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Zeitschriftenartikel zum Thema „Dieux – Noms“

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1

Pirenne-Delforge, Vinciane. „Noms de dieux. Portraits de divinités antiques“. Kernos, Nr. 34 (31.12.2021): 302–3. http://dx.doi.org/10.4000/kernos.3978.

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2

Porzia, Fabio, und Sylvain Lebreton. „“Noms de dieux!” Gods at the borders“. Archiv für Religionsgeschichte 21-22, Nr. 1 (02.12.2020): 221–24. http://dx.doi.org/10.1515/arege-2020-0011.

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3

Rouanet, Cyril. „Bonnet, Corinne, Noms de dieux. Portraits de divinités antiques“. Pallas, Nr. 118 (20.07.2022): 231–36. http://dx.doi.org/10.4000/pallas.22465.

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4

Porzia, Fabio. „Noms de dieux et théologie négative au Levant dans l’Antiquité“. Revue de l'histoire des religions, Nr. 237 (01.06.2020): 211–37. http://dx.doi.org/10.4000/rhr.10521.

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5

Culianu, Ioan Petru. „Dieu et dieux: Noms et nom. Actes du colloque du 20 février 1982 et annexes. Michel Taillé“. History of Religions 24, Nr. 3 (Februar 1985): 288. http://dx.doi.org/10.1086/463008.

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6

Arnould, Dominique. „Les noms des dieux dans la Théogonie d’Hésiode : étymologies et jeux de mots“. Revue des Études Grecques 122, Nr. 1 (2009): 1–14. http://dx.doi.org/10.3406/reg.2009.7940.

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7

Bouchard, Elsa. „Rendre raison des dieux : théonymie et pouvoir des noms chez Hésiode, Eschyle et Platon“. Lalies 42 (2024): 63–131. http://dx.doi.org/10.4000/1232b.

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Ce dossier comporte quatre parties. L’introduction décrit le cadre théorique et méthodologique où se situe l’étude des théonymes et de leurs étymologies chez les auteurs traités dans les sections suivantes. La deuxième partie porte sur quelques analyses nominales chez Hésiode (Cyclopes, Cent-Bras, Aphrodite, Titans, Pandore) qui permettent de préciser le rapport du poète à la tradition. La troisième partie, centrée sur les Euménides d’Eschyle, montre comment le sens donné à certains théonymes ou expressions théophores présents dans la pièce (Phoibos, Areios Pagos, Pallas, Erinues) contribue à la démarche mythopoïétique déployée à la fin de l’Orestie. La quatrième partie propose une lecture qui articule les étymologies de théonymes présentées dans le Cratyle de Platon au discours cosmologique et théologique mis de l’avant dans d’autres dialogues platoniciens.
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8

Ceravolo, Marinella, und Lorenzo Verderame. „Les listes des dieux dans le Proche-Orient ancien. Les noms divins entre hiérarchie et puissance“. Archiv für Religionsgeschichte 24, Nr. 1 (05.06.2023): 35–76. http://dx.doi.org/10.1515/arege-2022-0003.

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Voinea, Sonia. „« Les dieux dont il n’est pas permis de divulguer les noms ». Enquête sur les dieux Indigètes dans le contexte de l’époque tardo-républicaine et du Principat“. ASDIWAL. Revue genevoise d'anthropologie et d'histoire des religions 14, Nr. 1 (2019): 225–27. http://dx.doi.org/10.3406/asdi.2019.1167.

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10

Lacroix, Jacques. „Le celtique *dubno- et *albio- dans un ensemble de noms de peuples, de dieux, de personnes et de lieux“. Etudes Celtiques 42, Nr. 1 (2016): 65–93. http://dx.doi.org/10.3406/ecelt.2016.2470.

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Fonseca, Isis Borges Belchior da. „Ulisses na Odisséia de Kazantzakis“. Classica - Revista Brasileira de Estudos Clássicos 2, Nr. 1 (03.02.2018): 54–67. http://dx.doi.org/10.24277/classica.v2i1.624.

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Dans son long poème de 33.333 vers, Nikos Kazantzakis en s’appuyant sur la figure de l’Ulysses homérique, donne au héros des préoccupations tout à fait nouvelles. Ce sont maintenant des problèmes métaphysiques qui occupent son esprit. Après avoir détruit symboliquement les dieux olympiens, le hèros part à la recherche de son dieu. Qu’est-ce "dieu"? C'est la question qui l'obsède. "Dieu" c’est l'élan primitif qui amène l’homme à se dépasser et à accomplir des actions au-dessus de ses forces? Ou s'identifie-t-il avec le Néant? Pour le poète, tout en méprisant le culte ancien, on doit reprendre le cheminement à partir du néant, sans le moindre respect pour les nomes imposées par la société. Dans des rencontres symboliques avec de grandes figures de l’humanité, parmi lesquelles Hamlet, Bouddha et le Christ, le héros met en lumière les différents étapes de ses réflexions les plus profondes.
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Mattalucci, Claudia. „Traduire les noms de Dieu“. Archives de sciences sociales des religions, Nr. 147 (01.10.2009): 105–23. http://dx.doi.org/10.4000/assr.21398.

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13

Higuet, Etienne Alfred. „Um novo nome para Deus?“ Estudos de Religião 35, Nr. 1 (16.06.2021): 217–25. http://dx.doi.org/10.15603/2176-1078/er.v35n1p217-225.

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14

Higuet, Etienne Alfred. „Um novo nome para Deus?“ Estudos de Religião 35, Nr. 1 (23.07.2024): 217–25. http://dx.doi.org/10.15603/2176-0985/er.v35n1p217-225.

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Mulopo MAKAMBU, Apollinaire. „Dieu et la conception africaine de la vie“. Cahiers des Religions Africaines 1, Nr. 1 (25.04.2020): 57–70. http://dx.doi.org/10.61496/qhni8923.

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Résumé Le concept de Dieu n’est pas étranger aux Africains. Il est bien présent dans des mythes, des légendes, des proverbes, de brèves déclarations, des chants, des prières, des noms et des actions religieuses, à travers lesquels sont exprimées les expériences des Africains avec Dieu. Cette croyance en Dieu est en Afrique traditionnelle inséparable de la conception de la vie. Par vie, les Africains entendent à la fois la vie biologique, la vie intégrale, et la vie dans l’au-delà. Mots-clés : Dieu, Etre suprême, Vie, ancêtres, au-delà, famille, procréation, initiation
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BOVON, FRANÇOIS. „Names and Numbers in Early Christianity“. New Testament Studies 47, Nr. 3 (Juli 2001): 267–88. http://dx.doi.org/10.1017/s0028688501000170.

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Les premiers chrétiens recoururent aux noms et aux nombres pour organiser leur pensée théologique. Ce faisant, ils poursuivaient une habitude ancrée aussi bien dans la réflexion philosophique grecque que dans les Écritures hébraïques. Sans développer une ontologie du langage, ils articulaient les mots et les chiffres sur la réalité, laissant à Dieu la responsabilité des équivalences. Le nom de Dieu et le nom de Jésus constituaient, à leurs yeux, le noyau de leur confession de foi.
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Alexandre, Jean. „Sur les deux noms du Dieu de Genèse 2/4b-3/24, ou la «théo-logique» d’un Dieu critique“. Études théologiques et religieuses 77, Nr. 3 (2002): 415–20. http://dx.doi.org/10.3406/ether.2002.3702.

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Cette étude ressortit à la poétique. Jean Alexandre y montre que la double nomination du dieu de Gn 2/4b-3/24, YHWH-Èlohim, est cohérente avec le caractère général de la dualité des signifiants de ce récit, qui peut ainsi être compris comme le premier élément d’une vaste réflexion «théo-logique» présente dans l’ensemble des Écritures hébraïques. Naît alors la figure d’un dieu critique qui transige, face aux errements humains, entre deux statuts narratifs, ceux du dieu-juge tout-puissant et d’un seigneur engagé par serment envers ses servants. Cette contradiction fait de lui un personnage tragique.
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Pozzi, Giovanni. „Les noms de Dieu dans les Fiancés de A. Manzoni“. Pierre d'angle 1 (1995): 185–202. http://dx.doi.org/10.5840/pda1995112.

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LAUWERS, PETER. „Les noms nus inanimés attributs. Essai de classification syntaxique et sémantique“. Journal of French Language Studies 17, Nr. 1 (09.02.2007): 81–102. http://dx.doi.org/10.1017/s0959269506002651.

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Dans cette contribution, nous proposons une analyse des noms attributs inanimés dépourvus de déterminant. Partant d'une typologie globale des emplois attestés dans Frantext, nous nous concentrerons surtout sur les emplois nominaux ‘productifs’, c'est-à-dire les emplois nominaux qui ne sont ni figés (X est fonction de), ni liés à une série d'items lexicaux particuliers (X est affaire/question…de). Il s'avère que les emplois nominaux se situent entre deux pôles sémantiques, qui correspondent à deux profils syntaxiques: un pôle [+ catégorisation] (Bruxelles est capitale de l'Europe) et un pôle [+ association conceptuelle] (Dieu est amour; un visage qui fut révélation). Le premier pôle se trouve dans le prolongement de la construction prédicative des noms humains (Pierre est médecin) et constitue l'interprétation par défaut. Les emplois se rattachant au second pôle se fondent sur un calcul inférentiel.
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Robin, Christian Julien. „Les noms du Dieu unique dans les religions de l’Arabie préislamique“. Communio N° 269-270, Nr. 3 (04.05.2020): 67–86. http://dx.doi.org/10.3917/commun.269.0067.

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Marion, Jean-Luc. „De la « mort de Dieu » aux noms divins : l’itinéraire théologique de la métaphysique“. Laval théologique et philosophique 41, Nr. 1 (1985): 25. http://dx.doi.org/10.7202/400136ar.

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Mettayer, Arthur. „« Pour vous, qui suis-je ? »“. Thème 10, Nr. 2 (25.08.2004): 79–93. http://dx.doi.org/10.7202/008884ar.

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Résumé Les évangiles de Marc, Luc et Mathieu nous rapportent la question Qui suis-je ? posée par le personnage Jésus. Or, la formulation de la question, et sa réponse, se transforment d’un évangile à l’autre. Ce déplacement nous invite à un parcours, dont le point d’arrivée et de départ est aussi le lieu où la question se pose, lieu de l’Autre, lieu où un sujet amorce la rencontre de son désir. Qui suis-je? met en jeu non pas une reconnaissance de soi, ni une quête d’identification, mais bien plutôt l’endossement d’un nom par où s’insurge un manque à être. Les noms de fils de l’homme (Mc), de Christ de Dieu (Lc), de fils du Dieu vivant (Mt) révèlent tour à tour l’écart de la demande du Qui suis-je ?, révélant l’impossibilité du langage à dire totalement le sujet qu’il représente. Paradoxalement, la question est de l’ordre d’une dé-subjectivation, et non de l’attente d’un titre – comme d’un hors lieu où Christ peut être entendu dans son irréductibilité.
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Saindon, Marcelle. „Le Buddha comme neuvième avatāra du dieu hindou Visnu“. Studies in Religion/Sciences Religieuses 32, Nr. 3 (September 2003): 299–310. http://dx.doi.org/10.1177/000842980303200304.

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Dans les nombreuses listes qu'en donnent les purâna, le nombre des avatāra et leurs noms ont beaucoup varié jusqu'à l'établissement d'une liste définitive. Et dans cette liste de dix avatāra figure au neuvième rang le Buddha, le dernier à apparaître dans la série. L'avatāra Buddha agit par la māyā (la ruse de Visnu) ; par le moyen de l'apparence trompeuse, il sème la confusion dans les esprits, répand des hérésies et incite à des comportements antibrahmaniques. Mais le Buddha n'est qu'une forme illusoire qu'a prise Visnu pour tromper les infidèles et les méchants afin de mieux provoquer leur ruine. La récupération par l'hindouisme du réformateur de la tradition védique et son intégration parmi les avatāra du grand dieu hindou témoigne de la séduction qu'a pu exercer son message, ce qui a amené les brahmanes à vouloir subvertir l'enseignement du grand adversaire.
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Calixto, Pedro, und William D. Sversuti. „Le Dieu omnivoyant et l'objet de son voir chez Nicolas de Cues“. Revista Ética e Filosofia Política 2, Nr. 24 (02.04.2022): 348–74. http://dx.doi.org/10.34019/2448-2137.2021.37208.

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Cet article a comme objetif analyser les liens possibles entre deux thèmes de grande relevance de la philosophie de Nicolas de Cues : la théophanie comme manifestation de Dieu et la filiatione dei ou visio Dei, comme modes de clairvoyance de l'infini divin. Cette « voie divine » de la connaissance est la fin d'un voyage où la créature « court » vers le fondement radical qui se révèle em tant que présence infinie dans le fini grâce une « vision » intellectuelle. Le principe de la non-contradiction doit donc être remplacé par celui de la coïncidence des contraires ; cependant, ce dernier doit finalement être dépassé par l'ignorance savante. A son tour, selon Nicolas de Cues, dans cette vision théophanique, le « ne pas savoir » de la créature coincide avec le « savoir » que Dieu a de lui-même, c'est-à-dire de sa connaissance de soi comme infini et non pas en tant qu’une chose parmi d’autres. Dans la tradition néoplatonicienne latine, l’univers théorique où gravitent les concepts de monè, proódos et epistrophé (manence, procession et retour), Nicolas de Cues apporte cependant des nouveautés par rapport à ses prédécesseurs, comme Jean Scot Erigène, puisqu'il se lance dans une tentative ambitieuse d’utiliser la négativité comme outil d'un « discours ignorant » radical, c'est-à-dire un discours qui cherche une expression positive de la « racine » de cette relation paradoxale Créateur-créature. A travers l'itinéraire d'élaboration des noms divins et des énigmes de plus en plus « capables » d'orienter l'intellect vers cette vision du principe incompréhensible dans sa relation active de création/vision avec l'Univers, le Cardinal parcourt le chemin philosophique proposé dans son De coniecturis : une recherche sans fin de l'expression positive de Dieu à travers la négativité visant dépasser l’anonymat classique qui caractérise la tradition néoplatonicienne. Mots-clés : Nicolas de Cues, Visio de Dieu, Docte ignorance, infini, néoplatonisme
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Simard, Jean. „Le patrimoine immatériel des communautés religieuses“. Les Cahiers des dix, Nr. 53 (30.10.2012): 251–87. http://dx.doi.org/10.7202/1012964ar.

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Qu'est-ce que le patrimoine immatériel ? Il désigne l'ensemble des savoirs et des savoir-faire qui ont permis ou permettent encore de donner vie et sens aux objets. Les archives écrites ne peuvent à elles seules reconstituer la vie des choses. Seuls les témoins vivants, porteurs de savoirs et de savoir-faire dont ils maîtrisent encore les codes, peuvent détailler les fonctions et les noms de certains objets liturgiques. La place des arts et de l’architecture dans le patrimoine religieux occultent parfois l’importance des expériences de vie de ceux et de celles qui ont consacré leur vie au sein d'un ordre religieux. Cette enquête menée auprès des aînées chez les augustines de l'Hôtel-Dieu de Québec fait découvrir leur formation religieuse et professionnelle et révèle ces religieuses comme porteuses de savoir et de traditions.
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BUZZETTA, Flavia. „Title Et vocatum est nomen eius IESVS. L’onomastique divine dans la pensée cabbalistique chrétienne de Niccolò Camerario // The Names of God in the Christian Kabbalah of Niccolò Camerario“. Mediterranea. International Journal on the Transfer of Knowledge, Nr. 3 (31.03.2018): 111. http://dx.doi.org/10.21071/mijtk.v0i3.10772.

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Cet article prend en considération les théories hétérogènes de la Cabbale chrétienne sur les différents noms de Dieu et de Jésus dans le contexte de la pensée syncrétique de la Renaissance. En particulier, on prendra en examen les textes de Niccolò Camerario (1469–1532). Son épitre sur le nom de Jésus et la Nova Expositio super Evangelio peuvent être considérées comme des exemples de la lecture chrétienne du Tétragramme et d’une interprétation christologique des doctrines cabbalistiques juives. // The article examines the theories by the early Christian Kabbalists about the different names of God and of Jesus in the context of the Renaissance syncretistic thought. The study focused especially on the writings of Niccolò Camerario (1469–1532). His letter on the name of Jesus and the Nova Expositio super Evangelio are some examples of a Christian reading of the Tetragrammaton as expression of new Christological interpretations to Jewish Kabbalistic doctrines.
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Lafargue, Bernard. „Désinvolture de la beauté adhérente et sublime de la beauté vague dans la révolution esthétique kantienne“. Figures de l'Art. Revue d'études esthétiques 14, Nr. 1 (2008): 135–53. http://dx.doi.org/10.3406/fdart.2008.1481.

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En faisant de la sublime beauté vague de La Nature, qui cache l’art de Dieu tout en le laissant deviner, le véritable fondement du jugement de goût, La Critique de la faculté de juger ne pouvait que bannir du salon de ses Lumières toutes les oeuvres d’art à la beauté adhérente et, par le fait même, “ la maudite race” des amateurs distingués et beaux esprits corrompus. Dans la lunette de la révolution esthétique kantienne, l’art de la désinvolture, qui, sous les noms de grazia, sprezzatura, déprisement, despejo ou bel esprit, a rayonné dans les académies, ateliers, cours et salons d’Europe du XVe au XVIIIe siècle, perd ses lettres de noblesse. Désormais, dans la bouche du bon bourgeois du XIXe siècle comme dans l’Esthétique hégélienne, “ désinvolture” devient un quolibet, propre à disqualifier la légèreté d’artistes sans esprit ni vergogne et la versatilité d’amateurs frivoles et cyniques.
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Ribard, Dinah. „Faire voir l’histoire, voir le passé: histoire d’un plaidoyer à transformations (Antoine Le Maître, 1631–62)“. French Studies 79, Nr. 1 (02.01.2025): 22–35. https://doi.org/10.3828/fs.2025.79.1.3.

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Cet article propose une analyse politique de ce qui se voit dans les écrits. Il s’intéresse à une plaidoirie célèbre d’Antoine Le Maître, prononcée au début des années 1630, publiée à plusieurs reprises dans les années 1650, et commentée dans les différentes éditions de celle de l’avocat qui avait été son adversaire dans la cause en question. Dans une de ses éditions, toutes postérieures à la fameuse retraite de Le Maître à Port-Royal, ‘La Fille désavouée’ attribue à l’avocat la mission historique de faire voir la présence de Dieu dans les histoires humaines. Le brio de cette théorisation, dont l’ajout est noté par l’adversaire de Le Maître en 1662, attire l’attention sur ce que fait d’autre cette réédition des œuvres du grand avocat retiré du monde: faire voir des noms importants, réécrire un passé de la justice française qui s’était inscrit dans les éditions précédentes de ses plaidoyers.
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Carraud, Vincent. „Le concept de joie“. Courrier Blaise Pascal 46 (2024): 73–99. https://doi.org/10.4000/130ck.

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La liturgie catholique fait de la joie l’objet de deux dimanches en particulier, le troisième dimanche de l’Avent et le quatrième dimanche du Carême, qui étaient souvent désignés, à partir de l’antienne d’ouverture de la messe, comme « dimanche de Gaudete » et « dimanche de Laetare ». Ces deux verbes, comme les noms qui leur correspondent, gaudium et laetitia, suffisent à indiquer que nous avons affaire, derrière une même traduction par le mot « joie », à deux notions différentes. Nous nommons la première « joie intentionnelle » ou « attentionnelle », car on s’y réjouit de l’attente d’un événement proche vers lequel elle est tendue (la venue du Sauveur), et la seconde « être-en-joie », car elle anticipe une joie qui accomplit définitivement la consolation qu’est la béatitude éternelle. Pascal fait fonds sur cette distinction dans le Mémorial pour penser, avec Descartes, un concept de joie purement intellectuelle, qui caractérise la seconde comme joie de la certitude de l’accès à Dieu, donnée par le Christ, et qu’il s’agit alors de conserver, comme il l’écrit dans la sixième lettre à Charlotte de Roannez. Cette distinction de l’imminence de l’advenue et du maintenant de la présence semble de nature à remettre en cause la datation de la fameuse Lettre sur la joie.
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Lock Farina, Diego. „ARTAUD E O MEIO PARA OS DEVIRES-LOUCO“. Organon 36, Nr. 72 (17.12.2021): 117–39. http://dx.doi.org/10.22456/2238-8915.117435.

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O presente artigo analisa os agenciamentos entre a obra de Artaud e o desdobramento de alguns de seus conceitos operado por Deleuze no campo do pensamento imanente. Partindo de Pour en finir avec le jugement de dieu e da poética da crueldade, Artaud erige o “Corpo sem órgãos”, que declara combate ao organismo antropocêntrico, em nome da liberdade pré-individual, do fim do juízo, e pela demanda de uma história do impossível na linguagem. Fora e devir, gagueira e esquizofrenia enquanto estilo, encontram em Deleuze singulares problematizações ético-políticas através da literatura como empreendimento de saúde. Nesse intuito, tensionamos sobretudo as leituras de Grossman e Blanchot acerca do silêncio e do sofrimento artauniano com o pensamento sem imagem deleuziano, no sentido de explorarmos as reais metamorfoses que acontecem em meio a esse processo artístico antimimético, não-teleológico, não-identitário e que, enfim, provoca os limites do ontológico, promovendo a multiplicidade no plano da criação.
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Jover, F. „Les affres de la création de l’espace : les carnets à dessin de Nijinski“. European Psychiatry 28, S2 (November 2013): 37. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.092.

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La carrière fulgurante du danseur Vaslav Nijinski a duré dix ans de 1908 à 1917. Surnommé le « Dieu bondissant », il a quitté la scène publique pour un dernier saut dans la maladie à l’âge de 28 ans. Son histoire s’est mêlée à celle de la psychiatrie dont il va rencontrer les grands noms, A. Adler, M. Sakel, L. Binswanger et E. Bleuler qui va diagnostiquer « …une confusion mentale de nature schizophrénique avec une légère excitation maniaque… ». Le soir de sa dernière représentation en janvier 1919 au grand hôtel de St-Moritz devant 200 personnes Nijinski débute la rédaction de ses cahiers et confie à sa femme Romola qu’il veut montrer « les affres de la création, la souffrance endurée par l’artiste en train de travailler ». Parallèlement, il réalise des carnets à dessin avec le projet d’une nouvelle cotation chorégraphique. Ce faire-œuvre testamentaire de sa vie d’artiste avant de s’enfermer dans un long silence représente un manifeste de sa vaine habitation du monde face à la désorganisation psychotique et ses tentatives pour le reconstruire. Confronté à une modification du Sentir qu’il s’efforce d’endiguer par la rédaction de ce qu’il nomme « le livre du sentiment », il nous laisse son mystérieux catalogue à dessins, à la fois magnifique et effrayant, des transcriptions picturales d’une présence accablée par la proximité du monde et de ses objets hallucinatoires qui viennent le prendre au corps et dont il ne peut prendre distance.
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Emanov, Aleksandr. „Les paradigmes de la culture byzantine et la Russie post-byzantine“. Chroniques slaves 1, Nr. 1 (2005): 81–90. http://dx.doi.org/10.3406/chros.2005.850.

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Prolongement d’une Antiquité tardive, Byzance a conservé le pouvoir du peuple, sa participation aux affaires publiques, mais elle a créé un système de valeurs original. Figure centrale de la taxis, l’empereur, élu de Dieu, accueille dans son œkoumène sa famille byzantine et les autres princes, qu’ils soient chrétiens ou non. Ses fonctions sont complétées par celles du patriarche. L’orthodoxie n’admet aucune hiérarchie entre les trois figures de la Trinité. Grâce au logos, l’art du verbe hérité de l’Antiquité, la parole de l’apôtre est supérieure au pouvoir du glaive. Le canon marque les limites de la perfection accessible à l’homme et incarne la multitude des volontés qui aspirent au même idéal. Le nomos définit le droit comme «l’art du bien et du juste ». Loin d’humilier l’homme dans sa chair, le christianisme oriental accorde leur place aux plaisirs sensuels, malgré leur caractère éphémère. Le concept d’unanimité, l'omonoïa appartient à la tradition de la polis démocratique, mais délivrée du recours à la violence, à l’ostracisme ; c’est par la réconciliation avec soi-même, avec ses proches, avec Dieu, qu’on accède à cette harmonie. La perfection du kallos divin se reflète dans la nature, elle favorise l’union et la paix. «La beauté est lumière». Suprême expression du beau, la lumière spirituelle délivre du péché, du préjugé, de l’incrédulité. On retrouve dans la culture russe ces paradigmes byzantins, la taxis, le logos, le dogme de la Trinité, l'omonoïa, la liberté intérieure, le culte de la beauté spirituelle. Au XVIIe siècle, la tentative de s’en émanciper conduit à l’occidentalisation, à l’opposition des «vieux-croyants» et place la Russie dans une illusoire concurrence avec l’Occident. Pour ne pas se soumettre aux règles du jeu qu’il impose, pour ne pas connaître le sort de Byzance, il est temps encore de rendre leur place à ces paradigmes.
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Brick, Noelle, und Clarissa Wilks. „A L'Ecoute Du LangageEt Dieu nomma la femme: observations sur la question de la féminisation des noms d'agent et sur les désignations d'Edith Cresson dans la presse“. Journal of French Language Studies 4, Nr. 2 (September 1994): 235–39. http://dx.doi.org/10.1017/s0959269500002246.

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Bonanno, Daniela. „Corinne Bonnet (sous la direction de), Noms de dieux. Portraits de divinités antiques“. Mythos, Nr. 16 (15.12.2022). http://dx.doi.org/10.4000/mythos.4674.

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Sesé, Bernard. „Les visages de Dieu dans l’univers imaginaire de Jean de la Croix“. HispanismeS, 2024. http://dx.doi.org/10.4000/11s80.

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Dans cet article, initialement publié en 1999 dans un recueil en hommage à Jean Bélorgey, Bernard Sesé explore la multitude de visages que revêt Dieu au fil de l’œuvre de Jean de la Croix. Il montre aussi que l’objet mystique reste paradoxalement un être indicible et sans visage, que les images et les noms ne font que refléter ou masquer.
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Pasquali, Jacopo. „D'Ébla á Ougarit: Les marchands d'Oura et les tissus bariolés“. ISIMU 12 (10.02.2016). http://dx.doi.org/10.15366/isimu2009.11-12.008.

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Dans les textes administratifs d’Ébla du milieu du IIIème millénaire av.-J.C. on trouve parfois des tissus bariolés en laine qualifiés comme ù-ra (ki). À mon avis il s’agit d’un toponyme indiquant le lieu d’origine ou d’importation des vêtements. On peut identifier ce toponyme avec le nome de la ville d’Oura en Cilicie bien connue pendant l’époque du Bronze Récent. Ses marchands en effet étaient célèbres grâce à des tissus en laine colorés.Mots clef: Ébla, langue éblaïte, IIIème millénaire, Syria, tissus, rituels, tissus bariolés, dieux des Enfers, Ougarit, Oura, Cilicie, toponymie, Bronze Récent, Commerce. AbstractIn the text from the III millennium Syrian city of Ebla the term ù-ra(ki) is a rarely attested qualificationapplied to precious multicoulored fabrics. This term can be interpreted as a toponym identifying the textilesaccording to their geographical origin, i. e. the Cilician city of Ura well known in the ugaritic texts of theLate Bronze Age.Keywords: Ebla, Eblaic Language, IIIrd Millennium B.C., Syria, Textile Terminology, Rituals, Coulored Textiles, Chtonian Deity, Ugarit, Ura, Late Bronze Age, Cilicia, Toponomastic, Trade.
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Pelúcio, Larissa, und Fernanda Pasian. „Décoloniser l’œil de Dieu - méthodologies féministes pour la construction de cartes sur la violence de genre en Amérique Latine“. Cultures-Kairós, 2012. http://dx.doi.org/10.56698/cultureskairos.1944.

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Cet article présente à quatre cartes latino-américaines qui se décrivent comme des plans de la "violence de genre" ou "violence contre les femmes", dont les principaux créateurs et veilleurs sont des activistes féministes et/ou des collectifs ou organisations de femmes. Pour construire ces cartes, les cartographes s’approprient des outils numériques conçus par les grandes entreprises du Nord global, comme Google Maps, grâce auxquels ils réalisent une contre-cartographie, c’est-à-dire qu’ils mettent en évidence les noms, les enregistrements, les données et les chiffres de la violence de genre qui souvent n’apparaissent pas ou sont effacés dans les documents officiels. À partir d’une méthodologie féministe, décoloniale et "désobéissante", elles créent des statistiques qui servent à la fois de matériel pour les dénonciations des violations des droits des femmes cis et transgenres, et de document académique et analytique. Par-dessus tout, les militants créent des mémoires pour ces crimes qui, jusqu’à récemment, n’avaient même pas la possibilité d’être nommés.
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Laperle, Dominique. „« Une parole de Dieu fraîchement exprimée » : Fondements, usages et représentations du musée scolaire dans les pensionnats de filles des Soeurs des Saints Noms de Jésus et de Marie (1843-1981)“. Historical Studies in Education / Revue d'histoire de l'éducation, 05.08.2007, 53–80. http://dx.doi.org/10.32316/hse/rhe.v19i1.278.

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From 1840 to 1940, there has been a noted increase of school museums dedicated to the Natural Sciences in Quebec. This article analyses the model for museums in different educational establishments for girls in the Montreal area developed by the Congrégation des Soeurs des Saints Noms de Jésus et de Marie. Based on an intuitive approach, lessons using objects, the development of original collections of specimens has been made possible through the voluntary and collective work of the nuns and the students. Ultimately, the collections were displayed in rooms which, over time, have been organized in such a way as to transmit a message in accordance with the spirituality and the world vision of the nuns.
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„Louis-Vincent Thomas, Le Grand-Père Qui M’a Appris Que Les Wolof Ne Meurent Pas : Le Rite Au Service De La Victoire Sur La Mort“. REVUE D’ÉTUDES AFRICAINES 1, Nr. 3 (01.01.2016): 187–203. http://dx.doi.org/10.61585/pud-rea-v1n313.

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Parler de la mort en Afrique et, plus particulièrement, de celle des Wolof du Sénégal, c’est entreprendre de dire la « mort-défaite » se traduisant par la toute-puissance de l’action rituelle et des représentations consacrées en la vie victorieuse « imaginalement » dans toute sa plénitude. La mort, s’il faut la comprendre dans ce contexte, n’est pas une « vie perdante » (R. Caillois), elle est « pansée » pour devenir un pas qui ne mène pas vers un inconnu, mais vers un Ailleurs symboliquement connu (Lamine Ndiaye, 2009). Sous ce rapport, la mort vitale se dit, se parle, se discute, se nomme à travers une pluralité de noms dont la signifiance n’entretient pas le silence, voire le mutisme, mais (in)augure le « bavardage-ouverture » existentiel. En convoquant les mots de la « mort-vie », c’est-à-dire un vocabulaire thanatique important pour désigner le mourir, tels que : « gaañu na » (il s’est blessé), « dellu na » (il est retourné, reparti), « dellu » (retourner), « gaañu » (se blesser), « faatu » (« il est passé »), « noppalu » (« se reposer »), « nelaw » (dormir, sommeiller), « saay » (disparaître, s’effacer, « qui s’est effacé »), « wàcc liggéey » (« finir son travail », « bien achever sa tâche », « mission remplie »), « làqu » (se cacher), « guddée » (« être en retard par rapport au moment où il est attendu »), « fàddu » (de qui on a supprimé la vie), « dem » (partir), « dem allaaxira » (« partir vers l’au-delà »), « dëddu » (qui n’est plus), « génn adduna » (« sortir de l’ici-bas »), « réer » (s’égarer, disparaître, perdre son chemin, sa destination), « wuute » (s’absenter) ; « néew » (le cadavre), « ndem si yàlla » (le rappelé à Dieu) ; « lok xepp »
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Feraru, Remus M. „Sărbători consacrate lui Apollon la Milet și in coloniile sale de la Pontul Euxin / Fetes consacrees a Apollon a Milet et dans ses colonies du Pont-Euxin“. Analele Banatului XXV 2017, 01.01.2017. http://dx.doi.org/10.55201/tokl5203.

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Les fêtes organisées dans les cités grecques se trouvaient, en général, en étroite liaison avec la pratique des différents cultes religieux. Les fêtes publiques étaient autant d’occasions d’honorer les divinités vénérées dans telle ou telle cité. Les fêtes consacrées aux divinités vénérées dans les cités grecques représentaient des repères fondamentaux pour l’organisation de leurs calendriers. Les fêtes consacrées à Apollon sont relativement bien attestées tant à Milet que dans ses colonies du Pont-Euxin (Sinope, Apollonia Pontica, Odessos, Dionysopolis, Tomis, Histria, Tyras, Olbia du Pont, Nymphaion, Pantikapaion, Gorgippia, Hermonassa, Tanaïs). L’objet de notre étude est de faire une recherche comparative concernant les fêtes consacrées à Apollon à Milet et dans les cités pontiques d’origine milésienne. Notre démarche est fondée sur la prémisse que les colonies pontiques milésiennes avaient adopté les cultes et le calendrier de leur métropole, Milet. Apollon occupe une place centrale dans le panthéon des cités pontiques milésiennes, tout comme dans leur métropole, Milet, ce qui est confirmé par la multitude d’épiclèses du dieu: Ἰητρός, Ἑβδόμειος, Νεομήνιος, Θαργήλιος, Δελφίνιος, Μεταγείτνιος, Βοηδρόμιος.Dès le début du VIIIe siècle av. J.-C., la relation entre les noms des fêtes grecques et les dénominations des mois du calendrier est bien évidente. À l’origine, les Grecs dénomaient les mois du calendrier selon les fêtes principales; chaque mois portait un nom dérivé du nom de la fête homonyme ou de l’épiclèse du dieu vénéré à cette occasion. Les rituels et les cérémonies festifs étaient accomplis pendant les jours du mois consacrés à chaque divinité importante, jours fixés par des lois et des réglementations sacrées. Par exemple, le mois Θαργηλιών signifie „le mois de la fête Θαργήλια”, consacrée à Apollon Θαργήλιος. Apollon Iètros (Guérisseur, Médecin) était la principale divinité vénérée exclusivement dans les colonies milésiennes situées sur les côtes de l’ouest et du nord de la Mer Noire. En échange, les inscriptions n’attestent pas le culte d’Apollon Iètros à Milet. D’après Ju. G. Vinogradov, la vénération d’Apollon Iètros aurait été prescrite aux colons venus de Milet par l’oracle de Didymes. L’importance du culte d’Apollon Iètros dans le cadre de la vie religieuse d’Histria réside dans le fait que son prêtre était l’éponyme de la cité. Aristagoras fils d’Apatourios avait organisé très probablement des fêtes publiques et des processions en l’honneur d’Apollon Iètros et d’autres divinités vénérées par les Histriens dans la cité. Apollon Delphinios était la divinité principale de Milet, vénérée dans son temple, le Delphinion. Son culte était l’apanage de l’association des Molpoi dont le président, l’asymnète, exerçait la charge éponyme. Le culte d’Apollon Delphinios est attesté pour des colonies pontiques milésiennes de la côte septentrionale du Pont-Euxin. Le mois Tauréôn occupe une place importante dans le cycle festif d’Apollon Delphinios, à Milet. Pendant le mois de Tauréôn (avril / mai) à Milet étaient célébrés les Hebdomaia (Ἑβδομαία) consacrés à Apollon Hebdomeios. À Olbia, Apollon Νεομήνιος («du premier jour du mois») était honoré par l’association des Néoméniastes qui célébraient l’anniversaire du dieu le premier jour de chaque mois. Le décret histrien en l’honneur d’Aba, fille de d’Hekataios indique qu’à Histria était célébré le premier jour du chaque mois (νεομηνία) consacré à Apollon. Pendant le mois de Thargéliôn (qui correspondrait aux mois de mai / juin), à Milet et dans ses colonies pontiques, étaient célébrés les Thargélies (Θαργήλια) consacrés à Apollon Thargèlios. Les Métageitnia étaient consacrées à Apollon Métageitnios(« le protecteur d’alliance et d’union entre les voisins »). La fête des Métageitnia est attestée dans le règlement de culte des Molpes de Milet. L’existence des Métageitnia à Olbia est suggérée par celle du mois de Métageitniôn, attesté directement dans la colonie de la rive du Boug. Le mois de Boédromion (septembre / octobre) attesté directement à Olbia et Odessos, peut être mis en relation avec la traditionnelle fête ionienne des Boédromies (Βοηδρόμια). Les Boédromies sont les fêtes de la solidarité des armes et du secours militaire. L’existence des Pyanepsies (Πυανέψια) aux colonies pontiques milésiennes est suggérée par celle du mois Pyanépsiôn (octobre / novembre). Les cités milésiennes du Pont Euxin ont adopté le cycle de fêtes établi par la tradition milésienne, donnant sans doute la primauté au culte d’Apollon qui était par excellence le patron des fondations pontiques de Milet. Les sources épigraphiques prouvent que le culte d’Apollon a joué un rôle particulièrement important dans l’établissement du calendrier de Milet et de ses colonies pontiques.
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