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Zeitschriftenartikel zum Thema „Crise de l'autorité“

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1

Chevènement, Jean-Pierre, und Robert Damien. „La crise de l'autorité politique“. Cités 6, Nr. 2 (2001): 145. http://dx.doi.org/10.3917/cite.006.0135.

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Chapellon, Sébastien. „L'autorité familiale entre crise et conflit“. Le Divan familial 27, Nr. 2 (2011): 135. http://dx.doi.org/10.3917/difa.027.0135.

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3

Christophe, S. „(A301) Le Centre De Crise Du Ministère Des Affaires Etrangères“. Prehospital and Disaster Medicine 26, S1 (Mai 2011): s84. http://dx.doi.org/10.1017/s1049023x11002858.

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Les crises récentes montrent, si besoin en était, la complexité de leur traitement. Alors que la capacité de l'Etat à gérer les situations de crise est à la fois un élément essentiel de notre politique étrangère et une nécessité de résultat, il était essentiel de se doter d'un outil gouvernemental performant. Cet outil, apte à la prévention des risques (naturels, sanitaires et technologiques) et des menaces à l'étranger, comme en matière de gestion de crises est né en juillet 2008 et a été placé sous l'autorité du Ministre des affaires étrangères et européennes. Doté de plus de cinquante agents le Centre de Crise résulte de la fusion de deux services, initialement indépendants: la sous direction de la sécurité des français à l'étranger et la délégation à l'Action humanitaire. Aujourd'hui les moyens humains et matériels de ces deux entités travaillent dans un but commun: porter assistance aux populations françaises et étrangères partout dans le monde. Compte-tenu de sa vocation à mobiliser l'ensemble des moyens de l'Etat, le Centre de Crise a été placé sous l'autorité directe du Ministre. Il entretient des liens étroits et privilégiés avec ses homologues français de la Santé et de la Sécurité civile, ainsi qu'avec ses partenaires européens, les organismes internationaux (nations unies notamment) et ses partenaires européens (MIC, SitCen).
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4

Domenach, Jean-Luc. „Asie : de la crise monétaire à une crise de l'autorité“. Critique internationale 1, Nr. 1 (1998): 31–34. http://dx.doi.org/10.3406/criti.1998.1350.

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5

Arènes, Jacques. „Les nouvelles figures de l'autorité“. Études février, Nr. 2 (01.02.2015): 55–65. http://dx.doi.org/10.3917/etu.4213.0055.

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Les instances traditionnelles d’autorité, qui étaient aussi celles de la transmission, dans la famille, l’école, la religion, le monde du travail, la politique, souffrent d’une crise de légitimité ; cependant que de nouveaux espaces sociaux se créent, de nouvelles figures d’autorité émergent.
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Girard, Bernard. „L'autorité est en crise partout, sauf dans... les entreprises“. Revue internationale de psychosociologie XIII, Nr. 30 (2007): 163. http://dx.doi.org/10.3917/rips.030.0163.

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Dupeyron, Jean-François. „L'enfant au centre de la cible“. Diversité 141, Nr. 1 (2005): 17–23. http://dx.doi.org/10.3406/diver.2005.2404.

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Placé au centre d'une cible éducative sous-tendue par les préoccupations des adultes, l'enfant jouit d'une reconnaissance paradoxale, entre crise de l'autorité et urgence scolaire. Une étude critique des représentations de l'enfant-sujet dans la société française, avec un regard particulier sur les conditions de sa scolarisation.
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8

Robbes, Bruno. „Crise de l'autorité à l'école : une idée répandue à interroger“. Spécificités N° 4, Nr. 1 (01.10.2011): 199–216. http://dx.doi.org/10.3917/spec.004.0199.

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9

Champion, Didier. „Le rôle de l'Autorité de sûreté en cas de crise“. Revue Générale Nucléaire, Nr. 6 (November 1998): 38–40. http://dx.doi.org/10.1051/rgn/19986038.

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10

Silva e Sousa, David. „“A Crise na Educação”, De Hannah Arendt“. Philosophica: International Journal for the History of Philosophy 18, Nr. 35 (2010): 171–81. http://dx.doi.org/10.5840/philosophica2010183510.

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“A Crisis on Education” was written in the same period (1956-57) of The Human Condition and might be read as a complementary text, reflecting upon an institution that had been left out of the book albeit its critical role in linking the private and public spheres: the school. This reading of Hannah Arendt’s “A Crisis on Education” follows closely the arguments of the author, establishing connections with other authors whenever appropriate. The presences of Kant and Hegel are signaled in particular, as predecessors of some of the key arguments in Arendt’s essay. The final paragraphs offer an analysis of, and a reply to Alain Renaut’s criticism to that essay in his La Fin de l'Autorité (Flammarion, 2004).
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Lignereux, Aurélien. „Une décomposition de l'autorité : la crise française de l'obéissance au printemps 1917“. Genèses 82, Nr. 1 (2011): 140. http://dx.doi.org/10.3917/gen.082.0140.

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Brossier, Marie. „La crise de l'autorité dans la famille au Sénégal et en France aujourd'hui“. Autrepart 41, Nr. 1 (2007): 99. http://dx.doi.org/10.3917/autr.041.0099.

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Gordon, Andrew. „Luttes pour le pouvoir dans les ateliers. Ouvriers et direction dans la sidérurgie des années cinquante au Japon“. Annales. Histoire, Sciences Sociales 49, Nr. 3 (Juni 1994): 511–40. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.1994.279279.

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Les études historiques des relations de travail dans le Japon d'aprèsguerre commencent par l'analyse de la crise de 1945-1950, juste après la guerre. Les historiens ont surtout décrit, en détail, cette époque comme une période de luttes révolutionnaires des syndicats contre le patronat, l'État et même les autorités d'occupation américaines. Ils considèrent tous que les syndicats sont d'abord parvenus à s'emparer pratiquement de l'autorité dans l'entreprise aux dépens de la direction et que les patrons ont ensuite repris l'initiative et recouvré leur autorité. Ils s'opposent sur la date exacte de ce renversement de tendance, 1946 ou 1947, et sur le caractère, dommageable ou bénéfique, de l'échec de cette offensive révolutionnaire. Cependant, les historiens du mouvement ouvrier sont, comme dans les autres pays, marxistes ou progressistes ; ils insistent donc sur l'échec qu'ils jugent regrettable d'une occasion perdue.
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Lapointe, Mélissa. „Henri III, prince dévot?“ Rhetorica 33, Nr. 3 (2015): 305–16. http://dx.doi.org/10.1525/rh.2015.33.3.305.

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Depuis quelques années, les études sur Henri III tentent de rétablir l'image du dernier Valois. On oublie souvent que Henri III a tenté de redorer le blason de la France, notamment par le mécénat des arts, des sciences et des lettres. Mais malgré des efforts soutenus pour rétablir la paix, Henri le «bien disant», dont l'éloquence est remarquée autant par ses contemporains que par ses adversaires, est pourtant incapable de réconcilier les parties et de rassembler ses sujets sous son autorité. Cette étude aborde les stratégies éthiques et pathétiques dans les lettres de Henri III jusqu'en 1582 où il vit une véritable crise intérieure qui se traduit par une conversion religieuse et un goût prononcé pour la dévotion. Qu'elles soient diplomatiques ou destinées à des familiers, les lettres du dernier Valois manifestent dorénavant son repentir et son besoin de pénitence. Homme de contrastes, pour ne pas dire de contradictions, Henri III épistolier présente au monde l'image de l'autorité souveraine aussi bien que celle du prince dévot. Les lettres du roi révèlent un épistolier conscient de l'importance de présenter l'image d'une autorité royale préoccupée par le bien-être de son peuple et soucieux de calmer les dissensions religieuses au sein de son royaume.
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Argyropoulos, Roxane D. „Aristote selon D. Katartzis“. Historical Review/La Revue Historique 2 (20.01.2006): 53. http://dx.doi.org/10.12681/hr.183.

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<p>Υ une époque de crise philosophique, pendant laquelle nous assistons parmi les élites intellectuelles néohelléniques à une vague de polémiques contre l'aristotélisme, opposant les adeptes de la tradition aux modernes, Démètre Katartzis, dans ses projets pour la diffusion des idées des Lumières, veut remettre les doctrines du Stagirite dans leur contexte initial en mettant fin aux changements apportés par les commentaires des Maîtres de Padoue et de leurs élèves grecs. Parmi ses contemporains, il garde un regard différent et, forcément, une position insolite: il est incontestablement du côté du philosophe dont l'autorité bascule en lui demeurant largement tributaire et en lui conférant une dimension nouvelle. Car, en éprouvant le besoin d'écarter les commentaires néoaristotéliciens qui forment l'héritage du XVIIe siècle, Katartzis fait surgir un nouveau modèle de lecture des ouvrages aristotéliciens avec le retour aux sources mêmes. Ainsi, convaincu de l'importance du philosophe grec, il invite le public à redécouvrir Aristote, qui n'a cessé d'être le pôle de stabilité pour le développement de la pensée humaine. C'est précisément dans le cadre du renouvellement de l'interprétation du <em>corpus aristotelicum</em> par le recours aux sources, qu'il faut apprécier les convictions de Katartzis sur le philosophe. Avec lui, émerge une voie différente pour les études aristotéliciennes, qui trouveront leur apogée, plus tard, dans l'œuvre philologique d'Adamantios Coray, helléniste et penseur politique, quand celui-ci entreprendra, durant les premières années de la Révolution de 1821, l'édition critique des œuvres d'éthique et de politique du Stagirite.</p>
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Riera i Melis, Antoni. „El bisbat de Girona al primer terç del segle XV. Aproximació al context sòcio-econòmic de la sèrie sísmica olotina (1427-1428)“. Anuario de Estudios Medievales 22, Nr. 1 (02.04.2020): 161. http://dx.doi.org/10.3989/aem.1992.v22.1068.

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La Peste Noire contribua à accentuer la tension social déjà existante en Pays Catalan. La subite diminution démographique y modifie la relation de force qui existait et permet à certains secteurs de la paysannerie d'exiger des propiétaires fonciers une réduction des prestations. Les seigneurs, une fois surmontée la perplexité dans laquelle les avait plongé le changement de conjoncture, essaient de compenser, par de nouvelles exigences auprès des cultivateurs des possessions, les concessions qu'ils durent s'imposer au moment de la phase culminante de la crise. C'est alors, pendant le troisième quart du XIVeme siècle, quand les mauvais usages se fusionnent avec la rançon et deviennent les signes d'identité de la condition servile. L'oppósition paysanne contre la pression seigneuriale devient, d'un mouvement spontané et inorganisé qu'il était, un front de résistance coordonnée. La montée de la tension sociale à la campagne et la nécessité d'affirmer son autorité devant les feudataires, incitent la Monarchie à intervenir dans le conflit. Les Conseillers de Joan Iet de Martí l'Humà tentent d'utiliser l'énergie des paysans pour refaire l'autorité et le patrimoine du souverain, bien mal menés à cause des difficultés économiques passées et récentes. A partir de 1400, la Couronne transfère sur les communautés campagnardes les coûts de la récupération des juridictions locales qui, sous la pression de déficits budgétaires répétés s’étaient vues obligées de mettre en gage leurs richesses ou de vendre à des membres de l'aristocratie. La redevance se répartira, dans chaque ville ou village, entre tous les habitants, en accord avec leurs patrimoines respectifs. L’initiative de la cour, bien accueillie par les petits propiétaires et les exploitants aisés, n'éveilla guère d'enthousiasme parmi les paysans pauvres, plus intéressés à se libérer du paiement de la rançon et des droits de servage que d'entrer dans la juridiction royale. Les seigneurs opposèrent une résistance ferme à la mesure qui tendait à les priver d'une importante source de revenus et d'un moyen efficace d'influence politique. Le processus de rançons juridictionnelles augmenta, ce qui accrut la tension sociale à la campagne, du fait de l'appauvrissement d'un important secteur de la paysannerie, et aiguillonna l'agressivité entre les puissants. En l’espace de deux ans, 1427 et 1428, une calamité naturelle secoua la société catalane déjà hargneuse: une série de tremblements de terre destructifs à la Garrotxa, la Selva et les contrées avoisinantes font sentir d'une façon plus aiguë la diminution démographique, font empirer la crise économique et les affrontements d'intérets. La hâte des affectés à reconquérir la normalité est imputable tant à l'importance des dégâts comme au manque d'économies, de consensus social et d'une vision encourageante du propre futur.
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Kambouchner, Denis. „L'autorité pédagogique et la crise du sens des savoirs scolairesLe présent article constitue, à quelques modifications près, la version initiale et intégrale du texte publié dans la Zeitschrift für Pädagogik (Jahrang 53, Heft 5, septembre-octob“. Le Télémaque 35, Nr. 1 (2009): 97. http://dx.doi.org/10.3917/tele.035.0097.

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Milewski, Françoise. „Les enjeux de l'ouverture à l'Est pour l'économie mondiale“. Revue de l'OFCE 34, Nr. 5 (01.11.1990): 157–94. http://dx.doi.org/10.3917/reof.p1990.34n1.0157.

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Résumé L'intégration de l'Europe de l'Est au commerce mondial dépend à la fois de l'évolution des économies de l'Est et des comportements des pays de l'Ouest. A l'Est, l'espoir d'améliorer à terme les niveaux de vie des populations repose sur la transformation de systèmes économiques qui ont révélé leur inefficacité. L'introduction du marché, censé résoudre au mieux l'équilibre entre l'offre et la demande, est à l'origine d'un débat important. La forme de la propriété, privée ou publique, ne suffit pas à elle seule à définir l'économie socialiste ou capitaliste. Le mode de régulation qui est associé la définit tout autant, sans être mécaniquement lié à la forme de propriété. Pour passer du socialisme au capitalisme, les dirigeants des économies d'Europe orientale ont dû trancher un débat sous-jacent sur la transition, même si ce débat perdure par ailleurs. Dans tous les pays les mêmes mesures sont prônées ou d'ores et déjà adoptées : développement d'un secteur privé, suppression de la planification imperative, libération des prix, transformation du système bancaire, convertibilité des monnaies. Si le fondement des réformes est unique — instaurer à terme des marchés où s'échangent les biens et services, les actifs financiers et la main-d'œuvre — deux conceptions s'opposent quant à la séquence des réformes : l'approche gradualiste et la thérapie de choc. L'une vise à créer d'emblée la rupture avec le système antérieur, l'autre à introduire l'économie de marché progressivement, dans la crainte d'une désorganisation trop brutale de la production et d'un coût social trop élevé. A court terme, l'impact des réformes est récessif : la production est désorganisée faute de centres de décisions clairement définis ou en l'attente de privatisations potentielles. Les niveaux de vie reculent en raison de la libération des prix et du développement rapide du chômage. Le risque d'hyperinflation, l'incertitude sur l'utilisation des surliquidités existantes et la gravité de la dette extérieure dans certains pays limitent les marges de manœuvre de la politique économique. A moyen terme, on espère l'intégration aux échanges mondiaux, la remontée des niveaux de vie et l'accroissement de la producti- vité du capital, une fois que seront opérants les mécanismes de la nouvelle régulation. Mais la réussite de ce processus de développement dépend autant de la politique des réformes à l'Est que des réactions de l'Ouest. Ceci nécessite d'abord d'amplifier les aides financières de l'Ouest afin de développer les infrastructures et de solvabiliser la demande. Les transferts de technologie liés aux investissements étrangers pourraient alors jouer un rôle clé de confrontation pour les industries désuètes et d'entraînement pour l'ensemble de l'économie. Mais l'incertitude sur l'ampleur et la destination, tant géographique que sectorielle, des transferts de capitaux demeure importante. Le choc de demande que les pays de l'Ouest espèrent de l'ouverture d'un marché de plus de 400 millions d'habitants ne peut être massif à court terme ; la demande potentielle est certes considérable mais la progression des débouchés ne sera pas linéaire. L'éclatement du COMECON devrait précipiter l'intégration au commerce mondial, mais il accélérera aussi la différenciation des pays. La facturation en devises, et non plus en roubles, de l'énergie soviétique aggrave en effet la contrainte extérieure des six pays de l'Est. La crise du Golfe accroît les divergences d'intérêt entre l'URSS, premier producteur mondial de pétrole, et les autres pays d'Europe orientale, dont les ressources pour importer des biens industriels seront amputées par renchérissement de leurs factures énergétiques. Deux conclusions ressortent de l'analyse : la première est que n'apparaissent ni un bloc Est ni un bloc Ouest. A l'Est, les différences entre pays s'accentuent. La mise en œuvre des réformes dépend de la reconnaissance et de l'autorité acquises par les gouvernements actuels des différents pays ; elles ne sont pas homogènes. La croissance économique que l'on peut escompter à moyen terme, une fois surmontée la désorganisation due aux bouleversements des modes de propriété et de régulation, sera plus aisément financée en RDA que dans les autres pays, et parmi ceux-ci, là où l'endettement extérieur est encore modéré. A l'Ouest, la RFA sera le premier bénéficiaire de l'ouverture de l'Est parce qu'elle est déjà le pays le plus engagé dans l'ensemble de la zone. La seconde conclusion porte sur les délais. L'Est fait l'expérience, prévue dans son principe sinon dans son ampleur, d'une réduction drastique du niveau de vie de la population et l'expérience, imprévue, de la réticence des investisseurs privés de l'Ouest à s'engager à l'Est à bref délai et de l'étalement dans le temps des capitaux publics. Or les risques de ruptures sont importants si, rapidement, des signes de redressement économique ne sont pas perçus. Ceux-ci sont la condition nécessaire pour que certains gouvernements conservent leur crédibilité. Le danger de crise sociale est d'autant plus grand dans la présente période où se forgent des comportements individuels et collectifs nouveaux.
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Lea, John, und Kevin Stenson. „Security, Sovereignty, and Non-State Governance “From Below”“. Canadian journal of law and society 22, Nr. 2 (August 2007): 9–27. http://dx.doi.org/10.1017/s0829320100009339.

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RésuméLes chercheurs en gouvernementalité explorent les nouveaux modes post-keynesiens et pluralistes de la gouverne publique en articulant les organismes étatiques et non-étatiques. L'insistance sur la «gouvernance d'en haut» doit être complétée, notamment dans les espaces urbains, par celle dévolue à la «gouvernance d'en bas» par des acteurs non-étatiques. La «gouvernance d'en bas» peut impliquer des acteurs allant d'associations commerciales et d'initiatives populaires au crime organisé et aux réseaux paramilitaires opérant dans les villes, au-delà de la souveraineté de l'État, au sein et entre les nations. Dans les pays riches et pauvres, de telles pratiques peuvent être conflictuelles mais peuvent aussi être inscrites dans des formes de gouverne publique. Cet article conteste l'idée que la gouvernance d'en bas comble un vide laissé par le désengagement de l'État-nation. Ces développements témoignent plutôt de complexes formes de réarticulation de la gouvernance d'en haut comme d'en bas, qui peuvent parfoir renforcer l'autorité légale de l'État.
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Béra, Matthieu. „Crime et religion chez Durkheim“. Durkheimian Studies 26, Nr. 1 (01.12.2022): 41–67. http://dx.doi.org/10.3167/ds.2022.260103.

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Abstract There is an immediate chronological link between Durkheim's criminology courses on crime and punishment, taught between 1892 and 1894, and his first course in religious sociology (1894–1895). Both are included in the cycles of ‘General Physics of Law and Morals’. Beyond this observation, the emphasis here is on six points that intellectually connect the two fields of study, always analyzed separately by the commentators of his work. Crime is in itself a means of revealing social solidarity, and the religion that carries it. The penalty is at the articulation between criminal law and religion. The evolution of penalty marks the progressive elimination of the religious substance of modern criminal laws. Durkheim outlines a theory of the sacred by reflecting on the respect and authority of the law. There are also suggestive digressions that link the tattoos of criminals to the institution of totemism. Finally, his typology of crimes is an opportunity to transform religion into an ‘explanatory variable’, rather than a ‘variable to be explained’. Résumé Il existe un lien chronologique entre les cours de criminologie de Durkheim sur le crime et la peine en 1892–1894 et son premier cours de sociologie religieuse, dit de la révélation (1894–1895), qui se succèdent sans transition. Les deux domaines s'inscrivent d'ailleurs dans les cycles de ‘Physique générale du droit et des mœurs.’ Au-delà de ce constat, cet article met l'accent sur six points qui relient intellectuellement les deux domaines d'études, toujours analysés séparément par les commentateurs de son œuvre. Le crime est en soi un moyen de révéler la solidarité sociale et la religion qui la porte. En outre, la pénalité est le lieu d'articulation entre le droit pénal et la religion. Quant aux les ‘lois de l'évolution pénale’, elles manifestent l'élimination progressive de la substance religieuse des droits criminels modernes. Durkheim esquisse dans sa sociologie criminelle une théorie du sacré en réfléchissant au respect et à l'autorité de la loi, qui est transcendante. On évoque également les digressions suggestives dans lesquelles il rattache les tatouages des criminels à l'institution du totémisme. Enfin, on montre que sa typologie des crimes est l'occasion de transformer la religion en ‘variable explicative’, plutôt qu'en ‘variable à expliquer’, ce qui ne manque pas de lui conférer une objectivité scientifique considérable.
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Guille-Escuret, Georges. „Cannibalisme“. Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.119.

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Le terme cannibalisme, issu de la découverte par Christophe Colomb des Canibs antillais (les Caraïbes), cristallise la réunion de deux phobies millénaires au sein de la civilisation occidentale : d’une part, le refus politique par la Grèce antique de l’allélophagie (se manger les uns les autres), incompatible avec la cité au même titre que la société féminine des Amazones, et, d’autre part, la répulsion mystique que l’anthropophagie inspire au monothéisme, par la rémanence trouble d’un caractère sacré de la chair humaine. Dès lors, la notion unit deux « bestialités » en une dépréciation ultime de l’exotisme que, malgré un essai rebelle et lumineux de Montaigne, la science de l’homme subira en pensant a priori le cannibalisme sous forme de crime contre l’humanisme, à travers trois phases : l’accusation, tant que l’ethnologie s’associe au colonialisme, puis le silence, après la Première Guerre mondiale, et enfin la disculpation, voire une dénégation « faute de preuves », depuis le dernier quart du XXe siècle. Cela posé, au-delà du défi permanent lancé à une sérénité scientifique que l’anthropologie se devrait d’acquérir face à tout objet de réflexion, le thème du cannibalisme contient une multitude de questions d’autant plus intéressantes qu’elles sont demeurées en friche pendant que « le reste de l’ethnologie » affinait son élaboration. Toutes les sociétés pensent spontanément l’hypothèse d’un cannibalisme, ne serait-ce que pour en commenter l’indécence : par exemple, en tant qu’inceste alimentaire (Polynésie, Micronésie). Certaines ont pratiqué une anthropophagie médicale non cannibale, en ce sens que le traitement des organes destinés à une absorption n’entretient aucun rapport avec l’identité de leur porteur (Europe, Chine), ou bien que le prélèvement partiel sur un parent n’implique pas sa mort (Chine). Il arrive, cependant, que l’existence d’une sorcellerie utilisant régulièrement le corps humain s’étende par moments à une fébrilité guerrière (Afrique centrale et occidentale), intégrant ainsi un constat général : la pratique culturellement assumée du cannibalisme « clignote » le plus souvent sur la planète comme un phénomène inconstant, ou selon le mot de Claude Lévi-Strauss, « labile ». Plus précisément, le sentiment d’une fréquence à long terme dans de grandes aires (Mélanésie, Amazonie), ou certains types d’environnements (la forêt tropicale en tête), voile une instabilité de la pratique chez les peuples. Les exceptions éventuelles correspondent non à des modes de vie présumés « sauvages » ou « primitifs », mais à des peuples marqués au contraire par des hiérarchies instituées : en Amazonie et en Amérique centrale, la consommation de l’ennemi imprégna si nettement certaines cosmogonies (Tupi-Guaranis, Caraïbes, Nahuas) qu’elle s’y fixa sur une longue durée. Le rapport prédateur/proie y était ressenti à travers une circularité où les groupes échangent continuellement les rôles : l’affirmation de la parité chez les guerriers s’accorde à la stratification sociale, dans un schéma analogue à la conjonction du chevaleresque et de l'aristocratique chez les Occidentaux. Les Bataks de Sumatra, dont l’anthropophagie fut signalée sur sept siècles, constituent un cas limite différent : punitive, elle s’applique aussi bien aux membres de la communauté (cannibalisme dit « juridique ») qu'aux ennemis. Autre point remarquable : si l'on considère les grandes zones culturelles de la planète, l'exocannibalisme (c'est-à-dire, la consommation alimentaire de l'ennemi) ne couvre jamais, fut-ce provisoirement, la totalité de l'espace habité, loin s'en faut. D'une part, il existe toujours des groupes qui la rejettent parmi des voisins qui s'y adonnent. D'autre part, on trouve régulièrement la présence de deux usages assortis : l'endocannibalisme funéraire sur le corps du parent défunt, voire spécialisé sur les os (Amazonie), et la chasse aux têtes où le trophée se rapporte systématiquement à un seuil décisif du cycle vital (naissance, mariage, cérémonie agraire de fécondité). Les trois orientations surgissent dans les mêmes régions, mais s'assemblent rarement. La conjonction sur la chair humaine des anthropophagies guerrière et funéraire émerge ponctuellement en Amazonie et en Nouvelle-Guinée, où elle singularise une population par rapport aux autres. L'incompatibilité se révèle, certes, moins tranchée entre exocannibalisme et chasse aux têtes (Océanie), d'autant que le rituel d'adoption sur le trophée prévoit habituellement une absorption infime à un instant déterminé de son déroulement. Cela dit, chaque fois que ces deux opérations se combinent, la prépondérance de l'une d'elles s'affirme clairement aux dépens de l'autre. Enfin, entre endocannibalisme et chasse aux têtes, aucun compromis n'affleure. Sous le foisonnement des enregistrements d'une « prédation » à l'encontre du congénère, les interprétations globales ont confirmé le contrecoup d'une hantise idéologique par un antagonisme grossier des positions défendues : un matérialisme ultra-rudimentaire soutient la cause nutritive, malgré d'innombrables objections, en miroir d'aperçus psychologiques qui se contentaient jadis de rétorquer un désir de vengeance, ou de s'approprier la force de l'ennemi, et qui, aujourd'hui, défendent les impératifs de la faculté symbolique. Chacune de ces tendances persiste uniquement en exploitant les insuffisances de la vision adverse, ce qui masque une inaptitude à décrypter la logique des rapports sociaux inférés. Une troisième attitude souligne depuis le XVIIIe siècle la difficulté de protéger la rationalité devant l'aversion : le déni du fait, suivi d'une disculpation « faute de preuves », au nom de la malveillance des témoins (colons, soldats, etc.), opération qui élude la pertinence de « l'acte d'accusation » occidental. Là encore, cette vision rencontre un négatif : le panachage débridé de tous les cas enregistrés, y compris des anecdotes « modernes », en vue de ramener le problème à une pulsion abjecte. L'analogie entre un acte individuel d'anthropophagie dans une société qui la maudit et une coutume exotique est évidemment aussi absurde qu'odieuse. Pourtant, sur un mode moins spectaculaire, des récurrences sociologiques existent. Elles sont particulièrement prononcées dans des sociétés guerrières mais acéphales, qui reposent sur une économie horticole, forestière (Amazonie, Afrique, Asie du Sud-Est) ou insulaire (Océanie). Sous couvert d'une loi du talion d'où ressort un statut d'égalité jusque dans la relation prédateur/proie, et qui réclame que tout meurtre et toute consommation soit compensée, le cannibalisme habite les combats et participe souvent à une limitation de leurs dévastations en dissuadant les vainqueurs de pousser leur avantage. Des paix ont ainsi été conclues par le cadeau d'un membre du groupe avantagé aux adversaires pénalisés par l'affrontement (Nouvelles-Hébrides) : le repas consécutif scelle la fin des hostilités. Il arrive, cependant, que le cannibalisme se débride : il témoigne alors d'une crise grave et les Européens ont rarement compris que leur arrivée « tambour battant » avait décuplé par divers biais les violences auxquelles ils assistaient. La bestialité alimentaire qui les scandalisait, dans laquelle ils devinaient une pré-histoire, était en réalité toujours imprégnée par une lourde crise historique. En contraste, il s'avère plus aisé de cerner la prohibition intransigeante de l'anthropophagie guerrière qui s'étend continuellement en tache d'huile. D'abord, parmi les sociétés centrées sur le traitement d'un bétail, la domestication des animaux entraînant peu à peu une modification parallèle des rapports entre les hommes, à commencer par les étrangers, en y insinuant la perspective d'un assujettissement durable. L'ennemi quitte la scène de la chasse et les proies se transforment en troupeau. Chez les cannibales, le scénario majoritaire place le captif devant une alternative : être assimilé physiquement (repas), ou socialement (adoption). Chez les éleveurs, le choix tend à disparaître, et une gradation de l'asservissement semble s'y substituer. À un autre étage, l'interdit alimentaire se cristallise sous l'autorité centralisée de sociétés étatiques qui revendiquent une supériorité politique et culturelle, en dénigrant l'infériorité des modes de vie différents : en Europe et en Orient, mais aussi chez les Incas, ou à Hawaï, le refus de l'anthropophagie se soude à la sensation d'un rôle souverain qui rejette un principe de contigüité essentielle entre les peuples. En somme, il existe une multitude de motifs susceptibles de valider la consommation du congénère, alors qu'il n’y en a qu’un pour asseoir durablement la proscription de cette pratique : la domination. Un préjugé occidental tenace discerne une humiliation indubitable dans le fait de se repaître du combattant terrassé ou capturé, alors que, justement, elle n'effleure pas la plupart des cannibales. Montaigne a superbement démenti l'intuition et conclut par cette formule : « il est tué, non pas vaincu ». Inversement, celui qui se proclame civilisé, tout en accablant et opprimant « pour leur bien » les arriérés, primitifs ou barbares, ne tolère pas l'idée de les manger : ne subodore-t-il pas dans cette fusion un dédit de ses prétentions à rompre avec un passé qui perdure en l'autre? Pour leur part, lorsque les Fidjiens souhaitaient insulter la mémoire d'un homme singulièrement détesté, ils laissaient sa dépouille sur place après l'avoir terrassé, signifiant par là qu'ils ne daigneraient pas s'en nourrir.
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