Auswahl der wissenschaftlichen Literatur zum Thema „Croyances dépressives“

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Zeitschriftenartikel zum Thema "Croyances dépressives"

1

Priam, C., N. Camart, L. Romo und A. Meunier. „Étude de l’évolution des croyances au cours d’un traitement par stimulation magnétique transcrânienne (rTMS) chez des patients dépressifs“. European Psychiatry 29, S3 (November 2014): 652. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.025.

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IntroductionLa stimulation magnétique transcrânienne répétée (rTMS) est une technique thérapeutique non invasive de stimulation du cerveau, utilisée pour le traitement de la dépression résistante. Les études ont montré son efficacité sur la diminution de l’intensité de la dépression [1]. Mais, à ce jour, peu d’études se sont intéressées à l’évolution au cours de ce traitement, de facteurs psychologiques tels que les schémas dysfonctionnels représentés par les attitudes dysfonctionnelles [2] et les schémas précoces inadaptés [3] et qui sont impliqués dans la dépression.Objectif principalDéterminer s’il y a une évolution des schémas précoces inadaptés (Young, 1990, 1999) et des attitudes dysfonctionnelles [2] avec le traitement rTMS.MéthodologieVingt-trois patients dépressifs traités par rTMS au cours d’une cure de 10 jours, avec ou sans traitement médicamenteux. En début et en fin de cure, puis un mois après la fin de la cure rTMS, ils ont rempli une batterie de questionnaires composés du MINI, du BDI-13, de l’HDRS, de la HAD, du STAI, de la DAS, de l’YSQ-S1 et de l’ESDV-5.RésultatsLa rTMS confirme son efficacité sur les symptômes anxio-dépressif. Les attitudes dysfonctionnelles diminuent significativement un mois après la cure rTMS. En revanche, les schémas précoces inadaptés restent stables. La qualité de vie n’augmente modestement qu’un mois après la cure rTMS.ConclusionBien que la rTMS permette une diminution significative de l’intensité de la dépression et l’anxiété, une vulnérabilité psychologique est maintenue au travers de schémas dysfonctionnels. Une psychothérapie associée au traitement et visant le changement de ces pensées négatives semble nécessaire, notamment afin d’éviter les rechutes dépressives. D’autres études avec un plus grand échantillon devraient examiner l’impact de la rTMS sur certains facteurs psychologiques à court, moyen, et long terme.
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Seguin, I., C. Rigard, C. Demily und D’Amato. „Pertinence d’un groupe d’affirmation de soi pour des personnes porteuses d’une délétion 22q11.2“. European Psychiatry 28, S2 (November 2013): 24–25. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.060.

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L’affirmation de soi fait partie des techniques d’orientation cognitivo-comportementale visant à développer les aptitudes nécessaires pour communiquer de façon adaptée, en tenant compte des codes sociaux consensuels. Elle permet de prévaloir ses droits comme : savoir dire NON, prendre des décisions et gérer leurs conséquences. Cette technique a fait ses preuves auprès de personnes dépressives ou anxieuses, ayant un déficit de l’affirmation de soi et auprès de personnes psychotiques [1] présentant des difficultés à se mettre à la place de l’autre, ce qui entraîne des interprétations erronées et un évitement relationnel. La microdélétion 22q11.2 est une affection cytogénétique. Les troubles du comportement font partie des manifestations les plus fréquentes. Les personnes porteuses de la microdélétion peuvent rencontrer des difficultés pour communiquer avec les autres. Des troubles psychiatriques et de la cognition sociale [3] sont également documentés. D’après Jalbrzikowski et al. [2], ces derniers sont un puissant prédicteur de l’apparition de symptômes positifs. Face à ce constat-là, aider ces personnes à développer leurs compétences relationnelles, pour améliorer leur qualité de vie ou prévenir l’apparition de troubles psychiatriques, nous semble pertinent. Nous avons travaillé à l’adaptation d’un groupe d’affirmation de soi pour les personnes présentant une délétion 22q11.2. Nous animons un groupe hebdomadaire d’affirmation de soi pour cinq jeunes femmes. Les premières séances privilégient la définition des objectifs de chacune et une introduction aux habiletés conversationnelles. Les séances suivantes sont centrées sur la résolution de problèmes interpersonnels, avec jeux de rôles encadrés sur des situations apportées par les participantes. Entre chaque séance, des tâches à domicile sont données. Au-delà des améliorations cliniquement observées, nous présenterons les scores des participantes aux échelles d’évaluation pré- et post-groupe : [échelle des standards personnels de (Frost, 1990), échelle des croyances dysfonctionnelles (Bouvard et al., 1994)].Pour en savoir plusChambon O, et al. Ther Comportementale Cognit 1993;3:78–83.
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Masmoudi, S., F. Ellouze, S. Abidi, H. Boussen und F. M’rad. „Cancer du sein et sexualité“. Psycho-Oncologie 13, Nr. 2 (Juni 2019): 122–24. http://dx.doi.org/10.3166/pson-2019-0095.

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L’influence du cancer du sein et de ses traitements sur la sexualité reste encore très peu explorée en Tunisie. Dans ce travail, on se propose de rapporter les difficultés et le vécu sexuels de deux femmes tunisiennes présentant un cancer du sein. À travers ces deux vignettes, il s’avère que les causes sont multiples et intriquées, on pourrait schématiquement les classer en cinq catégories : difficultés dans la communication avec le médecin traitant, croyances erronées, réaction dépressive, iatrogénie et modification de l’image du corps, troubles de la communication au sein du couple. Maintenir une image de soi positive, se sentir encore féminine et rester sexuellement attirante contribuent au bien-être des femmes confrontées au cancer du sein.
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Velt, Johanna, und Johanna Velt. „La vie devant soi : espérance et transfert de base“. Revue française de psychanalyse Vol. 86, Nr. 3 (17.05.2022): 547–57. http://dx.doi.org/10.3917/rfp.863.0547.

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À travers le cas d’une jeune femme présentant des troubles dépressifs et du comportement alimentaire, l’auteure souhaite montrer comment l’espérance suscitée par la rencontre avec son analyste a favorisé l’instauration d’un véritable processus de cure analytique. L’auteure postule que c’est le transfert de base qui a été décisif non seulement pour l’investissement de la personne de l’analyste, mais aussi du processus analytique, en permettant la création d’une aire d’illusion, qui n’avait pas été possible jusqu’à présent. Un agir de parole de l’analyste résonne comme une séduction d’offre d’analyse pour le couple analytique. Sa fonction de pare-excitation permet à l’analyste de prendre en compte des aspects très régressifs, affectifs et préverbaux, et par là même de favoriser la névrose de transfert. Loin d’entretenir une toute-puissance illusoire, la cure permet à la patiente d’opérer deuils et renoncements. L’attente croyante est abordée à travers divers auteurs (Freud, Grunberger, Vila).
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Blanc, J. V., und P. Nuss. „Attitudes négatives aux antidépresseurs au cours de la prise en charge des épisodes dépressifs : l’autre « French Paradox » ?“ European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S148—S149. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.298.

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IntroductionAlors que la majorité des traitements antidépresseurs prescrits en France durent moins de 28 jours , moins de 2 % des travaux étudiant le traitement pharmacologique des troubles de l’humeur explorent les facteurs métapsychologiques associés à l’adhésion . Quelles sont les attitudes aux antidépresseurs des patients observants et demandeurs de soins ?ObjectifL’objectif de cette étude était d’évaluer les attitudes aux antidépresseurs chez :– des patients hospitalisés pour leur dépression ;– ceux se rendant chez leur pharmacien pour chercher leur traitement.MéthodeLes attitudes aux antidépresseurs étaient évaluées en utilisant la version courte du Drug Attitude Inventory (DAI-10), chez 98 patients : 40 hospitalisés de leur plein gré en psychiatrie et 58 venant chercher une prescription d’antidépresseur en officine.RésultatsL’âge moyen de l’échantillon était de 43 ans, avec 69 % de femmes. Dans l’échantillon hospitalier, la médiane du DAI était de 3,5 (échelle de –10 à +10). Trente pour cent des patients avaient une attitude négative à l’antidépresseur prescrit, dont 10 % de l’échantillon ne connaissait pas le nom. Il s’agissait de la première prescription d’antidépresseur pour 30 % des patients. Dans le volet ambulatoire, la médiane du DAI n’était que faiblement plus positive (4), et 10 % des sujets avaient une attitude négative à l’antidépresseur qu’ils venaient chercher. Vingt pour cent des sujets déclaraient ne pas avoir de suivi de son trouble dépressif.DiscussionCette étude naturalistique met en relief l’ambivalence des patients face aux antidépresseurs. Tandis qu’un comportement montre un engagement fort dans les soins (être hospitalisé en milieu spécialisé, aller chercher une prescription au long cours), les connaissances sur les troubles les justifiant et les croyances envers les thérapeutiques prescrites restent précaires .ConclusionCette ambivalence, reflet des attitudes de la société face à nos médicaments, pourrait être mieux explorée en pratique clinique quotidienne.
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Huguelet, P. „Sens de la vie et troubles psychotiques“. European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S27. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.082.

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Le rétablissement est un processus visant à promouvoir l’acceptation de ce qui ne peut pas être changé, puis de construire un nouveau projet de vie positif. Se rétablir implique donc de trouver l’espoir, de redéfinir l’identité et de trouver un sens à la vie. Les philosophes puis les thérapeutes existentialistes se sont penchés sur la question du sens. Le sens revêt deux significations :– que signifient nos vies ?– à quoi servent nos vies ?Le sens de la vie est en lien avec une bonne estime de soi. Il découlerait cependant principalement d’une bonne congruence entre nos valeurs (définies comme « des croyances stables selon lesquelles certains buts dans la vie sont préférables à d’autres ») et les moyens donnés par le contexte social pour les appliquer. Nous décrirons dans cet exposé l’application d’un modèle postulant que chez les sujets souffrant de troubles mentaux, des éléments biologiques, psychologiques (p. ex. déficits motivationnels, idées délirantes) et sociaux (isolement) vont empêcher la reconnaissance de valeurs par le sujet, puis leur mise en application. Cela aura un impact sur le sens de la vie. Ce manque de sens va influencer négativement en feed-back la motivation, l’estime de soi et impacter sur des symptômes dépressifs. Notre étude a porté sur 176 sujets dont 75 souffraient de troubles psychotiques, 38 de trouble de la personnalité borderline, 35 de trouble bipolaire et 28 d’anorexie. Globalement, nos hypothèses ont été validées par une analyse de médiation : certains symptômes (manque d’espoir, dépression) influencent les valeurs ; celles-ci sont associées au sens de la vie ; en retour, celui-ci impacte sur des symptômes. Ces résultats, observables dans les quatre groupes diagnostiques, suggèrent de considérer les valeurs et le sens dans la prise en charge orientée sur le rétablissement des patients souffrant de troubles mentaux persistants.
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Mandhouj, O. „Troubles mentaux sévères et ressources spirituelles“. European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S26—S27. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.081.

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La spiritualité et la religion jouent un rôle important pour certains patients souffrant de troubles psychotiques ou dépressifs. Toutefois, les psychiatres se sont souvent arrêtés aux aspects négatifs de ces aspects. Nous avons étudié récemment cette dimension chez des patients souffrant de psychose chronique. Nos résultats démontrent une plus grande religiosité des patients en comparaison aux soignants, ainsi qu’à la population générale. Seule une minorité de patients présente une croyance spirituelle que l’on peut qualifier de pathologique (14 %). La religion joue un rôle majoritairement positif pour l’image de soi (espoir, estime de soi), pour les symptômes de la maladie et pour les relations sociales. La religion a un effet protecteur par rapport à la prise de drogues. Différents exemples de la manière dont la religion peut être utilisée par les patients pour faire face à leurs difficultés seront énumérés durant l’exposé. Des études épidémiologiques et cliniques montrent que les pratiques religieuses et spirituelles diminuent le risque de passage à l’acte suicidaire. Nous détaillerons une étude que nous avons réalisé chez des personnes hospitalisées suite à des tentatives de suicide. Il apparaît dans cette population une spiritualité plus basse que celle rencontrée dans la population générale. Une spiritualité élevée, particulièrement par rapport à sa dimension « Sens de la vie », semble protéger de la récidive que nous avons évaluée sur une période de 18 mois. Dans un contexte de trouble mental chronique et grave, la religion et la spiritualité semblent être des éléments susceptibles d’aider considérablement certains patients. Il semble qu’il s’agisse d’un domaine relativement peu exploré par les soignants. Les manières dont cette thématique devrait être abordée dans la prise en charge des patients souffrant de troubles psychiatriques sera discutée.
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Dissertationen zum Thema "Croyances dépressives"

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Boissard, Elodie. „Concevoir l'humeur dépressive pour comprendre la dépression : psychiatrie et philosophie des états affectifs“. Electronic Thesis or Diss., Paris 1, 2023. http://www.theses.fr/2023PA01H207.

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Dans cette thèse, j’interroge la notion d’« humeur dépressive », en tant que symptôme historiquement central et distinctif de la dépression. Originellement vue comme un trouble affectif, la dépression fait aussi aujourd’hui l’objet de modèles comportementaux ou cognitifs.De plus, comme nous manquons d’une conception consensuelle de ce que sont les troubles psychiatriques, une conception de ce qui rend un épisode dépressif « pathologique » fait défaut, au-delà de ses critères cliniques. La dépression est-elle bien un trouble affectif, un trouble de l’humeur ? Si oui, qu’est-ce qui la différencie d’une humeur dépressive non problématique ? L’objectif est d’améliorer notre compréhension de ce trouble psychiatrique grâce à un apport en philosophie. Je mène un travail d’histoire conceptuelle, et d’analyse conceptuelle en philosophie des états affectifs et philosophie de la psychiatrie, sur la notion d’« humeur dépressive », pour caractériser le versant affectif de l’état dépressif, déterminer la manière dont il s’articule aux autres versants de l’état dépressif, et en quel sens ce dernier peut être « pathologique ». Je retrace une histoire conceptuelle de la caractérisation clinique du versant affectif des états dépressifs dans la psychiatrie française, depuis l’aliénisme jusqu’à la psychiatrie contemporaine, qui montre notamment que ce versant affectif ne se réduit pas à la tristesse. Je formule ensuite une théorie fonctionnaliste de l’humeur dépressive en philosophie des états affectifs, en termes de « croyances dépressives actives », dans laquelle cette humeur se définit comme un état affectif qui a pour effet distinctif sur les états mentaux de recruter et d’amener des croyances dépressives à se manifester. Ce sont des croyances pessimistes,défaitistes et auto-dévalorisantes quant à la possibilité d’atteindre une situation de satisfaction de ses aspirations. Enfin, je défends une théorie cognitive de la dépression en termes de« croyances dépressives auto-réalisatrices ». Ces croyances sont rendues particulièrement préjudiciables par une modulation de leur rôle fonctionnel par une humeur dépressive persistante. Le préjudice consiste dans ce que l’état dépressif global induit conjointement par cette humeur et ces croyances dépressives entraîne une incapacité à mobiliser certaines capacités psychologiques nécessaires pour chercher à satisfaire ses aspirations : je le formule dans les termes d’une incapacité de second-ordre à atteindre un bien-être minimal, adaptant ainsi à la dépression la conception du « pathologique » élaborée par Nordenfelt (2000) en philosophie de la psychiatrie. Cette incapacité correspond à une autoréalisation des croyances dépressives, sous la contrainte de l’humeur dépressive
In this thesis I investigate the notion of « depressed mood » which historically the central and distinctive symptom of depression. Depression was originally seen as an affective disorder but it is now explained by behavioral and cognitive models as well. Moreover, as welack a general definition of a psychiatric disorder, we also lack a conception of what makes adepressive episode “pathological”, beyond its clinical criteria. Is depression an affective disorder, a mood disorder ? If yes, then what makes the difference between depression and a non-problematic depressed mood? The aim is to improve our understanding of this psychiatric disorder thanks to philosophy. My approach combines conceptual history and conceptual analysis in philosophy of affective states and philosophy of psychiatry on the notion of“depressed mood”, in order to characterize the affective component of a depressed state, toarticulate it with the other components of such a state, and to determine in what sense such astate can be pathological. I make a conceptual history of the clinical characterization of theaffective component of a depressed state in French psychiatric, from the “alienists” to contemporary psychiatry: it shows that this affective component cannot be reduced to sadness.I formulate a functionalist theory of depressed mood in philosophy of affective states, in termsof “active depressive beliefs”: this theory defines this mood as an affective state whosedistinct effect on mental states is to recruit and bring depressive beliefs to manifest themselves. These beliefs are pessimistic, defeatist and self-deprecating beliefs about thepossibility to reach a future situation where one’s aspirations would be satisfied. To finish, Idefend a cognitivist theory of depression in terms of “self-fulfilling depressive beliefs”. These beliefs are made especially harmful by the depressed mood that modulates their functional role when it persists. The harm consists in that the depressed state jointly induced by this mood and these beliefs leads to incapacity to mobilize psychological capacities that are necessary to seek to satisfy one’s aspirations: I formulate this harm in terms of second-orderincapacity to reach a minimal well-being, so that I adapt to depression the conception of “pathological” elaborated by Nordenfelt (2000) in philosophy of psychiatry. This incapacity corresponds to a self-fulfillment of depressive beliefs under the constraint of the depressedmood
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Wilson, Kimberly. „Les croyances à propos de la douleur, les sentiments dépressifs et l'intensité de la douleur chez des personnes âgées hospitalisées“. Thesis, National Library of Canada = Bibliothèque nationale du Canada, 1997. http://www.collectionscanada.ca/obj/s4/f2/dsk2/ftp04/mq23742.pdf.

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