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  1. Zeitschriftenartikel

Auswahl der wissenschaftlichen Literatur zum Thema „Contamination de surfaces – Nettoyage“

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Zeitschriftenartikel zum Thema "Contamination de surfaces – Nettoyage"

1

Topie, Emmanuel, and Anne Gogny. "Conduite à tenir face à un chien ou un chat atteint ou suspect d'être atteint par une maladie transmissible." Le Nouveau Praticien Vétérinaire canine & féline 18, no. 80 (2021): 11–17. http://dx.doi.org/10.1051/npvcafe/80011.

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La prise en charge des animaux contagieux, ou suspects de l’être, suit des procédures définies et écrites adaptées à la structure vétérinaire. La première barrière à l’introduction d’un germe contagieux dans une structure de soins est une application quotidienne stricte quel que soit l’animal des mesures d’hygiène de base, que ce soit pour l’hygiène des mains, des locaux, des surfaces et du matériel. L’animal suspect ou confirmé contagieux est orienté dès son arrivé dans la structure, ou à défaut le plus tôt possible dès la détection du problème, vers le circuit pour animaux contagieux. La confirmation d’une infection par un agent infectieux transmissible est à effectuer le plus tôt possible. Une information claire, visible et précoce du personnel en charge de l’animal sur l’agent infectieux suspecté doit être donnée. En cas d’identification tardive, après circulation dans les locaux, d’un animal contagieux, il est nécessaire de retracer son parcours (locaux, matériel, personnel, ...) afin de pouvoir mettre en place les mesures de nettoyage et de désinfection adaptées. Que ce soit en consultation, en hospitalisation ou lors de la réalisation d’examens complémentaires, un isolement spatial ou temporel par rapport aux autres individus sensibles à la maladie concernée est nécessaire. Le personnel dédié aux soins est limité au strict nécessaire. L’utilisation d’un matériel jetable, ou à défaut facilement nettoyé et désinfecté, est préconisée. La gestion des déchets et excrétas suit la même logique en évitant dans la mesure du possible la contamination de l’extérieur des contenants afin de ne pas disséminer l’agent pathogène lors du transport de ces déchets.
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Bissong, M. E. A., and M. Moukou. "Mobile phones of hospital workers: a potential reservoir for the transmission of pathogenic bacteria." African Journal of Clinical and Experimental Microbiology 23, no. 4 (2022): 407–15. http://dx.doi.org/10.4314/ajcem.v23i4.9.

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Background: Mobile phones are increasingly associated with the transmission of pathogenic microbial agents. In the clinical setting where there is usually high exposure to pathogens, these devices may serve as vehicles for the transmission/spread of pathogens. This study determined the prevalence of bacterial contamination of mobile phones of health workers and the predisposing factors, in order to ascertain the risk of transmission of pathogenic bacteria through mobile phones.Methodology: This study was carried out in a private medical center at Mbouda, Cameroon, involving 78 health workers including health professionals (nurses, physicians, laboratory scientists) and hospital support workers (cleaners, cashiers and security guards), recruited by convenient sampling. Sterile swab sticks moistened with physiological saline were used to swab about three quarter of the surface of each phone. The swabs were cultured on MacConkey and Mannitol Salt agar plates which were incubated aerobically at 37oC for 24 hours, while Chocolate agar plate was incubated in a candle extinction jar for microaerophilic condition. The isolates were identified using standard biochemical tests including catalase, coagulase, and the analytical profile index (API) system. Data were analyzed using the Statistical Package for Social Sciences (SPSS) version 20.0.Results: Mobile phones of 75 of the 78 (96.2%) health workers were contaminated, with highest contamination rates for the phones of laboratory scientists (100%, 12/12), followed by support staff (98.9%, 13/14), nurses (97.7%, 43/44) and physicians (87.3%, 7/8), but the difference in contamination rates was not statistically significant (p=0.349). A total of 112 bacteria belonging to 12 genera were isolated, with predominance of Staphylococcus aureus (31.3%, n=35), Micrococcus spp (30.4%, n=34), coagulase negative staphylococci (10.7%, n=12) and Pseudomonas spp (5.4%, n=6). The laboratory (18.8%, 21/112) and medical wards (16.1%, 18/112) had the highest bacterial contamination of mobile phones (p=0.041), and more bacterial species were isolated from smartphones (68.8%, n=77/112) than keypad phones (31.2%, n=35/112) (p=0.032). There was no significant difference between phone contamination rates and the practice of hand hygiene or decontamination of work surfaces (p>0.05).Conclusion: The presence of potentially pathogenic bacteria on cell phones of health-care workers emphasizes the role of fomites in the transmission of infectious diseases. Consequently, good hand hygiene and decontamination practices are encouraged among health workers in order to limit the spread of hospital-acquired infections.
 Contexte: Les téléphones portables sont de plus en plus associés à la transmission d'agents microbiens pathogènes. Dans le cadre clinique où il y a généralement une forte exposition aux agents pathogènes, ces dispositifs peuvent servir de véhicules pour la propagation de la transmission des agents pathogènes. Cette étude a déterminé la prévalence de la contamination bactérienne des téléphones portables des agents de santé et les facteurs prédisposants, afin de déterminer le risque de transmission de bactéries pathogènes par les téléphones portables.Méthodologie: Cette étude a été réalisée dans un centre médical privé à Mbouda, au Cameroun, impliquant 78 agents de santé, y compris des professionnels de la santé (infirmiers, médecins, scientifiques de laboratoire) et des agents de soutien hospitalier (agents de nettoyage, caissiers et agents de sécurité), recrutés par échantillonnage pratique. Des écouvillons stériles humidifiés avec du sérum physiologique ont été utilisés pourécouvillonner environ les trois quarts de la surface de chaque téléphone. Les écouvillons ont été cultivés sur des plaques de gélose MacConkey et Mannitol Salt qui ont été incubées en aérobiose à 37°C pendant 24 heures, tandis que la plaque de gélose au chocolat a été incubée dans un pot d'extinction de bougie pour une condition microaérophile. Les isolats ont été identifiés à l'aide de tests biochimiques standard, notamment la catalase, la coagulase et le système d'indice de profil analytique (API). Les données ont été analysées à l'aide du package statistique pour les sciences sociales (SPSS) version 20.0.Résultats: Les téléphones portables de 75 des 78 agents de santé (96,2 %) étaient contaminés, avec les taux de contamination les plus élevés pour les téléphones des scientifiques de laboratoire (100%, 12/12), suivis par le personnel de soutien (98,9%, 13/14), infirmières (97,7%, 43/44) et médecins (87,3%, 7/8), mais la différence de taux de contamination n'était pas statistiquement significative (p=0,349). Au total, 112 bactéries appartenant à 12 genres ont été isolées, avec une prédominance de Staphylococcus aureus (31,3%, n=35), Micrococcus spp (30,4%, n=34), staphylocoques à coagulase négative (10,7%, n=12) et Pseudomonas spp (5,4%, n=6). Le laboratoire (18,8%, 21/112) et les services médicaux (16,1%, 18/112) avaient la contamination bactérienne la plus élevée des téléphones portables (p=0,041), et plus d'espèces bactériennes ont été isolées des smartphones (68,8%, n=77/112) que les téléphones à clavier (31,2%, n=35/112) (p=0,032). Il n'y avait pas de différence significative entre les taux de contamination du téléphone et la pratique de l'hygiène des mains ou de la décontamination des surfaces de travail (p>0,05).Conclusion: La présence de bactéries potentiellement pathogènes sur les téléphones portables des travailleurs de la santé souligne le rôle des fomites dans la transmission des maladies infectieuses. Par conséquent, de bonnes pratiques d'hygiène des mains et de décontamination sont encouragées chez les agents de santé afin de limiter la propagation des infections nosocomiales.
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Trimoulinard, A., C. Tessier, L. Atiana, and E. Cardinale. "Salmonelles et saucisses à la Réunion." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 67, no. 3 (2015): 115. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.10165.

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Les Réunionnais consomment beaucoup de viande de volaille et de porc, et les saucisses 100 p. 100 volaille et 100 p. 100 porc figurent parmi les particularités notables de la cuisine locale. Une enquête chez les professionnels de la charcuterie et des analyses bactériologiques ont permis de déterminer les facteurs qui pouvaient favoriser la contamination de ces produits à l’étape de la vente. Au total 203 échantillons de saucisses de porc et de volaille ont été prélevés dans 67 points de vente (supermarchés ou hyper-marchés, épiceries, et boucheries-charcuteries), tirés aléatoirement sur l’ensemble de l’île de la Réunion. A partir d’analyses bactériologiques, les prévalences de Salmonella spp. et de Campylobacter spp. ont été déterminées ainsi que les sérotypes majeurs de Salmonella ; la population de Salmonella dans les saucisses de volaille et de porc a aussi été quantifiée. Les analyses bactériologiques ont été réalisées selon les normes européennes. Les pratiques à risque conduisant à une contamination des produits consommés ont été identifiées à partir d’une enquête d’observation relative aux pratiques de vente et d’un modèle linéaire généralisé sous une loi binomiale. Des prévalences faibles de Salmonella spp. ont été observées pour les lots de saucisses et pour les points de vente. Salmonella spp. n’a été détectée que dans 11,8 p. 100 de ces échantillons (95 p. 100 intervalle de confiance = 7,8–17,3). Cette prévalence était différente en fonction du type de point de vente et des caractéristiques de la saucisse (tableau I) : les saucisses de porc, les saucisses fumées et les saucisses « fraiches » (reconstituées à partir de viande congelée-décongelée) ont été plus contaminées (test Z, p < 0,001).Les sérovars détectés selon les lots de saucisses ont été S. Typhimurium (4,92 p. 100), S. London (2,46 p. 100), S. Derby (1,98 p. 100), S. Newport (0,99 p. 100), S. Blockley (0,49 p. 100) et S. Weltevreden (0,49 p. 100). La moyenne de population de Salmonella spp. par échantillon a été de 72,9 bactéries/g avec un minimum de 6,00 bactéries/g et un maximum de 380 bactéries/g, soit des niveaux largement en deçà de la dose infectieuse. La vente de saucisses dans un sac en plastique (odds ratio [OR] = 26,63), dans un emballage en papier (OR = 9,00) et l’absence de lutte contre les rongeurs (OR = 5,42) ont été corrélées positivement au risque de contamination par Salmonella spp. Une surface de vente importante (> 250 m²) (OR = 0,99) a diminué ce risque. Un pourcentage des lots de saucisses a été contaminé par Campylobacter spp. Aucun facteur de risque ou de protection vis-à-vis de Campylobacter n’a été déterminé car la prévalence a été trop faible pour l’associer à des pratiques de fabrication des saucisses. Le risque pour le consommateur reste limité puisque les saucisses sont bien cuites dans les carrys et autres plats traditionnels. Les gérants des points de vente peuvent donc accentuer leurs efforts, d’une part, en utilisant des détergents et des désinfectants pour le nettoyage des vitrines et, d’autre part, en lavant régulièrement les vêtements de travail du personnel. Il importe enfin d’assurer des formations de base en hygiène pour le personnel. Les gérants doivent également insister sur leur méthode de conditionnement. Même si des salmonelles et des campylobacters sont régulièrement identifiés en élevage (1, 2), les prévalences et les doses observées à la mise en marché ne risquent pas de provoquer de gastro-entérites chez le consommateur.
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Sentis, M. L., Ph Delaporte, M. Gastaud, W. Marine, and O. Utéza. "Nettoyage de surfaces de grandes dimensions par laser à excimères." Le Journal de Physique IV 11, PR7 (2001): Pr7–127—Pr7–128. http://dx.doi.org/10.1051/jp4:2001740.

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Degrigny, C., O. Morel, J. Morvan, J. M. Maire, and S. Boucard. "Nettoyage et stabilisation de surfaces metalliques peintes: application a la restauration d'une voiture autochenille." Studies in Conservation 40, no. 4 (1995): 227. http://dx.doi.org/10.2307/1506497.

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Guillaumin, Bruno. "Nettoyage et désinfection dans l’industrie de l’embouteillage, des aliments transformés et des surfaces ouvertes." Bulletin de l'Académie Vétérinaire de France, no. 2_sup (2002): 49. http://dx.doi.org/10.4267/2042/61576.

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Degrigny, C., O. Morel, J. Morvan, J. M. Maire, and S. Boucard. "Nettoyage et stabilisation de surfaces métalliques peintes: application à la restauration d'une voiture autochenille." Studies in Conservation 40, no. 4 (1995): 227–36. http://dx.doi.org/10.1179/sic.1995.40.4.227.

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Bourgeois, Denis, and Marta Mazur. "Prophylaxie et Orthodontie : zoom sur l’espace interdentaire." Revue d'Orthopédie Dento-Faciale 58, no. 3 (2024): 317–28. http://dx.doi.org/10.1051/odf/2024030.

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L’espace interdentaire constitue une niche écologique unique propice à l’accumulation de biofilm dysbiotique. Chez les adolescents et jeunes adultes, ces espaces abritent des bactéries pathogènes parodontales. L’ anatomie de l’embrasure interdentaire de type I, observée à ces âges, empêche l’accès des dispositifs de nettoyage traditionnels que sont les brosses à dents et les bains de bouche. De même, les bagues et fils orthodontiques peuvent compliquer l’accès aux espaces en impactant l’inflammation et l’hyperplasie des papilles. Le traitement orthodontique modifie la position des dents et, par conséquent, les espaces interdentaires. Cette dynamique nécessite une adaptation continue des dispositifs de nettoyage. Les brossettes interdentaires calibrées permettent une désorganisation du biofilm sur l’intégralité des surfaces dentaires et gingivales et sont adaptées aux variations anatomiques induites par le traitement. En conclusion, une hygiène interdentaire adaptée, supervisée et enseignée par des professionnels de santé – orthodontiste et omnipraticien-, est impérative pour prévenir les déséquilibres microbiens, faciliter la cicatrisation et la régénération des tissus gingivaux et osseux, minimiser les complications des traitements orthodontiques pouvant influencer la durée et l’efficacité de la prise en charge. Adaptées aux besoins spécifiques des patients, les brossettes représentent une technique efficace pour réguler la symbiose du microbiote certes, pendant le traitement orthodontique, mais également tout au long de la vie.
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Brouillaud-Delattre, A., A. Kobilinsky, O. Cerf, S. Aligé, G. Gerlot, and J. M. Herry. "Méthode de mesure de l'efficacité des procédés de nettoyage et de désinfection des surfaces ouvertes." Le Lait 74, no. 1 (1994): 79–88. http://dx.doi.org/10.1051/lait:199417.

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Casel, A., E. Sasse, and H. Kibbel. "B-contamination of Si-surfaces." Fresenius' Zeitschrift für analytische Chemie 333, no. 4-5 (1989): 522–23. http://dx.doi.org/10.1007/bf00572368.

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