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Dissertationen zum Thema „Descartes, René (1596-1650) – Physique“

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Oliveira, Erico Andrade Marques de. „Le rôle de la méthode dans la constitution de la physique cartésienne“. Paris 4, 2006. http://www.theses.fr/2006PA040110.

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Dans notre thèse, nous avons essayé de repérer et de déterminer comment la physique cartésienne, surtout celle du Traité et des Principes, se constitue à partir de la mathesis. A cet égard nous avons cherché d’un côté dans la mathesis une discipline capable de remplacer les représentations ambiguës, issues de l’expérience sensible, par des codes scientifiques, tout en fournissant à ces codes une grammaire – composée des lois qui assurent la constitution d’un réseau de propositions empiriques. C’est ainsi que la mathesis a rendu possible une « figuration » de la nature en montrant à travers l’expérience la mesure de la compatibilité du réel avec le simulacre de la science. De l’autre côté, on a voulu dégager le rôle normatif de la mathesis qui contraint les sciences à disposer leurs résultats selon un ordre déductif commun qui va des propositions simples jusqu’aux plus obscures, en montrant le degré de dépendance conceptuelle entre ces propositions
In our thesis, we try to demonstrate how the Cartesian physics, specially that of the Traité and of the Principes, is constituted from the mathesis. From this angle, we tried to see in the mathesis, on the one hand, a discipline that is able to substitute ambiguous representations, originated in the sensitive experience, through scientific codes, providing these codes a grammar - composed by laws which support the building of a net of empirical propositions. Thus, the mathesis enabled a “figuration” of nature, showing through experience the size of the compatibility between the real and the simulacrum of science. On the other hand, we tried to emphasize the normative role of the mathesis that constrains the sciences to display their results according to a common deductive order, which goes from the simplest results to the most obscure ones, demonstrating the conceptual dependence grade between them
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Sciaccaluga, Nicoletta. „Potentia naturalis : rôle et disparition d'une notion centrale dans la physique du jeune Descartes“. Caen, 2008. http://www.theses.fr/2008CAEN1507.

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Ma recherche vise à déterminer le sens du syntagme “potentia naturalis” à l’intérieur de la physique et de la philosophie du jeune René Descartes (1596-1650), et surtout ses reflets sur le Traité de la lumière. Ainsi j’ai exploré la transformation à la quelle, par rapport à ses origines aristotéliciennes, cette notion a été soumise en tant qu’objet de la philosophie naturelle dans le milieu de formation de Descartes, surtout là où celui-ci était plus lié à la rébellion néoplatonicienne a l’Aristotélisme pendant la Renaissance et les débuts de la science moderne. De tout cela il en ressort que cette notion est centrale pour la compréhension de la physique cartésienne du mouvement, puisqu'elle a permis à Descartes de dépasser, avec pleine efficacité et ultérieurement au pur mécanisme, le modèle aristotélicien de l’extranéité entre mouvant et mobile et de concevoir le principe d’inertie comme conséquence d’une spécifique conception conservationiste de la nature. De plus, sa collocation par rapport à la puissance infinie de Dieu l’introduit dans un plus ample terrain métaphysique, celui de la conception du temps et de la substance. Pourtant on pourra voir aussi que la sauvegarde de la transcendance divine et l'opposition entre repos et mouvement dans une physique dominée par la statique ne rendent la rupture avec les positions précédentes que partielle
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Gonzalez, Solange. „Le lieu chez Descartes“. Paris 4, 2004. http://www.theses.fr/2004PA040234.

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L'inachèvement des Regulae et la disparition du syntagme de mathesis universalis dans les œuvres ultérieures ont fait croire à un renoncement de la part de Descartes qui s'exprimerait dans son échec à mathématiser le réel. Interroger la question du lieu chez Descartes prétend rompre avec cette lecture discontinuiste et permet un parcours transversal dans l'œuvre. La notion de lieu permet un tel voyage dans la mesure où elle s'énonce dès l'abord selon un paradoxe susceptible de nous mener au cœur de la philosophie de Descartes : on s'attend à trouver sa définition dans le champ de la physique, et l'on est surpris d'apprendre que les corps n'occupent aucun lieu, par suite qu'ils ne se déplacent pas d'un lieu à un autre et plus radicalement que tout mouvement étant relatif, on peut légitimement considérer qu'un même corps se meut et ne se meut pas. Conformément à la conception de l'ingenium développée dans les Regulae, la puissance n'est reconnue que de l'esprit. Mais son exercice suppose néanmoins la présence d'un corps qui l'incarne ou la subit. Aussi est-il possible de lier la question du pouvoir à celle du lieu et de se demander en quoi le monde est le lieu de Dieu (Eucharistie) et le corps celui de l'âme. L'unité de la mathesis universalis se recompose ainsi en s'adjoignant, selon la matière concernée, les recours de l'imagination, de la mémoire et des sens, sans que l'esprit ne se dépossède de ses prérogatives
The noncompletion of Descartes'Regulae and the disappearance of the syntagma of mathesis universalis in later works lead us to believe a self-denial on Descartes behalf wich express itself in his failure to structure reality. To investigate the question of Descartes'locus presumes follow the evolution of his thought and allows a transversal course of his work. The notion of locus permits such a voyage by expressing itself first trough a paradox that leads us to the heart of Descartes' philosophy: we expect to find its definition in the field of physics and we are surprised to know that bodies fill no locus, because they don't move from one locus to another and, more radically, whereas every movement is relative, we can legitimately consider that the same body does and does not move. Such a conception seems not to allow a mathematical physics. Such a failure has also to be connected to an evolution in Cartesian's conceptions improved in the Regulae, especially concerning the part of imagination; The exertion of ingenium nevrtheless supposes the existence of a body that incarnates. So that it is possible to wonder in Which way the world is the locus of God (Eucharisty) as is the body the locus of the soul
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Bellis, Delphine Julie. „Le visible et l’invisible dans la pensée cartésienne : figuration, imagination et vision dans la philosophie naturelle de René Descartes“. Thesis, Paris 4, 2010. http://www.theses.fr/2010PA040015.

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Le but de ce travail est de comprendre les différents aspects du processus de figuration dans la philosophie de Descartes, en particulier pour une connaissance des corps de la nature. La notion de figure revêt différentes fonctions, des premières œuvres de Descartes jusqu’aux plus tardives : fonction méthodique de représentation conventionnelle des relations entre nos notions, objet géométrique, mode de l’étendue assigné par la métaphysique à la réalité des corps, délimitation externe de corps sensibles ou de corpuscules invisibles dans la physique. Nous cherchons à rendre compte de ces dimensions dans leur ensemble pour comprendre comment la pensée de Descartes évolue des Regulae aux textes plus tardifs et s’efforce de répondre à un problème nouveau qui ne se posait pas pour la scolastique, celui de la connaissance de la figure de corps déterminés. Ce problème peut se poser parce que la métaphysique à la fois établit la figure comme mode essentiel de l’étendue des corps et refuse a priori de recourir à la sensation pour la connaissance, mais il se pose aussi en termes purement épistémologiques pour la constitution d’une physique. Nous montrons qu’une clé de ce problème réside dans la théorie de la vision présentée dans la Dioptrique, mais que ce texte appelle en partie son propre dépassement en direction d’une physique corpusculaire qui met en jeu un usage spécifique de l’imagination et de l’expérience. Ceci doit nous permettre de repenser, à partir de la notion de figure, ce qu’il a été convenu de considérer comme un aspect de la mathématisation de la nature opérée au XVIIe siècle
My aim, in this dissertation, is to explore the various aspects of the process of figuration in Descartes’ philosophy, particularly with respect to the knowledge of natural bodies. Moving from Descartes’ early to his more mature works, we find that the notion of figure (or shape) played a variety of roles: it possessed a methodological function, as a conventional representation of the relations between our notions, but also designated, respectively, a geometrical object, a mode of extension assigned by metaphysics to the reality of bodies, and an external delimitation of sensible bodies or of invisible corpuscles in physics. In analyzing these different functions, my aim is to understand how Descartes’ thought evolved from the Regulae to later texts, while trying to answer a new problem that did not exist for the scholastics, namely that of the knowledge of the shape of determined bodies. This problem arose partly because Descartes’ metaphysics had established shape as an essential mode of bodily extension, while at the time refusing a priori to appeal to sensation for knowledge, but it also emerged for purely epistemological reasons in the process of constituting a new physics. In my thesis, I argue that one key to this problem is to be found in the theory of vision, presented in the Dioptrique, a text that moves, however, towards a corpuscular physics that relies on a specific use of imagination and experience. From this analysis of the notion of figure or shape, we are able to shed a different light on what so far has been considered an integral aspect of the 17th century’s mathematisation of nature
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Say, Constant. „Construction des concepts et principes fondateurs de la physique classique : cas de la dynamique newtonienne“. Paris 7, 2010. http://www.theses.fr/2010PA070105.

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En opposition à une opinion assez, répandue, selon laquelle. Newton a fondé la mécanique rationnelle en s'appuyant sur les travaux de Kepler, Galilée et Huygens, puis en rejetant la « physique cartésienne », cette thèse apporte un nouvel éclairage sur la construction de la mécanique classique. En effet, nous nous intéressons dans ce travail, aux obstacles épistémologiques que tes savants des XVIème et XVIIème siècles rencontrèrent lors de l'élaboration des concepts et principes fondateurs de ia physique. Ceux-ci, serviront à la fin du XVIIème, à bâtir l’axiomatique de la mécanique newtonienne. Ainsi, nous démontrons, à partir d'une lecture historique et critique, que les fondements théoriques de la mécanique moderne s'élaborent, en définitive, au cours de la controverse conceptuelle opposant Descartes à Newton à propos du mouvement circulaire. À la suite de cela, le savant anglais introduit son concept d'espace « absolu ». Comme garant du « principe de l'inertie ». A partir de cet axiome l'ensemble des concepts essentiels de sa théorie s'organisent. II s'agit essentiellement du concept de « force » et de la notion de « masse », cette dernière étant indispensable dans ia quantification des « forces ». Qui sont au cœur de la théorie newtonienne. Au-delà des difficultés d'ordre mathématique et physique, propre à la théorisation newtonienne, notre travail a permis de mettre en évidence le caractère non nécessaire de l'espace « absolu >>, de la « force d'inertie », et de la « force centrifuge », démontrant ainsi le paradoxe qui existe entre la dimension opérationnelle d'une théorie et le statut ontologique des concepts qu'elle utilise
In opposition to a. Widespread opinion that considere Newton to have founded rational mechanics by leaning on the works of Galileo. Kepler and Huygens, and then rejecting "Cartesian physics", this thesis sheds new light on the construction, of classic mechanics. Indeed. In this work we are interested in the epistemological obstacles that scholars of the XVIth and XVIIth centuries met during the elaboration of the concepts and the key principles of physics. These will serve at the end of the XVIIth century to build the axioms of Newtonian mechanics. We demonstrate, from a historical and critical reading, that the theoretical foundations of modem mechanics are elaborated during the conceptual controversy pitting Descartes against Newton on the issue of circular movement, From this content, the great English scientist introduces his notion of '"absolute" space as that which guarantees the "|aw of inertia". From this axiom, Newton can organize all the essential concepts of his theory. This concerns essentially the concept of "force" and the notion of "mass". The latter being essential to the quantification of "forces", which are the heart of Newtonian theory. Beyond the difficulties of a mathematical and physical order that are proper to Newtonian theory, our work allows us to bring to light the inessential character of "absolute" space, ''inertia" and "centrifugal force", thus demonstrating the paradox between the operational dimension of a theory and the ontological status of concepts it uses
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Fusciardi, Alessandra. „Vitale Giordani traduttore e interprete di Descartes : la fisiologia cartesiana a Roma alla fine del XVII secolo“. Paris, EPHE, 2014. http://www.theses.fr/2014EPHE5013.

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Le but de la thèse a été d'étudier, à travers l'analyse d’un texte manuscrit relatif à un cours de ‘philosophie naturelle’, pensé et rédigé pour des élèves, l'incidence et la consistance de la philosophie cartésienne à Rome à la fin du XVIIe siècle. Le manuscrit 2094, qui est conservé dans la Bibliothèque Casanatense de Rome, contient une partie de ce cours, écrit vers 1689-1690 par Vitale Giordani (1633- 1711), professeur de mathématiques à la ‘Sapienza’. L'intérêt de cet écrit vient du fait qu’il s’agit des premières traductions italiennes - bien que incomplètes - jusqu’à présent connues, des œuvres physiologiques de Descartes, Description du corps humain, Homme, et Passions de l'âme, à lesquelles s’ajoutent aussi, compte tenu de l'ensemble du cours, Principia philosophiae, Dioptrique, Météores et Meditationes de philosophia prima. Ces traductions documentent - et c’est bien là l'objectif de la thèse - l’enracinement de la philosophie cartésienne à Rome, qui doit être insérée à juste titre, à côté de Naples, comme centre de circulation et diffusion du cartésianisme à l’âge classique. Le cours témoigne l’exigence de transmettre les textes de Descartes, en les traduisant et en constituant un manuel sur lequel baser l'enseignement de ‘philosophie naturelle moderne’. La thèse est divisée en deux tomes : le premier est dédié à l'analyse du manuscrit, en situant l’œuvre et l'auteur dans le contexte des études romaines, et le second comprend l'édition annotée du manuscrit
The purpose of this thesis is to study - through the analysis of a manuscript that contains a course of ‘natural philosophy’ thought out and prepared for students - the incidence and the significance of the Cartesian philosophy in Rome at the end of the XVIIth century. The manuscript 2094, which is preserved in the Library Casanatense of Rome, contains part of this course, written in 1689-1690 by Vitale Giordani (1633-1711), professor of mathematics in the university ‘Sapienza’. The interest of this script comes from the fact that it was the first Italian translation – even if incomplete – so far known, of physiological works of Descartes, Description du corps humain, Homme, et Passions de l'âme, as well as, considering the whole course, Principia philosophiae, Dioptrique, Météores et Meditationes de philosophia prima. These translation document – and this is the aim of the thesis – the penetration of Cartesian philosophy in Rome, that must be inserted with Naples, as the center of circulation and diffusion of the Cartesianism in the Modern Age. The course demonstrates the need to spread the texts of Descartes, translating and constituting a textbook on which to base the teaching of modern natural philosophy. The thesis is divided in two volumes of which the first is devoted to the analysis of the manuscript, situating the work and the author in the context of roman studies, while the second includes the annotated edition of the manuscript
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Armogathe, Jean-Robert. „Theologia cartesiana : physique et théologie en Europe au XVIIème siècle“. Paris 1, 1998. http://www.theses.fr/1998PA010601.

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Le présent travail est une introduction au système du monde, entre Copernic et Newton. Après avoir étudié le statut de la méthode comme ordre chez Melanchthon et Suarez, l'auteur étudie le fonctionnement de concepts théologiques dans le cadre de la physique moderne : le vide, le temps, la substance rapportes à l'Empyrée, au l'aevum angélique, à la transsubstantiation. De la physica sacra, transposition des écritures saintes en termes de science physique (chez Comenius) jusqu'à la religiophilosophica de Cotton Mather, la science du XVIIIeme sie=ècle se construit dans un contexte scripturaire et religieux. Le cartésianisme ne marque pas une rupture, il est absorbé dans les universités néerlandaises pour la défense d'une nouvelle scholastique, attaquée comme theologia cartesiana
The present dissertation is an introduction to the system of the world, from Copernicus to Newton. The author studies first the status of method as order in Melanchthon and Suarez ; then he shows how theological concepts have been worked out in an epistemological context: vacuum, time, substance are studied with the helpp of theological tools : the empyreum, the aevum, the Eucharist. From the physica sacra, which is a transposition of the scriptures into a scientific scheme (comenius), to the religiophilosophica of cotton mather, xviith century science is built in a religious and metaphysical context. Nor does cartesianism stand aside, being absorbed by the dutch universities in order to fight for new scholasticism and being attacked as theologia cartesiana
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Saliceti, Marion. „La constitution malebranchiste de la conscience sensible“. Thesis, Paris 1, 2016. http://www.theses.fr/2016PA01H205.

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Cette étude est consacrée à l’analyse malebranchiste de la sensibilité. Elle montre comment, par une analyse couplée de ses conditions concrètes et de sa constitution métaphysique, développant une véritable psychologie de l’intériorité et de l’expérience ordinaire et faisant du sentiment le point nodal de la double union de l’homme au monde et à Dieu, Malebranche parvient à produire une description puissamment originale de la conscience sensible. En témoigne en particulier le profond réaménagement qu’il impose aux cadres cartésiens de la noétique et de la psychologie, au cours de l’élaboration des concepts structurants de son analyse du sentir. Pourtant, s’il nous faudra souligner d’indéniables lignes de fracture entre les pensées, dont nous aurons à réévaluer le rapport, nous montrerons aussi en quoi l’analyse malebranchiste du sensible peut être comprise comme le prolongement – assurément critique et parfois paradoxal – de certaines suggestions cartésiennes
This study address Malebranche's analysis of consciousness ans sensibility. It tends to show how Malebranche, by an accurate account of its concrete conditions and metaphysical setting, developing a psychology of interiority and day to day experience and considering sensation as a key phenomenon, involving both mind and body union and God's action, achieves to give an utterly original description of what he refers to as consciousness or 'inner feeling'. This appears mainly through the shifts Malebranche impulses to the cartesian framework of noetics and psychology.However, despite obvious differences between their conceptions, this study will show that Malebranche's analysis can as well be undestood as an extension, yet critical and paradoxal, of some lines of inquiry Descartes himself had suggested
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Smith, Nathan D. „Les origines du concept cartésien de l’esprit dans les Règles pour la direction de l’esprit“. Thesis, Paris 4, 2010. http://www.theses.fr/2010PA040096.

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La thèse vise à expliquer dans son contexte historique les Règles pour la direction de l'esprit par rapport au concept de l'esprit cartésien. J'argue que les Règles montrent une tendance vers un concept dualiste de l'esprit. Les raisons pour cette position, je pense, sont la plupart méthodologiques. Dans les Règles, Descartes a développé les fondements philosophiques de la méthode cartésienne qui a pour objet la résolution de tous les plus célèbres problèmes de l'époque dans la science de la nature et la mathématique. Cette méthode s'est fondée sur l'idée que tous les phénomènes naturels puissent être expliqués par les modèles géométriques. Alors, pour Descartes la méthode de la science de la nature est réductive, basé sur les modèles mathématiques. En conséquence, Descartes a évidement cru que les modèles qui expliquent la nature physique ne sont pas les mêmes qui puissent expliquer la nature de l'esprit. En plus, chez les Règles, l'esprit paraît comme le véhicule de la compréhension du monde physique, et par la physiologie du cerveau et par déterminer les paramètres scientifiques de l'explication et la représentation du monde physique. Donc l'esprit est bien séparée du monde physique dans les deux sens : il ne se réduit pas aux principes physique et il organise et soutiens les principes physiques. Nous validerons cette thèse en insistant sur quatre points spécifiques: (1) l'importance historique du texte des Règles pour la pensée cartésienne, (2) la nature et l'histoire de la mathesis universalis, (3) la physiologie de la cognition, et (4) les natures simples
The dissertation aims to contextualize and understand the Regulae ad directionem ingenii as embodying theses central to the development of Descartes' mature metaphysical concept of mind. I argue that the Regulae demonstrates a tendancy toward a dualistic concept of mind. The reasons for this, I believe, are largely methodoligical. In the Regulae, Descartes develops the philosophical foundations for a scientific method that, he thought, would allow him to solve some of the most puzzling phenomena in nature and mathematics. This method is basically predicated on the idea that all natural phenomena, i.e., physical entities, can be understood by reducing those entities to geometrical models. These geometrical models could understood and explained either mechanically or algebraically. In either case, for Descartes the scientific method is essentially reductive. As a consequence,, he clearly believes that the models that explain the physical world are not the same as those that explain the nature of the mind. Furthermore, in the Regulae, the mind appears to be a vehicle for understanding the physical world, through the physiology of the brain and by determining the scientific parameters for any representation or explanation of the physical world. Thus, the mind is truly separated from the physical world in two senses: it cannot be reduced to physical principles and it organizes and found those physical principles. We will see how this is the case by focusing on four issues: (1) the historical significance of the text in the development of Descartes' thought (2) the mathesis universalis (3) the physiology of cognition and (4) the simple natures
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Feller, Waldemar. „Descartes e as humanidades“. [s.n.], 1998. http://repositorio.unicamp.br/jspui/handle/REPOSIP/251102.

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Orientador: Newton Aquiles Von Zuben
Tese (doutorado) - Universidade Estadual de Campinas, Faculdade de Educação
Made available in DSpace on 2018-07-24T21:09:48Z (GMT). No. of bitstreams: 1 Feller_Waldemar_D.pdf: 431763 bytes, checksum: cf9ae85d94616e7a1c5709297429efc3 (MD5) Previous issue date: 1998
Doutorado
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Dumont, Pascal. „L'art d'émerveiller : étude sur la pensée esthétique de Descartes“. Paris 1, 1993. http://www.theses.fr/1993PA010559.

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Le premier écrit du jeune Descartes, l'abrégé de musique (1618), exprime déjà un refus de l'idée antique d'harmonie et une rupture avec le néoplatonisme de la renaissance qui attribuait un pouvoir magique à la musique. Les recherches de Descartes sur la gamme naturelle le montrent soucieux de ramener les accords musicaux à un mécanisme dont d'habiles praticiens pourront tirer des effets. Cette vision technique, contemporaine de la naissance de l'opéra, conduit à relativiser le jugement de gout et se prolongera, en 1637, par la dévalorisation de l'affectivité. La perception, conçue comme lecture codifiée du monde, déréalise l'objet et interdit toute ontologie des formes. La peinture hollandaise du dix-septième siècle illustre cette définition de l'image comme cryptogramme. Une telle dévitalisation du monde donne la primauté à l'adresse de l'artiste dans l'œuvre. Descartes substitue ainsi à l'émotion esthétique devant la beauté des choses, l'admiration pour la libre invention d'un agent (humain ou divin). Ce renversement trouve son accomplissement dans l'éthique cartésienne : la fermeté dont un homme est capable, dans la libre conduite de ses actions, est, pour l'acteur, source de joie, et, pour le spectateur, la seule source authentique d'émerveillement.
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Starzynski, Wojciech. „Les implications théologiques et religieuses dans la métaphysique de Descartes“. Paris 4, 2002. http://www.theses.fr/2002PA040069.

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Cette recherche fait recours à la méthode phénoménologique dans l'histoire de la philosophie et procède dans trois registres : 1)dans les 'regulae', Descartes élabore une notion dé-théologisée de l'objet. En s'appuyant sur la relation entre formel et objectif, les 'meditationes' élargissent ce concept jusqu'à définir Dieu comme archétype de tout objet. 2)malgré le silence sur la question de l'analogie, il est possible d'identifier ses figures dans l'oeuvre cartésienne. De plus, sa doctrine de la substance se caractérise par une univocité de type phénoménologique. 3)L'ordre des attributs divins dans la métaphysique de Descartes devient lisible par une analyse comparative avec la pensée de Suarez. Descartes marque son originalité par le recours aux expériences de Dieu dans le doute et en tant que "causa sui". Ainsi, les implications théologiques prennent aussi une dimension religieuse : ce qui confirme la doctrine cartésienne de la transsubstantation.
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Vasco, Nathalie. „Descartes et Saint-Augustin“. Paris 1, 1997. http://www.theses.fr/1997PA010516.

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Devillairs, Laurence. „La connaissance des attributs divins chez Descartes“. Paris 4, 2000. http://www.theses.fr/1999PA040253.

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Notre travail porte sur le type de connaissance impliqué dans la détermination des attributs divins, dans la métaphysique de Descartes : s'agit-il d'une connaissance d'un genre particulier ? Quel acte intellectuel (démonstration, raisonnement, argumentation) une telle connaissance réclame-t-elle ? Nous souhaiterions développer la thèse d'une connaissance intuitive des attributs de dieu, l' « énumération » de ces attributs étant ainsi réductible à une déduction systématique et complète. Les attributs ne sont pas donnés, dans la métaphysique cartésienne, sous la forme d'une liste contingente ; ils sont prouvés en même temps qu'est prouvée l'existence de dieu, et selon la même apodicticité. Aussi, tout ce que nous pouvons connaitre des attributs divins est-il clairement et parfaitement connu, même si la métaphysique doit admettre que tout en dieu n'est pas objet de connaissance, certains attributs étant l'objet d'une révélation. Nous nous proposons d'analyser le caractère, démonstratif de cette connaissance des attributs et de montrer en quoi Descartes rompt avec la tradition scolastique des traites des noms divins. C'est à une autre source que les méditations et les principes puisent pour élaborer une nouvelle idée de dieu : cette source nous semble être la pensée d'Augustin.
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Delia, Luigi. „La verità filosofica nel pensiero di Descartes : studio storico, critico e semantico“. Dijon, 2007. http://www.theses.fr/2007DIJOL025.

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La question de la vérité, c’est-à-dire de sa recherche et des expériences requises pour s’en emparer; de sa possibilité et de son origine; de ses caractères et des choix qui portent sur elle; de sa force contraignante et de sa formation intellectuelle; de sa cohérence et de sa correspondance; de son univocité et de sa diverse modulation discursive; de l’usage, enfin, qu’il convient qu’on en fasse en vue du progrès de la science et du perfectionnement moral de l’homme, n’est pas une question locale, mais traverse comme une idée directrice l’ensemble du projet (cohérent, et en même temps, pluriel) de la philosophie cartésienne. Notre thèse s’est fixé un triple objectif: reconstruire le contexte intellectuel dans lequel se forme l’idée cartésienne de vérité; mener une enquête plus intrinsèque à l’œuvre de Descartes, visant à réfléchir sur les principaux problèmes interprétatifs liés à cette notion; accomplir une étude lexicale consacrée au registre négatif de la vérité
The question of truth, that is of its research and of the proper experiences that allow to grasp it (the necessity of the method); of its possibility and of its origin; of its characteristics and of the choices that imply it; of its constraining force and of its intellectual formation; of its coherence and of its correspondence; of its univocallity and of its diverse discursive modulation (distinction of the three primitive notions); of the use, last, that we must rightly make of it in light of science’s progress and of human moral development, is not a localised question but indeed transpires through all the Cartesian philosophy project. The defended thesis was fixed around a triple objective: to reconstruct the intellectual context within which is shaped the Cartesian idea of truth; to conduct an enquiry within Descartes’ work, aiming to think over the main interpretative problems linked to this notion; to conduct a lexical study dedicated to the negative register about truth
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Macris-L'Hoest, Marie-Claire. „Descartes opticien : le problème de la réfraction chez Descartes et ses contemporains“. Paris 1, 1985. http://www.theses.fr/1985PA010252.

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Dauvois, Daniel. „La représentation chez Descartes“. Paris 4, 1998. http://www.theses.fr/1997PA040112.

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La représentation cartésienne n'est point une image ni un tableau, ni encore une forme appréhensive, mais la déclinaison ordonnée de ces diverses acceptions. Elle enveloppe l'intuitus mentis, sous l'orientation et l'attention requises de l'esprit, le pouvoir représentatif de l'idée, et sa disponibilité à conduire vers les essences le regard d'âme, enfin le contenu représenté qui parait en son indépendance essentielle à l'égard d'un esprit qui pourtant le recèle. Ce sont un modèle de perspective et, plus généralement, de l'exercice applique de la puissance visive sur des figures aptes à la conduire vers les essences (ce pourquoi l'artefact compréhensif reste celui des taille-douces), ce sont ces modèles appliqués qui permettent que la représentation cartésienne s'éclaire au travers d'une analyse des duplicités de la vision, ainsi que de l'étude - d'ambition technologique- des représentations picturales de l’âge classique. Voir consiste à recevoir le sentiment mais aussi bien à projeter un regard vers l'espace visible, selon le couple poussinien aspect/prospect. Se représenter consiste de même à accueillir les rapports propres aux essences selon la visée perspective d'un intuitus mentis. On en doit excepter les idées qui sont obscures et confuses, de sorte que l'application vers l'objet à connaitre des règles de son appréhension intuitive est proprement ce en quoi la connaissance se fait ou ne se fait point, ce qui révèle la vertu de ses règles dans l'exercice en acte de sa puissance, confrontée à la disponibilité effective ou non, d'un objet à percevoir. Le modèle cartésien du savoir est technique, et, avec cela, naturel.
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SILVA, PRISCILA ALBA DA. „TRUTH X VERISIMILITUDE: NOTES FROM RENÉ DESCARTES (1596-1650) AND GIAMBATTISTA VICO (1668-1744)“. PONTIFÍCIA UNIVERSIDADE CATÓLICA DO RIO DE JANEIRO, 2016. http://www.maxwell.vrac.puc-rio.br/Busca_etds.php?strSecao=resultado&nrSeq=27504@1.

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PONTIFÍCIA UNIVERSIDADE CATÓLICA DO RIO DE JANEIRO
COORDENAÇÃO DE APERFEIÇOAMENTO DO PESSOAL DE ENSINO SUPERIOR
PROGRAMA DE SUPORTE À PÓS-GRADUAÇÃO DE INSTS. DE ENSINO
Partindo da análise das obras de René Descartes (1596-1650) e da concepção de retórica enquanto uma metalinguagem, fornecida tanto por Roland Barthes quanto por Haroldo de Campos, investigamos certa tensão entre Giambattista Vico (1668-1744) e o filósofo francês. Atrito forjado a partir da leitura indireta do retor napolitano das obras de Descartes. Este trabalho trata, portanto, da diferença entre a certificação do conhecimento em Descartes e Vico, diferença que, segundo elucidamos, pode ser situada na tensão entre os conceitos de verdade e verossimilhança, respectivamente, bem como nos conceitos de sentido e senso. Em 1699, Giambattista Vico assumiu a cátedra de Retórica na Universidade Real de Nápoles. A partir deste ano e, até o ano de 1707, o filósofo proferiu discursos de abertura dos anos letivos nesta instituição. Esses discursos nos chegam sob o título de Orazioni Inaugurali (1699-1707), donde foram analisadas, na presente dissertação, às duas primeiras, concernentes aos anos de 1699 e 1700. Tal análise procurou nuançar não apenas o entrelaçamento entre forma e conteúdo como, também, a partir disso, sugerir que a verossimilhança viquiana incide formalmente em seus textos, assim como a verdade cartesiana seria derivada de certa estrutura textual.
Analyzing the works of René Descartes (1596-1650) and the conception of rhetoric as a meta language, provided both by Roland Barthes and by Haroldo de Campos, we investigated tension between Giambattista Vico (1668-1744) and the French philosopher. Misunderstanding forged from indirect reading of Neapolitan rector of the works of Descartes. This work analyzes the difference between the certification of knowledge in Descartes and Vico, a difference that, according elucidated, may be located in the tension between the concepts of truth and verisimilitude, respectively, as well as the concepts of way and sense. In 1699, Giambattista Vico took over the chair of Rhetoric at the Royal University of Naples. From this year by the year 1707, the philosopher gave opening speeches of school years at this institution. These talks come in under the heading of Orazioni Inaugurali (1699-1707), from which were analyzed in the present work the first two, pertaining to the years 1699 and 1700. This analysis sought to nuance not only the interweaving between form and content as, also, from there, suggest that the verisumilitude viquiana focuses formally in his writings, as well as the Cartesian truth would be derived from certain textual structure.
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Agostini, Siegrid. „Claude Clerselier, editore e traduttore di René Descartes“. Paris, EPHE, 2007. http://www.theses.fr/2007EPHE5007.

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Ce mémoire de thèse se propose de fournir une reconstruction historique de la figure de Claude Clerselier et de faire valoir le rôle qu’il a joué dans l’édition et dans la traduction de certaines des œuvres de René Descartes, et aussi dans la défense des thèses cartésiennes sur l’eucharistie. La source principale pour la reconstruction de ces relations et des débats est constituée par le manuscrit n. 366 (Sentimens de Mr Descartes et de ses sectateurs sur le Mystère de l’Eucharistie. Recueil curieux et rare), conservé à la Bibliothèque municipale de Chartres : les documents contenus dans ce manuscrit sont pour la majeure partie des lettres ou des extraits de lettres écrites et reçues par Clerselier entre 1654 et 1681. L’importance de Clerselier réside aussi dans son activité d’éditeur et traducteur de Descartes. Pour brosser le portrait de l’activité du Clerselier éditeur, j’ai avant tout examiné les Préfaces à l’édition des Lettres, qui constituent des sources riches d’informations ; les Lettres elles-mêmes représentent un témoignage d’importance, parce que c’est d’elles qu’émerge la volonté de Clerselier de célébrer la grandeur de Descartes et de reconstruire une image édifiante du philosophe. La thèse se constitue de deux tomes. Le tome I comporte, après une introduction, quatre chapitres suivis d’une conclusion, d’ une table chronologique générale de la correspondance de Clerselier, d’une bibliographie (des manuscrits, des sources imprimées et des études). Le tome II donne la transcription de lettres du manuscrit n. 366, présentés selon l’ordre alphabétique des correspondants (Bertet, Daniel, Denis, Desgabets, Fabri, Malaval, Pastel, Poisson, Terson, Vinot, Viogué)
The aim of this thesis is to give a historic reconstruction of the figure of Claude Clerselier and emphasize not only the role he played in the edition and translation of some works by René Descartes, but also in the defence of the Cartesian theses on the Eucharist. The principal source for the reconstruction of the relationships and debates is constituted by the manuscript n. 366 (Sentimens de Mr Descartes et de ses sectateurs sur le Mystère de l’Eucharistie. Recueil curieux et rare) in town library of Chartres : the documents included in this manuscript are mostly some letters or abstracts of letters written and received by Clerselier between 1654 and 1681. Clerselier is also important because of his activity of editor and translator of Descartes. To outline the portrait of the activity of Clerselier editor I first examined the Préfaces to the edition of the Lettres which constitute some sources, very rich in information; the same Lettres are a very important testimony because from them comes out Clerselier’s willing to celebrate the greatness of Descartes and reconstruct an edifying image of this philosopher. My thesis is made up of two volumes. The volume I contains, after an introduction, four chapters followed by a conclusion, a general chronological table of Clerselier’s correspondence, and a bibliography (some manuscripts, some printed sources and some studies). The volume II contains the transcription of the letters of the manuscript n. 366, according to the alphabetical order of the correspondents (Bertet, Daniel, Denis, Desgabets, Fabri, Malaval, Pastel, Poisson, Terson, Vinot, Viogué)
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Marsan, Eddy. „Etude comparative et critique de l'exigence de systeme chez lulle et descartes“. Toulouse 2, 1992. http://www.theses.fr/1992TOU20021.

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La description de l'opus lullien, puis du systeme cartesien, nous revele que l'un et l'autre sont soutendus par le souci d'une architectonique systematique. Lulle, au treizieme siecle et descartes, au dix-septieme, tenterent de constituer une methode unique devant permettre de remonter la chaine des diverses sciences. Si descartes, qui connait l'oeuvre lullienne, nie toute parente entre ses ouvrages et le grand art de lulle, il nous faut cependant remarquer qu'il reprend l'idee lullienne d'un savoir total. Precisement, le philosophe francais s'inscrit dans la meme filiation neo-platonicienne que lulle et ne semble critiquer durement la tentative lullienne que dans le but de dissimuler la parente de son oeuvre avec celle-ci. Lulle et descartes rompent avec une attitude de contemplation de la nature et cherchent a imposer un savoir systematique. Ils ne vont pas a l'encontre de la tradition catholique. Ils se contentent d'en transcrire le message dans les termes d'une pensee conquerant du christianisme occidental. La proximite qui se revele entre les logiques contemporaines et les systeme lullien et cartesien est celle de leur autonomie. En se coupant deliberement de la realite, ces approches du reel apparaissent comme des tentatives autonomes: les preuves inherentes a un systeme peuvent se reveler sans aucune valeur pour celui qui n'accepte pas le postulat de depart, celui-ci s'identifiant avec l'intuition fondatrice
The description of the work of lull and then of the cartesian system reveals that both are upheld by the desire for systematic architectronics. Lull , in the thirth century and descartes in the seventh century attempted to constitue a unique method which would enable the return to the various sciences. Even if descartes, who was familiar with the work of lull, denies any relation between his work and lull's great art, it should, however, be noted that he takes up the lullian idea of total knowledge. Indeed, the french philosopher joins the same neo-platonic filiation as lull and seems only to criticize lull's endeavour severely to dissimulate the relation with his own work. Lull and descartes break with an attitude of contemplation of nature and try to impose systematic knowledge. Lull and descartes do not go against catholic tradition. They lilit thelselves to transcribing the message of tradition in terms of the conquering thought of western christianity. The essential proximity which is revealed between contemporary logic and the lullian and cartesian systems is that of their autonomy. Basing their work on founding intuition and deliberately cutting themselves off reality appear as autonomous attempts: the person who conceives the system provides proof of it, but this proof may be without any value for someone who does no accept the initial postulat which is identified with the founding intuition
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Mathieu, Louise. „Descartes et la question de Dieu : la place et la fonction de l'idée de Dieu dans la pensée cartésienne“. Dijon, 2004. http://www.theses.fr/2004DIJOL022.

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Descartes déclare, à plusieurs reprises, vouloir défendre la cause de Dieu, combattre les impies, apporter aux infidèles, et à tous ceux qui se sont détournés de l’Eglise, non seulement la preuve de l’existence de Dieu, mais aussi une doctrine solide sur la transsubstantiation, sur la liberté divine, sur Dieu et sur les vérités éternelles. Il dit aussi ne s’exprimer sur l’Infini que pour s’y « soumettre » et en parler « dignement ». Enfin, il ne cesse de répéter qu’il recherche la vérité dans les choses que pour marcher avec assurance en cette vie. Pour cela, il se dote d’une méthode et va chercher la preuve de l’existence de Dieu non dans le monde, c’est-à-dire dans l’expérience empirique, ni dans les Ecritures qu’il juge pourtant supérieures à ses pensées, mais dans son esprit. Seulement, par cette démarche où la raison se met à conceptualiser le nom de la transcendance et à vouloir la soumettre à son diktat, Descartes n’est, selon nous, plus en train de parler du Dieu de la Bible mais d’élaborer un ‘‘sujet-objet’’ de la métaphysique qui a le nom de Dieu mais qui n’est pas Dieu. En somme, en apportant des conceptions qui lui sont propres tout en clamant son christianisme et son respect pour la religion de son enfance (le catholicisme), il convient de s’interroger sur la philosophie autant que sur l’homme qu’était Descartes. Descartes peut-il se dire chrétien et insister sur son amour de Dieu, dans ses écrits, quand le Christ est absent de sa philosophie et que sa théodicée ne se réduit qu’à quelques lignes dans les méditations trois et six ? Que recherche-t-il ? Affirmer sa croyance en Dieu pour mieux s’y soumettre ? Prouver l’existence de Dieu dans le but d’en faire une assise solide pour sa nouvelle philosophie, laquelle comprend aussi bien une physique qu’une métaphysique ou bien élaborer son propre "sujet-objet métaphysique" ?Les intentions de l’auteur, qu’elles soient sincères ou non, ne montrent-elles pas, à travers ses tentatives de présenter une doctrine cohérente et acceptable sur l’Etre suprême, l’impossibilité de dire quoi que ce soit de vrai et de juste sur Dieu que ce qui a déjà été dit dans les Textes sacrés ? La seule preuve de l’existence de Dieu qui prévaut n’est-ce pas le Christ qui est Dieu et les miracles pour que nous puissions enfin croire que Dieu est amour et qu’il est vivant ?
Descartes declare on several occasions want to defend God, to fight impious persons, bring to infidels and persons who turn away church, the proof about the existence of God but also give them sound doctrine on transsubstantiation, divine liberty, God, eternals thruths. He says also speak about Infiny only for subject himself and speak about with great dignity. Lastly, he’s forever repeating that he look for the truth in the things for to go with insurance in this existence. For that, it obtains a method and will try to find the proof of the existence of God not in the world, i. E. In the empirical experiment, nor in the Scriptures which he however considers higher than his thoughts, but in his spirit. Only, by this step where the reason starts to conceptualize the name of the transcendence and to want to subject it to his diktat, Descartes is not, according to us, more speaking about God of the Bible but to work out an subject-object of the metaphysics which has the name of God but who is not God. All in all, while bringing his own conception, while protesting his christianity and his respect for the religion of his childhood (catholicism), one should do to wonder about his philosophy as much as on the man who was Descartes. Can Descartes think himself christian and to insist on his love of God, in his writings, when Christ misses of his philosophy and that his “théodicée” is reduced only to some lines in the meditations three and six ? What Descartes look for ? To affirm his belief in God for better subjecting himself to him ? To prove the existence of God with an aim of making him a solid base for his new philosophy, which does include a physics as well as a metaphysics or to work out his own "metaphysical subject-object" ? The intentions of the author, sincere or not, did they show, through his attempts to present doctrines coherent and acceptable on God, the impossibility of saying anything truth and valid on God that the sacred Texts tell to us ? The only proof of the existence of God who prevails isn't is the fact that the Christ who is God and the miracles so that we can finally believe that God is love and that his is alive?
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Onishi, Yoshitomo. „Volonté et indifférence chez Descartes“. Paris 1, 2011. http://www.theses.fr/2011PA010509.

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Le contraste apparaît chez Descartes aussi frappant que déconcertant entre deux manières de penser la liberté de l'homme. Selon Ia Quatrième Méditation, la liberté consiste en ce fait que la volonté adhère sans faute à l'évidence de la vérité. Dans les Principes de la philosophie, à l'inverse, la volonté semble investie d'une nouvelle vigueur qui lui permet de s'éloigner même de la connaissance claire et distincte ; et nul, depuis E. Gilson, ne doute que cette vigueur prenne racine dans la conception jésuite qu'est la libertas indifferentiae. La présente étude aura alors pour tâche d' épuiser ce contraste, et cela au double sens : le penser à fond afin de le réduire. A cette fin, nous étudierons successivement: i) les formes embryonnaires de la notion d'indifférence, qui remonte jusqu'aux philosophies antiques, chez les Stoïciens et chez saint Augustin ; ii) la doctrine moderne de la liberté d'indifférence telle qu'elle est établie par Luis de Molina et élaborée ensuite par Francisco Suarez; iii) l'intention cartésienne de se tenir à l'écart de tout intérêt jésuite, et la singularité correspondante de l'idée qu'il se fait de la liberté de la volonté.
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Guenancia, Pierre. „Recherches sur les problèmes du sens et le fondement de l'objectivité dans les philosophies de la conscience : Descartes et l'intelligence du sensible“. Paris 4, 1997. http://www.theses.fr/1997PA040140.

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La première partie de ce travail examine la question de la perception des choses sensibles dans différents textes de Descartes, notamment dans celui de la 2eme méditation consacrée à l'analyse du morceau de cire et montre qu'il n'a pas d'opposition entre la sensibilité et l'entendement pour la simple raison que c'est toujours l'entendement qui connait. L'esprit n'est donc pas chez Descartes divisé en facultés auxquelles correspondraient différents types de connaissances. La conception de l'âme comme chose qui pense reçoit de ce résultat un éclairage nouveau, car le donné sensible n'est pas réfractaire à la pensée. C'est le sensualisme et l'idée empiriste d'une connaissance sensible que Descartes critique, ce n'est ni les sens ni le sensible. La deuxième partie montre comment les analyses cartésiennes des passions établissent que celles-ci ne sont pas des ennemies de la raison mais sont au contraire indispensables au contentement de l'âme unie au corps dont l'importance dans la morale est par là soulignée. L'entendement et la sensibilité ne s'opposent pas plus ici que dans le domaine de la connaissance, et c'est même le principe d'une telle dualité qui se trouve remis en question. Plus pertinente que cette distinction est celle que Descartes n'a pas cessé de faire entre la connaissance directe et la connaissance réfléchie, celle-ci caractérisant à ses yeux l'entendement dans son usage spécifique. La conclusion montre comment se rejoignent les analyses de la connaissance des choses sensibles et celles des passions et comment la métaphysique cartésienne peut s'appliquer naturellement à la connaissance et à la pratique du monde
The first part of this work examines the problem of the perception of sensitive things in various texts by Descartes, namely in tat of the 2nd meditation devoted to the analysis of the piece of wax and shows that there is no opposition between sensitivity and understanding for the simple reason that it is always understanding that comes to knowledge. Therefore, in Descartes, the mind is not divided into faculties to which different types would correspond. The conception of the soul as a thing that thinks comes under a different light through this result, for the sensitive is not reluctant to the thought. It is the sensualism and the empiric idea of a sensitive knowledge that are criticized by Descartes, it is neither the senses nor the sensitive. The second part shows how the Cartesian analyses of passions state that the latter are not enemies to reason but on the contrary are necessary to the satisfaction of the soul united to the body whose importance in morality is therefore emphasized. Reasoning and sensivity are no more opposed here than in the field of knowledge and it is even the principle of such a duality which is questioned. Even more relevant than this distinction is the one Descartes kept on making between direct knowledge and reflexive knowledge, the latter characterizing, for him, understanding in its specific use. The conclusion shows how the analysis of the knowledge of sensitive things and that of passions merge, and how Cartesian metaphysics can naturally apply to knowledge and the practice of the world
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Gasparri, Giuliano. „La ricezione della teoria cartesiana delle verità eterne nella seconda metà del XVII secolo“. Paris, EPHE, 2005. http://www.theses.fr/2005EPHE5013.

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La recherché consiste dans une étude de la réception et des développements de la théorie de la création des essences et des vérités éternelles dans le cartésianisme, entre 1650 et 1700. L’histoire de la théorie cartésienne des vérités éternelles, énoncée pour la première fois dans les lettres de René Descartes à Marin Mersenne du 1630 (AT I, 145-153) touche à des nombreux problèmes philosophiques, du statut des axiomes logico-mathématiques aux questions théologiques sur le rapport entre possibles et toute puissance divine. Tous les philosophes les plus importants, pendant plus d’un siècle, vont se confronter avec l’idée de la dépendance de Dieu des vérités éternelles, qui sera l’une des questions les plus épineuses que la théologie rationnelle essaiera de résoudre. Cette étude analyse les opinions sur ce sujet entre autres de Louis de La Forge, Pierre Cally, Robert Desgabets, Jean Sperlette, Pierre-Sylvain Régis, Pierre Poiret, Claude Clerselier, Nicolas Malebranche, Simon Foucher, Louis de la Ville, Pierre Daniel Huet, Jean du Hamel, Henri Lelevel, Adrian Heereboord, Christoph Wittich, Frans Burman, Lambert Van Velthuysen, Arnold Geulincx, Baruch Spinoza, Cornelis Bontekoe, Pierre Bayle, Samuel Pufendorf, Gottfried Wilhelm Leibniz, Jean le Clerc, Jean-Robert Chouet, Antoine le Grand, John Locke, Samuel Parker, John Sergeant, Henry Moore, Ralph Cudworth, George Rust, Samuel Clarke, John Norris
This study deals with the fortune and developments of the theory on the creation of eternal truths in cartesianism, between 1650 and 1700. The history of the Cartesian opinion on eternal truths, which was first enunciated in Descartes’ letters to Marin Mersenne in 1630 (AT I, 145-153), touches on many philosophical problems, ranging from the status of logics and mathematics axioms to theological questions about the relationship between possible and divine omnipotence. All the most important philosophers took part in the seventeenth century debate on the idea that eternal truths depend from God’s will, as one of the most difficult questions that rational theology tried to solve. This work concerns the opinions on this subject among others by Louis de La Forge, Pierre Cally, Robert Desgabets, Jean Sperlette, Pierre-Sylvain Régis, Pierre Poiret, Claude Clerselier, Nicolas Malebranche, Simon Foucher, Louis de la Ville, Pierre Daniel Huet, Jean du Hamel, Henri Lelevel, Adrian Heereboord, Christoph Wittich, Frans Burman, Lambert Van Velthuysen, Arnold Geulincx, Baruch Spinoza, Cornelis Bontekoe, Pierre Bayle, Samuel Pufendorf, Gottfried Wilhelm Leibniz, Jean le Clerc, Jean-Robert Chouet, Antoine le Grand, John Locke, Samuel Parker, John Sergeant, Henry Moore, Ralph Cudworth, George Rust, Samuel Clarke, John Norris
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Grumelier, Alix. „Les analogies dans la métaphysique de Descartes“. Thesis, Nantes, 2020. http://www.theses.fr/2020NANT2022.

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L’âme et Dieu sont les deux principaux objets de la métaphysique de Descartes. Cette étude montre que celui-ci privilégie une technique récurrente pour traiter des objets immatériels et suprasensibles : l’analogie. Descartes s’appuie fortement sur ce procédé, qu’on peut diviser en analogie de proportion et analogie d’attribution. Après avoir analysé les relations entre métaphore, comparaison et analogie de proportion, nous examinons le rôle des analogies en cinq chapitres, respectivement consacrés à l’argument ontologique, la première preuve a posteriori, la sui causa, la création des vérités éternel les, et la connaissance de Dieu et de l’âme indépendamment des preuves de leur existence. Cette étude se propose ainsi d’établir une cartographie non-exhaustive des analogies de la métaphysique cartésienne, en mettant au jour leurs différentes fonctions, dont les principales sont génétiques, pédagogiques, cathartiques, clarifiantes et constitutives. Au cours des chapitres, nous répondons aux objections contre les analogies, concluant que la métaphysique de Descartes aboutit à une modernisation de l’analogie théologique, plutôt qu’à une réforme
The soul and God are the two principle objects of inquiry in Descartes' metaphysics. This doctoral dissertation will establish that Descartes employs a recurrent strategy to address these immaterial and supersensible objects: analogy. Descartes relies heavily on this technique, which can be divided into analogy of proportion and analogy of attribution. After analysing the relationship between metaphor, comparison, and analogy of proportion, I examine the role of analogies in five chapters, each dedicated to: ontological argument; the first a posteriori proof; sui causa; the creation of eternal truths; and knowledge of God and the soul, independently of proof of their existence. This dissertation thus proposes a nonexhaustive mapping of analogy in Cartesian metaphysics, showcasing their main uses, which are genetic, pedagogic, cathartic, clarifying and constitutive. I acknowledge and respond to counterarguments, concluding that Descartes' ideas constituted a modernisation of theological analogy, rather than a reform
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Kambouchner, Denis. „La problématique cartésienne de l'affectivité“. Paris 10, 1990. http://www.theses.fr/1990PA100109.

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Dans son dernier ouvrage publie, le traite des passions de l'âme, Descartes aborde une matière "obscure et confuse", qu'il "n'avait jamais étudiée" auparavant. De fait, la théorie de l'affectivité ne peut achever l'anthropologie cartésienne sans apporter par rapport aux affirmations de la "philosophie première" certaines complications notables. A travers un commentaire systématique du traite, articule aux principaux problèmes de la théorie des passions (leur définition; leur explication psycho-physiologique; leur classification; leur fonction ou "usage"; leur soumission à la raison ou à la volonté; la relation entre affectivité et moralité), on peut mettre en évidence la persistance d'une structure stratifiée de l'âme cartésienne, liée a la différence entre ses fonctions propres et celles qu'elle possède en tant qu'elle est unie au corps. Les fonctions "inferieures" de cette âme, parmi lesquelles les passions, sont intimement intégrées avec les fonctions du cerveau dans ce qu'il faudra appeler un fonctionnement "animal" de l'homme : si l'âme en tant que raisonnable peut se poser elle-même comme extérieure a ce fonctionnement, il se révèle pourtant bien plus nécessaire a sa propre "vie" qu'il ne pouvait sembler d'après les méditations. L'affirmation métaphysique de la "distinction réelle" de l'âme et du corps n'interdit donc pas de situer dans leur union, avec les conditions d'une auto-distinction de l'âme, celles de la subjectivité cartésienne en général
In his last published work (the treatise of the passions of the soul), descartes has tackled an "obscure and confused" matter that he had "never studied before". The fact is that the theory of emotions cannot achieve cartesian anthropology without imposing on the assertions of cartesian metaphysics several remarkable complications. In the course of a systematic analysis, organized around the main problems of the theory of passions (their general definition; their psycho-physiological explanation; their classification; their function of "use"; their submission to reason or to will; the relationship between affectivity and morality), one can give clear indication of a stratified structure of cartesian soul, which can be related to the distinction between its proper functions and those which imply its union to the body. The "inferior" functions of the soul, among which the passions take place, are intimately combined with brain functions in a functioning of man which can be qualified as animal. If the soul as "reasonable" can regard itself as exterior to this functioning, it appears nevertheless much more necessary. To the soul's life than it could seem to be, according to the meditations. The assurance of the "real distinction" between mind and body has therefore to be reinterpreted with respect to these conditions
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Urrutia, Soto Álvaro. „Sobre la teoría de lo mental en Descartes: indagaciones acerca de la dualidad mente-cuerpo en las Meditaciones Metafísicas de Cartesio“. Tesis, Universidad de Chile, 2017. http://repositorio.uchile.cl/handle/2250/143604.

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Informe de Seminario para optar al grado de Licenciado en Filosofía
La obra presente se propone como objetivo indagar distintas vertientes o corrientes que puede adquirir la „teoría de lo mental‟ cartesiana con el motivo de entregar la versión que, a mi juicio, es la más justa y provechosa con respecto a las pretensiones del mismo autor como con lo que se quiere conseguir de él. De ninguna manera pretendo afirmar que la posición a la cual he llegado luego de esta investigación debe ser entendida como una posición definitiva o estandarizada de la filosofía cartesiana. Ante las típicas críticas surgidas por la caricaturización que Gilbert Ryle realizó sobre la filosofía de Descartes me propongo analizar si todo el conjunto de las mismas, englobadas por la general presunción del „fantasma dentro de la máquina‟ son, en definitiva, críticas válidas y acertadas a la hora de desprestigiar el sistema de Cartesio. Dicho de otro modo, me pregunto si toda crítica que apela al „dualismo cartesiano‟ es válida sólo por invocar al dualismo como un elemento reprochable de suyo. Pienso que las variables en cuanto a perspectivas que pueden surgir de un Descartes „dualista anómalo‟ son lo suficientemente amplias como para contraatacar al menos a algunos de los argumentos esbozados por los autores que condenan el dualismo, de modo que la teoría cartesiana de lo mental aún puede permanecer de pie en algunos campos de batalla (lo cual de ninguna manera afirma su veracidad). El motivo de un análisis tal consiste en demostrar que el pensamiento cartesiano no es tan fútil y tan fácil de combatir como colectivamente se piensa luego de los esfuerzos de Ryle.
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Ramos, José Portugal dos Santos 1983. „Método e ciência em Descartes“. [s.n.], 2013. http://repositorio.unicamp.br/jspui/handle/REPOSIP/279995.

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Orientador: Fatima Regina Rodrigues Evora
Tese (doutorado) - Universidade Estadual de Campinas, Instituto de Filosofia e Ciências Huimanas
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Resumo: O propósito desta tese é explicar o método cartesiano por meio da lógica matemática que opera a sua constituição. Defende-se nesta pesquisa que, a partir dessa explicação do método, Descartes encontram meios que viabilizam a orientação de suas experimentações científicas. As experimentações científicas são iniciadas, então, quando Descartes encontra previamente uma determinada demonstração geométrica e visa, a partir desta, justificar os resultados da reconstrução de um fenômeno físico. No entanto, tal reconstrução requer outros meios da aplicação do método, pois neste momento trata-se da investigação de objetos que compõem um fenômeno físico. Nesta perspectiva, a aplicação do método de Descartes prescreve dois procedimentos de investigação científica, a saber, os procedimentos de redução e reconstrução. Sustenta-se nesta pesquisa que esses procedimentos requerem objetos manipuláveis que possibilitem, por meio do uso de suposições e analogias, a justificação experimental dos efeitos observados nos objetos físicos (ou seja, do fenômeno físico investigado). As obras de Descartes utilizadas nesta pesquisa são o Discurso do método e Ensaios complementares: A Geometria, a Dióptrica, os Meteoros, e ainda as Regras para orientação do espírito
Abstract: This thesis aims to explain the cartesian method through the mathematical logic which operates its constitution. It is defended in this thesis that, in this explanation of the method, Descartes finds geometric demonstrations that can guide his scientific experimentations. The scientific experimentations are started, so, when Descartes previously finds a particular geometrical demonstration and aims, through such demonstration, to justify the results of the reconstruction of physical phenomenon. However, such a reconstruction requires other means of the method's application, because in this moment it treats on the investigation of objects which compose a physical phenomenon. At this prospect, the application of Descartes' method prescribes two procedures of scientific enquiry, to wit, the ones of reduction and reconstruction. It is maintained in this thesis that such procedures require controllable objects which make possible, through suppositions and analogies, the experimental justification of the effects observed in the physics objects (i. e., as an investigated physical phenomenon). The works of Descartes used here are the Discourse on the Method and Complementary Essays: Geometry, Dioptrics, Meteors, and also Rules for the Direction of the Mind
Doutorado
Filosofia
Doutor em Filosofia
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Wong, Alexandre. „Les figures de la volonté dans la philosophie de Descartes“. Paris 1, 2002. http://www.theses.fr/2002PA010615.

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Une définition de I 'idée de volonté est tentée à travers une déclinaison systématique de ses figures ou modes. Ces figures sont tirées de la conception cartésienne de la partie active ou volontaire du cogito. Elles sont au nombre de cinq et ont pour nom: le jugement, le désir, l 'indifférence, le libre arbitre, la toute-puissance. Ces noms de la volonté la désignent sans se confondre avec elle. Analysés séparément, puis combinés dialectiquement, ils forment un ensemble cohérent d'éléments qui décrivent les diverses phases continues d'apparition de l'idée de volonté. Mieux approchée par ses dernières figures, la volonté n'est pas appréhendable en dehors de celles-ci. Elle n'est toutefois pas une idée ou un concept. Son idée la représente différente de son idée. L'étude des sources historiques des figures volontaires (l' étude du consentement stoi͏̈cien et sceptique, du désir platonicien et aristotélicien, de l'indifférence pyrrhonienne, du libre arbitre patristique, de la toute-puissance scolastique) montre que la conception cartésienne et moderne de la volonté n'a pas été dépassée. Aucune autre figure n'a été proposée pour penser la volonté
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Aucante, Vincent. „L'horizon métaphysique de la médecine de Descartes“. Paris 4, 1998. http://www.theses.fr/1997PA040304.

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La médecine de Descartes est confrontée à un étrange paradoxe : parangon de la méthode dans le discours, sans cesse annoncée dans sa correspondance, elle souffre pourtant de carences manifestes qui jettent un inévitable soupçon sur la cohérence de l'ensemble de l'œuvre du philosophe, et plus particulièrement sur l'efficacité de la méthode elle-même. Loin de suivre rigoureusement un ordre synthétique ou analytique, la médecine se révèle comme un compromis des deux, ou l'experientia jouit de fait d'une place privilégiée. L'explication de toute la physiologie par la physique cartésienne est la seule partie développée systématiquement. Suivant plutôt l'observation directe que les thèses de Galien ou de Paracelse, la recomposition de la "fabrique" du corps humain jouit de fait d'un statut précaire en ce qu'elle se trouve mise en cause par toute nouvelle découverte. Par ailleurs, la physiologie n'est qu'un préliminaire nécessaire à l'élaboration d'une médecine pratique comprenant pathologie, étiologie et thérapeutique. Epars dans l'ensemble du corpus, les nombreux indices une fois rassembles révèlent l'intervention massive de l'âme. Il s'avère alors que le véritable sujet de la médecine cartésienne n'est pas le corps seul, mais le corps en ce qu'il est pour l'âme cause de douleur. L'inachèvement de la médecine apparait donc comme la conséquence d'une double difficulté, d'une part pour saisir tous les rouages de la "machine" corporelle, et d'autre part pour comprendre l'union de l'âme et du corps qui n'est connue véritablement que de dieu seul
The Descartes medicine is facing an odd paradox : parangon of the method in his discourse, always promised in his letters, its obvious deficiencies implicate unavoidably to suspect the whole philosopher's work, and particularly the efficiency of the method. Far from following rigorously a synthetic or an analytic order, the medicine is revealing itself to be a compromise of both, where the experientia has got actually the privilege. The explanation of all the physiology with the Cartesian physic is the only part systematically developed. Following the direct observation more than thesis of Galen or Paracelsus, the recombining of the "fabric" of human body has in fact a precarious status because it can be modified by any new discovery. In other respects, the physiology is nothing but a preliminary required for the development of a practical medicine, with pathology, etiology and therapeutics. Sparse in all the corpus, the many indications once got together reveal an important implication of the mind. It is then proved that the real subject of the Cartesian medicine is not the body alone, but the body causing pain in the soul. The incompletion of Cartesian medicine appears to result from a dual difficulty : on the one hand to discover all the wheels of the bodily machine, and on the other hand to understand the union of mind and body, which is only really known by god
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Bitbol-Hespériès, Annie. „Le principe de vie chez Descartes et ses prédécesseurs“. Paris 4, 1989. http://www.theses.fr/1988PA040158.

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Le principe de vie chez Descartes, fondé sur le dualisme, est assimilé à la chaleur du cœur ("L'homme", at,xi,p202, "Les passions de l'âme"; article 107, at,xi p407). Nous montrons que cette conception est radicalement nouvelle. Elle s'oppose à celle d’Aristote (et aussi de Galien), contrairement à ce que répètent les commentateurs depuis l'importante étude d'E. Gilson. Nous expliquons la portée des exemples cartésiens et comparons ses conceptions physiologiques avec celles de W. Harvey. Nous examinons aussi la conception du feu dans le cœur chez Kepler. En outre nos recherches ont fourni des indications sur les sources utilisées par Descartes en anatomie
This thesis is dealing with the life principle in Descartes' philosophy. The cartesian life principle is linked with dualism that is with the difference between soul and body. The cartesian life principle is therefore completely new: as explained in “L’homme” (p. 202) and "Les passions de l'âme", article 107 (at,xi,p407), it is not linked with the soul, but is the heat in the heart, the famous "Feu sans lumière". I demonstrate that this conception is completely new and that it has nothing to do with either the aristotelician or the galenic "innate heat". I thus explain Descartes' examples and compare his explanations on the movement of the heart to Aristotle's and Harvey's conceptions. I also examine the keplerian idea on that topic. While working on my thesis i identified some cartesian anatomical sources
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Pricladnitzky, Pedro Falcão. „Os fundamentos metafísicos da física cartesiana : a natureza da substância extensa“. reponame:Biblioteca Digital de Teses e Dissertações da UFRGS, 2016. http://hdl.handle.net/10183/140251.

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Chevalier, Olivia. „La méthode analytique cartésienne : entre mathématiques et philosophie première“. Paris 10, 2008. http://www.theses.fr/2008PA100195.

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Puisqu'au sujet de sa manière de démontrer en mathématiques et en métaphysique, Descartes parle au singulier de la "voie analytique", notre but est de définir l'usage univoque de ce qu'il entend par "analyse", entendue comme processus démonstratif. Or, il existe une difficulté due à l'absence de similarité logique entre les démonstrations effectuées par Descartes dans ces deux domaines. Descartes affirme que la manière analytique de procéder permet de découvrir des vérités via la résolution d'un problème : celui de Pappus ou bien celui de la certitude. Analyser, pour Descartes, revient donc à démontrer en construisant la solution d'un problème. Ainsi, nous essayons de comprendre les liens qui existent entre la démonstration des vérités (on établit une vérité lorsqu'on la découvre) et la méthode qui en donne les clefs : ce pourquoi nous parlons de "méthode analytique" cartésienne. Pour cela, nous retraçons les étapes de la conception de l'analyse qui à nos yeux conduisent à son acception cartésienne, en insistant sur l'importance de l'algèbre dans sa constitution. Nous dégageons ensuite les critères qui affectent certaines propriétés à cette démarche et grâce auxquels on la reconnaît ; enfin, nous montrons la limite de cette conception univoque dans le traitement de la notion d'infini. Voici les enjeux qui se dégagent de notre travail : exposition d'une "théorie de la démonstration" cartésienne dont le noeud est l'analyse; impossibilité de dissocier en Descartes le mathématicien du philosophe; ce point servant une thèse générale (au moins vraie jusqu'au 18e siècle)essentielle pour nous impossibilité de disjoindre l'histoire de la vérité de l'histoire des mathématiques
Since about his way to proue in mathematics and metaphysics Descartes talks in the singular of his "voie analytique ", our aim is to define the univocal use of what lie calls « analysis », understood as a thought process. Indeed, this point raines a problem because of the lack of logical sirnilarities between the proofs in these two disciplines. Descartes says that the analytic way allows us to discover truths while constructing the solution to a problem (the problem of Pappus or of certainty). Then, analyzing, for Descartes, amounts to proving while constructing the solution to a problem. So, we try to understand the links existing between the proof of truths (a truth is established once we have discovered it) and the method which gives the procedures of it. Hence we talk of Cartesian "analytic method". We then redraw the steps of the conception of the notion of analysis which, to us, seem to lead to its Cartesian meaning, insisting on the important role algebra plays in its formation. Afterwards, we draw the criteria which bear certain properties to this analytic thought process, and which enable us to recognize it; finally, we exhibit the limit of this univocal conception when Descartes cornes to handle the notion of infinity. The stakes of our study are the following ones exhibit a Cartesian "theory of proof"; the impossibility to disconnect Descartes as mathernatician and philosopher; the latter point serving a general thesis (at least true until the 18`h century) essential to us the impossibility to separate the history of truth from the history of mathematics
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Roger, Julia. „Descartes et ses livres : l'édition comme geste philosophique“. Caen, 2015. http://www.theses.fr/2015CAEN1027.

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Le présent travail part du constat d’un désintérêt de Descartes pour les livres. Désintérêt motivé par la vanité des connaissances seulement vraisemblables qu’ils peuvent véhiculer et par leur matérialité même qui empêche le lecteur de se saisir les vérités qu’ils pourraient exceptionnellement renfermer. Ce désintérêt personnel de Descartes pour l’objet-livre procède donc d’une réprobation épistémologique qui prend place au sein d’une critique de l’autorité : qu’est-ce qui fait précisément autorité pour connaître la vérité ? Le media imprimé peut-il être l’instrument d’un enseignement de la vraie philosophie ? Qu’est-ce qu’un auteur et qu’est-ce qu’un livre ? Le présent travail propose d’interroger la pensée cartésienne sur ces sujets, par le prisme de sa « mise en livre ». L’étude des propriétés éditoriales des livres de Descartes constitue ainsi le cœur de cette thèse et permet de rendre compte du rapport non contradictoire d’un Descartes lecteur, déçu par les livres, et d’un Descartes auteur et editor, largement impliqué dans l’édition de ses textes : Discours de la méthode, Meditationes de prima philosophia, Principia philosophiae, Specimina philosophiae et Passions de l’âme
The present work finds its origins in the lack of interest of Descartes for the books. This lack of interest stems from the vanity of likely knownledges they convey and their materiality which prevent the reader to grab the truth they could hold. This lack of personal interest of Descartes for the book as an object is an epistemological condemnation which takes place at the heart of a critique of authority: What makes authority for knowing the truth? Can a media such as the book be used to teach true philosophy? What is an author and what is a book? The present work aims at questionning these subjects through the prism of publishing. The study of Descartes books editorial properties is at the core of this thesis and allows to understand how Descartes, a disappointed reader, was so much involved in the publishing of his works: Discours de la méthode, Meditationes de prima philosophia, Principia philosophiae, Specimina philosophiae and Passions de l’âme
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Beveraggi, Hervé. „La liberté spéculative chez Descartes et Spinoza“. Aix-Marseille 1, 1997. http://www.theses.fr/1997AIX10068.

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Le probleme de la liberte de la pensee en general, et plus particulierement face a la verite, que nous pouvons appeler liberte speculative, ne trouve pas d'explication satisfaisante chez descartes et spinoza, representants des efforts de la raison raisonnante a l'inclure dans un systeme de la rationalite. Tous deux le comprennent a l'interieur d'ontologies differentes, le confrontent a des theories de la verite egalement differentes. Car la liberte speculative se manifeste bien face au couple verite - erreur : le faux l'empeche, est source de contrainte, seule la verite fournit le sentiment de liberte le plus haut pour descartes, ou est purement et simplement synonyme de liberte pour spinoza. Mais d'un cote, il nous semble impossible de parler de liberte si l'on ne peut refuser le vrai, s'il s'impose necessairement en nous. Si descartes parvient a sauvegarder l'experience du libre arbitre, affirmant la possibilite pour l'individu de penser a ce qu'il veut et ce qu'il veut d'une idee vraie, c'est au prix de contradictions internes a son systeme quant aux rapports liberte - transparence de la pensee, liberte - verite, liberte - omniscience divine. Spinoza evite ces contradictions en refusant le libre arbitre a partir de la critique systematique de ses fondements, mais affirme une libre necessite qui n'est plus reellement une liberte, consistant en une necessite interne de type mathematique, et la place dans un troisieme genre de connaissance finalement inaccessible
The problem of freedom of thought in general, and more particulary in front of truth, which can be called speculative truth, does not find a satisfying explanation with descartes and spinoza, the representatives of the efforts from reasoning reason to include the problem of freedom of thought in a system of rationality. Both philosophers include it inside different ontologies, confront it to theories of truth which are different as well. For, speculative truth indeed, manifests itself in front of the couple truth - error : falsehood prevents it, it a source of constraint, truth only provides the highest feeling of freedom for descartes, or is merely synonymous with freedom for spinoza. But, on the other hand, it seems impossible for us to speak about freedom if we connot refuse what is true, if it necessarily asserts itself into us. If descartes manages to safeguard the experience of free - will while affirming the possibility for the individual to think of whatever he wants, and to think whatever he wants about a true idea, it is then at the expenses of contradictions inner to his system as far as the following relationships are concerned : freedom - transparency of thought, freedom - truth, freedom - divine conscience. Spinoza avoids these contradictions by refusing free - will, from the systematic criticism of its foundations, but affirms a free necessity wich is no longer really a freedom, consisting in an inner necessity of the mathematical type, and assigns it in a third genre of knowledge, inaccessible in the end
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Silva, Mateus Araújo. „Le problème de l'imagination chez Descartes“. Paris 1, 2006. http://www.theses.fr/2006PA010593.

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La thèse examine le problème de l'imagination dans le corpus cartésien tout entier, des écrits de jeunesse aux dernières œuvres. L'hypothèse de fond est que le noyau de la théorie cartésienne de l'Imagination (jamais présentée en tant que telle dans une exposition complète et auto-suffisante) est demeuré fondamentalement le même au cours de son développement à travers les divers textes. On la met à l'épreuve dans l'examen chronologique de la théorie de l'imagination au long des œuvres cartésiennes, effectué dans les chapitres 1 à 4. L'unité et la cohérence de cette théorie, ainsi que ses tensions internes, feront l'objet d'une discussion frontale et plus systématique dans les conclusions. Celles-ci risqueront, entre autres, la reconstruction d'une théorie implicite mais authentiquement cartésienne (à l'œuvre dans ses textes, bien que jamais assumée ouvertement par lui) des 3 degrés de l'imagination, par analogie avec la doctrine des 3 degrés du sens exposée dans les 6es Réponses, 9.
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Comtois, Nicolas. „Préparation à la lecture des Méditations de Descartes“. Master's thesis, Université Laval, 2017. http://hdl.handle.net/20.500.11794/27862.

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Le présent mémoire interroge le mode de lecture des Méditations métaphysiques de Descartes. Leur auteur a souligné en plusieurs endroits que, pour bien comprendre son texte, il fallait le « méditer sérieusement ». Il faut nous demander quel sens avait cette recommandation pour lui. Descartes avait connaissance des origines de la méditation dans la philosophie antique ; il y a lieu de croire que c'est avant tout de ce point de vue qu'il en envisageait l'exercice. Il a par ailleurs donné à son texte une forme qui rappelle celle des manuels chrétiens de dévotion ; il a trouvé là un moyen de doter son texte d'une structure reconnaissable mais également d'établir un rapport d'autorité avec son lecteur. Des indices font enfin croire qu'il avait une connaissance pratique des modèles de méditation proposés dans les Exercices spirituels d'Ignace de Loyola et dans les écrits d'Augustin d'Hippone. Il a pu trouver dans le premier des procédés permettant de surmonter les obstacles posés dans la méditation par l'union de l'âme et du corps. Il a pu trouver dans le second un itinéraire capable de mener à la connaissance intuitive de l'âme et de Dieu ; de manière à fonder et à garantir la mathesis universalis. Il faut avoir ce contexte à l'esprit au moment de lire les Méditations de Descartes. Nous devons nous défaire de nos propres préjugés si nous voulons pouvoir méditer avec lui.
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Palma, Lohse Emilio Eugenio. „Bacon y Descartes: las bases filosóficas de la ciencia moderna“. Tesis, Universidad de Chile, 2010. http://repositorio.uchile.cl/handle/2250/109956.

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Confalonieri, Sara. „Impossibility results : from geometry to analysis : a study in early modern conceptions of impossibility“. Paris 7, 2014. http://www.theses.fr/2014PA070060.

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Cette dissertation a pour thème l'étude des résultats d'impossibilité dans le contexte de la géométrie classique (XVllème siècle). Dans cette étude, J'adresserai les questions suivantes. Comment les géomètres classiques ont démontré (ou argumenté pour) l'impossibilité de résoudre certains problèmes par des moyens donnés ? Peut-on identifier des structures et rôles similaires dans des différentes instances de ces arguments d'impossibilité ? Mon point de départ est un des premiers exemples de pensée algébrique en géométrie, c'est à dire le marquant traité « La Géométrie » De Descartes. Mon examen de cette oeuvre concernera des points méthodologiques, tels que les fondements de la distinction entre courbes géométriques et mécaniques, ainsi que la classification des courbes et de problèmes. Dans mont travail, j'avancerai la suivante thèse générale : les résultats conditionnels d'impossibilité exercent un double rôle méthodologique. Premièrement, ils servent à démarquer les courbes acceptables des courbes non acceptables. Deuxièmement, ils entrent dans la classification des problèmes sur la base des courbes qui entrent dans leur construction, proposée par Descartes dans le troisième livre de « La Géométrie », et commentée par Van Schooten dans ses éditions en latin de 1649 et 1659. La présence de résultats d'impossibilité dans un traité, tel que que « La Géométrie », dédiée aux fondements d'une méthode pour résoudre tous les problèmes de géométrie, n'est pas surprenante, car une telle méthode devrait offrir les règles générales pour résoudre chaque problème selon les moyens les plus adéquats. Un autre, intéressant ébauche d'une classification de problèmes entre « possibles et « impossibles » peut être trouvé dans la correspondance entre Descartes et Mersenne. En particulier, le problème de la quadrature du cercle est conçu par Descartes comme une instance de « problème impossible ». Plus en général, le problème de la quadrature du cercle représentait un problème fort intéressant dans le contexte de la recherche aux XVlème et XVllème siècles. Non seulement il s'agissait d'un problème difficile, mais il avait un rôle métathéorique (ou méthodologique) important, car il pouvait être invoqué afin de distinguer les méthodes légitimes en géométrie des méthodes illégitimes
This dissertation deals with impossibility results in the context of early modern geometry (XVIlth century). The main problems and questions I shall address in my study are the following. How did early modem geometers prove (or argued for) the impossibilities of solving construction problems by prescribed means? Can we identify similar structures and similar roles in different instances of these impossibility arguments? My starting point is one of the first exemples of algebraic thinking in geometry, namely, Descartes' epoch-making « La Géométrie » (1637). My examination of « La Géométrie » mainly concerns the methodological points of this treatise: the foundations of the distinction between geometrical and mechanical curves, and the classification of curves and problems. A general thesis I advance in my work is that conditional impossibility claims exerted a twofold methodological, or metatheoretical role. Firstly, they contribute to frame the demarcation between acceptable and non acceptable curves. Secondly, conditional impossibility claims enter in the classification of problems on the ground of the curves which construct them, sketched in the third Book of « La Géométrie » an( commented by Van Schooten in his latin editions from 1649 and 1659. The presence of impossibility claims in a treatise, like Descartes' « Géométrie », devoted to lay down the fundamentals of a method to solve all problems of geometry, is not surprising, in so far such a method should provide the guidelines in order to solve each problem according to the most adequate means
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Kim, Sun-Young. „Subjectivité et individualité chez Descartes“. Paris 1, 2009. http://www.theses.fr/2009PA010516.

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Cette recherche consiste à saisir la conception de l'homme en tant que personne chez Descartes à travers la question de la subjectivité et de l'individualité, le terme d'individualité étant superposé à celui de subjectivité par les auteurs contemporains. Nous y montrons en quoi il est possible de traiter du problème de la subjectivité et de l'individualité en tant que problème de l'individualité des esprits à travers le désaccord avec l'interprétation de l'intellect aristotélicien. Afin de saisir la position de Descartes, nous étudions les pensées d'Aristote, de Thomas d'Aquin, de Duns Scot et de Suarez, lesquelles ont un lien philosophique avec la pensée cartésienne. Notre question consiste ainsi à cerner les enjeux du principe d'individuation, l'unité, l'identité et la différence. Cette étude du principe d'individuation traditionnel révèle une mise en cause du principe d'individuation lui-même, et la possibilité de passer de la scolastique à la philosophie moderne dans la mesure où, chez les modernes, la question de la conscience devient majeure. Nous étudions donc la question, de l'identité personnelle et la perception de cette identité pour caractériser la conscience de soi et comprendre la théorie de la réflexion chez Descartes à travers la mémoire, l'entendement et le sens interne. Nous explicitons ensuite l'individualité des esprits. Enfin, nous tentons de montrer l'originalité du traitement cartésien du problème de l'éducation.
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Rivera, Víctor Samuel. „Una "gramática universal" cartesiana“. Pontificia Universidad Católica del Perú, 2013. http://repositorio.pucp.edu.pe/index/handle/123456789/101422.

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Lima, Jair Araújo de. „A temporalidade nas substâncias infinita, pensante e extensa do sistema cartesiano“. reponame:Repositório Institucional da UnB, 2007. http://repositorio.unb.br/handle/10482/2866.

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Dissertação (mestrado)—Universidade de Brasília, Instituto de Humanidades, Departamento de Filosofia, Programa de Pós-Gradução, 2007.
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Os conceitos de substância e temporalidade podem ser considerados como dois elementos essenciais para a compreensão de diversos aspectos da metafísica e da física cartesiana. As substâncias finitas (res cogitans e rex extensa) dependem da substância infinita (Deus) em diversos aspectos, principalmente no que concerne à criação, bem como à permanência no ser. Portanto, Deus, a substância por excelência, determina o caráter substancial daquilo que é finito e isso influencia diretamente o aspecto temporal das substâncias finitas. As repercussões dessa influência podem ser observadas na noção de duração, presente no pensamento, e também na teoria física cartesiana no que se refere à criação e à conservação do movimento. Tendo como base as obras Discurso do Método, Meditações e Princípios da Filosofia, observaremos a relevância dos conceitos de substância e de temporalidade na filosofia de Descartes. Assim sendo, a pretensão no presente trabalho é defender a existência de um estreito vínculo entre a substancialidade e a temporalidade. _________________________________________________________________________________________ ABSTRACT
The concepts of substance and temporality can be considered as two essential elements to understand several aspects of Cartesian metaphysics and physics. The finite substances (res cogitans and res extensa) depend on the infinite substance (God) in manly aspects, especially those concerned to creation and permanence in being. As a result, God, the substance per excellence, determines the substantial character for everything that is finite and this influences directly the temporal aspects of finite substances. Repercussions of this influence can be observed in the idea of duration, which is present in the action of thinking, and in the Cartesian physics theory about creation and movement conservation. Based on the books Discourse on the Method, Meditations on First Philosophy and Principles of Philosophy, we will examine the meaning of the concepts of substance and temporality in Descartes’ philosophy. In view of the above, the aim of the present work is to defend the existence of a narrow link between substantiality and temporality.
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Loyola, Maureira Diego. „El geómetra, o, Apuntes para una interpretación no dualista de la filosofía cartesiana“. Tesis, Universidad de Chile, 2010. http://repositorio.uchile.cl/handle/2250/109944.

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El objetivo principal de esta obra es mostrar que, en contra de lo que nos ha enseñado la tradición, no se puede cali car de dualismo a la doctrina cartesiana. Siendo esto así, se pretende formular las bases para una losofía plenamente idealista en Descartes, que tiene como modelos la indubitabilidad del cogito y las verdades matemáticas, mediante las cuales es posible explicar el mundo. Los argumentos que respaldan nuestra tesis son, en primer lugar, la imposibilidad de llevar a la duda por sobre las verdades de razón. Esto debido a que la duda se basa en la concebibilidad, la cual supone las leyes de no contradicción y de identidad. En segundo lugar, la reducción de los cuerpos a la extensión, y de ésta a ecuaciones mediante la geometría, lo que permite establecer la desaparición de la res extensa . Para el desarrollo de nuestra investigación, se han seguido los tres últimos preceptos del método empleado por Descartes, es decir, el de reducir todo a partes tan simples como sea posible para ir ascendiendo desde ellas a lo más complejo de forma ordenada. Por último, repasar constantemente lo dicho con el n de asegurar que no se ha omitido nada. Respecto del primero, es decir, no admitir como verdadero nada que no sea evidente, no me queda más que esperar el haberlo cumplido. Los resultados obtenidos mediante este método son claros: por una parte, Descartes no es un dualista, y el peso de la prueba recae sobre quien a rme lo contrario; por otra, el argumento conduce a un idealismo radical que, teniendo como base la matemática, pretende formar una concepción racional del mundo, siendo esta la única vía posible de explicación.
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Bouvier, Alban. „Essai d'anthroposociologie de l'argumentation philosophiques : hétérogénéités et dissonances dans les Méditations métaphysiques de Descartes et dans le Contrat social de Rousseau“. Paris 4, 1991. http://www.theses.fr/1991PA040221.

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Quelles opérations de la pensée sont requises du lecteur d'une oeuvre philosophique pour que celle-i soit comprise et éventuellement pour qu'il y donne son assentiment. Comment,en conséquence,les oeuvres philosophiques participent à la transformation des représentations d'une communauté philosophique,scientifique,politique etc. Et dans quelle mesure ce qui apparaît comme confus ou hétérogène ou contradictoire ou dissonant,avait été voilé par différents phénomènes linguistiques. A ces questions,cette thèse cherche une réponse. L'anthropologie sociologique de Pareto retravaillée à la lumière des théories contemporaines d'argumentation (Perelman,Toulmin,etc. ) et de catégorisation,permet de définir les éléments de base d'un cadre théorique. Dans une moindre mesure,l'héritage de Tarde et celui de Durkheim sont également revendiqués. Ce cadre théorique est ensuite appliqué à un corpus constitué des 'Méditations métaphysiques' de Descartes et du 'Contrat social' de Rousseau
What thought processes are required from the reader of a philosophical work for him to understand it and possibly give his assent ?. .
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Tsuzaki, Yoshinori. „L' exercice chez Descartes : méthode, anthropologie et morale“. Paris 1, 2010. http://www.theses.fr/2010PA010551.

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Dans une tradition qu'on peut rapporter aux « exercitia spiritualia » de la philosophie antique, Descartes s'intéresse à la formation de l'esprit : l'accès à la vérité n'est possible qu'à la condition d'accomplir un exercice correcteur et formateur des facultés épistémiques. Cette action sur soi provoque une transformation de l'esprit dont l'objectif est triple : à travers la distinction de l'âme et du corps, la vérité offre à l'esprit la connaissance de soi; avec l'accès à la connaissance de Dieu, elle peut provoquer l'extase ; l'accès à la vérité produit le contentement et la tranquillité : il s'agit de devenir celui que Descartes appelle le « généreux », en qui l'on discerne trois types de la relation à soi (la protection de soi, l'auto-remédiation et la maîtrise de soi). Dans la mesure où cette conversion vers soi rend possible la maîtrise de la nature, l'exercice s'éloigne, chez Descartes, de l'exercice religieux de type ignacien, se sécularise et sert son projet scientifique.
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Pastén, Recabarren Camilo. „Escepticismo cartesiano a causa de la infecundidad del cogito: una interpretación de la doctrina cartesiana sin Dios“. Tesis, Universidad de Chile, 2011. http://www.repositorio.uchile.cl/handle/2250/110011.

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¿Cómo llegar a la realidad de las cosas desde la existencia de mi yo? El paso de la subjetividad a la objetividad es acaso el mayor trabajo para modernos como Descartes, y es el paso necesario para fundamentar la estructura de las ciencias. El paso sistemático, es el único camino que considera Descartes, esta sistematicidad la llamará “método”, aquél método estará en sus obras “Reglas para la dirección del entendimiento” y “Discurso del Método”. Con tal método tratará nuestro filósofo fundamentar el paso de la necesidad para el yo a la necesidad de la realidad en las “Meditaciones Metafísicas”.
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Furtado, Thiago Martins. „Descartes meditando : a formação do sujeito no exercicio meditativo“. [s.n.], 2009. http://repositorio.unicamp.br/jspui/handle/REPOSIP/281921.

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Orientador: Eneias Junior Forlin
Dissertação (mestrado) - Universidade Estadual de Campinas, Instituto de Filosofia e Ciencias Humanas
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Resumo: Esta dissertação tem como objeto a formação do sujeito cartesiano nas Meditações Metafísicas, partindo da leitura de Michel Foucault. Ao analisar a obra maior de Descartes, especialmente com o texto "Mon corps, ce papier, ce feu" (1972), Foucault enfatizou a trama "ascética" do discurso meditativo, que se cruza com a trama demonstrativa. É pelo exercício (ascese) que o sujeito se forma ou se transforma pelas enunciações discursivas. O conceito de meditação, seu aspecto ascético, é portanto o núcleo deste trabalho, que foi dividido em três partes: a primeira faz uma análise do conceito de linguagem na obra cartesiana, visando explicar se há um ideal estilístico propugnado pelo filósofo francês e quais os motivos que o levaram a optar pela forma discursiva 'meditação'. A segunda parte analisa o 'exercício meditativo' a partir de uma dupla perspectiva: de um lado descreve a meditação como uma prática que engloba um conjunto de regras que constituem uma arte (techné); por outro, analisa a meditação como forma discursiva ou gênero literário/filosófico, indicando as origens do discurso cartesiano nas obras legadas pela literatura cristã. O objetivo deste segundo capítulo é mostrar os pontos de continuidade da filosofia cartesiana com a tradição mas, principalmente, mostrar a especificidade de uma 'meditação demonstrativa' em oposição às meditações místicas. O terceiro capítulo aborda o texto cartesiano como uma "obra de arte", isto é, destaca e analisa as estratégias narrativas utilizadas por Descartes nas Meditações - enredo, narrador, tempo/espaço, estilo, etc. Finalmente, na conclusão, além da enumeração dos resultados obtidos pela pesquisa, mostraremos que há em Descartes uma solidariedade e coerência entre o emprego de uma forma discursiva teórica e um "modo de vida filosófico", o que nos aproxima da tese sustentada pelo historiador francês Pierre Hadot
Abstract: The present dissertation takes as its object the formation of the Cartesian subject in the Metaphysical Meditations, taking as point of departure Michel Foucault's reading of the subject. When he analyzed Descartes' greatest work, especially as we see in the text "Mon corps, ce papier, ce feu" (1972), Foucault emphasized the meditative discourse's "ascetic" scheme, which is entangled with the demonstrative scheme. It is through the exercise (ascesis) that the subject forms itself or transforms itself by the discursive enunciations. The concept of mediation, its ascetic character, is therefore the core of the present work, which was divided in three parts: the first analyzes the concept of language in the Cartesian work, trying to explain if there is a stylistic ideal carried forth by the French philosopher, and what were his motivations for adopting the meditative discursive form. The second part analyzes the 'meditative exercise' from a double perspective: in one hand the meditation is described as a praxis which presupposes a set of rules constituent of a certain art (techné); on the other, the meditation is analyzed as a discursive form or literary/philosophic genre, whose origins can be traced back in the works produced by the christian literature. This second chapter aims at showing the points of continuity between the Cartesian philosophy and the tradition, but, furthermore, it aims at showing the specificity of a 'demonstrative meditation' in opposition to the mystical meditations. The third chapter approaches the Cartesian text as a 'work of art', that is, it detaches and analyzes the narrative strategies used by Descartes in the Meditations - plot, narrator, space/time, style, etc. Finally, in our conclusion, besides enumerating the results obtained through our research, we shall show that there is in Descartes a solidarity and coherency between the use of a theoretical discursive form and a "philosophical way of life", what makes us closer to the thesis sustained by the French historian Pierre Hadot
Mestrado
Filosofia
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Campos, Mariana de Almeida. „La question du sujet des sentiments dans le dualisme de Descartes“. Thesis, Dijon, 2014. http://www.theses.fr/2014DIJOL007/document.

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En prenant pour toile de fond l’analyse de la métaphysique du dualisme cartésien de substances, la présente thèse a pour objectif de discuter la question de savoir quel serait le sujet des prédicats qui dénotent des sentiments dans les textes de Descartes. L’hypothèse proposée est que seules substances peuvent être considérées comme des « sujets ultimes d’inhérence » de ces prédicats. Pourtant, il sera argumenté que les hommes et les animaux, qui ne sont pas des substances, peuvent être considérés comme les « sujets d’attribution » de ces prédicats, puisqu’ils possèdent un type spécial d’unité, à savoir, une « unité de composition », qui assure une telle attribution. Ainsi, la thèse sera développée selon trois axes principaux. En partant d’un examen de la théorie cartésienne de la substance et de ses définitions, nous analyserons le concept de substance étendue, en prenant compte du débat entre les interprétations moniste et pluraliste de ce concept. Dans ce contexte, nous examinerons la spécificité du corps humain par rapport aux autres corps de la nature, en considérant certains aspects de la théorie cartésienne des animaux-machines. Ensuite, nous discuterons la question de l’unité de l’homme, ainsi que d’autres types d’unité reconnus par Descartes. Finalement, nous analyserons la théorie cartésienne de la causalité dans le but de déterminer quelles théories parmi celles de la causalité, interactionniste ou occasionaliste, pourraient servir, dans la vision de Descartes, de modèles explicatifs des sentiments humains et des sentiments animaux. L’hypothèse défendue dans cette thèse est en consonance avec la vision selon laquelle la théorie cartésienne des trois notions primitives particulières, à savoir, pensée, étendue et union, est totalement compatible avec le dualisme métaphysique de substances que Descartes propose et, par conséquent, n’implique pas un affaiblissement de ce dernier
The goal of this thesis is to address the question of what would be the subject of the predicates that denote sentiments in Descartes’ writings. The proposed hypothesis is that substances can only be regarded as « the ultimate subjects of inherence » of these predicates. Nevertheless, it will be argued that men and animals, although they are not substances, may be considered the « subjects of attribution » of such predicates, since they have a specific unit, namely, a « unity of composition », which ensures that attribution. Therefore, the thesis will be developed in three main axes. From an examination of the Cartesian theory of substance and its definitions, we analyze the concept of extended substance, taking into account the existing debate between monistic and pluralistic interpretations of this concept. In this context, we examine the specificity of the human body in relation to other bodies of nature, considering certain aspects of the Cartesian theory of animal machines. Then we address the question of the unity of man, as well as other types of unity recognized by Descartes. Finally, we examine the Cartesian theory of causality in order to determine which theories of causality, interactionism, or occasionalism, in Descartes view, could serve as explanatory models for sentiments in humans and animals. The hypothesis to be defended in this thesis is consistent with the view that the Cartesian theory of three particular primitive notions, namely, thought, extension, and union, is fully compatible with the metaphysical dualism of substances that Descartes proposed, and therefore does not imply a weakening of the latter
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Kaposi, Dorottya. „La liberté de l’esprit selon Descartes : la doctrine de la volonté et la question de l’individualité“. Paris 4, 2007. http://www.theses.fr/2007PA040052.

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Ce travail a pour objet d’étudier le rôle de la doctrine cartésienne de la volonté dans l’établissement de l’individualité de l’ego, ainsi que ses implications relativement à la responsabilité du sujet et à son inscription dans une relation avec autrui. Comme l’étude des premiers écrits de Descartes permet de l’établir, le développement d’une doctrine de la liberté dans son œuvre n’est due ni à un traitement de questions théologiques ou morales soulevées par l’étude du concept de libre arbitre, ni, comme le laisserait croire son apparition au sein de la Meditatio IV, à l’intention de constituer une théorie permettant d’expliquer la cause de l’erreur. Ce développement est essentiellement lié au problème posé par la possibilité que les démarches de l’ego soient déterminées, indépendamment de lui-même, par des circonstances et des pouvoirs extérieurs. Ainsi, le refus de l’influence d’autrui suscite, d’une part, l’examen de la problématique du rapport à autrui et, d’autre part, l’interrogation sur les modalités qui permettent d’affirmer l’appartenance à l’ego de ses propres pensées et de ses propres actions. L’analyse du statut de la volonté s’inscrivant dans ce cadre permet de mettre en évidence un lien entre le problème de l’imputabilité et la question de l’altérité qu’il convient donc de traiter de manière conjointe. Au terme de notre travail, nous essayons de montrer que c’est sur le seul terrain de la morale que l’homme, dont la notion fait intervenir la doctrine de l’union de l’âme et du corps, peut accéder à une relation réelle avec les autres « soi-même » en tant que « causes libres » et former avec eux une communauté de sujets moraux
The main purpose of this study is to examine the role of the Cartesian doctrine of the will in the establishment of the ego’s individuality, as well as its consequences for the individual responsibility and for the problem of the relation of the “I” to other subjects. An analysis of Descartes’s early writings establishes that the development of his doctrine of freedom can be accounted for neither by the treatment of theological or moral questions arising from study of the traditional concept of “liberum arbitrium”, nor, as might be suggested by its appearance in the Fourth Meditation, with reference to his attempt to formulate a theory which could explain the causes of error. This point is clearly connected to the problem which arises when one considers that the inquiries and intellectual procedures of the ego may be determined quite independently of it by external circumstances and powers. Hence, the consideration that the Cartesian ego refuses to depend on the influence of any Other requires, first, an analysis of the possible relationship between the “I” and the Other and, second, an investigation of the modalities according to which the “I” can consider thoughts and actions as its own. My analysis of the status of will in this framework reveals a link between the problem of imputation and the question of alterity, two issues which must be treated in relation to each other. In conclusion, I try to show that it is only in the realm of morality that man, the concept of whom is related to Descartes’s doctrine of the union of body and mind, can have access to a real relation with the other “selves” as “free causes”, forming with them a community of moral subjects
Elemzésem fő célja megvizsgálni a karteziánus akarat-doktrina szerepét az ego individualitásának megalapozásában, valamint hogy ez a kérdéskör hogyan függ össze az individuális felelősség és a másikhoz való viszony problémáival. Descartes korai írásainak elemzése alapján megállapíthatjuk, hogy a szabadság doktrinájának megformálása nem annak köszönhető, hogy a szerző a hagyományos szabad akarat fogalom használatából eredő teológiai és morális kérdéseket tárgyalná, s nem is annak, hogy egy olyan elméletet akarna megalkotni, amely képes megmagyarázni a tévedés okát – mint ahogy azt a IV. Elmélkedésben való megjelenése sugallná. Gondolatmenetének fejlődése lényegileg összefügg annak a lehetőségnek a problémájával, hogy az ego intellektuális tevékenységét külső, tőle független körülmények és erők határozhatnák meg. Ha észrevesszük tehát, hogy a karteziánus ego elutasítja a másik befolyását, ebből két kérdés vizsgálata kerül előtérbe: egyrészt, az énnek a másikhoz való viszonyának problémaköre, másrészt pedig az a kérdés, hogy mi teszi lehetővé, hogy az én önmagához tartozónak tekintse saját gondolatait és cselekedeteit. Az akarat státuszának ebben a keretben történő elemzése megmutatja a tulajdoníthatóság és az alteritás problémái közti mély kapcsolatot, amelyeket így egymással összefüggésben szükséges tárgyalni. Munkánk végén megpróbáljuk megmutatni, hogy az ember, akinek fogalma a test-lélek egységének tanítására épül, egyedül a morál keretei között képes a többi „én”-nel mint „szabad okok”-kal való reális viszony kiépítésére, és létrehozni velük a morális szubjektumok együttesét
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Larralde, Philippe. „Heidegger et descartes : d'une perspective neocartesienne face a la question de l'etre“. Caen, 1993. http://www.theses.fr/1993CAEN1116.

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Heidegger interprete la metaphysique comme "oubli de l'etre" et la modernite inauguree par descartes, la metaphysique de la subjectivite, comme l'approfondissement decisif de cet "oubli". Or, pour f. Alquie, l'affirmation du cogito est au contraire "decouverte de l'etre". Etre contre subjectivite ou etre comme subjectivite? ici apparaissent deux significati ons de la question de l'etre (depassant l'"onto-theo-logie"). L'hypothese du present travail est la suivante : en fonction de cette double signification, la notion heideggerienne d'" oubli de l'etre" est susceptible, appliquee a descartes, d'une double interpretation : - positive : il y a "oubli" par rapport a un terme de reference pose absolument comme hors rationalite (aletheia) et determinant une alternative a la definition cartesienne de la verite comme certitude de la representation. - negative : abstraction faite de cette determination positive, il faut constater que descartes se resigne a l'equivocit e du terme "substance", abandonnant la question scolastique de l'analogie de l'etre entre le fini et l'infini. La specificite de l'interpretation heideggerienne de descartes et de la modernite reside dans la subordination de la seconde signification a la premiere, si bien que la rupture avec la tradition aristotelicienne de l'analogie apparait comme "oubli" encore plus irremediable de l'aletheia; il s'agit ici de montrer qu'il faut penser cette rupture constitut ive de la modernite independamment de l'interpretation globale de l'histoire de la philosophie comme "oubli de l'etre"
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