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Zeitschriftenartikel zum Thema „Collectif agricole“

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Aublin, Sofie. „Les écoresponsables de l’enseignement agricole“. Diversité 198, Nr. 1 (2020): 80–83. http://dx.doi.org/10.3406/diver.2020.4893.

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L’implication de jeunes en tant qu’écoresponsables – autrefois éco-délégués – est née dans l’enseignement agricole au début des années 2000. Volontaires et dynamiques, ils partagent une même envie d’agir collectivement pour le développement durable dans leur établissement et au-delà et sont, à ce titre, force de propositions auprès de la DGER. Par leur engagement, ils participent au vivre ensemble et expérimentent l’action citoyenne en oeuvrant pour l’intérêt collectif. Ils sont aussi investis dans la généralisation de l’EDD, axe fort de la politique éducative du ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation.
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Aissaoui, Sonia, Pascale Bueno Merino und Samuel Grandval. „Les antécédents de la confiance dans la coopération amapienne1“. Revue internationale P.M.E. 30, Nr. 1 (03.05.2017): 121–54. http://dx.doi.org/10.7202/1039788ar.

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Basée sur une méthodologie qualitative, notre recherche a pour principal objectif d’analyser les mécanismes de construction et de maintien de la confiance dans la coopération conclue entre un entrepreneur agricole et un collectif de consommateurs membres d’une association pour le maintien de l’agriculture paysanne (AMAP). De façon plus précise, notre question de recherche porte sur les rôles respectifs de la confiance relationnelle et de la confiance institutionnelle dans l’émergence et la stabilité dans le temps de la coopération amapienne. Nos résultats nous permettent de conclure que l’établissement de la confiance relationnelle procède non seulement d’échanges en face à face, mais également d’échanges virtuels avec l’entrepreneur agricole. Quant à l’établissement de la confiance institutionnelle, celle-ci est générée par la signature d’un contrat, l’existence d’un label bio ou bien encore la référence à une charte nationale. Notre étude a également confirmé le caractère fragile de la coopération amapienne évoqué dans la littérature et lié à la diversité de motivations et d’engagements des consommateurs et à la concurrence d’autres formes de distribution agricole.
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Vidal, Sébastien. „De la coopérative agricole aux activités semencières et agroalimentaires : Limagrain, au cœur de l’enjeu de l’eau“. Annales des Mines - Responsabilité et environnement N° 112, Nr. 4 (25.10.2023): 54–58. http://dx.doi.org/10.3917/re1.112.0054.

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Entre épisodes de sécheresse et excès de précipitations, la gestion de la ressource en eau devient stratégique et prioritaire pour nos sociétés. Essentielle au développement des plantes, l’eau est la ressource première de l’agriculture et des filières de transformation agricole. L’enjeu dépasse le simple argument économique : pour nourrir les femmes et les hommes, pour garantir la souveraineté alimentaire des pays, l’eau est indispensable. Limagrain, coopérative agricole implantée dans le Puy-de-Dôme (63), quatrième semencier mondial et groupe agroalimentaire, prend pleinement la mesure de ce défi collectif et propose des solutions concrètes et complémentaires permettant à la fois d’économiser et d’accroître la ressource en eau. Engagé pour une agriculture durable et résiliente, Limagrain est convaincu que la gestion de l’eau doit être abordée dans une approche multiusage, globale et adaptée à la situation de chaque territoire.
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MADELRIEUX, S., B. DEDIEU und L. DOBREMEZ. „ATELAGE : un modèle pour qualifier l’organisation du travail dans les exploitations d’élevage“. INRAE Productions Animales 19, Nr. 1 (12.03.2006): 47–58. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2006.19.1.3480.

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Nous proposons une modélisation de l’organisation du travail agricole pour produire des connaissances sur la façon dont des éleveurs mettent en relation les tâches agricoles à réaliser et les travailleurs du collectif, tout en tenant compte des impératifs liés à leurs autres activités économiques et à leurs choix de vie (congés…). En référence à l’Ingénierie des Connaissances et sur la base d’enquêtes réalisées dans 10 exploitations en Maurienne et de contributions d’experts, nous détaillons les éléments qui nous conduisent à une qualification de l’organisation du travail : définition des concepts ; (activité de travail, relations entre activités, formes d’organisation du travail, critères de qualification) et des étapes du raisonnement qui permettent de passer des pratiques de travail d’un éleveur à la qualification de l’organisation sur une année. Partant des concepts de la zootechnie et de l’ergonomie, le modèle s’appuie sur la caractérisation de formes d’organisation quotidienne du travail et sur leurs transformations au cours du temps. L’identification des facteurs, techniques et organisationnels, jouant sur ces modes d’organisation du travail permet d’en compléter notre compréhension.
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Scorsino, Carla, Étienne Polge und Marta Debolini. „Les collectifs d’agriculteurs comme soutien au renouvellement de l’activité agricole. Éléments issus de l’analyse du réseau d’un collectif paysan“. Économie rurale, Nr. 382 (31.12.2022): 79–94. http://dx.doi.org/10.4000/economierurale.10669.

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Guéhenneuc, Thierry. „Réintégrer le bocage dans les systèmes d’exploitation : l’expérience du collectif agricole Terres et Bocages“. Sciences Eaux & Territoires Numéro 30, Nr. 4 (29.11.2019): 92–93. http://dx.doi.org/10.3917/set.030.0092.

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Zossou, Espérance, Seth Graham-Acquaah, John Manful, Simplice D. Vodouhe und Rigobert C. Tossou. „Les petits exploitants agricoles à l’école inclusive : cas de l’apprentissage collectif par la vidéo et la radio sur la post-récolte du riz local au Bénin“. International Journal of Biological and Chemical Sciences 15, Nr. 4 (19.11.2021): 1678–97. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v15i4.29.

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En Afrique subsaharienne, les petits exploitants agricoles ruraux ont difficilement accès aux connaissances et informations actualisées afin d’améliorer leur revenu. Pour renforcer l’apprentissage collectif au sein des acteurs des chaînes de valeur du riz local blanc et étuvé, la vidéo et la radio ont été utilisées de façon participative. La présente étude visait à comprendre l’influence de cet apprentissage collectif sur (i) le changement des pratiques des transformations et (ii) la qualité du riz local. Des interviews et suivis hebdomadaires ont été réalisés entre 2009 et 2018 au sud et nord du Bénin auprès de 240 transformateurs choisis aléatoirement. Des échantillons de riz ont été également collectés pour des analyses de qualité au laboratoire. L’analyse des données a été faite avec les tests t de Student, Wilcoxon, ANOVA, et le modèle de régression de Poisson. Les résultats ont montré une amélioration des pratiques de 14% ; 23% et 58% respectivement dans les villages contrôles, radio et vidéo. Dans le processus d’amélioration des pratiques, les transformateurs ont renforcé leur créativité en développant des technologies appropriées à leur environnement ; ce qui a eu un impact positif sur les qualités physiques et de cuisson du riz. Dans un contexte de pauvreté, d’insécurité alimentaire, de ruralité et d’analphabétisme, l’apprentissage collectif par la vidéo et la radio locale se révèle être une opportunité pour le renforcement du système d’innovation agricole. English title: Smallholder farmers at inclusive school: Lessons learnt from collective learning through video and radio on local rice processing in Benin In sub-Saharan Africa, rural smallholder farmers have limited access to timely and up-to-date knowledge and information to improve their incomes. To strengthen collective learning among rice sector’ stakeholders, videos and radio were participatory used. This study aims to assess the impact of this collective learning on (i) changing rice processors practices and (ii) the quality of local rice. Interviews and weekly follow-ups were conducted between 2009 and 2018 in southern and northern Benin with 240 randomly selected rice processors. Rice samples were also collected for quality analysis in the laboratory. Data analysis was done with Student's t-tests, Wilcoxon, one-way ANOVA, and the Poisson regression model. The results showed an improvement in rice processors practices of 14%; 23% and 58% respectively in control, video and radio villages. During the improvement of their practices, rice processors have increased their creativity by developing appropriate technologies to their environment; and this has positively impact on the physical and cooking qualities of the rice. In a context of poverty, food insecurity, rurality and illiteracy, collective learning through video and radio seems to be an opportunity to strengthen the agricultural innovation system, and a booster for change through adoption and adaptation of innovation.
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Tonneau, Jean-Philippe, Vincent Bonnal, Jeremy Bourgoin, Agathe Cheval, Magalie Jannoyer, Jean-Pierre Chéry und Philippe Cattan. „Les écoles-acteurs en Guadeloupe, un espace de débat sur les pollutions agricoles et le devenir de l’agriculture“. Cahiers Agricultures 30 (2021): 9. http://dx.doi.org/10.1051/cagri/2020046.

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Le projet RIVAGE veut favoriser l’adoption de pratiques alternatives pour gérer les impacts de la pollution diffuse dans le bassin versant de la rivière Pérou en Guadeloupe. Son objectif est de produire et partager les connaissances sur les processus, les impacts et les pratiques innovantes avec les acteurs du territoire. Pour faciliter la prise en compte des résultats, le projet a créé une « école-acteurs ». L’école-acteurs est un espace d’échanges autour des thématiques liées à la pollution diffuse agricole. Le concept d’école-acteurs fait référence aux théories d’éducation populaire et d’apprentissage collectif. L’article rappelle ces références théoriques et les utilise dans un processus d’auto-évaluation des premiers résultats obtenus par l’école-acteurs. Les auteurs dressent quelques enseignements et orientations pour le futur.
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Peltier, Christian. „Un objet pédagogique territorialisé pour enseigner les transitions et l’agroécologie“. Travail et Apprentissages N° 26, Nr. 2 (23.02.2024): 187–207. http://dx.doi.org/10.3917/ta.026.0187.

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Les transitions et l’agroécologie, et leur enseignement, interrogent les cultures professionnelles des enseignants tout autant que des professionnels de l’agriculture. Dans l’enseignement agricole français, le plan stratégique « enseigner à produire autrement » et la mise en œuvre de l’évaluation capacitaire dans des référentiels de diplôme, constituent une opportunité pour repenser les processus d’apprentissage et les évaluations comme problématisation et conceptualisation du sens des activités enseignantes. Dans cet article, nous prenons appui sur un dispositif où des situations territoriales polarisées par un objet significatif et problématique en termes de durabilité (le « poulet d’élevage », la « luzerne en collectif », etc.) sont médiatisées en situations d’enseignement-apprentissage que nous qualifions de « jeux authentiques ». Nous proposons ainsi trois outils pour une évaluation-régulation des pratiques des enseignants (activités de conception, implémentation, réassurance) et des apprentissages des apprenants dans la perspective d’un agir plus soutenable.
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Forcier, Mélanie Bourassa, Geneviève Dufour und Kristine Plouffe-Malette. „Les politiques canadiennes en matière d’étiquetage alimentaire“. Les Cahiers de droit 55, Nr. 2 (30.06.2014): 443–88. http://dx.doi.org/10.7202/1025756ar.

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Présence d’additifs alimentaires, d’édulcorant, de gras trans ou de sel, voilà autant d’informations qui doivent figurer sur l’étiquette d’un produit préemballé. Quels critères amènent les instances réglementaires à donner la priorité à une information plutôt qu’à une autre ? Le public a-t-il voix au chapitre ? Pour répondre à ces questions, deux exemples de réglementation canadienne en matière d’étiquetage alimentaire serviront de cadre d’analyse : 1) la réglementation en matière d’étiquetage des aliments génétiquement modifiés qui, contrairement aux souhaits des citoyens, préconise l’étiquetage volontaire plutôt qu’obligatoire ; et 2) la réglementation en matière d’étiquetage des allergènes qui, conformément à la volonté des Canadiens, oblige les compagnies à indiquer la présence de certains ingrédients allergènes sur les étiquettes. Les auteures constatent que l’état des politiques canadiennes en matière d’étiquetage alimentaire est le reflet d’un calcul utilitaire de la part du gouvernement en place : tant les intérêts économiques de l’industrie agricole que le bien-être collectif entrent en ligne de compte dans la décision d’imposer l’étiquetage, mais il semble que l’intérêt collectif soit majoritairement déterminé en fonction de la donne scientifique (et économique) au détriment de la volonté collective. La science, souvent produite par l’industrie elle-même, sert-elle alors à appuyer — ou à légitimer — le calcul utilitaire en imposant l’idée selon laquelle le souhait du citoyen n’est pas raisonnable ni rationnel ? Si tel est le cas, le scientifique joue ainsi toujours, pour ne pas dire encore plus maintenant que la donne scientifique est de plus en plus accessible, un rôle social déterminant qu’Antonio Gramsci qualifierait d’hégémonique.
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AUGUSSEAU, Xavier, Pascal DEGENNE, Danny LO SEEN, Guillaume LESTRELIN und Daniel DAVID. „Des modèles et simulations spatiotemporelles comme « objets intermédiaires » pour mettre en débat l’étalement urbain dans l’île de La Réunion“. Cahiers de géographie du Québec 60, Nr. 170 (18.07.2017): 245–64. http://dx.doi.org/10.7202/1040534ar.

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Un dispositif partenarial mobilisant un outil de simulation paysagère, Ocelet, a été conçu comme support d’un exercice de prospective territoriale sur une intercommunalité de l’île de La Réunion où le mitage agricole représente un enjeu important. La démarche consiste à coconstruire, au sein d’une arène d’une vingtaine d’institutions, des scénarios d’évolution de l’étalement urbain. Pour favoriser ces interactions, des modèles contextualisés sont développés. Dans la démarche, le modèle remplit différentes fonctions au sein de l’arène, de l’initiation à la mise en débat de controverses. Les acteurs du projet s’opposent sur les facteurs concourant à l’étalement urbain et sur les moyens de le réguler. Si ces positions évoluent peu durant le projet, en revanche certaines visions ou certains partis pris ont pu être révisés. La démarche collaborative et le travail de prospective territoriale sont jugés de manière très positive par une large majorité de participants, pour leur rôle de moteurs d’apprentissage collectif.
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Sylla, El Hadji Malick, Sidy Mohamed Seck, Bruno Barbier, Souleymane Niang, Cheikh Ahmed Tidiane Faye und Amadou Moussa Ndiaye. „Le partenariat public-privé appliqué aux investissements dans la grande irrigation en Afrique : le Projet de promotion du partenariat rizicole dans le Delta du fleuve Sénégal“. Cahiers Agricultures 32 (2023): 9. http://dx.doi.org/10.1051/cagri/2023002.

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L’autosuffisance en riz poursuivie par l’État du Sénégal depuis l’Indépendance a motivé des investissements colossaux dans le Delta du fleuve Sénégal, au nord du pays. Cet article évalue la contribution du Projet de promotion du partenariat rizicole dans le Delta (3PRD) aux dynamiques organisationnelles et techniques. L’importance de ce projet repose sur le partenariat public-privé, un paradigme récent dans le monde du développement de l’agriculture irriguée. Notre démarche est basée sur un travail de synthèse bibliographique, des visites de terrain, des entretiens avec les responsables du projet et des enquêtes auprès des agriculteurs. Les résultats suggèrent deux progrès majeurs réalisés par le 3PRD : l’autonomisation des producteurs privés dans un grand aménagement collectif impliquant la participation de la société de développement SAED et l’introduction d’un nouveau matériel pour l’irrigation, l’électropompe. Ils montrent aussi que des efforts restent à réaliser en matière d’intensité culturale et de rendement agricole pour permettre aux producteurs de mieux rentabiliser les investissements qu’ils ont réalisés dans leurs périmètres.
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Filippi, Maryline, und Michael L. Cook. „Repenser les principes de l’action collective dans les coopératives agricoles : une solution française innovante“. RECMA N° 369, Nr. 3 (05.06.2023): 84–106. http://dx.doi.org/10.3917/recma.369.0088.

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Les grands groupes coopératifs agricoles sont souvent accusés de privilégier leurs objectifs économiques au détriment de leurs obligations sociales à l’égard de leurs associés coopérateurs. Cet article traite du rôle joué par les associés coopérateurs afin d’améliorer non seulement l’efficacité de leur coopérative, mais aussi les biens collectifs pour tous. En utilisant les théories de l’action collective d’Olsen et d’Ostrom et le cycle de vie des coopératives de Cook, nous expliquons la réorganisation d’Agrial, grande coopérative agricole polyvalente française. Nous montrons comment les coopératives, peuvent créer un mécanisme puissant pour renforcer l’engagement, réduire l’hétérogénéité des producteurs afin d’accroître leur compétitivité.
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Kombienou, Pocoun Damè, Ismaël Imorou Toko, Gustave Dieudonné Dagbenonbakin, Guy Apollinaire Mensah und Brice Augustin Sinsin. „Impacts socio-environnementaux des activités agricoles en zone de montagnes au Nord-Ouest de l’Atacora au Bénin“. Journal of Applied Biosciences 145 (31.01.2020): 14914–29. http://dx.doi.org/10.35759/jabs.145.7.

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L’étude aborde la dynamique de l’utilisation des terres à travers l’évolution des emblavures et de la production des principales cultures, puis l’impact des activités agricoles sur l’environnement et les conditions de vie des populations. Objectif : L’objectif global de l’étude était d’évaluer les impacts socio-environnementaux des activités agricoles dans les Communes de Natitingou, Boukombé, Tanguiéta et Toucountouna en zone de montagnes au nord-ouest de l’Atacora au Bénin. Méthodologie et résultats : Les méthodes utilisées étaient les enquêtes exploratoires, les diagnostics participatifs, les sondages d’opinion et les analyses statistiques tels que la variance suivant le test de Tukey et le test de corrélation. Au total, 400 agriculteurs sont sélectionnés au hasard et interrogés dans huit villages des quatre communes à l'aide d'un questionnaire structuré pour obtenir des données relatives aux nombres de cultures produites sur une même parcelle, aux différentes pratiques agricoles, à l'utilisation des engrais minéraux, à l’adoption des techniques endogènes et exogènes de gestion et de conservation de la fertilité des sols dans le milieu. Les résultats ont montré que les systèmes de productions agricoles étaient encore de type extensif et itinérant sur brûlis. Les cultures étaient mises en place en pure et en associations entre avril et décembre avec une prééminence des céréales qui ont occupé environ 52 % des superficies emblavées. Les productions étaient plus en fonction des superficies que de l’intensification agricole. Les causes de dégradation des sols, la production, ont été collectées lors des entretiens collectifs et individuels. Les impacts de la production agricole se traduisaient surtout entre autres, par la disparition du couvert végétal, la baisse de la fertilité des sols et la pollution de certains cours d’eau aux bords desquels se réalisaient des activités à dominance agricole. Conclusion et application des résultats : Certaines activités telles que l’utilisation des engrais chimiques et les feux de végétation ont résolu d’une manière ponctuelle certains problèmes comme l’amélioration des rendements agricoles et l’augmentation des revenus, mais elles n’ont pas duré dans le temps. Au fil des années, ces activités ont eu un impact négatif sur le milieu et les conditions de vie des populations. L’intensification agricole basée sur la vulgarisation et l’adoption des technologies plus productives et respectueuses de l’environnement, efficientes, facilement applicables par les producteurs, demeure l’une des stratégies pour garantir une utilisation durable des ressources naturelles. Mots clés: Bénin, Atacora, activités agricoles, impacts socio-environnementaux et dégradation des sols ABSTRACT The study approaches the dynamics of the land use through the evolution of cultivated area and the production of the principal crops, then the impacts of the agricultural activities on the environment and the living conditions of the population. Objective: The total objective of the study was to evaluate the socio-environmental impacts of the agricultural activities in the Communes of Natitingou, Boukombe, Tanguieta and Toucountouna in mountainous area in the North-Western of Atacora in Benin. Methodology and Results: The methods used were the exploratory investigations, the participative diagnoses, the opinion polls and statistical analyses such as the variance according to the test of Tukey and the test of correlation. On the whole, 400 farmers were selected randomly and questioned in eight villages of the four communes using a structured questionnaire to obtain relative data with the numbers of cultures produced on the same piece, with various husbandries, with the use of mineral manures, the adoption of the endogenous and exogenous technical of management and conservation of the fertility of the grounds in the medium. The results showed that agricultural production systems were still extensive and itinerant on slash-and-burn. Crops were established in pure and association between April and December with a pre-eminence of cereals, which accounted for about 52% of the area. Productions were more based on acreage than agricultural intensification. The causes of soil degradation, production, were collected during collective and individual interviews. The impacts of agricultural production were mainly reflected in the disappearance of vegetation cover, the decline in soil fertility and the pollution of certain rivers along which agricultural-dominated activities were carried out. Conclusion and application of results: Some activities such as the use of chemical fertilizers and wildfires have solved problems such as improving agricultural yields and increasing incomes on an ad hoc basis, but they didn’t last. Over the years, these activities have negatively affected the environment and living conditions of the population. The agricultural intensification based on the popularization and the adoption of more productive and environment friendly technologies, easily applicable by the producers, remains one of the strategies to guarantee a durable use of the natural resources. Keywords: Benin, Atacora, agricultural activities, socio-environmental impacts and impoverishment of the soil
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Agossadou, M., und J. Yabi. „Analyse des Déterminants de la Connaissance de l’Assurance Agricole par les Agriculteurs de la Commune de Dassa- Zoumé“. European Scientific Journal, ESJ 19, Nr. 31 (30.11.2023): 11. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2023.v19n31p11.

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La connaissance de l'assurance agricole par le plus grand nombre d’agriculteurs, en particulier dans les zones vulnérables aux changements climatiques, reste un défi majeur pour les pouvoirs publics car cela reste la première étape menant vers l’adoption de cet instrument de gestion des risques agricoles. L’objectif de l’étude était d’analyser les connaissances que les agriculteurs de la commune de Dassa-Zoumé ont de l’assurance agricole. Les données ont été collectées au moyen d’un questionnaire structuré auprès de 318 ménages répartis dans dix (10) arrondissements et choisis de manière aléatoire. Un modèle de régression linéaire multiple a été estimé à l’aide du logiciel R afin d’identifier les déterminants de la connaissance. Les résultats obtenus ont montré que la plupart des enquêtés (70,76%) ont une faible connaissance de l’assurance (score < 30). Seulement 30% en ont une connaissance allant de moyenne (score entre 30 et 50) et bonne (score > 50). Parmi ces 30% d’enquêtés, environ 25% sont font la production agricole à des fins commerciales. Ces derniers ont donc une meilleure connaissance de l’assurance agricole que leurs homologues produisant pour la subsistance. La majorité des ménages enquêtés connaissent l’assurance agricole comme outil d’aide à la gestion des risques agricoles. L'étude a révélé que le niveau de connaissance est significativement influencé par la souscription antérieure à une assurance agricole, la taille du ménage (P<0,001) et le type d’agriculteur (P<0,005). Ces résultats soulignent que la sensibilisation et la formation ciblées sont des stratégies importantes pour améliorer les connaissances des agriculteurs en matière d'assurance agricole et espérer son adoption. Raising awareness of agricultural insurance among as many farmers as possible, particularly in areas vulnerable to climate change, remains a major challenge for the public authorities, as it is the first step towards the adoption of this agricultural risk management instrument. The aim of the study was to analyse farmers' knowledge of agricultural insurance in the commune of Dassa-Zoumé. Data were collected using a structured questionnaire from 318 randomly selected households in ten (10) districts. A multiple linear regression model was estimated using R software to identify the determinants of knowledge. The results showed that most respondents (70.76%) had little knowledge of insurance (score < 30). Only 30% had average knowledge (score between 30 and 50) and good knowledge (score > 50). Of these 30% of respondents, around 25% are involved in agricultural production for commercial purposes. They therefore have a better knowledge of agricultural insurance than their counterparts producing for subsistence. The majority of households surveyed were aware of agricultural insurance as a tool to help manage agricultural risks. The study revealed that the level of knowledge was significantly influenced by previous subscription to agricultural insurance, household size (P<0.001) and type of farmer (P<0.005). These results underline that targeted awareness raising and training are important strategies to improve farmers' knowledge of agricultural insurance and hope for its adoption.
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DONNARS, C., P. CELLIER und J. L. PEYRAUD. „Nouvelles de la recherche : expertise sur les flux d’azote liés aux élevages“. INRAE Productions Animales 25, Nr. 4 (02.10.2012): 389–92. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2012.25.4.3226.

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Une expertise scientifique collective conduite par l’Inra (INRA 2012) pointe l’importance des flux d’azote liés aux activités d’élevage et identifie des leviers pour limiter la pression sur l’environnement. Depuis une vingtaine d’années, les pollutions azotées font l’objet de diverses législations et plans d’action dans le cadre des politiques relatives à la qualité des eaux, de l’air et des écosystèmes. La transposition de la directive «Nitrates» (12 décembre 1991) fait actuellement l’objet d’un contentieux avec la commission européenne. C’est dans ce contexte que les ministères français en charge de l’Agriculture et de l’Ecologie ont sollicité l’Inra pour dresser un bilan de l’état des connaissances scientifiques sur les flux d’azote en élevage et leur devenir. L’objectif était de mettre à disposition des décideurs et des acteurs publics et privés les connaissances scientifiques actualisées et d’identifier des options permettant de réduire les pressions de l’azote sur l’environnement. 1/LA MÉTHODE D’EXPERTISE SCIENTIFIQUE COLLECTIVELe travail d’expertise a été porté par un collectif de 22 experts. Deux tiers d’entre eux appartiennent à l’Inra, un tiers à d’autres organismes de recherche (Irstea, CNRS, universités) dont deux experts des Pays-Bas (WUR) et un du Canada (Agriculture et Agroalimentaire Canada). Les sciences sociales ont fourni un quart de l’effectif d’experts, la zootechnie et l’approche systémique des systèmes d’élevage 40% et le complément regroupe des spécialistes des cycles biogéochimiques et de l’agronomie. La méthode a consisté à dresser un état des lieux critique des connaissances scientifiques publiées. Quelque 1360 références bibliographiques (2900 auteurs) ont été sélectionnées parmi les articles les plus récents (80% des sources sont postérieures à 1998) et relatifs ou transposables au cadre géographique français. L’analyse a privilégié l’échelle de l’exploitation agricole car c’est l’unité de référence des politiques agricoles et environnementales et des actions agronomiques. Cependant les informations scientifiques portent souvent sur un niveau infra : l’animal, l’atelier d’élevage, la parcelle, le bâtiment, la zone de stockage, etc., ou sur un niveau supra : le bassin versant, le paysage, les statistiques et modélisations nationales et internationales. Ces différents niveaux d’information ont permis d’approcher les variations entre productions et celles liées aux pratiques agricoles. 2 / L’EXPERTISE A MIS EN AVANT LE RÔLE MAJEUR DE L’ÉLEVAGE DANS LES FLUX D’AZOTE ET LES IMPACTS POTENTIELS 2.1 / Les flux d’azote en élevage et les fuites vers l’environnement sont élevésL’élevage utilise plus des trois quarts des quantités d’azote entrant dans les systèmes agricoles. Mais l’efficience, c’est-à-dire le rapport entre les sorties valorisées et les entrées d’azote, calculée au niveau de l’animal est globalement faible : souvent beaucoup moins de la moitié de l’azote ingéré se retrouve sous forme de protéines consommables, lait, œufs et viande. A l’échelle de l’exploitation d’élevage, une part de l’azote excrété dans les déjections est recyclée avec les effluents mais l’efficience reste néanmoins généralement inférieure à 50%. Le reste de l’azote se disperse dans l’environnement. L’élevage contribue ainsi pour environ la moitié aux pertes nationales de nitrates vers les eaux, et pour plus des trois quarts aux émissions nationales atmosphériques azotées, notamment sous forme d’ammoniac (et jusqu’à 90% si on tient compte du fait qu’une grande partie des engrais industriels est employée sur les cultures utilisées pour produire des aliments du bétail). L’azote se trouve de ce fait à la croisée de préoccupations croissantes en termes de compétitivité des filières animales et d’impacts sur l’environnement et sur la santé humaine. Ces impacts ont été récemment décrits dans une expertise européenne (European Nitrogen Assessment 2011). Ils interviennent au niveau de l’écosystème environnant (dépôts de NH3), de la région (NH3, NO3 -) et plus globalement dans le changement climatique (émissions de N2O). 2.2 / La question de l’azote ne se réduit pas à celles du nitrate, les émissions de NH3 constituent un enjeu fort Alors qu’en France, la question du nitrate a longtemps focalisé les débats, dans certains pays d’Europe du Nord, l’ammoniacest aussi de longue date au centre des préoccupations. D’abord étudié pour son rôle dans l’acidification et l’eutrophisation des milieux, l’ammoniac est aujourd’hui examiné dans le cadre de la pollution de l’air par les particules. Au niveau national, le premier contributeur d’émissions d’ammoniac est l’élevage bovin. 2.3 / Risques et impacts dépendent aussi de la sensibilité des territoires et de leur capacité d’épurationLes teneurs en nitrate des eaux ne dépendent pas seulement du niveau de surplus des bilans azotés mais aussi du climat, des types de sol, de la topographie et des modes d’occupation des sols : densité animale, part des terres agricoles dans les utilisations totales des surfaces, importance des prairies permanentes, etc. La présence majoritaire de prairies au sein des territoires réduit les risques de fuites de nitrate et d’émissions d’ammoniac. 3/LES FLUX D’AZOTE SONT AUSSI DÉTERMINÉS PAR DES CONSIDÉRATIONS ÉCONOMIQUES ET JURIDIQUES3.1 / La concentration spatiale des élevages a un rôle déterminant dans les impacts des pollutions azotéesLes plus fortes pressions azotées se situent dans les territoires de l’Ouest qui combinent productions de ruminants et de monogastriques. Les quantités d’azote contenues dans les effluents y dépassent parfois largement les capacités d’absorption des surfaces agricoles. Les territoires d’élevage plus extensifs connaissent des pressions azotées faibles. Cette hétérogénéité s’explique par la concentration géographique des filières animales, résultant principalement de facteurs économiques dont les moteurs relèvent des économies d’échelle et des économies d’agglomération qui sont liées à l’intensification et à la spécialisation des élevages ainsi qu’à leur concentration territoriale. La littérature scientifique pointe la difficulté de sortir d’une telle trajectoire, notamment parce que le fonctionnement technique et économique des acteurs des filières (producteurs d’intrants, éleveurs, transformateurs) est étroitement dépendant. 3.2 / L’encadrement juridique n’a pas permis d’atteindre les objectifs environnementaux La réglementation française a abouti à une multiplicité de zonages auxquels sont dédiés des normes, obligations ou programmes d’action volontaire. L’architecture d’ensemble est confuse et ses résultats critiqués de longue date. Parmi les difficultés rencontrées, la littérature pointe i) le caractère diffus des pollutions, qui, à la différence d’autres pays, n’a pas incité en France àune responsabilisation individuelle des éleveurs, ii) l’intégration de préoccupations économiques et sociales dans les politiques environnementales, iii) le suivi des objectifs environnementaux confié aux acteurs du développement agricole et les échelles administratives peu pertinentes vis-à-vis du réseau hydrographique. Enfin, la multiplicité des formes de pollution azotée pose la question de la cohérence d’ensemble des politiques, notamment entre les critères de la directive «Nitrates» et ceux la Convention de Genève sur la pollution atmosphérique (1979). 4/DE NOMBREUSES PISTES DE PROGRÈS EXISTENT QUI ENGAGENT PLUS OU MOINS EXPLOITANTS AGRICO- LES, TERRITOIRES ET FILIÈRES D’ÉLEVAGE4.1 / Améliorer les pratiques à l’échelle de l’exploitationLa littérature fournit de nombreuses pistes d’actions pour limiter les pertes d’azote dans l’exploitation (figure 1). Il est encore possible d’optimiser la nutrition azotée des animaux, cependant les gains escomptés sont modestes en regard des enjeux. La maîtrise de la chaîne de gestion des effluents ouvre plus de marges de manœuvre pour préserver l’azote organique et réduire les achats d’engrais minéraux. En effet, selon les modalités de gestion des effluents, les fuites vers l’environnement varient de 30 à 75% de l’azote rejeté par les animaux. Des innovations sont déjà disponibles pour le stockage et l’épandage, même si les incertitudes sur les facteurs de variation des émissions sont encore grandes. Il est enfin démontré que développer les prairies à base de légumineuses, les cultures intermédiaires pièges à nitrate (Cipan) et ajuster les rotations réduit les risques de lixiviation du nitrate. A l’échelle des systèmes, les modes de production à bas intrants (moins de fertilisants et d’aliments riches en protéines) améliorent l’efficience de l’azote et limitent donc les pertes vers l’environnement. Les indicateurs de type bilan d’azote à l’échelle de l’exploitation et de ses sous-systèmes (troupeau, gestion des effluents, sols et cultures) sont des outils adaptés pour identifier les sources d’inefficacité et rechercher les voies d’amélioration les mieux adaptées localement. De nombreux autres indicateurs approchent les niveaux d’émissions, de pollution ou les impacts, mais ne sont pas toujours d’usage facile. pour le document complet voir le pdf https://www6.inrae.fr/productions-animales/content/download/6365/88149/version/1/file/nouvelles+de+la+recherche.pdf
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Sossou, Hervé C., Souléïmane A. Adekambi, Victor Codjo und Elysée M. Houedjofonon. „Typologie des exploitations agricoles : caractérisation et accès aux services agricoles au Bénin (Afrique de l’Ouest)“. International Journal of Biological and Chemical Sciences 15, Nr. 3 (09.09.2021): 1191–207. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v15i3.25.

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Le secteur agricole constitue un levier très important du développement de l’économie béninoise. Il est dominé par la présence d’exploitations agricoles qui mènent plusieurs activités. L’objectif de cette étude était de caractériser ces exploitations agricoles et d’analyser leurs accès aux services agricoles au Bénin. Les données ont été collectées à l’aide des questionnaires et de guide d’entretien auprès d’un échantillon de 4880 exploitions agricoles. L’analyse typologique a été faite à l’aide d’une classification ascendante hiérarchique et d’une analyse en composantes principales. L’analyse du taux d’accès des exploitants agricoles aux services agricoles a été faite grâce aux statistiques descriptives et au calcul de pourcentage dans des tableaux croisés. L’analyse des variances a permis d’analyser les variations des taux d’accès des services agricoles entre les classes d’exploitations agricoles. Les résultats de l’étude ont montré qu’il existe trois catégories d’exploitations agricoles au Bénin. Il s’agit des gros agriculteurs (27,91%), des agriculteurs moyens (21,45%) et les petits agriculteurs qui sont majoritairement représentés (50,64%). L’appartenance à l’un ou l’autre des groupes d’exploitation est déterminée par la superficie des champs, le nombre d’actifs agricoles, l’utilisation de la traction motorisée, de la traction animale, le nombre de têtes de bovins, etc. L’analyse du taux d’accès des exploitations agricoles aux services agricoles a révélé que ces taux varient d’une catégorie d’exploitation à une autre. Cette étude permettra aux décideurs politiques de définir et bien orienter les politiques de recherches développement vers les acteurs du monde rural. The agricultural sector is a very important lever for the development of the Beninese economy. It is dominated by the presence of farms that carry out several activities. The objective of this study was to characterize these farms and to analyze their access to agricultural services in Benin. Data were collected using questionnaires and interview guides from a sample of 4880 farms. The cluster analysis was done using an ascending hierarchical classification and principal component analysis. The analysis of the access rate of farmers to agricultural services was made through descriptive statistics and percentage calculation in cross tables. The analysis of variances was used to analyze the variations in the rates of access to agricultural services between the classes of agricultural holdings. The results of the study showed that there are three categories of farms in Benin. These are large farmers (27.91%), medium farmers (21.45%) and small farmers who are mostly represented (50.64%). Membership in one or another of the farming groups is determined by the area of the fields, the number of agricultural workers, the use of motorized traction, animal traction, the number of heads of cattle. , etc. Analysis of the access rate of farms to agricultural services revealed that these rates vary from one farm category to another. This study will enable political decision-makers to define and properly orient development research policies towards actors in the rural world.
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Wedderburn, M. Elizabeth, Tanira T. Kingi, Mark S. Paine und Oscar Montes de Oca. „Maori livestock farming achieving functional integrity“. Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 68, Nr. 2-3 (25.03.2016): 115. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.20597.

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Cet article utilise une analyse historique du développement agricole pour explorer l’intégrité fonctionnelle du paysage rural de la Nouvelle-Zélande s’appuyant sur un programme national d’expansion des produits agricoles. Le concept de l’intégrité fonctionnelle est enrichi par les activités agricoles des Maoris car il introduit une nouvelle série de fonctions liées aux aspirations des exploitants des terres autochtones. Un cadre de prise de décision intégrée (CPDI) de l’utilisation des terres a été développé et appliqué à quatre cas d’étude de fermes maoris qui voulaient utiliser les performances des terres pour répondre à des objectifs ambitieux. Le CPDI a associé connaissance indigène, science occidentale et connaissances de l’industrie pour former un cadre global pour la formulation des questions, et évaluer et envisager les options d’utilisation des terres qui ont le potentiel d’équilibrer les résultats mul­tiples et de conférer l’intégrité fonctionnelle. Le CPDI favorise l’organisation de nombreuses activités et la coordination des différents jeux de données quantitatifs et qualitatifs dans un format visuel qui permet la discussion au sein d’un environ­nement de prise de décision collective. Le cadre s’est révélé utile pour explorer en toute transparence les compromis entre des fonctions divergentes. Cette compréhension guide l’explo­ration de stratégies qui permettront de réaliser simultanément plusieurs fonctions.
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Dabas, Claire, Marion Charbonneau, Delphine Thivet und Xabier Itçaina. „La pluralisation des modèles agricoles au Pays basque : vers une recomposition du système agri-alimentaire territorial ?“ Annales de géographie N° 752, Nr. 4 (14.08.2023): 33–67. http://dx.doi.org/10.3917/ag.752.0033.

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À partir de l’étude de collectifs agricoles alternatifs installés au Pays basque, l’article s’interroge sur les registres territoriaux de la coexistence contemporaine des différents modèles agricoles. La territorialisation des modèles agricoles est passée au Pays basque d’un clivage binaire stabilisé à un système pluraliste se signalant par l’émergence d’un ensemble d’alternatives hétérogènes peinant à se territorialiser, mais partageant une même démarche collective et territoriale. Nous analysons successivement la construction sociohistorique de ces alternatives, les principales caractéristiques des collectifs alternatifs, avant de relire les transformations de l’action collective à la lumière des mutations de la gouvernance territoriale et des prémices de la constitution d’un système agri-alimentaire territorial.
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Aguida, Alain Togbédji, Paul S. Hountondji, Christian T. S. Adjiba und Jacob A. Yabi. „Analyse du Consentement à Payer Pour l’Assurance Agricole Indicielle des Producteurs du Sud-Borgou au Bénin“. European Scientific Journal, ESJ 20, Nr. 7 (31.03.2024): 104. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2024.v20n7p104.

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L’objectif de l’étude est d’analyser le consentement à payer des producteurs pour l’assurance agricole indicielle. A cet effet, une enquête s’est déroulée auprès de 200 producteurs assurés ou non dans les villages d’intervention de l’assurance agricole indicielle dans le sud du département du Borgou au Bénin. Grâce aux méthodes de la statistique descriptive et économétrique, les données collectées ont été analysées à l’aide du logiciel Stata15. Les résultats issus de nos analyses montrent que 72,5% des producteurs enquêtés ont connaissance de l’assurance agricole indicielle, 81% sont disposés à payer pour l’assurance agricole indicielle et seulement 49% de l’échantillon ont réellement estimé un montant à payer pour l’assurance agricole indicielle relativement au prime payé qui s’élève à 10000 FCFA (17 USD). Ces producteurs estiment payer en moyenne 6132 FCFA soit 10,5 USD pour adopter l’assurance agricole indicielle. L’analyse des facteurs déterminants le consentement à payer pour l’assurance agricole indicielle par la méthode de double hurdle a montré que les variables appartenance à une association agricole, revenu du maïs et la superficie cultivée du maïs sont les variables qui influencent positivement le consentement du producteur à accepter payer pour l’assurance agricole indicielle au seuil de 5%. Dans le second modèle, les variables revenues du maïs et appartenance à un groupement ont une influence positive au seuil de 5%. Les variables alphabétisation, niveau d’instruction, héritage et la location des terres ont une influence négative au seuil de 5%. L’accès au crédit agricole a une influence positive sur le montant à payer des producteurs au seuil de 10%. Ainsi, le développement de l’assurance agricole indicielle dans ces communes doit tenir compte de ces variables pour sensibiliser les producteurs sur l’assurance agricole indicielle et établir des conditions pouvant permettre aux producteurs d’avoir un accès facile aux crédits afin d’améliorer le revenu de leurs exploitations agricoles. Cela favoriserait son adoption en masse par les producteurs. This paper focuses on analyzing producers' willingness to pay for insurance agricultural index. As a result, a survey was carried out among 200 insured producers in villages where index agricultural insurance operates in the southern region of Borgou in Benin. The data collected was analyzed using descriptive and econometric statistical methods with Stata15 software. Furthermore, the results from our analysis show that 72.5% of the producers surveyed are aware of the agricultural insurance index, 81% are willing to pay for index agricultural insurance, and only 49% of the sample actually estimated an amount to pay for index agricultural insurance in relation to the premium paid which amounts to 10,000 FCFA (17 USD). These producers believe they pay, on average, 6132 FCFA or 10.5 USD to adopt index agricultural insurance. The analysis of the factors that determines their willingness to pay for index agricultural insurance using a double hurdle model showed that the variables such as membership in an agricultural association, income derived from corn production, and the cultivated area of corn positively influence the consent of the producer to accept paying for index agricultural insurance at the threshold of 5%. In the second model, the variables of corn income and membership in a group have a positive influence at the 5% threshold. Also, variables such as literacy, level of education, inheritance, and land rental have a negative influence at the 5% threshold. Access to agricultural credit has a positive influence on the amount to be paid by producers at the 10% threshold. The development of index agricultural insurance in these municipalities must take these variables into account to raise awareness among producers about index agricultural insurance. However, it is important to establish conditions that can allow producers to have easy access to credits to improve the income of their agricultural exploitations. This would encourage its mass adoption by producers.
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Montcho, Bernard, und Séraphin Atidegla Capo. „Perceptions Paysannes et Caractérisation de la Motorisation des Exploitations Agricoles dans la Commune de Kétou“. European Scientific Journal, ESJ 19, Nr. 20 (31.07.2023): 124. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2023.v19n20p124.

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Dans la Commune de Kétou, le recours aux machines agricoles par les paysans reste encore très faible. La force de travail dépend dans une large majorité de la force physique avec l’utilisation d’outils archaïques et sommaires comme la houe pour exécuter les différentes opérations culturales. Pour cause, le coût des tracteurs et celui des outils d’accompagnement sont bien au-delà des capacités financières de la plupart de ces exploitants. Ainsi entre cherté des machines, analphabétisme, cherté de la location des machines, rareté des tracteurs à louer, les paysans de cette Commune doivent mettre en place un fonds de roulement pour pallier au coût élevé de la maintenance/réparation. La présente recherche vise à analyser les perceptions paysannes et la caractérisation de la motorisation des exploitations agricoles dans la Commune de Kétou. L’approche méthodologique adoptée s’articule autour de la collecte des données, leur traitement et à l’analyse des résultats. Les données socio-économiques et démographiques des producteurs, le type et la nature des équipements pré et post-récolte utilisés, le degré de satisfaction ont été collectées à l’aide des questionnaires et de guide d’entretien auprès d’un échantillon de 135 paysans utilisant ou non des machines agricoles. La perception des populations sur les facteurs de la faible motorisation agricole a été analysée à partir de l’ Analyse Factorielle des Correspondances (AFC). L’analyse de la caractérisation de la motorisation des exploitations agricoles a été faite grâce aux statistiques descriptives et au calcul de pourcentage dans des tableaux croisés. Les résultats obtenus montrent que 46 % des enquêtés reconnaissent que les équipements agricoles modernes participent à la célérité des opérations de défrichements et de labours et 32 % pensent qu’elles favorisent l’accroissement de la production et même des rendements agricoles. Pour 22 % des paysans interrogés, le recours à la motorisation limite l’appel à la main-d’œuvre. Toutefois, le niveau d’appréciation de la motorisation agricole est diversement apprécié dans la Commune allant de très important, important, peu important et pas du tout important avec des taux de réponses respectifs de l’ordre de 68 %, 21 %, 8 % et 3 %. Nonobstant cela, 28,9 % des paysans ont regretté la cherté des machines et 20 % ont évoqué la cherté de la location de ces machines. Toutes ces raisons expliquent leur réticence à la motorisation des opérations culturales et leur attachement aux outils rudimentaires. Dans l’ensemble, les besoins en mécanisation restent grands et se traduisent par le nombre impressionnant des opérations agricoles qui nécessitent l’usage des machines agricoles. C’est le cas des operations de préparation du sol (43 %), labour (31 %), herbicidage (15 %) et désherbage sarclage (7 %). In the municipality of Ketou, the use of agricultural machinery by peasants is still very low. The working force depends for the most part on physical strength with the use of archaic and summary tools such as the hoe to carry out the various cultivation operations. For good reason, the cost of tractors and the accompanying tools are far beyond the financial capabilities of most of these operators. Thus, between the high cost of machines, illiteracy, the high cost of renting machines, and the scarcity of tractors for rent, the peasants of this municipality must set up a working capital to compensate for the high cost of maintenance/repair. The present research aims to analyze peasant perceptions and the characterization of the motorization of agricultural farms in the Municipality of Ketou. The methodological approach adopted revolves around the collection of data, their processing, and the analysis of the results. The socioeconomic and demographic data of the producers, the type and nature of the pre-and post-harvest equipment used, and the degree of satisfaction were collected using questionnaires and maintenance guides from a sample of 135 farmers using agricultural machinery or not. The perception of the populations on the factors of low agricultural motorization was analyzed from the Correspondence Factor Analysis (AFC). The analysis of the characterization of the motorization of agricultural farms was made thanks to descriptive statistics and percentage calculation in cross tables. The results obtained show that 46% of the respondents recognize that modern agricultural equipment contributes to the speed of clearing and plowing operations and 32% believe that they favor the increase of production and even agricultural yields. For 22% of the farmers surveyed, the use of motorization limits the call for labor. However, the level of appreciation of agricultural motorization is variously appreciated in the Municipality ranging from very important, important, unimportant, and not at all important with respective response rates of the order of 68%, 21%, 8%, and 3%. Notwithstanding this, 28.9% of the peasants regretted the high cost of the machines and 20% mentioned the high cost of renting these machines. All these reasons explain their reluctance to motorize cultivation operations and their attachment to rudimentary tools. Overall, the needs for mechanization remain great and are reflected in the impressive number of agricultural operations that require the use of agricultural machinery. This is the case for soil preparation operations (43%), plowing (31%), herbicide application (15%), and weeding (7%).
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Awo, Jean-Marie S., Nouroudine Ollabodé und Jacob A. Yabi. „Déterminants de l’accès aux crédits agricole par les producteurs d’anacarde au nord-Bénin“. International Journal of Biological and Chemical Sciences 15, Nr. 4 (19.11.2021): 1605–18. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v15i4.24.

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Pour sécuriser les revenus agricoles des producteurs béninois, des mécanismes de financement sont mis en place dans la production d’anacarde. La présente étude identifie les déterminants de l’accès au financement par les producteurs d’anacarde. A cet elffet, des données socioéconomiques ont été collectées par enquête auprès de 160 producteurs de noix de cajou choisis aléatoirement dans deux communes du Nord-Bénin. La statistique descriptive a été utilisée pour caractériser les types de financement. Un modèle de régression Logit binaire a été estimé pour déterminer les variables influençant l’accès aux crédits par les producteurs d’anacarde. Les principaux résultats de cette étude indiquent trois types de financement sont obtenus par les producteurs d’anacarde et financés par divers acteurs. Le sexe, l'âge, l'appartenance à une organisation, les contacts avec les services de vulgarisation et la formation à la production d’anacarde déterminent l'accès au crédit agricole au nord du Bénin. Enfin, a promotion du financement agricole dans la zone d’étude permettra de réguler la capacité à introduire l’agroforesterie dans l’exploitation agricole dans le contexte d’amélioration des conditions de vie et la protection des sols. English title: Determinants of access to agricultural credits by casnacard growers in north Benin In order to secure the agricultural income of producers in Benin, agricultural financing mechanisms have been put in place in cashew production. This study aimed at identifying the determinants of access to finance by cashew producers. To this end, socioeconomic data was collected through a survey of 160 cashew producers chosen at random from two municipalities in North Benin. Descriptive statistics were used to characterize the types of funding. A binary logit regression model was estimated to determine the variables influencing access to credit by cashew producers. The main results of this study indicate three types of financing obtained by cashew producers, which are financed by various actors. In addition, gender, age, membership of an organization, contacts with extension services and training in cashew production determine access to agricultural credit in northern Benin. Finally, the promotion of this financing in the study area will make it possible to regulate the capacity to introduce agroforestry on the farm, all of which contributes to the improvement of living conditions and soil protection.
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Veitch, Amelia. „« Reconquête de friches » et assemblages résistants de la terre“. A contrario 34, Nr. 2 (28.08.2023): 81–107. http://dx.doi.org/10.3917/aco.222.0081.

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Cet article propose d&#8217;&#233;tudier la mise en &#339;uvre d&#8217;une r&#233;sistance locale de propri&#233;taires fonciers qui est parvenue &#224; faire suspendre un projet de transformation territoriale porteuse d&#8217;espoirs multiples. En Bretagne, une r&#233;gion tr&#232;s fortement marqu&#233;e par un mod&#232;le agricole industriel qui subit de vives critiques, l&#8217;&#233;quipe municipale d&#8217;une commune littorale a lanc&#233; un projet de &#171;&#160;reconqu&#234;te&#160;&#187; de plusieurs centaines de terres agricoles dites &#171;&#160;friches&#160;&#187;. Les effets esp&#233;r&#233;s &#233;taient divers&#160;: relocalisation alimentaire, production biologique pour la restauration collective, cr&#233;ation d&#8217;emplois, retour d&#8217;un paysage bocager. Alors que le projet, largement acclam&#233;, se met en route, il se heurte &#224; une mobilisation inattendue&#160;: un groupe constitu&#233; de propri&#233;taires des petits terrains agricoles enfrich&#233;s se mobilisent et bloquent l&#8217;action. Comment leur conception de la terre devient-elle un moteur de r&#233;sistance&#160;? L&#8217;enqu&#234;te ethnographique aupr&#232;s des habitant&#183;e&#183;s, propri&#233;taires et pouvoirs publics, a fait &#233;merger la concurrence de relations antagonistes &#224; la terre, qui est assembl&#233;e alternativement comme ressource, h&#233;ritage ou lieu de nature.
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Jousseins, Carole, Jocelyn Fagon, Julien Belvèze und Gérard Servière. „Livestock Farm Networks, a system at the center of French farming development“. Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 68, Nr. 2-3 (25.03.2016): 107. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.20596.

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Les Réseaux d’élevage sont un dispositif dédié au développe­ment de l’élevage herbivore. Fruit de l’histoire du développe­ment agricole français, ils sont présents sur l’ensemble du ter­ritoire national et s’organisent localement. L’originalité de ce dispositif provient de sa nature partenariale entre des éleveurs, les chambres d’agriculture et l’Institut de l’élevage, de sa prise en compte de la diversité des régions d’élevage et de l’étude des systèmes d’élevage à travers l’approche globale. L’objec­tif n’est pas d’être exhaustif mais d’être représentatif de l’éle­vage herbivore à travers le choix des systèmes étudiés, d’en mesurer les évolutions, de créer et de diffuser des références à partir du suivi de 1900 fermes réalisé par 210 agents des chambres d’agriculture, encadré par 35 animateurs de l’Insti­tut de l’élevage, et financé et appuyé par les pouvoirs publics et la profession agricole. Les valorisations régionales et natio­nales des Réseaux s’adressent à différents publics : aux éle­veurs, aux conseillers, aux enseignants (pour le conseil ou la formation), aux individus ou aux collectifs, et aux décideurs locaux et nationaux afin de mieux comprendre les systèmes d’élevage, et de mesurer l’impact de nouvelles politiques agri­coles et d’orienter leur modalité d’application. Le rôle des Réseaux s’illustre également dans leur capacité à se mobiliser sur des thématiques émergentes. Les aspects viabilité, compé­titivité, conditions de travail ou encore enjeux environnemen­taux étaient inclus dans les champs d’étude du dispositif bien avant que le concept de développement durable ne devienne un centre d’intérêt. Les Réseaux en tant que dispositif partena­rial sont parfois complexes à gérer et paraissent coûteux, mais c’est ce partenariat fort qui leur apporte la reconnaissance en tant que ressource clé et qui leur donne leur légitimité. La diversité des productions agricoles et l’hétérogénéité des sys­tèmes d’exploitation favorisent les innovations et permettent l’adaptation de l’agriculture française aux nouveaux enjeux. Les Réseaux d’élevage permettent non seulement d’observer ces évolutions mais également de les catalyser, de les accom­pagner et de les diffuser.
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Bazile, Didier, Federico Andreotti, Cristina Biaggi, Alipio Canahua Murillo, Marco Chevarria-Lazo, Ernesto Chura, Gerardo Garland, Juan Antonio González, Ángel Mujica-Sánchez und Mario E. Tapia-Nuñez. „Le Quinoa au temps de la Covid-19 : vers de nouvelles coordinations entre les producteurs des différents pays andins“. Cahiers Agricultures 30 (2021): 28. http://dx.doi.org/10.1051/cagri/2021016.

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Le quinoa est cultivé depuis des millénaires dans les Andes depuis sa domestication sur les bords du lac Titicaca, entre le Pérou et la Bolivie. Culture rustique des hauts plateaux andins, il a conquis le marché international depuis une trentaine d’années. Aujourd’hui, le Pérou est le premier producteur mondial et la majorité de sa production est exportée. Produit localement par des petits paysans et consommé à l’échelle globale, le quinoa reflète bien le contexte de la mondialisation de l’agriculture et de l’alimentation. La crise de la Covid-19 a aussi touché le Pérou et interroge les acteurs sur la robustesse et la résilience des filières d’exportations. Cet article d’opinion repose sur des débats organisés en mai–juin 2020 au Pérou. Après avoir rappelé le contexte général de la culture du quinoa et du lien entre la Covid-19, l’agriculture et la biodiversité, nous soulignons les liens entre crise sanitaire, crise agricole et crise alimentaire. Cette pandémie mondiale offre l’opportunité de questionner les modèles agricoles actuels afin d’en tirer des leçons pour le futur. La projection de nouvelles solidarités autour d’une marque collective est porteuse d’un projet territorial transnational à l’échelle des Andes. Accompagner les acteurs pour en faire un modèle de développement inclusif requiert des outils participatifs adaptés.
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Hummel, Cornelia, und Elena Rocco. „Vieillir en communauté agricole autogérée : épreuves individuelles et enjeux collectifs“. Gérontologie et société 40/155, Nr. 1 (2018): 151. http://dx.doi.org/10.3917/gs1.155.0151.

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Kingemin, Oscar Assa, Zachée Houessingbe, Alexis Hougni, Innocent Adédédji Labiyi und Jacob Afouda Yabi. „Perception Paysanne de la Durabilité des Exploitations Cotonnières du Nord-Bénin“. European Scientific Journal, ESJ 19, Nr. 16 (30.06.2023): 49. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2023.v19n16p49.

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Les convictions des agriculteurs et leur engagement sont nécessaires pour l’atteinte du développement durable. Pourtant les études de la perception des agriculteurs sur la durabilité agricole sont encore très peu représentées dans la littérature. Pour combler ce gap, cette étude s’est proposée d’analyser la perception paysanne de l’agriculture durable dans le Nord-Bénin. A cet effet, une enquête a été conduite auprès de 250 producteurs de coton choisis de façon aléatoire. L’analyse de contenu, le calcul de l’Indice Composite de Perception (ICP) et la régression linéaire multiple ont été utilisés pour analyser les données collectées. Les résultats montrent que les producteurs entendent par agriculture durable une agriculture qui accède facilement à la main d’œuvre (19,2%), à la terre (56,4%), à l’eau de surface (24,4%), qui ne souffre pas de la baisse de la fertilité des sols (86,8%) mais surtout qui génère des revenus croissant avec le temps (89,2%). La répartition de l’indice de perception a montré que la plupart des producteurs (83,2%) ont une bonne perception de l’effet des pratiques agricoles sur la durabilité de l’agriculture. Les producteurs pensent donc que les systèmes de production agricole actuels ne compromettent pas la durabilité de leurs exploitations. L’âge, l’appartenance à un groupement et les contraintes liées à la terre et au marché sont les facteurs qui déterminent la perception des producteurs de l’effet des pratiques agricoles sur la durabilité des exploitations. Ces résultats ainsi obtenus pourraient aider à mieux orienter les politiques et projets œuvrant pour l’atteinte d’un développement durable. Farmers' beliefs and commitment are necessary for the achievement of sustainable development. However, studies of farmers' perceptions of agricultural sustainability are still very poorly represented in the literature. To fill this gap, this study proposed to analyze the farmers' perception of sustainable agriculture in North Benin. To this end, a survey was conducted among 250 randomly selected cotton producers. Content analysis, calculation of the composite index of perception and multiple linear regression were used to analyze the data collected. The results show that producers understand sustainable agriculture to mean agriculture that has easy access to labor (19.2%), land (56.4%), and surface water (24.4%), that does not suffer from declining soil fertility (86.8%), and above all that generates income that increases over time (89.2%). The distribution of the perception index shows that most producers (83.2%) have a good perception of the effect of agricultural practices on the sustainability of agriculture. Therefore, producers believe that the current agricultural production systems do not compromise the sustainability of their farms. Age, group membership, and land and market constraints are the factors that determine producers' perceptions of the effect of farming practices on farm sustainability. These results could help to better orient policies and projects working towards sustainable development.
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Bouheiry, Annette. „The Iron Library and its Agricola collection“. GeoJournal 32, Nr. 2 (Februar 1994): 161–67. http://dx.doi.org/10.1007/bf00812501.

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Zago, Angelo. „La réputation collective sur les marchés agricoles“. Économie rurale, Nr. 345 (15.02.2015): 29–51. http://dx.doi.org/10.4000/economierurale.4557.

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DUMONT, B., P. DUPRAZ, J. RYSCHAWY und C. DONNARS. „Avant-propos“. INRA Productions Animales 30, Nr. 4 (25.06.2018): 271–72. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2017.30.4.2256.

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Dix années après la publication du rapport de la FAO « Livestock’s long shadow », qui fait toujours référence dans les débats sur les impacts de l’élevage et la part des produits animaux dans notre alimentation, quels sont les nouveaux résultats de recherche qui affinent ce panorama mondial ? Pour répondre à cette question, les ministères français en charge de l’Environnement et de l’Agriculture ainsi que l’ADEME ont sollicité l’INRA pour synthétiser les connaissances scientifiques disponibles sur les rôles, impacts et services issus des élevages en Europe. L’exercice, qui a pris la forme d’une Expertise scientifique collective (ESCo), s’est donc intéressé aux différentes fonctions et conséquences de la production et de la consommation de produits animaux sur l’environnement et le climat, l’utilisation des ressources, les marchés, le travail et l’emploi, et les enjeux sociaux et culturels. L’expertise s’est centrée sur les services et impacts des principaux animaux d’élevage « terrestres », bovins laitiers ou allaitants, petits ruminants, porcs et volailles, et de leurs filières à l’échelle européenne. Le terme « services » renvoie à la fourniture d’un avantage marchand ou non marchand issu des activités d’élevage et/ou de l’usage de produits d’origine animale, soit une acceptation plus large que celle des services écosystémiques fournis par les agroécosystèmes. Nous utilisons l’expression « services et impacts » car les deux termes sont spontanément complémentaires, les services étant en général connotés de manière positive tandis que les impacts le sont négativement. Associer ces deux termes conduit à considérer les différents effets de l’élevage conjointement, et à souligner les complémentarités et antagonismes qui résultent des interactions entre les processus écologiques, biotechniques et économiques mis en jeu. La notion de « bouquets de services » constitue aujourd’hui un front de science dynamique dont nous avons cherché à extraire ce qui est spécifique à l’élevage. L’analyse a mis l’accent sur la variabilité des bouquets de services fournis par l’élevage selon les territoires. Une expertise scientifique consiste en un état des lieux critique des connaissances disponibles à partir d’une analyse exhaustive de la littérature scientifique. L’objectif est de dégager les acquis sur lesquels peut s’appuyer la décision publique, et de pointer les controverses, incertitudes ou lacunes du savoir scientifique. Placée sous la responsabilité scientifique de Bertrand Dumont, zootechnicien et écologue (INRA), et de Pierre Dupraz, économiste (INRA) celle-ci a réuni, pendant deux ans, vingt-six experts1 issus de différentes disciplines et institutions, et travaillant dans différents contextes afin que la diversité des résultats et des arguments scientifiques soit prise en compte. Le collectif d’experts a bénéficié de l’encadrement méthodologique de la Délégation à l’expertise, à la prospective et aux études (Depe) qui a assuré la coordination du projet, l’appui documentaire (avec la contribution des départements Phase et SAE2) et l’analyse cartographique. Le travail a abouti à la rédaction d’un rapport principal de plus de mille pages présenté publiquement en novembre 2016, d’une synthèse de 126 pages et d’un résumé en français et en anglais de huit pages. Le tout est disponible sur le site de l’INRA : http://institut.inra.fr/Missions/Eclairer-les-decisions/Expertises/Toutes-les-actualites/Roles-impacts-et-services-issus-des-elevages-europeens. Ce numéro spécial s’appuie principalement sur les éléments développés dans les chapitres 2, 6 et 7 du rapport. Le regard critique des relecteurs et le travail de réécriture des auteurs y apportent une réelle plus-value. Le premier article, coordonné par Michel Duru, présente le cadre conceptuel que nous avons proposé à partir de la littérature sur les systèmes socio-écologiques, afin de représenter de manière structurée la diversité des services et impacts rendus par les systèmes d’élevage (et de polyculture-élevage) dans les territoires. Le deuxième article coordonné par Jonathan Hercule et Vincent Chatellier établit une typologie des territoires d’élevage européens qui repose sur deux critères simples et disponibles dans les bases de données : la part des prairies permanentes dans la Surface Agricole Utile (SAU) et la densité animale par hectare de SAU. En croisant ces deux variables, nous distinguons six types de territoires que nous avons cartographiés à l’échelle européenne. Dans les cinq articles qui suivent, nous décrivons les bouquets de services rendus par l’élevage dans les territoires où il est bien représenté, le sixième type correspondant aux zones de grandes cultures. Nous analysons la variabilité qui existe autour du bouquet de services propre à chaque type, et la dynamique d’évolution de l’élevage selon les territoires. Nous traitons ainsi des territoires à haute densité animale qui concentrent 29% du cheptel européen sur seulement 10% du territoire (Dourmad et al), des territoires herbagers à haute (Delaby et al), moyenne (Vollet et al) ou faible densité animale (Lemauviel-Lavenant et Sabatier), et des territoires de polyculture-élevage (Ryschawy et al). Les deux articles qui suivent s’attachent à des configurations qui ne sont pas représentées sur la carte européenne, mais sont potentiellement présentes dans chaque catégorie de notre typologie. Nous analysons comment certaines filières s’adaptent à des attentes sociétales accrues en matière d’alimentation (produits de qualité, circuits courts) et de qualité de la vie. Marc Benoit et Bertrand Méda abordent cette question à partir d’une analyse croisée des systèmes ovins en Agriculture Biologique et poulets Label Rouge, Claire Delfosse et al en synthétisant la littérature encore fragmentaire sur l’élevage urbain et périurbain. L’article conclusif, coordonné par Bertrand Dumont, porte au débat les enseignements tirés des cartographies de services, et des modélisations et scénarios prospectifs globaux. Il propose différentes pistes pour mieux valoriser la diversité des services fournis par l’élevage. Les différents articles de ce numéro illustrent ainsi le large panorama des services et impacts de l’élevage européen. Nous espérons qu’ils donnent à voir non seulement le rôle de l’élevage vis-à-vis de la production de denrées alimentaires, de l’emploi, des dynamiques territoriales et de la construction des paysages, mais aussi comment l’élevage pourrait mieux répondre aux attentes légitimes de nos concitoyens en matière de préservation de l’environnement, de bien-être animal et de traçabilité des circuits alimentaires. Notre ambition est d’aider à sortir d’un débat qui ne considère trop souvent qu’une partie de ces effets. L’intérêt pédagogique de la grange et de la typologie des territoires d’élevage européens a déjà été largement souligné. Gageons qu’il confère à ce numéro spécial un intérêt particulier pour l’enseignement agronomique et le développement agricole. Bertrand Dumont (Inra Phase), Pierre Dupraz (Inra SAE2), Julie Ryschawy (Inra SAD, INPT) et Catherine Donnars (Inra Depe) -------1 Composition du collectif d’experts : B Dumont et P Dupraz (coord.), J. Aubin (INRA), M. Benoit (INRA), Z. Bouamra-Mechemache (INRA), V. Chatellier (INRA), L. Delaby (INRA), C. Delfosse (Univ. Lyon II), J.-Y. Dourmad (INRA), M. Duru (INRA), M. Friant-Perrot (CNRS, Univ. Nantes), C. Gaigné (INRA), J.-L. Guichet (Univ. Beauvais), P. Havlik (IIASA, Autriche), N. Hostiou (INRA), O. Huguenin-Elie (Agroscope, Suisse), K. Klumpp (INRA), A. Langlais (CNRS, Univ. Rennes), S. Lemauviel-Lavenant (Univ. Caen), O. Lepiller (CNRS, Univ. Toulouse), B. Méda (INRA), J. Ryschawy (INRA, INPT), R. Sabatier (INRA), I. Veissier (INRA), E. Verrier (Agroparistech), D. Vollet (Irstea).
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Rollet, Anne. „Les processus de cohésion entre projets individuels et collectifs“. Revue internationale P.M.E. 12, Nr. 1-2 (16.02.2012): 61–83. http://dx.doi.org/10.7202/1008650ar.

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La recherche-action «pomme(s) des Alpes » sert, dans le cadre d’un retour d’expérience constructiviste, aux doubles objectifs de recherche conceptuelle et d’opérationalisation des concepts. La réflexion et l’action en milieu complexe s’appuient sur la PME de production de fruits et légumes comme « modélisation orientée projet de l’exploitation agricole » et le couple produit - territoire comme « modélisation orientée projet du terroir ». L’entrepreneur tente de surmonter la crise de sa mission et de sa légitimité. La faiblesse des ressources de la PME entraîne que l’élaboration de la nouvelle justification entrepreneuriale n’est envisageable que collectivement Le couple produit - territoire illustre la formation, à partir de métarègles, de cette stratégie comme un processus de cohésion entre projets individuels et collectifs.
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Poisson, Marie, und Séverine Saleilles. „Déterminants et processus d’émergence des systèmes agroalimentaires localisés alternatifs“. Économies et Sociétés. Systèmes agroalimentaires 46, Nr. 1034 (2012): 2077–96. http://dx.doi.org/10.3406/esag.2012.1094.

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Les collectifs de producteurs en circuits courts constituent des systèmes agroalimentaires localisés alternatifs participant à la relocalisation de la production agricole et de la distribution alimentaire. Nous proposons une analyse des déterminants et des processus d’émergence de ces systèmes à partir de l’étude de trois cas et en croisant les approches par la construction de ressources territoriales et l’émergence de stratégies collectives locales. Nous montrons que cette émergence se fonde sur deux déterminants (les facteurs conjoncturels et la mobilisation agricole locale) activés par une combinaison de processus entrepreneuriaux et institutionnels.
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Boumali, Noure El Imene, Fateh Mamine, Foued Cheriet und Etienne Montaigne. „Performances des coopératives agricoles innovantes : le cas de la valorisation de la figue de Barbarie par Nopaltec en Algérie“. Cahiers Agricultures 32 (2023): 3. http://dx.doi.org/10.1051/cagri/2022034.

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Cette étude met en lumière l’impact de l’innovation sur l’orientation-marché et les performances d’une coopérative de valorisation des coproduits du figuier de barbarie en Algérie. Alors que la question des performances de l’entreprenariat collectif a été largement débattue, elle l’a été beaucoup moins pour des coopératives innovantes. Dans ce travail, nous mettons l’accent sur les performances de ce modèle d’entreprenariat fondé sur la réappropriation d’innovations techniques. Dans ce sens, notre analyse cherche à étendre la recherche empirique antérieure sur les performances des coopératives agricoles en introduisant l’orientation vers le marché et une évaluation plus globale des performances socioéconomiques des coopératives innovantes comme Nopaltec. Nos résultats portant sur les « autres » performances – rôle dans l’appropriation collective et la diffusion de l’innovation, structuration de la filière, fonctions socio-politique et territoriale de la coopérative – plaident pour une lecture élargie des performances des structures coopératives agricoles.
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Chaddad, Fabio R., und Patricia Toucas-Truyen. „Une nouvelle génération de coopératives sur la « frontière » agricole brésilienne : une approche fondée sur le cycle de vie“. RECMA N° 369, Nr. 3 (05.06.2023): 44–62. http://dx.doi.org/10.3917/recma.369.0048.

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Cet article étudie la genèse, les caractéristiques de la conception organisationnelle et les phases initiales de croissance des coopératives d’agriculteurs sur la frontière agricole brésilienne, selon une approche du cycle de vie. Face aux défaillances du marché et à l’absence de services, les agriculteurs de la frontière agricole ont surmonté les défis de l’action collective et ont formé 43 coopératives depuis les années 1990. A partir d’une enquête portant sur 30 coopératives déjà constituées et en activité, et d’entretiens personnels approfondis avec des agriculteurs ayant constitué dix nouvelles coopératives, l’article contribue au développement d’une théorie micro-analytique du cycle de vie des coopératives.
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Darby, Michael. „Studies of Ptiliidae (Coleoptera) in the Spirit Collection of the Natural History Museum, London 4: new records and species collected by M.E. Bacchus and others in Sabah (Borneo) in 1977“. Entomologist's Monthly Magazine 155, Nr. 1 (25.01.2019): 43–58. http://dx.doi.org/10.31184/m00138908.1551.3964.

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This paper is based on a collection of 220 Ptiliidae made by M.E. Bacchus of the Coleoptera Section of the Natural History Museum, London (NHM), and others, in Sabah (Borneo) 28 August – 7 November 1977. Ten new species are described and figured: Sindosium bacchusi sp. n., Dipentium latum sp. n., Bambara pumilio sp. n. Baeocrara minima sp. n., Acrotrichis agricola sp. n., Acrotrichis bubalus sp. n., Acrotrichis irregularis sp. n., Acrotrichis kinabaluensis sp. n., Acrotrichis subagricola sp. n. and Acrotrichis telupidensis sp. n., and new records and information provided for Bambara frosti Dybas and Acrotrichis britteni Johnson.
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Gharbi, Inès, und Mohamed Elloumi. „L’agriculture irriguée en Tunisie : politiques hydrauliques et politiques de régulation foncière“. Cahiers Agricultures 32 (2023): 17. http://dx.doi.org/10.1051/cagri/2023010.

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Dès l’Indépendance (1956), la mobilisation des ressources productives (terre, eau) et l’amélioration de leur niveau d’utilisation ont été les principaux instruments de la politique agricole en Tunisie. Pour mettre en œuvre ses choix et atteindre les objectifs recherchés en termes de développement agricole, l’État a mobilisé un ensemble de moyens financiers (investissements), juridiques (réformes agraires) et institutionnels (encadrement et appui aux agriculteurs irrigants). La libéralisation économique du milieu des années 1980 s’est traduite par une privatisation de l’accès aux ressources en eau et en terre à travers l’octroi de droits de propriété, de concession ou d’autorisations permettant de changer les règles de leur gestion collective. Le développement de l’irrigation a ainsi engendré des transformations rapides des modes d’accès aux ressources foncières qui ont conduit à des dynamiques profondes impliquant divers acteurs (petits agriculteurs, agro-entrepreneurs, État). La privatisation de la gestion des ressources en eau et en terre, si elle a donné des résultats en termes d’intensification de la production agricole et de création d’une agriculture intégrée au marché, semble cependant rencontrer des limites.
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Sourabie, Soumaïla, Patrice Zerbo, Djibril Yonli und Joseph I. Boussim. „Connaissances traditionnelles des plantes locales utilisées contre les bio-agresseurs des cultures et produits agricoles chez le peuple Turka au Burkina Faso“. International Journal of Biological and Chemical Sciences 14, Nr. 4 (17.08.2020): 1390–404. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v14i4.18.

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La présente étude a pour objectif de faire l’état des connaissances traditionnelles endogènes relatives aux plantes locales utilisées contre les bio-agresseurs des cultures et des produits agricoles. A travers une série d’enquêtes ethnobotaniques réalisée de 2018 à 2019 dans la région des Cascades au Burkina Faso, 150 personnes appartenant à l’ethnie Turka ont été interviewées. Les informations recherchées en utilisant des entretiens semi-directifs, ont concerné les noms locaux des plantes, les parties utilisées, les domaines d’utilisation et leurs modes d'utilisation. Les données collectées ont permis de recenser 33 espèces de plantes réparties en 30 genres et 19 familles utilisées traditionnellement contre les bio-agresseurs agricoles. Ces plantes interviennent sélectivement dans trois domaines : la répulsion des insectes, l’inhibition des herbes envahissantes et la construction des greniers. Les espèces sont utilisées soit directement ou transformées en poudre ou en cendre. Les feuilles sont plus utilisées que les autres organes. Cassia nigricans est l’espèce la plus utilisée pour son effet répulsif et Parkia biglobosa pour son effet inhibiteur. Des études approfondies sur les propriétés chimiques des potentielles espèces permettront de réduire l’impact des produits chimiques en agriculture contre les bio-agresseurs.Mots clés : Ethnobotanique, diversité végétale, ennemi agricole, secteur sud-soudanien, Afrique de l’ouest English Title:Traditional knowledge of local plants used against pests of crops and agricultural products among the Turka poeple in Burkina Faso The objective of this study is to provide an overview of endogenous traditional knowledge relating to local plants used against pests of crops and agricultural products. Through an ethnobotanical’s surveys carried out from 2018 to 2019 in the Cascades area in Burkina, 150 Turka ethnic group people were interviewed. Through semi-structured interviews, information looking for were concerned plants local names, their parts used, the domains and the modes of use. Data collected allowed to identify 33 plants’ species belonged to 30 genera and 19 families, used traditionally against agricultural pests. These plants are selectively involved in three domains: repelling insects, inhibiting invasive weeds and building lofts. Species are used either directly or processed into powder or ash. The leaves are used more than other organs. Cassia nigricans is the most used species for its repellent effect and Parkia biglobosa for its inhibitory effect. In-depth studies on the chemical properties of potential species will reduce the impact of chemicals in agricultural against pests.Keywords: Ethnobotany, plant diversity, agricultural pest, South Sudanese sector, West Africa
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Ortar, Nathalie. „Les multiples usages de la datcha des jardins collectifs“. Hors-thème 29, Nr. 2 (12.12.2005): 169–85. http://dx.doi.org/10.7202/011900ar.

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Résumé Omniprésents dans le paysage urbain, les jardins collectifs le sont aussi dans le quotidien de la majeure partie des Russes. Ils représentent le pendant incontournable de l’habitat collectif. Leur histoire est intimement liée à toutes les crises économiques et agricoles qu’ont pu connaître l’Union Soviétique puis la Russie postsoviétique. Objet multifonctionnel, les jardins collectifs se révèlent être de précieux observatoires pour évaluer les transformations économiques et sociales de la société russe. La datcha et le plaisir pris à y séjourner entrent dans le cadre d’une recherche de mieux vivre associant activité physique, alimentation saine, rencontres familiales et amicales. Présentés comme un complément nourricier indispensable pour les Russes, ces jardins assument aussi d’autres fonctions comme l’exercice de l’ingéniosité, le plaisir du travail de la terre et la rupture avec le quotidien.
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LEGRAND, M., A. JOVENIAUX, A. ARBAROTTI, B. DE GOUVELLO, F. ESCULIER und J. P. TABUCHI. „Séparation à la source et valorisation des excrétas humains du Grand Paris : des filières émergentes“. Techniques Sciences Méthodes 9, Nr. 9 (20.09.2021): 103–18. http://dx.doi.org/10.36904/tsm/202109103.

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Une approche holistique des questions environnementales met en lumière les limites atteintes par l’utilisation des égouts pour éloigner les excrétats humains des espaces habités. Les mégapoles, en particulier, sont aujourd’hui exposées à des enjeux aigus et encore méconnus. Dans un contexte de changements globaux majeurs auxquels l’assainissement doit faire face, une si grande concentration de population met le modèle classique de l’assainissement sous tension. À la saturation récurrente des systèmes d’assainissement centralisés, s’ajoute une empreinte élevée en matière de dépense énergétique, d’émissions de gaz à effet de serre et souvent de pollution des milieux aquatiques. Pourtant, ces excrétats, gérés séparément, pourraient être utilisés comme matières fertilisantes : leur utilisation agricole permet de sortir d’une logique de dépollution des excrétats et de créer un mutualisme entre territoires urbains et agricoles, ces derniers bénéficiant alors de matières fertilisantes pérennes, locales et non fossiles. À partir du cas de l’agglomération parisienne, nous proposons une analyse transversale des opportunités actuelles de mise en oeuvre de filières de séparation à la source en contexte de grande concentration urbaine. Plus spécifiquement, nous nous intéressons aux freins et leviers techniques, organisationnels, économiques, en vue de la production de fertilisants à partir des excrétats humains et en particulier des urines, dans de bonnes conditions sanitaires et agronomiques. Nous montrons l’accumulation d’éléments de démonstration quant aux limites du système d’assainissement actuel et la nécessité d’un changement de paradigme. Persiste, nonobstant, une difficulté à mettre en place des projets pilotes (freins politiques, socioculturels, économiques, réglementaires et techniques, exacerbés dans le contexte d’une mégapole). Toutefois, une dynamique récente s’observe, avec des projets qui émergent en marge de la fabrique urbaine. Un facteur clé de leur réussite tient à leur adaptation aux différentes configurations territoriales. Portés par des individus et collectifs aux trajectoires spécifiques, ceux-ci laissent entrevoir une capacité à inventer de nouveaux dispositifs sociotechniques de gestion des excrétats humains.
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Gambold, Liesl L. „L’antagonisme de l’exploitation collective postsocialiste1“. Anthropologie et Sociétés 32, Nr. 1-2 (25.09.2008): 23–42. http://dx.doi.org/10.7202/018881ar.

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RésuméBien qu’en Russie l’agriculture ait été privatisée il y a plus de dix ans, elle reste à implanter sur le plan individuel. Les obstacles économiques que doivent affronter les agriculteurs laissés pour compte sont, dans la plupart des cas, presque insurmontables. De plus, ceux qui tentent l’expérience de l’agriculture en entreprise privée et qui quittent l’exploitation collective doivent également être prêts à quitter symboliquement la communauté. En effet, bien que pour certains l’entreprise privée soit tentante et les perspectives du marché alléchantes, pour d’autres la discutable valeur morale de l’économie capitaliste ne s’est pas avérée suffisamment satisfaisante pour les inciter à abandonner l’exploitation collective telle qu’elle est maintenant réorganisée. Une économie dite émotionnelle, qui, avec les contraintes matérielles, guide les choix individuels dans les pratiques de subsistance, peut être élaborée comme une autre voie que les approches néoclassiques de la propriété privée. De nombreux habitants des zones rurales continuent à maintenir l’identité collective de leur travail agricole du fait qu’elle est étroitement liée avec les concepts socio-affectifs historiques de « travail », « vie » et « culture ». Fondé sur plus d’une année de recherches de terrain sur des fermes auparavant collectives, cet article étudie les conséquences complexes de la privatisation dans un village russe sur les plans émotionnel, économique et social.
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Nguyen, Geneviève, Jean-Pierre Del Corso, Charilaos Képhaliacos und Henri Tavernier. „Pratiques agricoles pour la réduction des produits phytosanitaires. le rôle de l’apprentissage collectif“. Économie rurale, Nr. 333 (15.02.2013): 105–21. http://dx.doi.org/10.4000/economierurale.3817.

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Laurant, Delphine, Didier Bazile, Christophe Le Page und Emilie Rousselou. „Proposition d’un cadre d’analyse des nouvelles formes collectives d’exploitation agricole en France“. Cahiers Agricultures 30 (2021): 45. http://dx.doi.org/10.1051/cagri/2021031.

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Depuis une dizaine d’années en France, de nouvelles formes d’installations collectives émergent et semblent motivées par la réalisation d’un projet de vie associé à l’exercice du métier d’agriculteur. Encore peu documentées, ces formes d’exploitations collectives pourraient cependant favoriser la conduite de systèmes plus diversifiés, dont la gestion plus complexe serait permise par la diversité des acteurs impliqués dans le processus de production. Pour appréhender les interactions entre l’organisation collective et la combinaison d’activités caractérisant l’exploitation agricole, nous proposons un cadre générique permettant d’analyser et de comparer différentes stratégies organisationnelles. Considérant une combinaison de données récoltées sur treize fermes collectives, nous proposons un cadre conceptuel générique basé sur le formalisme AGR (Agent-Groupe-Rôle) issu du domaine de la recherche en informatique. Sa déclinaison en un cadre d’analyse appliqué à trois cas d’étude contrastés illustre la diversité des formes d’organisation de collectifs et des différents enjeux qu’ils portent, ainsi que les façons dont le partage des ressources structure les groupes.
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Gibert, Caroline, Sylvain Doublet und Christian Couturier. „La transition agroécologique en pratique : le scénario Afterres2050“. Le Nouveau Praticien Vétérinaire élevages & santé 15, Nr. 53 (2023): 28–37. http://dx.doi.org/10.1051/npvelsa/2024003.

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Le scénario Afterres2050 a été la première prospective normative sur le secteur des terres, à l’échelle nationale, à lier système alimentaire et système agricole, sur la base d’une sortie des énergies fossiles via les énergies renouvelables à l’horizon 2050. Il interroge notre capacité à pourvoir à nos besoins alimentaires et non-alimentaires, avec une population croissante, tout en s’alignant aux objectifs fixés par l’ensemble des feuilles de routes environnementales et sociétales. Le scénario Afterres2050 intègre un ajustement progressif et itératif de l’offre et de la demande, par une approche bilancielle synthétisée dans un outil de modélisation systémique de l’usages des terres (MoSUT), sans pari technologique, mais en se basant sur des pratiques et des systèmes éprouvés aujourd’hui, ici massifiés en 2050. Il interroge les concurrences et synergies potentielles entre les usages de la biomasse, via le concept des 6 F (Food, Feed, Fiber, Fuel, Forêt et Fertilité des sols) et leur répartition actuelle et future en réponse aux enjeux pour nos communs, à savoir la préservation de la qualité des sols, de la biodiversité, de l’eau, de l’air et de la santé humaine, des écosystèmes et des animaux. Les 4 leviers identifiés pour y parvenir sont : 1) modifier nos régimes alimentaires pour ajuster la demande alimentaire à nos besoins, 2) faire évoluer nos systèmes et nos pratiques agricoles en généralisant l’agroécologie, 3) reconsidérer nos flux d’imports-exports pour les rendre plus sobres et respectueux et 4) diversifier l’usage des terres pour assurer la multifonctionnalité et lutter contre le changement climatique. La mise en débat d’Afterres2050, et plus globalement, les démarches de prospective qui y sont associées sur les territoires accompagnés par Solagro, contribuent à la prise de conscience collective des enjeux globaux, et à la définition et négociation d’actions à mettre en œuvre avec l’ensemble des acteurs pour réaliser cette transition agroécologique.
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DOSSOU, Ayidé Aristide Armel, Fifanou G. VODOUHE, Rosaine N. YEGBEMEY und Jacob A. YABI. „Accès au crédit et performance économique et financière des exploitations de l’Union Nationale des Producteurs de Soja au Centre du Bénin“. Annales de l’Université de Parakou - Série Sciences Naturelles et Agronomie 9, Nr. 1 (30.06.2019): 79–94. http://dx.doi.org/10.56109/aup-sna.v9i1.65.

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La diversification agricole par la promotion d’autres filières reste une priorité pour la nouvelle politique agricole béninoise afin de réduire sa dépendance à l’égard de la filière coton qui demeure la principale culture de rente du pays. Dans le Plan Stratégique de Développement du Secteur Agricole, la filière soja est l’une des filières retenues pour être accompagnée par l’état compte tenu de son importance socioéconomique, agronomique et environnementale. C’est dans ce contexte que la présente étude a été réalisée avec pour objectif de produire des connaissances plus approfondies sur la rentabilité de la production de soja au centre du Bénin. L’approche méthodologique adoptée a combiné les méthodes d’enquête qualitatives et quantitatives pour collecter les données auprès de 100 producteurs de soja échantillonnés dans cinq zones de production de l’une des plus grandes communes de production de cette spéculation au Bénin (Dassa-Zounmè). Quatre indicateurs de rentabilité (la Marge nette, le Ratio-bénéfice-coût, la Productivité moyenne nette du travail et le Taux de rentabilité interne) ont été utilisés pour analyser les performances économiques et financières des exploitations. Il ressort des analyses que la production de soja est rentable dans la commune de Dassa-Zounmè. Cependant, la variation de la rentabilité de production en fonction de la taille de l’exploitation et de l’accès au crédit des exploitants est statistiquement plus importante que la variation au sein du groupe. Les producteurs ayant une grande superficie de soja (superficie 2,45 ha) et bénéficiant des appuis financiers formels sous forme de crédits sont significativement plus performants que les autres types d’exploitation de petite taille n’ayant pas accès au crédit agricole pour chaque indicateur de rentabilité. Ces résultats suggèrent donc la nécessité d’un renforcement des stratégies de financement des producteurs afin d’augmenter la rentabilité au niveau des petites exploitations dans le cadre d’une production durable de soja au Bénin.
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Firmin, Akpo Ibidon, Tassou Zakari Filikibirou, Agani Oninkitan Francis und Yabi Afouda Jacob. „Déterminants de la Productivité du Riz dans un Système de Production Utilisant l'Approche Smart Valley au Centre Bénin“. European Scientific Journal, ESJ 18, Nr. 40 (31.12.2022): 42. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2022.v18n40p42.

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L’insuffisance des connaissances sur la technique d’utilisation des nouvelles technologies et de financement limitent la productivité agricole au Centre Bénin. Cet article a analysé les déterminants de la productivité du riz dans un système de production utilisant l'approche Smart Valley comme une nouvelle technologie dans la Commune de Ouessè. Les données ont été collectées sur un échantillon de 100 ménages riziculteurs, choisi de façon aléatoire simple sur la liste des bénéficiaires de l’approche Smart Valley. Ainsi, la statistique descriptive et le modèle de régression log-log ont servi d’outils d’analyses à l’aide du Logiciel SPSS version 21. Les résultats de la méthode de régression linéaire double logarithmique montrent que la productivité agricole est influencée positivement par la quantité d’engrais (urée) utilisée et la quantité d’herbicide total, le nombre de têtes de bovins, l’état de la fertilité des terres exploitées, l’expérience du producteur dans la production du riz, le nombre d’actif agricole dans le ménage et l’accès au financement agricole. Par contre, l’utilisation d’herbicides sélectifs et le manque de variétés à haut rendement ont une influence négative et significative sur la productivité agricole. Ainsi cette étude suggère une amélioration de la politique des appuis techniques, financiers et l’accès aux intrants de qualité afin de contribuer efficacement à l’amélioration de la productivité agricole au centre du Bénin The lack of knowledge on the technique of using new technologies and financing limits agricultural productivity in Central Benin. This article analyzed the determinants of rice productivity in a production system using the Smart Valley approach as a new technology in the Commune of Ouessè. The data was collected on a sample of 100 rice-growing households, chosen in a simple random way from the list of beneficiaries of the Smart Valley approach. Thus, the descriptive statistics and the log-log regression model were used as analysis tools using SPSS software version 21. The results of the double logarithmic linear regression method show that agricultural productivity is positively influenced by the amount of fertilizer (urea) used and the amount of total herbicide, the number of head of cattle, the state of the fertility of the land used, the producer's experience in rice production, the number of active agriculture in the household and access to agricultural finance. On the other hand, the use of selective herbicides and the lack of high-yielding varieties have a negative and significant influence on agricultural productivity. Thus, this study suggests an improvement in the policy of technical and financial support and access to quality inputs in order to contribute effectively to the improvement of agricultural productivity in central Benin.
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Maître d’Hôtel, Élodie, Pierre-Marie Bosc und Johny Egg. „L’action collective et la durabilité des filières agricoles au Costa Rica“. Économie rurale, Nr. 303-304-305 (01.06.2008): 123–35. http://dx.doi.org/10.4000/economierurale.631.

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Malikiyou, AWO Sourou, ALE Agbachi Georges und YABI Ibouraïma. „Vulnérabilité Future Des Systèmes De Productions Agricoles Face Aux Changements Climatiques Dans Le 4ème PDA : Cas Des Communes De Djidja Et De Djougou“. International Journal of Progressive Sciences and Technologies 25, Nr. 1 (05.03.2021): 445. http://dx.doi.org/10.52155/ijpsat.v25.1.2788.

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La variabilité climatique dans les communes de Djidja et de Djougou engendre des conséquences aussi bien sur les niveaux de productivités, de production que sur les revenus des exploitants agricoles. L’objectif de cette recherche est d’étudier la vulnérabilité future des systèmes de productions agricoles face aux changements climatiques dans les Communes de Djidja et de Djougou.L’approche méthodologique utilisée comprend la collecte des données, leur traitement et l’analyse des résultats. Les enquêtes ont été faites dans les villages choisis sur la base de critères bien définis (la taille de la population agricole et son implication dans la production agricole). La méthode de D. Schwartz (1995, p. 94) a permis de constituer l’échantillon de 377 producteurs. Enfin, une projection climatique sur la période 2019-2050/2075 est faite au moyen du logiciel climatique « Climate explorer ».Il ressort des résultats de l’étude que, dans la commune de Djougou, la variation au niveau de la température minimale actuelle (RCP8.5) est comprise entre -1,62°C en 1992 et 2,29°C en 2075. La température maximale quant à elle varie entre -1,40°C en 1994 à 2,18°C en 2075. C’est à partir de 2071 que l’augmentation de la température minimale va dépasser les 2°C et si rien n’est fait cette hausse va s’accroître et devenir permanente. De même, dans la commune de Djidja, la température minimale la plus élevée est observée en 2075 avec des variations de 1 à 2°C pour les RCP4.5 et RCP8.5. Au niveau de la température maximale, l’année la moins chaude est 1992 (-1,33mm/jour) pour RCP8.5 et 1991 (-1,02mm/jour) pour RCP4.5. La même évolution s’observe au niveau des températures maximales. L’année 1992 reste la plus déficitaire avec une chute de -1,60°C et l’année la plus excédentaire sera l’année 2075 avec une hausse de 2,18 mm par jour, sur la période 1992-2080. La corrélation est observée en 2042 avec une valeur de 0,322 mm par jour. L’examen des résultats révèle que les valeurs des paramètres climatiques à savoir précipitations et évaporation sont à la hausse sur la période 1980-2080 dans la commune de Djidja. Suivant la trajectoire actuelle, RCP8.5, les années les plus arrosées sont 2037, 2070 et 2073 avec respectivement des variations égales à 0,17mm et 0,27mm de pluie par jour. Face à ces difficultés, les populations agricoles adoptent des mesures pour contrer les contraintes climatiques.ABSTRACTClimatic variability in the communes of Djidja and Djougou has consequences both on the levels of productivity and production and on the income of farmers. The objective of this research is to study the vulnerability of agricultural production systems to climate change in the Communes of Djidja and Djougou.The methodological approach used includes data collection, processing and analysis of the results. The surveys were carried out in the villages chosen on the basis of well-defined criteria (the size of the agricultural population and its involvement in agricultural production). The method of D. Schwartz (1995, p. 94) made it possible to constitute the sample of 377 producers. Finally, a climate projection over the period 2019-2050 / 2075 is made using the climate software "Climate explorer".The results of the study show that, in the municipality of Djougou, the variation in the current minimum temperature (RCP8.5) is between -1.62 ° C in 1992 and 2.29 ° C in 2075. The maximum temperature varies between -1.40 ° C in 1994 to 2.18 ° C in 2075. It is from 2071 that the increase in the minimum temperature will exceed 2 ° C and if nothing is In fact, this increase will increase and become permanent. Similarly, in the municipality of Djidja, the highest minimum temperature is observed in 2075 withvariations of 1 to 2 ° C for RCP4.5 and RCP8.5. At maximum temperature, the coolest year is 1992 (-1.33mm / day) for RCP8.5 and 1991 (-1.02mm / day) for RCP4.5. The same development can be observed at the level of maximum temperatures. The year 1992 remains the most in deficit with a fall of -1.60 ° C and the year the most in surplus will be the year 2075 with an increase of 2.18mm per day, over the period 1992-2080. The correlation is observed in 2042 with a value of 0.322 mm per day. Examination of the results reveals that the values of climatic parameters, namely precipitation and evaporation, are on the rise over the period 1980-2080 in the municipality of Djidja. Following the current trajectory, RCP8.5, the wettest years are 2037, 2070 and 2073 with respectively variations equal to 0.17mm and 0.27mm of rain per day. Faced with these difficulties, agricultural populations are adopting measures to counter climatic constraints. Keywords: Djidja, Djougou, vulnerability, production system, agriculture, climate change.
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Rapley, Luke P., Geoff R. Allen und Brad M. Potts. „Genetic variation in Eucalyptus globulus in relation to susceptibility from attack by the southern eucalypt leaf beetle, Chrysophtharta agricola“. Australian Journal of Botany 52, Nr. 6 (2004): 747. http://dx.doi.org/10.1071/bt04007.

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The southern eucalypt leaf beetle, Chrysophtharta agricola (Chapuis), is an outbreak insect pest of commercial Eucalyptus globulus Labill. plantations in south-eastern Australia. We surveyed a young E. globulus family trial in southern Tasmania to determine whether genetic variation existed in the susceptibility of trees to C. agricola field oviposition. The family trial consisted of 225 families, derived from open-pollinated seed collected from native stands at 24 different localities, representing nine geographic subraces. The survey showed that E. globulus subraces from Victoria were significantly more susceptible to C. agricola oviposition than Tasmanian subraces. Significant additive genetic variation within subraces was evident for the number of egg batches, larval clutches and their combination (infestation level), although these heritability scores were all low (egg batches h2op = 0.09; larval clutches h2op = 0.14 and infestation level h2op = 0.11). Subsequent tree defoliation was significantly positively correlated with infestation at a phenotypic, genetic and environmental level. No significant differences in C. agricola oviposition on foliage sprigs was detected among subraces in an ex situ caged oviposition experiment. However, the cage experiment proved to be a good predictor of field oviposition, accounting for 70 and 88% of variation in field oviposition among localities and subraces, respectively.
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Parrot, Laurent, Yannick Biard, Dieuwke Klaver, Edit Kabré und Henri Vannière. „Les enjeux de l’évaluation et de la gouvernance des chaînes de valeur agricoles – Exemple de la mangue au Burkina Faso“. Perspective, Nr. 62 (2023): 1–4. http://dx.doi.org/10.19182/perspective/37189.

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L’évaluation intégrée des filières agricoles par des analyses économiques, sociales et environnementales a pour finalité de fournir les informations nécessaires et suffisantes pour orienter ou appuyer les décisions d’investissement dans le cadre d’un développement durable. Ces évaluations s’appuient d’une part sur des collectes de données et des analyses sur l’organisation de ces filières et, d’autre part, sur la stratégie de leurs acteurs. L’accès aux informations, leur fiabilité, ainsi que le contexte général dans lequel ces filières évoluent sont des dimensions essentielles. Le contexte peut rendre difficiles les décisions d’investir et la mise en œuvre de politiques sectorielles agricoles. En effet, investir nécessite une confiance en l’avenir car cela implique un endettement, donc une prise de risque et une responsabilité. Afin d’atténuer ce risque, l’investisseur a besoin d’informations et doit pouvoir y accéder. Dans les pays à faible revenu, les difficultés à appliquer des textes réglementaires et l’absence d’informations fiables compliquent le développement de chaînes de valeur agricoles durables, ainsi que les démarches pour les évaluer. Nous montrons comment les chaînes de valeur de la mangue au Burkina Faso sont concernées.
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Halamska, Maria. „Dekolektywizacja rolnictwa w Europie Środkowej. Bilans po 30 latach. Recenzja książki Marie-Claude Maurel Terre et propriété a l’est de l’Europe depuis 1990. Faiceau de droits, relations de pouvoir“. Wieś i Rolnictwo, Nr. 2 (191) (04.11.2021): 131–37. http://dx.doi.org/10.53098/wir022021/06.

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M.-C. Maurel, Terre et propriété à l’est de l’Europe depuis 1990. Faiceau de droits, relations de pouvoir, collection: Les Cahiers de la MSHE LEDOUX, nr 42, seria: Normes et practiques foncière et agricoles dans le monde, nr 2, Besançon: Presses Universitaires de Franche-Comté.
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