of accumulating toxic RNA foci we have studied foci distribution in different brain regions. We identified pronounced accumulation of toxic RNAs in Bergman astrocytes of DMSXL mice cerebellum and DM1 patients, associated with neuronal hyperactivity of Purkinje cells. A quantitative proteomics analysis revealed a significant downregulation of GLT1 – a glial glutamate transporter expressed by the Bergmann cell in the cerebellum. I have confirmed the GLT1 downregulation in other brain regions of mouse and human brain. (...)
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Mosbach, Valentine. „Contraction de répétitions de trinucléotides par induction ciblée d'une cassure double brin“. Electronic Thesis or Diss., Paris 6, 2017. http://www.theses.fr/2017PA066040.

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Les répétitions de trinucléotides sont des séquences répétées en tandem pouvant subir, chez l'homme, de larges expansions à l'origine de nombreuses maladies génétiques. La dystrophie myotonique de type 1 (DM1) est due à l'expansion d'une répétition CTG en 3'UTR du gène DMPK. Les mécanismes d'instabilités des répétitions, peu connus, reposeraient sur leur capacité à former des structures secondaires constituant un obstacle aux mécanismes impliquant une synthèse d'ADN. Nous avons montré qu'une TALEN induisant une cassure double brin dans les répétitions CTG à l'origine de la DM1 insérées chez la levure Saccharomyces cerevisiae permettait de manière efficace et spécifique d'aboutir après réparation à leur contraction. Le mécanisme de réparation est dépendant uniquement de deux gènes, RAD50 et RAD52, suggérant la formation de structures aux extrémités de la DSB devant être retirées pour initier la réparation, suivis d'une réaction de SSA entre les répétitions aboutissant à leur contraction. L'efficacité et spécificité d'un système CRISPR-Cas9 à contracter ces répétitions chez la levure ont été comparées à la TALEN. L'induction de CRISPR-Cas9 n'aboutit pas à la contraction des répétitions mais à des réarrangements chromosomiques suggérant un manque de spécificité et un mécanisme de réparation différent de celui de la TALEN. Enfin, nous avons étudié si ces nucléases peuvent contracter ces répétitions CTG à des tailles non pathologiques dans des cellules de mammifères. L'induction de la TALEN dans des cellules de souris transgéniques DM1, puis dans des fibroblastes humains de patients DM1 montre des résultats préliminaires encourageant de contraction des répétitions
Trinucleotides repeats are a specific class of microsatellites whose large expansions are responsible for many human neurological disorders. Myotonic dystrophy type 1 (DM1) is due to an expansion of CTG repeats in the 3’UTR of DMPK gene, which can reach thousands of repeats. Molecular mechanisms leading to these large expansions are poorly understood but in vitro studies have shown the capacity of these repeats to form secondary structures, which probably interfere with mechanisms involving DNA synthesis. We shown that a TALEN used to induce double-strand break (DSB) in DM1 CTG repeats integrated in the yeast Saccharomyces cerevisiae is specific and leads to highly efficient repeat contractions after repair. Mechanism involved in TALEN-induced DSB only depends of RAD50 and RAD52 genes, suggesting the formation of secondary structures at DSB ends that need to be removed for repair initiation, followed by an intramolecular recombinaison repair such as SSA between repeats leading to their contraction. We compared the efficiency and specificity of a CRISPR-Cas9 and the TALEN to contract CTG repeats in yeast. Surprisingly, CRISPR-Cas9 induction do not lead to repeat contraction but to chromosomal rearrangement, suggesting a lack of specificity and a different repair mechanism than with the TALEN. At last, we studied whether these nucleases could contract CTG repeats to a non-pathological length in mammalian cells. Finally, TALEN induction in DM1 transgenic mice cells, and in DM1 human fibroblasts show promising repeat contractions
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Antonio, Marie de. „Statistiques et modèles de survie pour améliorer la connaissance d’une maladie rare, la dystrophie myotonique The DM-Scope registry: a rare disease innovative framework bridging the gap between research and medical care Unraveling the myotonic dystrophy type 1 clinical spectrum: a systematic registry-based study - Implications for disease classification“. Thesis, Sorbonne université, 2020. http://www.theses.fr/2020SORUS096.

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La dystrophie myotonique (DM) est considérée comme l'une des maladies neuromusculaires les plus complexes. Bien que les travaux de recherche de ces 30 dernières années aient permis de mieux comprendre les mécanismes moléculaires sous-jacents, la nature de l'anomalie génétique hors norme, son expression multisystémique et son large spectre clinique ne permettent pas, à l'heure actuelle, une prise en charge optimale des patients. Mon travail a eu pour but d'approfondir les connaissances et de préciser l'histoire naturelle de cette maladie rare. La première partie du manuscrit est consacrée à la présentation de l'observatoire DM-Scope, sur lequel s'appuie tout mon travail de thèse. Après la description du concept, du fonctionnement et de la plateforme de recueil, les caractéristiques de la cohorte DM1, à partir de laquelle les analyses ont été réalisées, sont présentées : spectre clinique couvert, atteinte multisystémique, corrélations génotype/phénotype, interrelations entre les symptômes et comparaison à la dystrophie myotonique de type II (DM2). Ensuite, dans une deuxième partie, nous abordons les avancées majeures obtenues dans les DM grâce à DM-Scope et aux analyses réalisées pendant ma thèse : (i) précision de l'histoire naturelle de la maladie, notamment avec la proposition d'une nouvelle classification ; (ii) mise en exergue de facteurs déterminants du phénotype comme le genre, la taille de la mutation ou les interrelations entre les symptômes. Ces travaux ont conduit à des recommandations de soins, notamment pour la transition enfants-adultes mais aussi la validation de critères d'inclusion importants pour les essais cliniques comme le genre. DM-Scope permet d'accéder à des échantillons biologiques pour des études de recherche fondamentale et valider de nouvelles approches thérapeutiques. Il est aujourd'hui un leader à l'international et un outil incontournable dans la recherche translationnelle dans la DM. Ce concept transférable à n'importe quelle autre population, peut être utilisé pour la prise en charge d’autres maladies rares. Enfin, le développement d'un modèle de survie construit à partir de la cohorte DM de l'observatoire est présenté. Ce modèle a trois spécificités : (i) il est applicable en grande dimension, à des cas comme DM-Scope, où l'on a un nombre important de variables; (ii) il prend en compte les risques compétitifs, lorsque les patients sont exposés simultanément à plusieurs évènements. Dans notre observatoire, l'étude des décès de cause respiratoire est biaisée sans la prise en compte des évènements concurrents tels que le décès de cause cardiaque; (iii) il modélise l'hétérogénéité entre les groupes de patients (effets centres), potentiellement due à une prise en charge différente. L'analyse des données de DM-Scope nécessite cette spécificité issue des modèles à fragilité car l'observatoire est multicentrique (55 centres). Le modèle est transférable et applicable à d'autres données car de plus en plus de bases sont de grandes dimensions, la majorité des analyses de survie ont une censure liée à la survenue de l'événement d'intérêt et les études multicentriques sont de plus en plus communes
Myotonic dystrophy (DM) is considered one of the most complex neuromuscular diseases. Although research work over the past 30 years has permitted a better understanding of its underlying molecular mechanisms, the unusual nature of its genetic anomalies, its multisystemic expression and its broad clinical spectrum do not allow, at the moment, optimal patient management. The purpose of my work was to deepen our knowledge of this rare disease and to clarify its natural history. The first part of my manuscript is dedicated to the presentation of the DM-Scope Registry, on which all my thesis work is based. After the description of the concept, the functioning and the data collection platform, the manuscript features the characteristics of the DM1 cohort, from which our analyses were conducted : the clinical spectrum covered, multisystemic impairment, genotype/phenotype correlations, interrelations between symptoms and comparison to myotonic dystrophy type II (DM2). In the second part, we focus on the major progress achieved through the existence of DM-Scope and the analyses conducted during my thesis: (i) detailing the natural history of the disease, in particular proposing a new classification; (ii) highlighting the phenotype’s determining factors such as gender, mutation size, interrelations between symptoms. This work has led to recommendations for care, in particular for the transition from child to adult, but also the validation of important inclusion criteria for clinical trials such as gender. DM-Scope provides access to available biological samples for basic research studies and validates new therapeutic approaches. DM-Scope is now a worldwide leader and an essential tool in translational research in DM. The DM-Scope concept can be transferred to any other population and can be used for care management in other rare diseases. Finally, we present the development of a survival model built from the DM-Scope cohort. This model has three specificities: (i) it is applicable to high dimensional data, in such cases as DM-Scope, where there is a large number of measurements; (ii) it takes into account competitive risks, when patients are simultaneously exposed to several events. In our registry, the study of respiratory-related deaths is biased if competing events such as heart disease deaths are not taken into account ; (iii) it models the heterogeneity between patient groups probably due to divergent care, called \og centres effects \fg{}. DM-Scope data analysis requires such specificity of frailty models due to its multicentric coverage (55 centres). This model can be transferred and applied to other data, considering the following : more and more large-scaled registries are being used ; a majority of survival analyses includes censorship caused by the occurrence of the event of interest ; multicentre studies have become increasingly common
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Poggi, Lucie. „Gene editing approaches of microsatellite disorders : shortening expanded repeats“. Electronic Thesis or Diss., Sorbonne université, 2020. http://www.theses.fr/2020SORUS412.

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Les maladies à triplet sont dues à des expansions de trinucléotides dans l’ADN. Aucun traitement n’existe pour les soigner. Le but de cette thèse est de mettre au point de nouvelles approches de thérapie génique pour supprimer les expansions pathologiques dans le génome humain. Dans une première partie, un système expérimental dans la levure a été construit afin d’évaluer l’efficacité de différentes nucléases associées au système CRISPR sur des microsatellites. La seconde partie est concentrée sur une maladie à triplet en particulier ; la dystrophie myotonique de type 1 (DM1), qui est due à une expansion d’une répétition de triplets CTG dans la région 3’UTR du gène DMPK. Une nucléase, TALENCTG , construite pour induire une cassure double-brin dans les répétitions CTG en 3’UTR du gène DMPK, induit de manière très efficace des contractions de triplets CTG dans la levure. Des événements de contraction ont été observés lorsque cette nucléase est exprimée. Des expériences in vivo dans un modèle de souris contenant un fragment d’ADN génomique humain de patient contenant 1000 CTG ont été menées. Des particules virales AAV recombinantes portant le gène de la TALEN ont été produites. Après injection intramusculaire, les cellules musculaires expriment la nucléase, mais dû à une toxicité ou immunogénicité de la protéine, l’expression est perdue. Enfin, le système mis au point dans la levure a été transposé dans une lignée cellulaire humaine établie, les HEK293FS. Ce système pourra servir à sélectionner des nucléases actives dans les cellules humaines
Microsatellite disorders are a specific class of human diseases that are due to the expansion of repeated sequences above pathological thresholds. These disorders have varying symptoms and pathogenic mechanisms, caused by the expanded repeat. No cure exists for any of these dramatic conditions. This thesis is investigating new gene editing approaches to remove pathological expansions in the human genome. In a first part, a yeast-based screen was constructed to identify potent CRISPR-associated nucleases that can cut these microsatellites. The second part focuses on myotonic dystrophy type 1 (DM1), which is due to and expanded CTG repeat tract located at the 3’UTR of the DMKP gene. A nuclease, TALENCTG was designed to induce a double strand break into the CTG repeats. It was previously shown to be active in yeast cells, inducing contractions of CTG repeats from a DM1 patient integrated into the yeast genome. The TALEN was tested in DM1 patient cells. The nuclease was found to trigger some contraction events in patient cells. In vivo experiments were carried out in a mouse model of myotonic dystrophy type 1 containing a human genomic fragment from a patient and 1000 CTG. Intramuscular injections of recombinant AAV encoding the TALENCTG revealed that the nuclease is toxic and/or immunogenic in muscle cells in the tested experimental conditions. Finally, the reporter assay integrated in yeast to screen nucleases was transposed in HEK293FS cell line. The integrated cassette contains a CTG expansion from a myotonic dystrophy type 1 patient flanked by two halves of GFP genes. This system would enable to find nucleases active in human cells
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Nguyen, Xuan-Tam. „Approches globales afin d’élucider les mécanismes pathogéniques de la dystrophie myotonique de type 1“. Thèse, 2016. http://hdl.handle.net/1866/18667.

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La dystrophie myotonique de type 1 (DM1) est une maladie dégénérative impliquant des symptômes d’atrophie musculaire et de myotonie. Au niveau moléculaire, elle est caractérisée par une expansion aberrante de CUG dans la région 3’UTR de l’ARNm de DMPK (Dystrophia Myotonica protein kinase). Ces répétitions CUG forment des agrégats toxiques (appelés foci) majoritairement nucléaires dans les cellules de patients DM1 et causent la séquestration anormale de ribonucléoprotéines (RBP), tel que le facteur «Muscleblind-like 1» (MBNL1), qui lieraient normalement les motifs CUG d’autres ARN. Les fonctions normales de ces RBPs seraient alors perturbées. En plus de leur rôle dans l’épissage alternatif, MBNL a récemment été caractérisé pour son implication dans la localisation intracellulaire de ses ARN cibles. Ceci suggèrerait que la pathogénèse de la DM1 pourrait résulter de l’effet perturbateur des répétitions CUG sur la localisation d’ARN précis et de protéines RBPs. À cet effet, un criblage basé sur de la microscopie fluorescente de 322 RBPs dans des myoblastes de patients DM1 a permis d’identifier des nouveaux facteurs qui colocaliseraient avec les expansions pathogéniques CUG. De plus, ces myoblastes DM1 ont été fractionnés et un séquençage-ARN a par la suite permis l’identification de transcrits délocalisés. Les deux banques de données ainsi générées, tant par le criblage que par le fractionnement/séquençage-ARN, pourraient ouvrir des nouvelles avenues de recherches dans la compréhension des anomalies moléculaires associées à la DM1, et potentiellement d’autres maladies à expansions microsatellites.
Myotonic dystrophy of type 1 (DM1) is a degenerative disorder implicating symptoms of muscular atrophy and myotony. In a molecular level, it is caused by the aberrant expansion of CUG repeats in the 3’-UTR region of the DMPK mRNA (Dystrophia Myotonica protein kinase). Excessive CUG repeats then form toxic aggregates (foci) enriched within the nucleus of DM1 patient cells. These RNA foci cause the abnormal sequestration of RNA Binding Proteins (RBP), in particular members of the Muscleblind-like protein 1 (MBNL), that normally bind the CUG motif of other target RNAs, and will hence alter their normal functions. In addition to their role in alternative splicing, MBNL1 has recently been implicated in the intracellular localisation of its RNA targets. It remains elusive whether the pathogenesis of DM1 could result from the deregulating effect of CUG repeats on the localisation of specific RNAs and RBP proteins. In this thesis, a fluorescent imaging-based screening of 322 RBPs in DM1 patient’s myoblasts has been conducted and this had led to the identification of new factors that may colocalize with pathogenic CUG expansions. Moreover, these DM1 myoblasts have been fractionated and subsequent RNA-sequencing has permitted the identification of transcripts that are delocalised between subcellular compartments. From the two large datasets generated from the RBP imaging-based screening and fractionation/RNA-sequencing, new avenues of research can be initiated to further understand not only DM1, but perhaps also other disorders that implicate microsatellite expansions.
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Bouliane, Danielle. „Les stratégies d'adaptation utilisées par les femmes atteintes de la dystrophie myotonique de type 1“. Thèse, 2015. http://constellation.uqac.ca/3731/1/Bouliane_uqac_0862N_10174.pdf.

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Les femmes atteintes d’une maladie chronique telle que la dystrophie myotonique de type 1 (DM1) doivent composer avec des difficultés inhérentes aux conséquences de la maladie sur leur vie au quotidien et sur leur capacité à assumer leurs rôles sociaux. La présente étude avait pour objectif général de documenter les stratégies d’adaptation qu’utilisent les femmes atteintes de DM1 pour faire face aux difficultés rencontrées dans leurs rôles sociaux. Pour ce faire, 17 entrevues semi-dirigées réalisées auprès de femmes atteintes de la DM1 dans la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean ont été analysées sous l’angle spécifique des stratégies d’adaptation. Les deux objectifs spécifiques visés par cette étude étaient : 1) Identifier les stratégies d’adaptation utilisées par les femmes atteintes de DM1 pour faire face aux différentes difficultés de la vie qu’elles rencontrent au point de vue personnel et social et ce, en fonction de leur statut matrimonial; 2) Explorer la manière dont les stratégies d’adaptation utilisées leur permettent de composer avec les difficultés inhérentes à cette maladie et comment les stratégies d’adaptation qu’elles utilisent influencent leur bien-être et la perception de leur moral. Les résultats reposant sur trois modèles théoriques ayant trait aux stratégies d’adaptation formant le cadre de référence, démontrent que les stratégies d’adaptation utilisées ont une influence sur la perception du moral et le bien-être des participantes. Ils ont de plus, mis en lumière, l’influence de certains déterminants, tant situationnels que personnels, sur l’utilisation des stratégies ainsi que sur le moral des participantes. Par ailleurs, l’étude a permis de constater que le soutien social est un élément clé pour les femmes atteintes de DM1 et que c’est la qualité et la disponibilité de celui-ci qui importent plutôt que sa source. À ce sujet, chez les femmes vivant avec un conjoint ou un proche, ce sont ces derniers qui apportent leur soutien. Dans les cas où les participantes vivent seules, le réseau social élargi semble offrir un soutien satisfaisant. Les participantes utilisent des stratégies variées mais certaines d’entre elles favorisent un meilleur moral. En effet, les participantes ayant la perception d’un très bon moral ont tendance à minimiser les conséquences négatives de la maladie sur leur vie et à réévaluer positivement leur situation. Les participantes mentionnant avoir un bon moral ont les mêmes prédispositions que les précédentes mais il leur arrive de montrer de la résignation et elles font davantage appel au soutien émotionnel. Les personnes ayant un moral variable présentent davantage de résignation, du fatalisme, du déni mais chez ce dernier groupe, les participantes se préoccupent davantage de fournir de l’information aux différents membres de leur entourage sur leur maladie et ses impacts, ce qui leur permet d’obtenir un soutien plus adéquat de la part de leurs proches. Cette étude présente certaines limites, soit de ne pas prendre en considération le stade d’évolution de la maladie chez les participantes. De plus, la présente étude a été réalisée à partir d’une analyse secondaire de données recueillies qui ne visaient pas à identifier les stratégies d’adaptation utilisées par les répondantes. Cette situation fait en sorte que certaines questions et instruments de mesure spécifiques permettant d’identifier rigoureusement les stratégies d’adaptation utilisées par les répondantes n’ont pas été utilisés. Toutefois, la présente recherche, malgré ces deux limites, permet d’éclairer sous un angle nouveau les stratégies d’adaptation spécifiquement utilisées par les femmes atteintes de DM1. Elle ouvre des possibilités d’intervention auprès de ces femmes afin de les aider à atteindre et à maintenir un meilleur bien-être en dépit des difficultés liées à la DM1.
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Desjardins, Patrick. „Évaluation de la capacité fonctionnelle chez des patients atteints de la dystrophie myotonique de type 1“. Thèse, 2012. http://constellation.uqac.ca/2717/1/030430878.pdf.

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L'évaluation chez les patients atteints de dystrophie my otonique de type 1 (DM1) pose souvent un problème aux cliniciens, car il existe peu d'outils d'évaluation qui permettent d'évaluer objectivement et quantitativement les limitations fonctionnelles. Le but de cette recherche est donc de valider la batterie de tests UQAM-YMCA chez des patients atteints de DM1. Quarante participants (18 hommes et 22 femmes) âgés de 45,9 ±10,8 ans ont réalisé 17 tests regroupés en six déterminants de la capacité fonctionnelle : la vitesse segmentaire, le temps de réaction simple; la force et la puissance musculaire; l'équilibre statique; la mobilité musculoarticulaire; la capacité de déplacement pédestre. Des 40 participants, 20 sont atteints de DM1 et 20 sont sains. La fidélité des tests pour le groupe DM1 a été démontrée par une procédure test-retest réalisée à une semaine d'intervalle et révèle des valeurs de corrélation généralement supérieure à 0,80. En comparant les moyennes du groupe expérimental et du groupe témoin (test-t, échantillons indépendants), on remarque une différence significative (p<0,05) pour 15 des 17 tests. De plus, une analyse discriminante pas-à-pas a permis de classer correctement 97.5 % des participants dans le bon groupe (DM1 vs sains). Globalement, les performances fonctionnelles des personnes atteintes de DM1 sont équivalentes à celles d'individus de plus de 70 ans. La batterie de tests UQAM-YMCA s'avère donc être un outil d'évaluation sensible, précis, valide et fidèle afin d'évaluer la capacité fonctionnelle chez des patients atteints par la DM1.
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Burgoci, Vasile. „Étude du rôle des ARN non codants du cluster Dlk1-Dio3 dans la dystrophie myotonique de type 1“. Thèse, 2019. http://hdl.handle.net/1866/22793.

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Bouchard, Claudia. „L'expérience des personnes aidantes auprès de leur partenaire atteint-e de dystrophie myotonique de type 1 : une analyse féministe de leurs pratiques d'aide et de soutien“. Thèse, 2010. http://constellation.uqac.ca/245/1/030165506.pdf.

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Au Saguenay-Lac-Saint-Jean, on retrouve un taux particulièrement élevé de personnes atteintes de dystrophie myotonique de type 1. Plusieurs d'entre elles reçoivent du soutien de la part de leur conjoint-e. Le fait d'apporter de l'aide et du soutien à son ou sa partenaire atteint-e de dystrophie myotonique de type 1 (DM1) entraîne toutefois de multiples conséquences sur les différentes sphères de vie des personnes aidantes. Ce projet de recherche vise ainsi à présenter la réalité des personnes aidantes auprès de leur partenaire atteint-e de DM1 et ce, afin d'approfondir notre compréhension des différents aspects de leur vécu et ultérieurement, d'améliorer la pratique des intervenant-e-s auprès de cette population. Ce sont plus spécifiquement les motivations à accomplir le rôle d'aidant-e, les pratiques accomplies dans le cadre de celui-ci, ainsi que les répercussions de cette implication sur leur vie qui sont explorées et ce, en tenant compte de l'appartenance de genre des personnes aidantes. En effet, la présente recherche s'inscrit à l'intérieur d'un contexte social précis, contexte notamment caractérisé par l'inégalité des rapports sociaux entre les hommes et les femmes. Afin d'éclairer cette situation, la notion de construction sociale des genres est utilisée comme étant le processus par lequel sont attribués des rôles sociaux spécifiques aux hommes et aux femmes et qui a pour effet d'engendrer des inégalités. L'influence de la construction sociale des identités sexuelles sur la dynamique d'aide et de soutien auprès d'un-e proche ayant des incapacités est donc ici explorée. En se basant sur une perspectiveIV féministe, la présente recherche traite de la socialisation différenciée entre les hommes et les femmes qui mène à une oppression systémique des femmes au sein du marché du travail, mais également à l'intérieur de la sphère privée en tant que principales responsables des tâches domestiques tout comme des soins aux enfants et aux personnes vivant avec des incapacités. Cette recherche qualitative descriptive a été effectuée dans le cadre de la maitrise en travail social à l'UQAC. Elle a été réalisée à l'aide de 18 entrevues semi-dirigées en profondeur effectuées auprès de conjoint-e-s aidant-e-s de personnes atteinte du phénotype adulte de la DM1 dans un contexte de vie commune à domicile. La collecte de données a ainsi regroupé 7 femmes et 11 hommes du Saguenay-Lac-Saint-Jean qui apportent de l'aide et du soutien à leur partenaire. Il a été observé que le lien avec la personne aidée, dans la présente étude celui de conjoint-e, joue un rôle prépondérant dans les motivations à assumer le rôle d'aidant-e. Il semble également exister chez plusieurs des personnes rencontrées un sentiment d'obligation, de responsabilité ou de culpabilité qui sous-tend l'implication auprès de leur partenaire. En ce qui a trait aux pratiques effectuées par les personnes aidantes, il semble qu'elles ne donnent pas en général de soins de santé complexes, leur apport se situant davantage sur le plan des activités de la vie domestique et quotidienne. Toutefois, certaines divergences ont été constatées dans la perception que les aidant-e-s entretiennent relativement à l'aide apportée à leur partenaire et ce, plus spécifiquement pour les tâches domestiques. Les femmes ont ainsi tendance à occulter cet apport, étant donné que ces tâches représentent encore aujourd'hui une partie des rôles qui leur sont socialement assignés en raison de leur genre. Les hommes quant à eux amènent davantage cette implication en la qualifiant d'aide directe apportée à leur partenaire. Par ailleurs, il a été observé que les aidant-e-s vivent de nombreuses conséquences qui découlent de leur implication auprès de leur partenaire. Les impacts sur leur vie de couple ressortent particulièrement. En effet, les aidant-e-s doivent adapter leurs attentes par rapport à leur vie conjugale en fonction de la maladie de leur partenaire. Enfin, il semble que les répercussions négatives vécues par certaines femmes aidantes sur le plan de leur santé psychologique peuvent être amplifiées par une répartition inégale des soins dans leur couple. Cette situation n'est pas sans référer au fait que les femmes sont toujours les principales dispensatrices des soins dans la sphère privée, et cette tendance peut être exacerbée par la présence de la maladie de leur partenaire. En somme, la présente étude relève l'importance de la prise en compte des rapports sociaux de sexe dans l'analyse de la situation des personnes aidantes. De surcroît, elle démontre l'urgence de se pencher sur la situation actuelle de soutien des personnes vulnérables en tant que barrière importante dans la quête d'égalité entre les hommes et les femmes au sein de la société.
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„Inhibition de la différenciation myogénique par un facteur soluble sécrété par des myoblastes dérivés de muscules squelettiques de sujets atteints de la dystrophie myotonique de type 1“. Thesis, Université Laval, 2005. http://www.theses.ulaval.ca/2005/22662/22662.pdf.

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