Auswahl der wissenschaftlichen Literatur zum Thema „Colonialisme (idée politique) – Au théâtre“

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Zeitschriftenartikel zum Thema "Colonialisme (idée politique) – Au théâtre"

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Toulhoat, Mélanie. „« Lutar, aprender, vencer, trabalhar »“. Revue d'histoire contemporaine de l'Afrique, 11.07.2022. http://dx.doi.org/10.51185/journals/rhca.2022.varia03.

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Cet article analyse la genèse, le déroulement et les enjeux politiques et culturels de projets d’alphabétisation pour adultes et d’éducation populaire rurale mis en place à partir de 1975 en Guinée-Bissau. Ancrés dans l’héritage des écoles révolutionnaires instaurées en pleine guerre de Libération (1963-1974) par le Parti africain pour l’indépendance de la Guinée et du Cap-Vert (PAIGC), ils furent le fruit d’une collaboration entre le nouveau ministère de l’Éducation et diverses institutions étrangères. D’une part, les Círculos de Cultura développés par Paulo Freire et l’Institut d’action culturelle (IDAC) et, d’autre part, les centres d’éducation populaire intégrée (CEPI) mis en place par Rolin Colin et les équipes de l’Institut international de recherche et de formation éducation et développement (IRFED), constituèrent d’importantes innovations pédagogiques. Ils furent également le théâtre, dans un contexte historique marqué par la chute du colonialisme portugais, l’exil politique de militant·e·s latino-américain·e·s, l’essor de la théologie de la libération et l’apogée du tiers-mondisme, de ressignifications d’engagements idéologiques militants, analysés ici à travers le prisme de sources inédites.
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Melliti, Imed, und Abdelhamid Hénia. „Anthropologie indigène“. Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.003.

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Dès son invention, la catégorie « indigène » est une catégorie beaucoup moins savante que politique. « C’est la colonisation qui fait les indigènes », écrit René Gallissot. Sans être tout à fait des « primitifs », ces indigènes sont supposés être d’une espèce différente qui conserve des traits d’exotisme et de sauvagerie visibles dans la culture et les modes d’organisation sociale. Le propre de la catégorie indigène est d’être issue de la frontière coloniale : les indigènes le sont dans la mesure où ils sont justement, et en même temps, des sujets des empires coloniaux. Comme le montre R. Gallissot, la généalogie du mot indigène est complexe et procède d’une juridicisation d’une catégorie au départ naturaliste, donnant lieu en définitive à une classe juridique elle-même naturalisante et naturalisée. La fabrique juridique de « l’indigénat » comme statut en perpétuel recomposition au fil de l’histoire coloniale, et de ses relais institutionnels, administratifs et politiques, fait que la société coloniale est une société divisée en deux classes de populations et d’institutions : des sujets infériorisés et des citoyens à part entière, et respectivement des modes d’administration, des régimes juridiques et des juridictions spécifiques (Gallissot 2006). Ainsi l’«indigénat » est un statut stigmatisé et stigmatisant. La colonisation et le colonialisme étant perçus de plus en plus comme des objets historiques révolus mais avec des relents persistants, la catégorie « indigène » tend à être dégagée de son stigmate. Aujourd’hui, un courant d’« indigénisation » des savoirs prétend même s’en emparer en le retournant. Cette démarche est présentée comme le moyen de dessiner une posture méthodologique permettant d’opérer un déplacement dans le champ des recherches en sciences sociales en les dégageant de tout hégémonisme ethnocentrique. Quel bilan pouvons-nous dresser des pratiques empiriques propres à ce courant ? Dans quel contexte épistémologique s’inscrit-il ? Qu’en est-il du piège identitaire qui le guette ? L’indigénisation est-elle une pratique réservée exclusivement aux chercheurs indigènes ou autochtones et quel statut accorde-t-elle aux concepts et paradigmes produits par la communauté scientifique internationale ? Les soi-disant chercheurs autochtones ne sont-ils pas en passe d’inventer leurs propres « indigènes », en décrétant le déclassement d’une partie de la communauté scientifique ? L’idée de l’indigénisation vient à la suite de plusieurs tentatives de renouveaux épistémologiques. La « décolonisation des savoirs » introduite par les Postcolonial Studies anglophones a montré que la décolonisation n’est pas seulement une action politique, mais également une action épistémologique. A cela, il faut ajouter la critique de l’orientalisme par Edward Saïd (1980), les différentes écoles qui ont amorcé une tentative de construire le savoir à partir du « bas » (view from below) ou de « l’intérieur », ou de faire de la recherche du côté des acteurs, ou encore au « ras de sol » (Revel 1989). C’est dans la même perspective que s’inscrivent la contribution des Subaltern Studies en Inde (Pouchepadass 2000 ), l’« écriture de l’histoire » par Michel de Certeau (2002) et sa sociologie de l’« invention du quotidien », la reconstitution de la « vision des vaincus » par Nathan Wachtel (1999), la microstoria italienne, l’analyse « du point de vue de l’indigène » (Geertz 1986), et l’analyse des « armes du faible » par James C. Scott (1985). Les Latinos Studies, les Gender Studies, les Black Studies, sont autant de courants qui ont contribué à la poursuite de cet élan novateur. Le dernier en date est le courant représenté par le Manifeste de Lausanne. Pour une anthropologie non hégémonique (Saillant, Kilani, Graezer Bideau 2011). Indigéniser consisterait à répondre à la question de savoir comment penser une société sans être le porte-parole d’interprétations hégémoniques ou surplombantes venant souvent de l’extérieur. Cela suppose aussi le dépassement de la dichotomie «indigène»/«occidental» en se dégageant des rapports de force historiques liés à ces deux catégories, telles qu’elles étaient forgées dans le contexte colonial. La propension à l’indigénisation des savoirs a parfois tourné au discours identitaire, notamment chez les «sociologues arabes» (Melliti 2006 ; 2011). Il existe une tension à l’arrière fond du débat autour de la question d’arabisation des sciences sociales d’une manière générale. L’autre usage de l’indigénisation obéissant à des raisons exclusivement identitaires serait de dire que seuls les indigènes seraient les mieux placés pour rendre compte des réalités locales. Prenant sa source dans le nationalisme postcolonial, ce courant est obnubilé par l’idée de décoloniser les sciences sociales. Pour les défenseurs de ces courants, seul l’indigène serait capable de mieux étudier les sociétés anciennement colonisées. Il va sans dire que, dans ce contexte précis, la validité scientifique des résultats obtenus est incertaine. Une autre manière de comprendre l’indigénisation serait de l’assimiler à une posture méthodologique et à une démarche adoptée par tout chercheur quelle que soit son origine. De ce point de vue, l’altérité du chercheur n’est guère perçue comme un handicape pour une meilleure intelligibilité des réalités sociales plurielles qu’il se donne pour objet (Godelier 2007). Que le chercheur soit indigène (de l’intérieur) ou non, la question n’est pas là. Avec l’indigénisation des savoirs on insiste sur la manière dont les objets relatifs aux sociétés locales sont construits, pensés et traités. Il s’agit de partir de l’intérieur, c'est-à-dire des « concepts proches de l’expérience » pour « voir les choses du point de vue de l’indigène », comme le précise Clifford Geertz (1986 : 73-74). Pour ce faire, il faut voir selon lui les expériences des indigènes « dans le cadre de leur propre idée de ce qu’est la personne » ; autrement dit, comment ils « se voient eux-mêmes » et comment ils « se voient les uns les autres ». Et Geertz d’ajouter : « […] pour Java, Bali et le Maroc, au moins, cette idée diffère sensiblement non seulement de la nôtre, mais de façon non moins dramatique et non moins instructive, de l’une à l’autre » (Geertz : 76). Les effets des postures ethnocentriques empêchent de bien comprendre les sociétés locales, dans la mesure où ils déplacent la manière de penser ces sociétés vers des paradigmes et des catégories inventés sous d’autres cieux. Les approches ethnocentristes adoptées pour analyser les réalités locales peuvent être dues à des chercheurs aussi bien venus du dehors que du local. L’ethnocentrisme n’est pas spécifique à l’Occident. Récusant la dérive identitaire, l’indigénisation des sciences sociales consiste à transcender les langues par lesquelles les chercheurs s’expriment, les antinomies, comme centre et périphérie, local et global, etc. Elle participe également à la construction d’un savoir universel, mais non un «universel occidental » (Detienne 2005). L’indigénisation ne repose pas sur la condamnation, voire la négation de la « pensée occidentale », mais plutôt sur sa « décentralisation », comme l’écrivent les auteurs du Manifeste de Lausanne. La conversion des théories nées dans les centres de production scientifique en théories voyageuses, phénomène non nouveau, devient une véritable stratégie de connaissance. Ainsi, les outils d’analyse, paradigmes et concepts forgés dans le monde occidental ne sont pas rejetés par les tenants de ce courant. L’indigénisation du savoir se présente ainsi comme un projet épistémologique qui se démarque de celui postcolonial qui cherche à « décoloniser », ou encore de celui qui cherche à « désoccidentaliser » les savoirs. Qu’elle soit utilisée par l’ancien colonisateur ou l’ancien colonisé, la « décolonisation » est toujours quelque part entachée d’un substrat idéologique. L’idée de « désoccidentalisation », elle aussi, n’échappe pas à la même dérive. L’usage de ces mots dénote que le dépassement des catégories antinomiques (« colonisateurs » vs « colonisés », « Occident » vs « Orient », « Nord » vs « Sud », « centre » vs « périphérie », etc.) n’est pas encore totalement consumé. Il sous-entend que l’on reste toujours, d’une manière ou d’une autre, prisonnier de la perception ethnocentriste (Goody 2010).
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Dissertationen zum Thema "Colonialisme (idée politique) – Au théâtre"

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Freitas-Fernandes, Aurélien. „Le Concert Party hier et aujourd’hui en Afrique de l’ouest : une enquête de terrain (évolution histoire, question dramaturgiques, enjeux esthétiques et sociologiques)“. Electronic Thesis or Diss., Paris 3, 2023. http://www.theses.fr/2023PA030030.

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Cette thèse en Études théâtrales, assortie d’un film scientifique documentaire, s’appuie sur une enquête de terrain aussi historique qu’anthropologique qui vise à comprendre les enjeux dramaturgiques et sociologiques d’un genre de Cabaret-Théâtre musical nommé le Concert Party. De ses origines aux temps de la colonisation, jusqu’à nos jours, le Concert Party s’est inscrit en Afrique de l’Ouest comme un mouvement artistique extrêmement populaire et subversif. Produits en langue vernaculaire (twi, ewe, mina…), associés à de la musique Highlife et s’appuyant sur des travestissements, des maquillages et une dramaturgie extrêmement codés, les spectacles se jouent encore dans les maquis des grandes et moyennes villes de la côte ouest-africaine et s’amusent avec dérision à retourner les représentations coloniales et racistes tout en résistant à l’aliénation culturelle et aux pouvoirs politiques. Né en 1930 en Gold Coast (aujourd’hui le Ghana), le genre s’est exporté, après les Indépendances, vers son pays voisin le Togo en 1965. Mais le genre va connaître dans ces deux pays un destin bien différent, sans perdre pour autant sa force subversive. La recherche, qui s’attache à l’histoire et aux mutations du genre jusqu’à son devenir actuel, est adossée à un travail d’investigation entrepris lors de plusieurs séjours au Ghana et au Togo, ainsi qu’à des expériences de terrain faites de l’intérieur. Elle a en effet été menée, entre autres, en immersion au sein de l’Azé Kokovivina Concert Band, la dernière grande compagnie de Concert Party du Togo, créée en 1985. Ce qui a également permis de réaliser un collectage d’archives, de témoignages et de traces vidéo sous la forme d’un reportage scientifique
This thesis in Theatre Studies, accompanied by a scientific documentary film, is based on a historical and anthropological field study that aims to understand the dramaturgical and sociological issues of a genre of musical cabaret theatre called the Concert Party. From its origins during the colonial period to the present day, the Concert Party has been an extremely popular and subversive artistic movement in West Africa. Produced in the vernacular (Twi, Ewe, Mina...), associated with highlife music and relying on highly coded disguises, make-up and dramaturgy, the shows are still performed in the maquis of the large and medium-sized cities of the West African coast and derisively enjoy turning colonial and racist representations on their head while resisting cultural alienation and political powers. Born in 1930 in the Gold Coast (now Ghana), the genre was exported to its neighbouring country Togo in 1965 after independence. However, the genre's fate in these two countries was very different, without losing its subversive force. The research, which focuses on the history and mutations of the genre up to its present day, is based on research undertaken during several visits to Ghana and Togo, as well as on field experiences from the inside. It was carried out, among other things, by immersion in the Azé Kokovivina Concert Band, Togo's last great concert party company, created in 1985. This also made it possible to collect archives, testimonies and video traces in the form of a scientific report
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Léonard, Yves. „Salazarisme, nationalisme et idée coloniale au Portugal“. Paris, Institut d'études politiques, 2011. http://www.theses.fr/2011IEPP0008.

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La première partie est centrée sur l'idée coloniale présentée comme clé de voûte du salazarisme Elle montre comment le sentiment national devient consubstantiel à l'idée coloniale, symbiose que cristallise l'intense mystique impériale orchestrée par la propagande salazariste dans les années 1930, au point de s'affirmer comme le socle intangible du régime. La deuxième partie porte sur la question de la nature du régime salazariste présenté comme plus proche d'un autoritarisme conservateur que du fascisme, soulignant notamment la figure centrale et complexe du dictateur. La troisième partie est consacrée à la postérité du salazarisme et à la mémoire de celui-ci dans le Portugal démocratique né de la Révolution des oeillets d'avril 1974. Le choix européen, conséquence à la fois de la décolonisation et de l'institutionnalisation de la démocratie, a permis aux Portugais de passer outre la disparition brutale d'un outre-mer multiséculaire, sans nourrir, pour l'heure, de véritable "guerre des mémoires"
The first part focuses on the colonial idea presented as the keystone of salazarism. It shows how the national sentiment becomes consubstantial of the colonial idea, throughout the intense impreial mystic orchestrated by the salazarist propaganda in the 1930s, to the extent of asserting itself as the intangible base of the regime. The second part focuses on the question of the salazarist regime nature presented as close to a conservative authoritarianism much than fascism, emphasizing the key figure, central and complex, of the dictator. The third part focuses on the posterity of salazarism and its memory in democratic Portugal, since the revolution of April 1974. The European choice, consequence both of the decolonization and of the institutionalization of the democracy, allowed the Portuguese to override the brutal disappearance of centuries-old overseas, without creating, till yet, an absolute war of memories
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Marrero, Maria-Rosa. „L' empire du droit ou le droit international saisi par le fait colonial : Le cas de l'Afrique, 1880-1922“. Montpellier 1, 2008. http://www.theses.fr/2008MON10075.

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Cabranes, Amaia. „L'espace, les hommes et la frontière : les missionnaires du Nord de la Nouvelle-Espagne au XVIIe siècle“. Thesis, Paris 10, 2009. http://www.theses.fr/2009PA100080/document.

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Au XVIIe siècle l’avancement conquérant des Espagnols se heurta au nord de la Nouvelle-Espagne à la résistance des terres et des hommes. Les vastes espaces septentrionaux se consolidèrent alors comme des régions de frontière : les plus lointaines étaient à peine explorées, celles situées plus près des centres de colonisation furent progressivement, mais de manière précaire, intégrées à la monarchie. Au cours du siècle, les missionnaires, notamment franciscains et jésuites, jouèrent un rôle très actif dans le processus d’appropriation de ces marges : en tant qu’explorateurs, évangélisateurs et colonisateurs au service du roi, ils s’insérèrent graduellement dans les espaces du septentrion. Tout d’abord, il fut nécessaire d’imaginer les contrées qui restaient inconnues – la Californie, le Nouveau Mexique : à partir d’une amalgame de mythes et de savoirs à la double origine, européenne et indienne, les religieux dressèrent des cartes et des rapports représentant ces régions convoitées. Avec le passage du temps, la composante américaine desdites représentations s’accentua. Parallèlement, pendant le processus d'incorporation de la Nouvelle-Biscaye, la Compagnie de Jésus y articula un réseau de missions afin de christianiser-« civiliser » les populations et d’occuper les territoires toujours réfractaires à la conquête. Les religieux durent ainsi adapter leurs stratégies d’appropriation aux caractéristiques de l’espace. Enfin, les frontières du Nord génèrent des conditions de vie difficiles pour les missionnaires qui furent parfois découragés de leur travail et conduits vers des comportements peu orthodoxes du point de vue religieux
In the XVIIth century, the conquering advance of Spaniards was met by resistance from territories and men in the north of New Spain. The vast septentrional reaches were then consolidated as frontier regions, as the most remote areas were barely explored, while regions located closer to settlement centers were progressively, yet precariously, integrated to monarchy. In the course of the century, missionaries, especially Franciscans and Jesuits, played a very active role in the appropriation process of border regions. As explorers, evangelists and colonizers for the King of Spain, they gradually settled in the septentrional regions. At first, it was necessary to imagine unknown reaches: California, New Mexico. Picking from a set of myths and knowledge with a dual – European and Native American – origin, the priests drew up maps and reports of the coveted areas. As time passed, representations showed increased American influence. In parallel, as integration of New Biscay progressed, the Company of Jesus articulated a network of missions with the objective to christianize – “civilize” – populations and occupy the territories that resisted conquest. The missionaries had to adapt their appropriation strategies to land characteristics. Finally, missionaries had to face difficult life conditions at the northern frontiers, and were at times disheartened in their work and lapsed into rather unorthodox behaviors from a religious point of view
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Al-Labadi, Taher. „De la dépossession à l'intégration économique : économie politique du colonialisme en Palestine“. Thesis, Paris 9, 2015. http://www.theses.fr/2015PA090021/document.

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La majorité des travaux en économie sur la Palestine semblent déterminés par le projet, explicite ou non, de surmonter l'omniprésence du conflit entre Palestiniens et Israéliens. Ceci coïncide avec la pensée économique standard qui place le marché au centre de ses attentions, et entend s’affranchir de l’existence de « faits de pouvoir » dans les rapports sociaux. En présentant le politique comme un obstacle au bon fonctionnement de l'économie, le souhait est ainsi exprimé de voir celle-ci s'imposer comme une alternative à celui-là. Ces travaux-là sont dominants ; ils participent à la formulation des politiques et orientent le versement de l'aide financière internationale. J'envisage pour ma part la paupérisation de la société palestinienne comme une conséquence de la politique coloniale de dépossession dont les conséquences sont la dépendance économique mais aussi la perte d'autonomie politique des Palestiniens. Ainsi dès l’époque du mandat britannique, la colonisation de la Palestine par le mouvement sioniste se fait au détriment de la présence arabe palestinienne. En Israël après 1948, puis dans les territoires nouvellement occupés de Cisjordanie et de Gaza à partir de 1967, ce processus de dépossession va de pair avec une intégration économique qui perdure à ce jour. Pendant ce temps, le processus de paix entamé en 1993 participe à l'ébauche d'une région pacifiée et intégrée dans la globalisation néolibérale sous hégémonie américaine. Dès lors le transfert de fonds institué par l'aide financière internationale, l'exhortation faite par la Communauté internationale aux Palestiniens de participer aux objectifs de croissance économique et de développement, ainsi que l'intégration de l'économie palestinienne dans l'économie israélienne et dans la globalisation, sont un moyen éminemment politique d'évacuer en apparence les rapports de domination et d'inviter la société palestinienne à s'en accommoder. En ce sens, l’économie, de même que la politique, doit ici être considérée comme « la guerre continuée par d’autres moyens »
Most economic studies that have been done on Palestine are committed, whether explicitly or not, to overcome the ubiquity of the conflict between Palestinians and Israelis. Indeed, this is in line with standard economic thinking which places the market at the center of its interests, and overlooks “facts of power” in social relations. Yet, at the same time, they manage to show that politics is an obstacle to the flow of the economy, and therefore, express their wish that the latter becomes an alternative to the former. These works are dominant; they contribute to policy-making and guide the spending of international financial aid to Palestinians.By contrast, I consider the pauperization of Palestinian society a result of the colonial policy of dispossession. The consequences of this policy are manifest in the economic dependency of Palestinians, hence the loss of political autonomy. Indeed, since the British Mandate of Palestine, Zionist colonization of the country came at the expense of the Palestinian Arab presence. In Israel, after 1948, and in the newly occupied West Bank and Gaza Strip, after 67, this process of dispossession went hand in hand with an economic integration that has continued until this day.In parallel, the peace process that had begun in Oslo in 1993 contributed to the modeling of a subjugated area integrated into neoliberal globalization under US hegemony. Thus, the transfer of funds established by international financial aid, the exhortation made by the international community to the Palestinians to participate in the economic growth and development, as well as the integration of the Palestinian economy in the Israeli economy and in globalization, should be considered highly political strategies to eliminate ostensibly relations of power, and therefore, invite Palestinians to accept their subjugation. In that sense, economics as well as politics, appear to be “war by other means”
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Yassine-Diab, Nadia. „Aliénation et réinvention dans l'œuvre de Jamaica Kincaid“. Toulouse 2, 2010. http://www.theses.fr/2010TOU20073.

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L’écriture caribéenne entretient un double rapport avec la culture des anciens colons, oscillant entre résistance et imitation, déterritorialisation et reterritorialisation, aliénation et réinvention. Jamaica Kincaid est dans une relation dynamique avec son héritage littéraire et historique. Elle explore les limites des différents genres, et place l'intermédialité et la transgénéricité au cœur de son écriture. Elle refuse de ce fait toute inféodation à une forme donnée. Son écriture se veut donc postcoloniale au sens politique plus qu'historique du terme. A l'instar de Kincaid elle-même, les personnages kincaidiens explorent les limites entre filiation et affiliation : face à l'aliénation de la jeune fille dans la relation à sa mère, elle met en place des stratégies de réappropriation. Réappropriation du corps, qui mène à la réinvention du moi, mais aussi réappropriation de l'histoire et de l'espace. Kincaid est elle-même à la recherche d'un espace artistique dans lequel se réinventer : photographie, peinture et jardinage se mêlent ainsi à son écriture, et s'ajoutent à diverses stratégies de réappropriation et de décolonisation de la langue. Elle écrit dans la langue de l'oppresseur et la subvertit, introduisant ainsi un enchevêtrement de langues différentes dans son espace textuel
Caribbean literature maintains a dual relationship with the culture of the former colonizers, hesitating between resistance and imitation, deterritorialization and reterritorialization, alienation and reinvention. Jamaica Kincaid's connection with her literary and historical heritage is a dynamic one. She tests the limits of different genres, placing intermediality and transgenericity at the heart of her writing and thereby avoiding subjection to any given form. Her writing is postcolonial in the political more than the historical sense. Like Kincaid herself, the characters explore the boundaries between filiation and affiliation, adopting strategies of reappropriation to respond to their alienation in their relationships with their mothers. Their reclaiming of their bodies leads to self-reinvention, and to the reappropriation of history and space. Kincaid herself searches for an artistic space in which to reinvent herself. She combines photography, painting, and gardening with writing, adopting different strategies for reappropriating and decolonizing language. She writes in the oppressor's tongue and subverts it, combining different voices in the space of her texts
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Goheneix-Minisini, Alice. „Le français colonial : politiques et pratiques de la langue nationale dans l’Empire (1880-1962)“. Paris, Institut d'études politiques, 2011. http://www.theses.fr/2011IEPP0052.

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A partir de l’argumentaire développé par les pères de l’idée coloniale française, par les fondateurs de l’Alliance française et par Onésime Reclus (inventeur du mot francophonie en 1880), mais également en nous appuyant sur les textes législatifs et les programmes scolaires encadrant les pratiques linguistiques dans les colonies, nous mettons en évidence le rôle équivoque dévolu à la langue dans le processus de colonisation. Il s’agit en effet tout à la fois de créer de la ressemblance (afin de manifester la puissance de l’empire français et de favoriser le commerce avec les colonisés) mais également de maintenir une distance entre la maîtrise de la langue des colonisateurs et celle des populations indigènes. En conséquence, la francisation doit être suffisamment sélective, d’une part pour éviter la formation de masses indigènes « déclassées » et rétives à la colonisation, d’autre part de continuer à pouvoir justifier leur non inclusion dans la communauté des citoyens français. Cette double tension se manifeste dans la scolarisation parcimonieuse des enfants indigènes en français pendant la période 1880-1945, mais également, a contrario, dans les progrès simultanés de la scolarisation en français et des droits à la citoyenneté obtenus par les colonisés après 1945. Ainsi le projet francophone, qui naît au moment des indépendances à l’initiative d’une minorité de colonisés extrêmement éduqués reste équivoque. Il peut être interprété par le nationalisme français comme le succès de la mission civilisatrice. Mais il peut également être compris comme un héritage du mouvement de la Négritude et l’arrachement de la langue française à la nation française
Publications dealing with « Francophonie » both emphasize the role of African independence leaders and underplay its colonial origins. We produce a more balanced history, highlighting the ambigous role assigned to language in the natives’ acculturation process based on two streams of sources. The rationale developed by the fathers of the French colonial idea, the founders of the Alliance Française and by Onésime Reclus, who coined the term “Francophonie” in 1880 is one major set. The other includes legislative documents and school curricula dealing with lingustic matters in the colonies. The ambiguity stems from a simultaneous desire to create resemblance (so as to assert imperial power and stimulate trade with the colonies) and to maintain, through differential mastery of the language, a distance between colonial agents and natives. French inculturation was thus designed to avoid, on the one hand, that too many natives be left out at the risk of becoming hostile to colonization and, on the other hand, to keep natives out of the community of French citizens. In the final analysis, the « francophone project » that emerged during the independence movements led by a minority of highly educated “french-speaking” natives remains ambiguous. French nationalism provides a successful account of the project’s civilizing mission, which allowed colonized populations to conceptualize their emancipation while simultaneously allowing to keep them within a French cultural sphere of influence. Conversly, it is also possible to analyze the project as a legacy of the “Negritude” movement and the uprooting of the language from its national origins
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Thomas, Frédéric. „La forêt mise à nu : essai anthropologique sur la construction d'un objet scientifique tropical : "forêts et bois coloniaux d'Indochine" : 1860-1940“. Paris, EHESS, 2003. http://www.theses.fr/2003EHES0123.

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Avec les conquêtes soloniales des 19ème et 20ème siècle, la construction des savoirs occidentaux sur les milieux tropicaux connaît un temps fort. Cette thèse en examine les modalités pour une région particulière et in objet précis : les forêts de la péninsule indochinoise. Les forêts tropicales, rapidement pensées vides d'hommes, constituent un espace privilégié pour la "mise en valeur" coloniale des milieux tropicaux. Ce projet se heurte cependant aux populations locales et à leurs usages traditionnels des forêts. Comment se passe cette rencontre? Par affrontement des systèmes d'exploitation de chacun, par construction de compromis, ou par hybridation des connaissances européennes et "indochinoises"? En répondant à ces questions, l'exemple de la sylviculture coloniale remet en cause le schéma diffusionniste classique d'une science moderne, uniquement européenne, se répandant sur le monde à la faveur de la colonisation. S'y substitue l'image d'une technoscience coloniale construite in situ, parfois par mise en commun des connaissances, le plus souvent par l'annexion tout autant que l'effacement des savoirs locaux
The end of the 19th and the beginning of the 20th century represent a milestone in the formation of those colonial sciences concerned with tropical environments. The following dissertation examines this process of construction from a specific focal point, I. E. , colonial forestry in Indochina. First perceived by the colonialists as being void of inhabitants, tropical forsts were rapidly appropriated and exploited intensively. This process of mise en valeur, however, was challenged by the indigenous populations who could and did indeed oppose their own forest uses and values. How did such encounters take place? Did they lead to the mere confrontation of two irreconcilable systems of knowledge and practices, or to various forms of adaptation and compromise, or to effective procedures of hybridization? This essay provides answers to such questions that seek to challenge the diffusionist model of modern european science rolling over the world, utterly impervious to foreign influence. A somewhat different image of colonial technoscience thus emerges. If indeed vernacular knowledges were more often than not disqualified, it is argued that they did exert some influence on in situ colonial forestry
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Pedroza, de Andrade Rosane. „La construction et la déconstruction du regard sur les corps exotiques brésiliens du XIXe siècle à nos jours“. Paris 8, 2011. http://octaviana.fr/document/168102609#?c=0&m=0&s=0&cv=0.

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Cette thèse se propose de dresser une généalogie du regard sur le corps humain, sur l’autre, « différent et qui vient de dehors », nommé et constitué au cours de l’Histoire occidentale à travers la découverte des Amérindiens et de la colonisation. Ce travail met en œuvre une analyse interdisciplinaire de l’image brésilienne en ayant recours à l’esthétique de la photographie, à l’anthropologie et à la psychologie afin d’interroger non seulement la construction d’une identité imaginaire, mais surtout de comprendre un (re)sentiment des peuples « exotiques » qui ont été représentés, exposés et exhibés par l’histoire comme des corps-spectacles. Il s’agit donc de réfléchir avec les images, les artistes et les penseurs qui dessinent ce nouveau concept de (re)(dé) construction du monde contemporain
The genealogy of look over a “different and exotic” human body was made up through occidental history of discovery and colonialism. The photography and the anthropology were utilized to analyse the Brazilian iconography en order to question not only a construction of a felling but also an imaginative identity. The images and the artists have been designed traces of a concept of deconstruction of world with their own stories inserted in the contemporary world
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Blanchard, Pascal. „Nationalisme et colonialisme : Idéologie coloniale, discours sur l'Afrique et les Africains de la Droite nationaliste française, des années 30 à la Révolution Nationale“. Paris 1, 1994. http://www.theses.fr/1994PA010596.

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La droite nationaliste, réactionnaire, fasciste et maurrassienne élabore à partir des années 30 un discours et une idéologie spécifique sur l'entreprise coloniale : depuis les années 1880-1910 ou les "droites" développent une certaine forme d'"anticolonialisme" jusqu'à la prise de conscience progressive de l'empire au cours des années 20, dont l'aboutissement sera la glorification impériale dans les années 30 et surtout avec Vichy, la "révolution impériale". Cette étude se propose de présenter la structure et les référants de ce cheminement, et l'influence des "droites" dans la politique coloniale française. Le domaine d'étude porte sur l’Afrique "française", champs discursif principal des "droites", et sur les populations de ces colonies, des années 30 aux années 1940-1944. Cette recherche est fondée sur l'analyse d'un corpus de presse représentant l'ensemble des tendances de droite, de fonds d'archives, d'une enquête auprès d'un panel représentatif d'anciens militants et sympathisants de la droite extrême, et enfin d'une analyse de la littérature de l'époque. Cette thèse souligne la place essentielle de la droite française dans l'édifice colonial et son influence sur l'opinion publique française, aux côtés d'une idéologie coloniale de "gauche" et du "parti colonial". Elle souhaite montrer aussi que la droite extrême française a développé une idéologie coloniale spécifique qui entre 1935 et 1944 a largement influencé la destinée de l'empire colonial français
The nationalist, reactionary, fascist and "maurrassienne" right elaborate from the 1930's a discourse and a spedifici ideology about the colonial attempt. Since 1880-1910 the nationalist right express an "anticolonialism" until its understanding of the empire during the 20's about which the final will be the imperial glorification, mainly during the Vichy period : the "revolution nationale". The purpose of this study is to present the structure and the influence of the colonial ideology of the "droites". In this outline, the main point studied is the france colonial domain of africa, which is the main concern of the different right parties from the 1920's to 1940-1944. Then it is underlined a "representation" of the Africa and the African natives during this period. This thesis is based upon the analysis of the printing press corpus which represent all the tendancies of the right, and also an investigation to a representative sample of the extreme right and at last this study of the literature during the period. This thesis underline the position of the french right in the colonial structure and its ascendancy on an important fringe of the politic opinion besides the left colonial "ideology" and the "parti colonial". We hope to show throw this study that the french extreme right has a specific colonial ideology and. .
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Bücher zum Thema "Colonialisme (idée politique) – Au théâtre"

1

Mission civilisatrice: Le rôle de l'histoire coloniale dans la construction de l'identité politique française. Paris: La Découverte, 2008.

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2

Césaire, Aimé. Discourse on colonialism. New York: Monthly Review Press, 2000.

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3

Césaire, Aimé. Discourse on Colonialism. Monthly Review Press, 2001.

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4

Césaire, Aimé. Discourse on Colonialism. Monthly Review Press, 2000.

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5

Césaire, Aimé. Discursos Sobre El Colonialismo/ Discourse On Colonialism (Cuestiones De Antagonismo/ Antagonism Matters). Akal Ediciones, 2006.

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