Auswahl der wissenschaftlichen Literatur zum Thema „Contes des quatre saisons (films)“

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Zeitschriftenartikel zum Thema "Contes des quatre saisons (films)"

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Handyside, Fiona. „Dire, redire et ne pas dire: enjeux du dialogue filmique dans les ‘Contes des quatre saisons’ (É. Rohmer). Par Carmen Alberdi“. French Studies 72, Nr. 4 (03.09.2018): 642–43. http://dx.doi.org/10.1093/fs/kny192.

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CHIRA, Rodica-Gabriela. „Sophie Hébert-Loizelet and Élise Ouvrard. (Eds.) Les carnets aujourd’hui. Outils d’apprentissage et objets de recherche. Presses universitaires de Caen, 2019. Pp. 212. ISBN 979-2-84133-935-8“. Journal of Linguistic and Intercultural Education 13 (01.12.2020): 195–200. http://dx.doi.org/10.29302/jolie.2020.13.12.

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l s’agit d’un volume paru comme résultat de l’initiative d’Anne-Laure Le Guern, Jean-François Thémines et Serge Martin, initiative qui, depuis 2013, a généré des manifestations scientifiques, des journées d’études organisées autour des carnets de l’IUFM, devenu ESPE et actuellement l’INSPE de Caen. Les carnets édités par la suite sont devenus un espace de réflexion, et un outil d’enseignement-apprentissage, un espace de recherche. Qu’est-ce qu’un carnet en didactique ? Les trois axes de recherche du volume Les carnets aujourd’hui… l’expliquent, avec de exemples des pratiques en classe ou dans le cadre d’autres types d’activités à dominante didactique. Un carnet peut être un objet en papier de dimensions et textures diversifiées, utilisé en différentes manières afin de susciter l’intérêt et la curiosité de l’apprenant. Parmi ses possibilités d’utilisation en classe : au lycée, qu’il s’agisse du lycée de culture générale ou du lycée professionnel, pour créer des liens entre littérature et écriture (« Lecture littéraire, écriture créative », avec des articles appartenant à Anne Schneider, Stéphanie Lemarchand et Yves Renaud) ; en maternelle et à l’école primaire (« Pratiques du carnet à l’école primaire », les articles liés à ce sujet appartenant à Catherine Rebiffé et Roselyne Le Bourgeois-Viron, Dominique Briand, Marie-Laure Guégan, Élise Ouvrard ; le carnet peut également passer du format papier à des adaptations modernes comme le téléphone mobile, le blog... (« D’une approche anthropologique à une approche culturelle », des recherches en ce sens venant de la part d’Élisabeth Schneider, Magali Jeannin, Corinne Le Bars). Sophie Hébert-Loizelet et Élise Ouvrard, ouvrent le volume avec le texte intitulé « Le carnet, une matérialité foisonnante et insaisissable », où elles partent de l’aspect physique d’un carnet vers ses contenus, tout en soulignant que, « depuis une quarantaine d’années » seulement, des spécialistes en critique génétique, des théoriciens des genres littéraires et des universitaires lui accordent l’importance méritée, dans la tentative de « répondre à cette simple question "qu’est-ce qu’un carnet" », parvenant ainsi à en démultiplier « les pistes intellectuelles, théoriques autant que pratiques » (Hébert-Loizelet, & Ouvrard 2019 : 9). La diversité des carnets détermine les auteures à souligner, et à juste titre, que le carnet « incarne matériellement et pratiquement une certaine forme de liberté, n’ayant à priori aucune contrainte à respecter et pouvant dès lors recevoir n’importe quelle trace », permettant ainsi « à son détenteur, de manière souvent impromptue, indirecte […], de se découvrir, par tâtonnements, par jaillissements » (Hébert-Loizelet, & Ouvrard 2019 : 10). Le premier contact avec un carnet étant d’ordre esthétique, on comprend bien la « magie » qu’il peut exercer sur l’élève, l’invitant ainsi, en quelque sorte, à sortir de la salle de cours, à se sentir plus libre. Le carnet est en même temps un bon aide-mémoire. Ses dimensions invitent à synthétiser la pensée, à la relecture, une « relecture à court terme » et une « relecture à long terme » (Hébert-Loizelet, & Ouvrard 2019 : 15), toutes les deux enrichissantes. Le carnet devient effectivement outil d’apprentissage et objet de recherche. Les contributions présentes dans ce livre, soulignent les auteures par la suite, représentent des regards croisés (du 23 mars 2016) sur « l’objet carnet, en proposant des recherches académiques, anthropologiques ou didactiques mais également des comptes rendus d’expériences sur le terrain » dans le but de « prendre en considération l’utilisation des carnets dans leur grande hétérogénéité de la maternelle à l’université pour rendre compte des voyages, mais aussi de lectures et d’apprentissage dans les disciplines aussi variées que le français, l’histoire, les arts visuels, ou les arts plastiques, et ce dans différents milieux institutionnels » (Hébert-Loizelet, & Ouvrard 2019 : 17). Prenons le premier axe de recherche mentionné plus haut, celui de la lecture littéraire et de l’écriture créative. Se penchant sur d’autorité de différents spécialistes dans le domaine, tels Pierre Bayard et Nathalie Brillant-Rannou, les deux premiers textes de cet axe insistent sur la modalité d’intégrer « l’activité du lecteur et son rapport à la littérature » par le carnet de lecture dans le cadre de la didactique de la littérature. Le troisième texte représente une exploitation du carnet artistique qui « favorise un meilleur rapport à l’écriture » et modifie la relation que les élèves de 15 à 17 ans du canton Vaud de Suisse ont avec le monde (Hébert-Loizelet, & Ouvrard 2019 : 19). Nous avons retenu de l’article d’Anne Schneider, l’exploitation de la notion de bibliothèque intérieure, telle qu’elle est vue par Pierre Bayard, bibliothèque incluant « nos livres secrets » en relation avec ceux des autres, les livres qui nous « fabriquent » (Schneider 2019 : 36). Ces livres figurent dans les carnets personnels, avec une succession de titres lus ou à lire, commentaires, dessins, jugements. Pour ce qui est de l’expérience en lycée professionnel (l’article de Stéphanie Lemarchand), on souligne l’attention accordée au « sujet lecteur » par le biais du carnet de lecture, plus exactement la réalisation d’une réflexion personnelle et les possibilités d’exprimer cette réflexion personnelle. Ici encore, il faut signaler la notion d’« autolecture » introduite par Nathalie Brillant-Rannou, l’enseignant se proposant de participer au même processus que ses élèves. En ce sens, la démarche auprès des élèves d’une école professionnelle, moins forts en français et en lecture, s’avère particulièrement intéressante. On leur demande d’écrire des contes que leurs collègues commentent, ou de commenter un film à l’aide du carnet de lecture qui devient carnet dialogique, non pas occasion du jugement de l’autre, mais d’observer et de retenir, devenant ainsi « un embrayeur du cours » (Lemarchand 2019 : 45). Le passage aux textes littéraires – des contes simples aux contes plus compliqués et des films de science-fiction aux livres de science-fiction – devient normal et incitant, permettant petit à petit le passage vers la poésie. L’utilisation du carnet dialogique détermine les élèves à devenir conscients de l’importance de leur point de vue, ce qui fait que ceux-ci commencent à devenir conscients d’eux-mêmes et à choisir des méthodes personnelles pour améliorer leur niveau de compétences, la démarche de l’enseignant devenant elle aussi de plus en plus complexe. Le premier article, du deuxième axe, celui visant les pratiques du carnet à l’école primaire, article signé par Catherine Rebiffé et Roselyne Le Bourgeois-Viron, présente le résultat d’une recherche qui « s’appuie sur les liens entre échanges oraux et trace écrite, mais aussi sur la dimension retouchable, ajustable de l’objet carnet réunissant dessins, photographies et dictée, afin d’initier les élèves à l’écrit » (Hébert-Loizelet, & Ouvrard 2019 : 19). Pour ce qui est de l’enseignement de l’histoire à des élèves du cycle 3, avec une pensée critique en construction et une difficulté de comprendre un vocabulaire plus compliqué et les langages spécialisés, Dominique Briand propose le carnet Renefer, un choix parfait à son avis, vu que « l’artiste qui réalise les estampes sur le conflit [de la Grande Guerre] s’adresse à une enfant [de huit ans], sa fille » (Briand 2019 : 97), appelée par Renefer lui-même « Belle Petite Monde ». Un autre aspect important est lié au message transmis par l’image envisagée dans cette perspective. Il s’agit en effet de filtrer l’information en sorte que la violence et la souffrance soient perçues à des degrés émotionnels différents, pour laisser à l’élève la possibilité de débats, de réflexions. Les textes qui accompagnent les images du carnet Renefer, succincts mais suggestifs, s’adaptent également au niveau d’âge et implicitement de compréhension. Les élèves sont sensibilisés, invités à voir le côté humain, le brin de vie et d’espoir qui peuvent se cacher derrière une situation réaliste. Le carnet Renefer didactisé amène les élèves « à apprendre l’histoire dans une démarche active et clairement pluridisciplinaire qui laisse une place importante à l’histoire des arts » (Briand 2019 : 105). Le carnet d’artiste comme instrument didactique, plus exactement celui de Miquel Barceló qui a séjourné en Afrique et dont les carnets d’artiste témoignent de ses voyages et de l’utilisation des moyens locaux pour peindre ou même pour faire sécher les peintures est proposé par Marie-Laure Guégan. En passant par des crayons aquarelles, Miquel Barceló va ajouter du relief dans les pages peintes de ses carnets (« papiers d’emballage, billets de banque [par leur graphisme ils peuvent devenir le motif textile d’une robe de femme, par exemple], paquets de cigarettes, boîtes de médicaments » qui sont collés ou bien collés et arrachés par la suite). Pour réaliser des nuances différentes ou une autre texture, il y rajoute des « débris de tabac ou de fibre végétale agrégés de la terre, du sable ou de pigments » (Guégan 2019 : 117). Il est aidé par l’observation profonde de la nature, des changements perpétuels, du mélange des matières qui se développent, se modifient le long des années. Ainsi, il intègre dans ses peintures « le temps long (des civilisations), le temps moyen (à l’aune d’une période politique), le temps court (à la dimension de l’individu) » (Guégan 2019 : 121), aussi bien que l’espace, la lumière, l’ombre, les matières, le corps, l’inventivité. Toutes ces qualités recommandent déjà l’auteur pour l’exploitation didactique dans le primaire, il y vient avec un modèle d’intégration de l’enfant dans le monde. L’article de Marie-Laure Guégan parle de l’intégration du travail sur les carnets de l’artiste dans la réalisation de la couverture d’un carnet de voyage par les élèves du cycle 3 en CM2, (cycle de consolidation). D’où la nécessité d’introduire la peinture ou les carnets d’artistes « non comme modèles à imiter, mais comme objets de contemplation et de réflexion » (Guégan 2019 : 128). Dans l’article suivant, Élise Ouvrard parle d’un type de carnet qui permet l’exploitation des pratiques interdisciplinaires à l’école primaire, domaine moins approfondi dans le cadre de ces pratiques ; le but spécifique est celui de la « construction de la compétence interculturelle » qui « s’inscrit plus largement dans l’esprit d’une approche d’enseignement-apprentissage par compétences » (Ouvrard 2019 : 132). L’accent mis sur la compétence est perçu par Guy de Boterf, cité par Élise Ouvrard, comme « manifestation dans l’interprétation », à savoir la possibilité de « construire sa propre réponse pertinente, sa propre façon d’agir » (Cf. Ouvrard 2019 : 132 cité de Le Boterf 2001 :40) dans un processus qui vise la création de liens entre les éléments assimilés (ressources, activités et résultats pour une tâche donnée). Le professeur devient dans ce contexte, la personne qui traduit des contenus en actions qui servent « à mettre en œuvre, à sélectionner des tâches de difficulté croissante qui permettront aux élèves de gagner progressivement une maîtrise des compétences » (Ouvrard 2019 : 133). Cette perspective fait du carnet « un outil permettant de tisser des liens entre la culture scolaire et les expériences hors de la classe, mais aussi de décloisonner des apprentissages, de s’éloigner de l’approche par contenus-matière » (Ouvrard 2019 : 133). C’est un cadre d’analyse qui intègre la perspective didactique du français aussi bien que l’anthropologie de l’écriture. L’activité pratique consiste dans le travail sur des carnets de voyage avec des élèves en CM1 et CM2, venant de deux écoles différentes et qui préparent et effectuent un voyage en Angleterre. Les étapes du parcours visent : - entretiens individuels pré- et post-expérimentation des quatre enseignants concernés ; - fiche de préparation des séances autour du carnet ; - questionnaire pré- et post-expérimentation soumis aux élèves ; - entretiens collectifs post-expérimentation des élèves ; - photographies des carnets à mi-parcours de l’expérimentation et à la fin du parcours. L’analyse des documents a prouvé que les élèves ont réagi de manière positive. Ils ont apprécié le carnet comme plus valeureux que le cahier. Le premier permet un rapport plus complexe avec le milieu social, avec la famille, avec la famille d’accueil dans le cadre du voyage, même des visioconférences avec la famille. À partir des carnets de voyage on peut initier le principe des carnets de l’amitié qui permet au carnet d’un élève de circuler dans un petit groupe et s’enrichir des ajouts des autres collègues. On peut avoir également l’occasion de découvrir des talents des élèves, de mieux les connaître, de mettre l’accent sur leur autonomie. Différentes disciplines peuvent s’y intégrer : le français, l’anglais, l’histoire, les mathématiques, la géographie, la musique, les arts. Important s’avère le décloisonnement des disciplines par le choix de créneaux distincts pour l’utilisation-exploitation des carnets de voyage. Le dernier groupement d’articles, axé sur le passage d’une approche anthropologique à une approche culturelle, tente d’envisager un avenir pour le carnet. En tant que spécialiste des pratiques scripturales adolescentes, partant de la théorie de Roger T. Pédauque pour le document, Elisabeth Schneider se concentre dans son article sur le téléphone mobile par ce qu’on appelle « polytopie scripturale qui caractérise l’interaction des processus d’écriture, des activités et des déplacements avec le téléphone mobile » (Hébert-Loizelet, & Ouvrard 2019 : 21), celui-ci s’encadrant du point de vue épistémologique, dans les catégories « signe », « forme » et « médium », tridimensionnalité qui permet de « comprendre les enjeux actuels concernant l’auctorialité, la structure du document, par exemple, mais aussi d’en revisiter l’histoire » (Schneider 2019 : 164). L’importance du blog pédagogique comme carnet médiatique multimodal, résultat du travail avec des étudiants sous contrat Erasmus ou type Erasmus venus à l’ESPE de Caen pour mettre en lumière l’expérience interculturelle, est démontrée par Magali Jeannin. Son article prend comme point d’encrage les notions d’« hypermobilité » pour les individus avec une identité « hypermoderne », en pleine « mouvance » et « liquidité » (Jeannin 2019 : 169), qui, des fois, dans le cas des étudiants, pourrait se concrétiser en « expérience interculturelle » et « tourisme universitaire ». L’intérêt de l’auteure va vers l’interrogation, « les enjeux et les moyens d’une didactique de l’implication du sujet en contexte interculturel » par un « blog pédagogique des étudiants étrangers » lié au cours sur les compétences interculturelles. Ainsi, parmi les enjeux du « blog pédagogique des étudiants à l’étranger » comme carnet multimodal comptent : donner à l’expérience culturelle la valeur subjective qui évite la réification du sujet en investissant « la langue et la culture cibles comme des faits et pratiques sociaux (inter)subjectifs » (Jeannin 2019 : 171) et même transsubjectifs d’après le modèle du blog libre ; le blog-carnet devient un espace de rencontre entre carnet de voyage et carnet de lecture, carnet d’expérience, carnet d’ethnographie (avec un mélange entre langue cible et langue source) ; il s’inscrit « dans une tradition de l’écriture de l’expérience en classe de FLE » (Jeannin 2019 : 173). Les écrits en grande mesure programmés du blog pédagogique sont ensuite exploités ; ils répondent en même temps « à des besoins personnels » et à des « fins universitaires » (Jeannin 2019 : 174). Par ce procédé, le réel est pris comme un processus non pas comme une simple représentation. Toujours avec une visée interculturelle, le dernier article de cette série fait référence à l’Institut régional du travail social Normandie-Caen, dont le but est de former « les futurs travailleurs sociaux » (Hébert-Loizelet, & Ouvrard 2019 : 21), par une recherche franco-québécoise qui concerne l’implication des mobilités internationales pour études. Ce volume représente un outil particulièrement important en didactique, un outil que je recommande chaleureusement en égale mesure aux enseignants et aux chercheurs spécialisés. Si je me suis arrêtée sur quelques articles, c’est parce qu’il m’a semblé important d’insister sur des côtés qui sont moins exploités par les enseignants roumains et qui mériteraient de l’être.
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Decourt, Nadine. „Les Quatre saisons de Léon et Jean de l’Ours : entre conte et film d’animation, questions de transmission et de réception“. Textes et contextes, Nr. 8 (01.12.2013). http://dx.doi.org/10.58335/textesetcontextes.415.

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P.-L. Granjon et A. Lanciaux ont réalisé Les Quatre saisons de Léon, film d’animation composé de quatre parties distinctes (quatre films de 26 mn), le dernier est sorti en octobre 2012 : L’Automne de Pougne. Ils complètent ainsi une « “collection” » : L’Hiver de Léon, Le Printemps de Mélie Pain d’Epice, L’Eté de Boniface, qui met en scène Léon, le fils d’un ours et ses compagnons : une princesse (Mélie), un conteur-bonimenteur (Boniface) et le hérisson Pougne, qui tombe amoureux de Mélusine, ainsi qu’un autre camarade : l’éléphant Hannibal. L’histoire est située dans un temps ancien (Moyen-Age). Elle fait pour l’essentiel référence, comme l’a signalé A. Lanciaux dans une interview, au conte « Jean de l’ours » (AT 301B : The Strong Man and his Companions), l’un des plus connus dans maintes régions de France et dans le monde (AT 301 : The Three Stolen Princesses). On peut repérer des épisodes et des motifs, tels que la descente dans le puits. Il s’agit d’approcher le contage (en mots, écrits ou oraux, en images animées) comme art de la variation, de voir comment de nouveaux contextes et de nouveaux media opèrent.
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Vadé, Yves. „Sur la piste des dragons celtiques“. Les imaginaires du dragon : des mythologies au monde contemporain, Nr. 42 (19.12.2022). http://dx.doi.org/10.35562/iris.3080.

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Au-delà du dragon des contes, réduit à sa fonction d’adversaire, la plupart des dragons celtiques sont liés à un site, le plus souvent en rapport avec le régime des eaux : zones inondables, confluents, torrents (le Drac). Dans les versions christianisées, un saint, plutôt que de les exterminer, se charge de les reconduire à leur origine maritime ou souterraine. Les princes en usent différemment. Leur affrontement avec le dragon est un combat qualifiant qui leur permet de s’approprier la force du monstre. Représenté sur leur épée ou leur bouclier, voire intégré dans leur nom (Uther Pendragon), le dragon devient talisman. Des cités, des nations (le Pays de Galles) en font leur emblème. Dans le temps, les dragons sont liés aux quatre grandes fêtes calendaires celtiques. Le combat de deux dragons, ouroboros scindé, symbolise les deux saisons de l’année, alternativement sombre et claire. Dans l’espace, le dragon entretient des rapports privilégiés avec la notion de lieu central, ce qui renvoie au problème des omphaloi (Delphes) ou des Mediolanum gaulois. Au plan astronomique, la constellation du Dragon, où les Grecs voyaient la métamorphose du dragon (et de la rivière) Ladon, devient en breton Avank Du, « le Castor noir », permettant d’imaginer un castor monstrueux bloquant les eaux à l’image du Vrtra védique. Actif dans les trois fonctions, présent aux trois niveaux du monde en verticalité, le Dragon celtique rejoint ainsi ses congénères d’autres mythologies, attestant son origine immémoriale.
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Dissertationen zum Thema "Contes des quatre saisons (films)"

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Thépot-Foissy, Eliane. „Les formes de la théâtralité dans les trois cycles filmiques d'Eric Rohmer : "Six Contes moraux", "Comédies et Proverbes", "Contes des quatre saisons"“. Electronic Thesis or Diss., Paris 3, 2023. http://www.theses.fr/2023PA030078.

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Des « Six Contes moraux » aux « Comédies et Proverbes », des « Comédies et Proverbes » aux « Contes des quatre saisons » se déploie une œuvre organisée par cycles dont le centre, toujours réactivé de film en film, est constitué par la question du désir, de ses excès et de ses manques. Comment ce cinéma, marqué par une esthétique classique privilégiant le naturel, peut-il donner passage à une théâtralité ? Théâtralité précisément dont l'apparition et les modalités détermineront notre étude de l'oeuvre rohmérienne, dont la cohérence formelle s'appuie sur les principes d'un cinéma vérité initié au mitan des années 1900 par les auteurs de la Nouvelle Vague, et que nous interrogerons principalement de manière à dégager les conditions, les formes et les effets d'une esthétique privilégiant, de film en film, une dramaturgie de la parole et du regard. Nous étudierons dans cette perspective les mises en scène de la parole et du corps dans leur rapport avec les lieux, envisageant la manière dont ce cinéma construit ses personnages au travers d'un théâtre de l'être en rapport étroit avec des procédés de valorisation par l'image. Recourant à des cadrages privilégiant la saisie du corps et de ses émotions, articulant par ailleurs les intrigues en étapes marquées par une forte dramaticité, ce cinéma fait, enfin, intervenir une esthétique de la fascination qui n'est, en dernier ressort que le reflet, sans cesse thématisé dans le film, d'une identification par le cinéaste du cinéma comme une quête toujours relancée de la beauté du monde. L'usage dramaturgique du ressort du hasard, principe équivalent, sur le plan de l'intrigue, au deus ex machina, permettra, le cas échéant, de transformer la quête déceptive du personnage en la joie de la découverte que l'Autre était celui, ou celle, que l'on attendait. Et si, dans un tel cadre narratif, le risque existe d'une forme excessive de sentimentalité, c'est, précisément, par le caractère dynamique que la théâtralité lui confère, que l'oeuvre y échappe, jouant de tous les ressorts de la surprise, de la variation des registres et des tonalités, introduisant enfin une certaine ironie dans le décalage entre le montré – l'image – et le dit – le discours
From "Six Moral Tales" to "Comedies and Proverbs", from "Comedies and Proverbs" to "Tales of the Four Seasons" Eric Rohmer develops a work that is organized in cycles whose center, always reactivated from film to film, is constituted by the question of desire, its excesses and its shortcomings. How can this cinema, marked by an aesthetic favoring the natural, embrace theatricality ? Theatricality precisely whose appearance and modalities will determine our study of the Rohmerian work, whose formal coherence is based on the principles of a cinema vérité initiated in the mid-1900s by the authors of the New Wave, that we will mainly examine, so as to identify the conditions, forms and the effects of an aesthetic favoring, from film to film, a dramaturgy of speech and gaze. From this perspective, we will study the staging of speech and the body in their relationship with places, considering the way in which this cinema constructs its characters through a theater of being and enhances them through the image. By framing that favors the capture of the body and its emotions, articulating plot in stages marked by a strong dramaticity, this cinema finally applies an aesthetics of fascination which is, ultimately, only the reflection, constantly thematized in the film, of an identification by the filmmaker of cinema as an ever renewed quest for the beauty of the world. The dramaturgical use the mechanism of chance, an equivalent principle, on the level of plot, of the deus ex machina, will make it possible, if necessary, to transform the character's deceptive quest into the joy of discovering that the Other was the man or woman we expected. And if, in such a narrative framework, there is a risk of excessive sentimentality, the works escapes it by the dynamis conferred by theatricality, playing with all the mechanisms of surprise, with the variation of registers and tones, finally introducing a certain irony into the discrepancy between what is shown – the image – and what is said – the discourse
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Bücher zum Thema "Contes des quatre saisons (films)"

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1942-, Maja Daniel, Hrsg. Les quatre fils de la terre. Paris: A. Michel jeunesse, 1997.

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Joly, André. Quatre saisons chez mon père: Contes et souvenirs. Telm [Ont.]: A. Joly, 1985.

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Folmer, Sylvie. Le chant des fées: Contes, légendes & espiègleries pour les quatre saisons de la vie. [Dinan]: Terre de Brume, 2014.

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Alberdi, Carmen. Dire, Redire et Ne Pas Dire: Enjeux du Dialogue Filmique Dans les «Contes des Quatre Saisons». Lang AG International Academic Publishers, Peter, 2019.

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Dire, Redire et Ne Pas Dire: Enjeux du Dialogue Filmique Dans les Contes des Quatre Saisons. Lang AG International Academic Publishers, Peter, 2017.

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Alberdi, Carmen. Dire, Redire et Ne Pas Dire: Enjeux du Dialogue Filmique Dans les «Contes des Quatre Saisons». Lang AG International Academic Publishers, Peter, 2019.

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Alberdi, Carmen. Dire, Redire et Ne Pas Dire: Enjeux du Dialogue Filmique Dans les «Contes des Quatre Saisons». Lang AG International Academic Publishers, Peter, 2019.

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Buchteile zum Thema "Contes des quatre saisons (films)"

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Tester, Keith. „Imagination and Grace: Rohmer’s Contes des quatre saisons“. In The Films of Eric Rohmer, 89–99. New York: Palgrave Macmillan US, 2014. http://dx.doi.org/10.1057/9781137011008_8.

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2

Herpe, Noël. „The Fall into Words: From Contes des quatre saisons to L’Anglaise et le Duc“. In The Films of Eric Rohmer, 65–72. New York: Palgrave Macmillan US, 2014. http://dx.doi.org/10.1057/9781137011008_6.

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3

Rouquier, Georges. „Farrebique (Farrebique, ou les quatre saisons)“. In 100 Documentary Films, 61–63. London: British Film Institute, 2009. http://dx.doi.org/10.1007/978-1-84457-551-0_25.

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4

„Contes de quatre saisons“. In Éric Rohmer, 91–113. Wilhelm Fink Verlag, 2018. http://dx.doi.org/10.30965/9783846762431_007.

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5

Hillier, Jim. „Farrebique (Farrebique, ou les quatre saisons)“. In 100 Documentary Films. British Film Institute, 2009. http://dx.doi.org/10.5040/9781838710606.0028.

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Herpe, Noël. „Des Contes des quatre saisons à L’Anglaise et le Duc : La chute dans la parole“. In Rohmer en perspectives, 45–52. Presses universitaires de Paris Nanterre, 2013. http://dx.doi.org/10.4000/books.pupo.23630.

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