Auswahl der wissenschaftlichen Literatur zum Thema „Contes de fées français – 17e siècle“

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Zeitschriftenartikel zum Thema "Contes de fées français – 17e siècle"

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Pichette, Jean-Pierre. „La Mise en scène littéraire du conte populaire en Ontario français. Le cas de Marie-Rose Turcot“. Cahiers Charlevoix 3 (12.04.2017): 11–86. http://dx.doi.org/10.7202/1039393ar.

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Jean-Pierre Pichette s’attache à la transposition du conte populaire en littérature, qui a été pratiquée en Ontario, comme ailleurs en Amérique française, depuis la fin du xixe siècle. Il ouvre le dossier de l’écrivain d’Ottawa, Marie-Rose Turcot (1887-1977), la première femme à y avoir consacré tout un livre, Au pays des géants et des fées, recueil formé des sept contes oraux qu’elle avait recueillis en 1930 et 1931. Les relations d’amitié qu’elle cultiva avec les pionniers de l’ethnologie franco-canadienne – le folkloriste Luc Lacourcière et l’anthropologue Marius Barbeau – l’ont amenée à une démarche originale, celle de rétablir la forme première des récits qu’elle avait dissimulés sous les fards de l’adaptation littéraire. L’auteur résume ici la carrière remarquable des contes de ce recueil, compare la version populaire et la version retouchée de l’un d’entre eux, « Les Bessons », puis, par l’examen de documents d’archives, parvient à en reconstituer « la mise en scène littéraire ».
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Dissertationen zum Thema "Contes de fées français – 17e siècle"

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Rousseau, Christine. „Les enchantements de l'éloquence : contes de fées et stratégies hyperboliques au XVIIème siècle“. Phd thesis, Université de Grenoble, 2013. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00926683.

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Les nombreux contes de fées qui paraissent à la fin du XVIIe siècle sont modélisés par un système hyperbolique omniprésent. Du niveau le plus micro-structural jusqu'aux macrostructures poétiques, l'hyperbole définit, justifie et confirme le genre merveilleux. Profusion, foisonnement, démultiplications, redoublements, dérivations ou créations débridées sont ainsi les déclinaisons prolifiques de l'hyperbole. Saturant les récits par des procédés récurrents, la distribution lexicale déborde des cadres alors insuffisants pour exposer des inventions originales et fantaisistes, et s'amplifie jusqu'à submerger les contes de néologismes, de listes ou de syntagmes figés dans une expansion logorrhéique. A un niveau supérieur, le discours du narrateur, comme celui des personnages, s'énonce et s'affiche ostensiblement dans une mise en scène générique exponentielle qui (se) joue de multiples formes pour divertir et se développer. Entre ingérence auctoriale fréquente et discordances démonstratives, le conte révèle une énonciation scalaire complexe et inédite dans un genre hérité d'une tradition orale univoque. Redoublant une elocutio composite et enchevêtrée, la dispositio supplétive des contes additionne, intercale et annexe les épisodes diégétiques dans une surcharge narrative qui prolonge les limites d'un genre paradoxalement bref. Les nombreux personnages qui dé/re/doublent le protagoniste participent à la mise en œuvre d'intrigues plurielles qui trouvent leur cohérence dans la figure centrale du conte. Marqué par une emphase systématisée qui se propage autour de lui, le héros rassemble et dirige tous les motifs diégétiques. Inscrit dans un environnement à sa mesure, distingué par des attributs outranciers, entouré de spectateurs enthousiastes, le héros domine le récit par la théâtralisation de son statut hors du commun. Genre hybride, kaléidoscopique et protéiforme, le conte propose une politique paradoxale de la surenchère permanente, du surnombre, de la surqualification, du grossissement, saturant le texte, et ce d'autant plus qu'il est bref, dans un processus jubilatoire. En concentrant dans un espace restreint les multiples éléments du conte, l'esthétique de l'hyperbole, si elle peut exister dans d'autres corpus et dans d'autres déclinaisons, permet spécifiquement d'accéder à la vérité du genre tel qu'il est pratiqué dans l'écriture mondaine des années 1690-1710.
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Gaubert, Benoit Céline. „Le goût d'écrire et de lire dans le conte de fées français des 17° et 18° siècles. Fantaisies de l'écriture, du livre, de la bibliothèque et de la lecture“. Electronic Thesis or Diss., Sorbonne Paris Cité, 2017. http://www.theses.fr/2017USPCA086.

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L’étude du conte de fées de 1690 à 1789, période de la mode du genre en France, montre que la matière merveilleuse s’est constituée dès ses débuts avec des éléments de pratiques lettrées transposés du réel mais aussi et surtout transformés de manière fantaisiste. Les premiers conteurs (1690-1704) érigent en effet le genre selon une poétique complexe mariant l’oralité des temps naïfs et l’écrit, signe d’une pratique sociale et culturelle du conte. Les conteurs suivants en apportent des infléchissements plus parodiques, des imitations et des variations notamment orientalisantes. L’ensemble des auteurs est concerné mais à des degrés divers, Perrault, Choisy et Fénelon étant moins prolixes en la matière que Madame d’Aulnoy, Pétis de la Croix ou le chevalier de Mailly.Le pays merveilleux dévoile ses arcanes, son secret de fabrication métatextuelle à travers des scènes plus ou moins fugaces de lecture, d’écriture et d’évocations de bibliothèques féériques
The study of the fairy tale over the years 1690-1789, when the genre was in fashion in France, shows that, from its inception, the subject matter grew up with elements of realistic literary practice which were largely reshaped by imagination. The first storytellers (1690-1704) set up the literary genre according to a complex poetics allying the orality of naive times with literacy, which is the mark of a social and cultural practice of the story. The contributions of the forthcoming storytellers are imitations, parodies or are tinged with Orientalism. All the writers are affected, but to varying degrees: Perrault, Choisy and Fénelon are less inventive in this respect than Madame d’Aulnoy, Pétis de la Croix or the Chevalier de Mailly. The wonderland reveals its mysteries and the secret of its metatextual layout through more or less fleeting scenes of book reading or writing conjuring up a magical library
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Jasmin, Nadine. „Mots et merveilles. Les contes de fees de madame d'aulnoy“. Paris 4, 1999. http://www.theses.fr/1999PA040255.

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L'etude s'attache a determiner l'esthetique des contes de fees publies par mme d'aulnoy entre 1690 et 1698, moment privilegie de la naissance d'un genre : le conte de fees litteraire francais, dont il s'agit precisement de saisir la genese ou processus de fabrication. Elle examine d'abord les multiples impregnations livresques dont se nourrit le conte, en s'interrogeant sur le type de relation que peut entretenir un genre nouveau avec les categories litteraires qui l'ont precede, de la mythologie au folklore, du romanesque medieval a la pastorale ou de la farce a la fable. Elle observe ensuite comment le conte se situe dans l'air du temps, de par son inscription dans un contexte socioculturel date qui lui imprime sa marque, voire son ideologie aristocratique, feminisante ou precieuse. Le travail s'interesse ensuite au dispositif peritextuel, generique et narratif du conte, dont il tente de degager les lois et de reperer les effets de sens, interpretes en termes de strategies generiques textuelles. C'est du cote du style des contes que se tourne ulterieurement l'etude, qui tente de replacer le projet esthetique de la conteuse dans le cadre des preoccupations et des concepts de son temps. Les notions d'enjouement, de badinage et de gaiete sont ici rencontrees, mises au service d'un parti pris de variete ludique, fonde sur le principe de connivence entre l'auteur et son public. Du style aux images, s'accomplit enfin le cheminement qui permet de deceler, derriere ou malgre les recurrences stylistiques, des constellations et des reseaux d'images, interpretables en termes de reverie feminine concurrencant la pression heroique du genre du conte. Autant d'approches critiques susceptibles d'eclairer la part de conformite ou de singularite de l'oeuvre et de la demarche creatrice de mme d'aulnoy.
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Gaubert, Benoit Céline. „Le goût d'écrire et de lire dans le conte de fées français des 17° et 18° siècles. Fantaisies de l'écriture, du livre, de la bibliothèque et de la lecture“. Thesis, Sorbonne Paris Cité, 2017. http://www.theses.fr/2017USPCA086.

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L’étude du conte de fées de 1690 à 1789, période de la mode du genre en France, montre que la matière merveilleuse s’est constituée dès ses débuts avec des éléments de pratiques lettrées transposés du réel mais aussi et surtout transformés de manière fantaisiste. Les premiers conteurs (1690-1704) érigent en effet le genre selon une poétique complexe mariant l’oralité des temps naïfs et l’écrit, signe d’une pratique sociale et culturelle du conte. Les conteurs suivants en apportent des infléchissements plus parodiques, des imitations et des variations notamment orientalisantes. L’ensemble des auteurs est concerné mais à des degrés divers, Perrault, Choisy et Fénelon étant moins prolixes en la matière que Madame d’Aulnoy, Pétis de la Croix ou le chevalier de Mailly.Le pays merveilleux dévoile ses arcanes, son secret de fabrication métatextuelle à travers des scènes plus ou moins fugaces de lecture, d’écriture et d’évocations de bibliothèques féériques
The study of the fairy tale over the years 1690-1789, when the genre was in fashion in France, shows that, from its inception, the subject matter grew up with elements of realistic literary practice which were largely reshaped by imagination. The first storytellers (1690-1704) set up the literary genre according to a complex poetics allying the orality of naive times with literacy, which is the mark of a social and cultural practice of the story. The contributions of the forthcoming storytellers are imitations, parodies or are tinged with Orientalism. All the writers are affected, but to varying degrees: Perrault, Choisy and Fénelon are less inventive in this respect than Madame d’Aulnoy, Pétis de la Croix or the Chevalier de Mailly. The wonderland reveals its mysteries and the secret of its metatextual layout through more or less fleeting scenes of book reading or writing conjuring up a magical library
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Alzati, Valentina. „Les contes de Mme d’Aulnoy et leur fortune en Europe (France ; Italie ; Grande-Bretagne ; Allemagne)1752-1935“. Thesis, Université Paris-Saclay (ComUE), 2018. http://www.theses.fr/2018SACLV050/document.

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Dans cette thèse, on examine les différents aspects de la réception et de la fortune des contes de la baronne d’Aulnoy à la fin du XIXe siècle, permettant d’enrichir les analyses critiques à propos des contes de fées classiques et de leur perception en époque moderne. L’étude porte, en un premier temps, sur le domaine de nouvelles éditions des contes qui voient le jour à partir de premières années du XIXe siècle, jusqu’aux premières années du XXe. La composition des volumes et la forme des textes permettent de comprendre comment c’est uniquement à la fin du XIXe siècle que Mme d’Aulnoy commence à être considérée comme une auteure classique : une écrivaine qui propose aux lecteurs des contes merveilleux originaux et non pas une simple transcriptrice de contes folkloriques. L’analyse des réécritures et des transpositions permet, en revanche, de comprendre le rôle de la baronne et de son œuvre dans le renouvellement du merveilleux de la fin du siècle, car les réécritures complètes de certains de ses contes présentent des traits stylistiques propres au genre du merveilleux perverti. Cela permet de saisir l’intérêt que les auteurs de cette époque portent sur la figure de l’écrivaine : elle est perçue comme un modèle, au même niveau que Charles Perrault, ce qui justifie la présence de réécritures complètes de son œuvre. D’un autre côté, certaines reprises de thèmes, motifs et personnages, permettent de mieux comprendre l’importance du souvenir littéraire dans le renouvellement du genre merveilleux. Les transpositions pour le théâtre sont, enfin, présentes uniquement dans la culture anglaise. Les contes de la baronne d’Aulnoy qui participent à ce phénomène permettent un profond renouvellement de certains genres du théâtre classique et la création de nouveaux, qui présentent, pour la première fois, le thème du grotesque. Ce travail permet, donc, de souligner la portée et l’importance de la production d’une écrivaine qui a été, pendant longtemps oubliée et de mettre en relief en quel sens ses contes merveilleux ont contribué à enrichir plusieurs genres et plusieurs modèles relevant de la culture de la fin du siècle
In this thesis, the variousaspects of the reception and the fortune of the fairy tales of the baroness of d’Aulnoy at the end of the 19th century are examined, allowing enriching the critical analyses about classical fairy tales and their perception in modern time. In first place, new editions of the tales, printed from from first years of the 19thcentury, until the first years of 20th are examined. The composition of volumes and the shape of the texts make it possible to understand how it is only at the end of the 19th century that Mrs. d'Aulnoy starts to be regarded as a classical author. She begins to be considered as a writer that proposes to the readers original marvelous tales and not a simple rewriter of folk tales. The analysis of the rewritings and the transpositions allows, on the other hand, to understand the role of the baroness and her work in the renewal of marvelous literature at the end of the century. In fact, the complete rewritings of some of its tales present some stylistics features that can be connected with the perverted marvelous, typical of the end of the century. That makes it possible to seize the interest which the authors of this time carry on the figure of the writer. She begins to be perceived as a model, on the same level as Charles Perrault, which justifies the presence of complete rewritings of its work. On the other hand, the presence of some themes and characters that can originally be found in Mrs. d’Aulnoy’s works inside new works allows to better understand the importance of the literary memory in the renewal of marvelous literary genre. In the end, the transpositions for the theater can only be found in the English culture. The tales of the baroness d’Aulnoy which take part in this phenomenon allow a deep renewal of certain genres of the classical theater and the creation of new ones, presenting, for the first time, characters and topics linked to grotesque. This work allows therefore, to stress the range and the importance of the production of a writer which, has been forgotten for a long time and to highlight in which direction its tales contributed to enrich the marvelous at the end of the century
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Farkoa, Oscar. „Flaveurs et féérie ou cinq sens gourmands pour des contes de fées classiques (1691-1756)“. Paris 4, 2006. http://www.theses.fr/2005PA040192.

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Perspective gourmande et importance des cinq sens dans les contes de fées entre 1691 et 1756. Dimension littéraire du genre, né de la transmission orale, réfractaire à toute forme d'enfermement, rapport à la nourriture, à l'érotisme. Les chemins du merveilleux, le décor, l'influence de Louis XIV, le rapport au péché, étude contextuelle, temporelle et géographique de la gastronomie et rapprochement avec les contes de fées. Si la recherche des raffinements et des améliorations culinaires semble avoir toujours fait partie des préoccupations de l'homme dès lors qu'il commençait à manger à sa faim et n'avait plus à s'inquiéter de sa simple survie, le XVIIe siècle a clairement marqué un tournant dans l'esthétique gourmande et fait le premier pas vers la modernité. Double objectif : d'une part, tâcher de réhabiliter les contes de fées et donner envie d'aller plus loin dans leur connaissance du patrimoine légué par des auteurs injustement méconnus ; d'autre part, faire prendre conscience de l'importance de l'éclosion de la sensibilité gastronomique à cette époque-là, particulièrement présente dans ce genre littéraire et témoin de son importance à l'âge d'or des contes de fées
Culinary and “gourmand” perspective of the five senses in the fairy tales between 1691 and 1756. Literature dimension of the genre, born and transmitted by spoken language, refractory to any confinement, connection to food and eroticism. The path to the wonderful, the décor, the influence of Louis XIV, the relation to the sin, the study of the context, time and geography of gastronomy and the links with fairy tales. If the search for refinements and culinary improvements seems to always have been part the human being preoccupations since he could eat all his soul without feeling concerned for his survival, the 16th century clearly stood out as turning point in the food aestheticism and made the first step towards modernity. Double purpose: firstly, intend to restore the interest in fairy tales and create the desire to go deeper in the knowledge of the legacy of unfairly underestimated authors; secondly, emphasize on the importance of the blossoming of gastronomic sensibility at that time, particularly meaningful in this literary genre and witness of its importance at the golden age of fairy tales
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Grapin, Alexandra. „L' expression du sentiment amoureux dans les contes de fées et dans les comédies de la première moitié du XVIIIe siècle en France“. Paris 3, 2008. http://www.theses.fr/2008PA030039.

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Le sentiment amoureux prend une dimension intellectuelle et devient objet d’interrogations chez nos auteurs de contes et de comédies. Leur but est de dévoiler la réalité complexe des sentiments et des pensées de leurs personnages. L’amour en lui-même ne cesse d’être interrogé dans nos contes et dans nos pièces: est-il inévitablement passionné ? Est-il exclusivement présenté comme une donnée magique, inexplicable ? Repose-t-il toujours sur les mêmes fondements ? Peut-il prendre un tour plus intellectualisé, voire parfois rationnel ? Les auteurs cherchent à capter l’essence même de l’amour, et a fortiori son caractère ambivalent. Ils s’interrogent également sur sa pérennité. Réunis par une approche réflexive du sentiment, les conteurs et les dramaturges proposent des moyens neufs pour exprimer des zones du cœur restées jusqu’alors inexpliquées, et pour ce faire, emploie chacun des approches, des perspectives, des manières de caractériser les personnages et les sentiments qui sont distinctes. On a d’une part des récits d’actions dans le conte de fées, et d’autre part une parole tournée vers l’extérieur dans le théâtre. Nos auteurs décrivent ce moment où le sentiment naît et métamorphose l’individu. Celui-ci se découvres à travers les premiers émois de l’amour, et ce même s’il n’en a pas toujours conscience. Et c’est là tout l’enjeu des œuvres étudiées : montrer des personnages qui refusent dans un premier temsps de reconnaître et de formuler le sentiment
Loving feeling takes an intellectual dimension and becomes object of questionings for our authors of fairy tales and comedies. Their purpose is to reveal the complex reality of feelings and thoughts of their characters. The love in itself does not cease being questioned in our stories and in our plays: is it inevitably enthralled ? Is it exclusively introduced as magical, unaccountable data ? Does it always rest on the same foundations ? Can he take a more intellectualized turn, or even sometimes rational? The authors try to pick up the essence of love, and all the more so its love-hate character. They also question on his permanence. United by a reflexive approach of feeling, the storytellers and the dramatists offer new means to express zones of the heart remained until then unexplained. They use each of approaches, perspectives, ways to characterize the figures and feelings which are distinct. They have on one hand tales of actions in the fairy tale, and on the other hand word turned to the outside in the theatre. Our authors represent this instant when feeling is born and transforms completely the individual. This one confides across the first stir of love, and even if he is still not aware of it. And it is all stake of studied writings there : show figures who refuse of at first to acknowledge and to formulate feeling
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Rolland, Tiphaine. „Le « vieux magasin » de Jean de La Fontaine. Les Fables, les Contes et la tradition européenne du récit plaisant (XVe-XVIIe s.)“. Thesis, Paris 4, 2017. http://www.theses.fr/2017PA040132.

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Bien que La Fontaine ait explicitement placé ses Contes dans la lignée de grands recueils de narrations plaisantes, comme le Décaméron, les Cent Nouvelles Nouvelles ou l’Heptaméron, cette filiation assumée masque deux énigmes. La première concerne la transmission de ces modèles prestigieux jusqu’au poète ; ceux-ci ont en effet connu une diffusion européenne par le biais de compilations anonymes mal connues, agissant comme autant de filtres qu’il faut mieux évaluer. La seconde est celle de l’influence, sous-estimée, de cette production récréative multiforme sur l’autre versant de l’œuvre de La Fontaine, rédigé parallèlement aux Contes : celui des Fables. Il est donc nécessaire de confronter ces deux œuvres du poète, abordées de manière solidaire, à un corpus d’une centaine de recueils de narrations brèves à visée divertissante, écrits entre le XVe et le XVIIe siècle, pour cerner ce que les Contes et les Fables doivent précisément à cette tradition plaisante. L’enquête, fondée sur des investigations archéologiques minutieuses, conduit à mesurer, dans les textes lafontainiens, les reprises (directes ou médiatisées) de canevas facétieux, les modalités d’adaptation stylistique de cet héritage ancien, et les nouveaux mécanismes de différenciation générique entre vis comica et vis gnomica. La relation entretenue par La Fontaine avec ce patrimoine pluriséculaire, associé à une Renaissance gaillarde, permet, plus largement, de mieux comprendre les rapports ambivalents de l’âge classique avec un passé perçu comme plus rieur. Sont ainsi posés les fondements d’une esthétique de l’influence, articulant les recherches génétiques, les micro-analyses littéraires et l’histoire des représentations
Although La Fontaine claimed that his Tales were deliberately imitating some famous collections of amusing stories, such as The Decameron or French Cent Nouvelles Nouvelles and Heptaméron, two questions remain unresolved. The first one deals with how those prestigious models were passed on to the poet; little-known, anonymous compilations that both spread those narratives throughout Europe and influenced the way they were read, are to be taken into consideration in this process. The second one is about the undervalued influence of these protean entertaining texts on the other part of La Fontaine’s works, written at the same time as his Tales: the Fables. Those two works, tackled as a coherent whole, must therefore be collated to a corpus of about one hundred books collecting short, funny narratives, mainly written between the XVth and the XVIIth century – in order to define the precise debt of the Tales and Fables to this merry literary tradition. Thorough archeological investigations are the basis of this survey that determines, within La Fontaine’s texts, how the poet rewrote some jokes he knew directly or indirectly ; which stylistic devices he invented to adapt this ancient legacy ; how he renewed the way the didactic genres are differentiated from the comic ones. The view La Fontaine had of this long-aged heritage, seen as the product of a saucy Renaissance, entails a broader and better understanding of the ambiguous relations between the classic era and a past supposed to have been more cheerful. This lays the foundations of an aesthetics of influence, which links together genetic research, close-reading of literary texts and history of cultural representations
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Patard, Geneviève. „Mme de Murat (1668 ?-1716) : de la question féminine à la conquête des discours“. Thesis, Paris 4, 2010. http://www.theses.fr/2010PA040071.

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Mme de Murat témoigne incontestablement d’un intérêt pour la défense des femmes : n’en annonce-t-elle pas clairement le projet dans l’« Avertissement » de ses Mémoires, projet auquel semble faire écho son Épître « aux fées modernes » ? Cette préoccupation parcourt l’ensemble d’une œuvre qui se place résolument dans une tradition littéraire féminine et qui entend réagir à la domination patriarcale de la société d’Ancien Régime. Cependant l’ambition de l’auteur se situe bien au-delà du projet initial : il s’agit moins de défendre les femmes que de conquérir, par cette défense, une place, indépendamment de toute caractérisation sexuée. La définition de cette place se fait par une écriture qui permet à l’auteur de se distinguer, de se montrer et de consacrer ce qu’elle veut être sa propre supériorité.La quête de soi passe donc essentiellement par autrui, par ses regards et ses discours sur un je qui ne cesse de se mettre en scène. Les discours deviennent ainsi le lieu d’affrontement des pouvoirs, et notamment ceux que la société impose au je. La comtesse de Murat l’a bien compris, et s’attache à dévoiler les mécanismes de la crédulité qui entretiennent la doxa sur les femmes et sur lesquels reposerait plus généralement l’autorité sociale. L’auteur forme alors le projet à son tour de parvenir à la maîtrise des discours qui lui permettrait de détruire les discours oppressifs et de parvenir par la parole à l’affirmation libératoire du je
Madame de Murat is clearly interested in the defence of women: doesn’t she make her intent clear in the “Foreword” to her Mémoires, as echoed in her Epistle “to modern fairies”? This preoccupation runs throughout a body of work that resolutely belongs to the female literary tradition and that seeks to challenge patriarchal domination in Ancien Régime society. However, the writer’s ambition reaches far beyond her initial intent: it is not so much to defend women as to conquer a place in society through defending them, irrelevant of gender categories. The definition of this place is achieved through a writing that enables her to stand out, show herself to the world and promote what she sees as her own superiority. The quest for self is mediated essentially through the other and his or her looks and discourses as they impact the “I” being displayed. Discourses become the battlefields where the powers clash, especially those that society imposes on the “I”. The Comtesse de Murat is perfectly aware of this and endeavours to unveil the mechanisms of credulity that foster the doxa on women and which social authority supposedly rests on. Her goal is from then on to master the discourses that will help her destroy the oppressive discourses and achieve the liberating affirmation of the “I” through words
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Fourgnaud, Magali. „Le conte à visée morale et philosophique de Fénélon à Voltaire“. Phd thesis, Université Michel de Montaigne - Bordeaux III, 2013. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00997361.

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À la fin du XVIIe siècle, la dissolution du pacte allégorique semblait avoir à tout jamais disjoint la fable et le conte, la première prenant en charge seule un but didactique et le second se définissant comme un récit pur, sans intention de transmettre un quelconque message. Paradoxalement, de la fin du XVIIe siècle jusqu'aux années 1775, un nombre important de contes affichent, dès leurs seuils (titres, épigraphes, frontispices, préfaces), une fonction cognitive : on assiste à l'émergence d'une nouvelle catégorie du conte, qui se réconcilie avec les savoirs. Cette thèse vise à montrer que la portée philosophique et morale de ce sous-genre réside moins dans le message transmis que dans le mode de déchiffrement qu'il induit et dans la singularité de l'expérience qu'il fait vivre au lecteur. Les contes à visée morale et philosophique ne sont pas des illustrations d'une thèse préalable, ils déclenchent la réflexion du lecteur grâce à un dispositif narratif particulier, qui repose sur un pacte de lecture non plus allégorique, mais analogique : le lecteur est amené à faire des liens entre ce qui a priori est sans rapport, à prendre une posture critique à l'égard de tous les discours (notamment religieux, politiques, pseudo-scientifiques et même fictionnels), et à s'interroger sur lui-même, en somme à être philosophe, au sens où l'entendait le XVIIIe siècle. Après avoir repéré les constantes structurelles et thématiques de ces textes, aussi divers soient-ils, nous étudions l'entremêlement des discours philosophiques et moraux et de la fiction, dans les contes de Fénelon, Montesquieu, Saint-Hyacinthe, Crébillon, Diderot, Rousseau, Voltaire et Marmontel.
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