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Zeitschriftenartikel zum Thema „Catégories éditoriales“

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Rocher, Jean-Maurice. „Des relations étudiants-institution sur WeChat . Étude de publications lors d’une cérémonie de remise de diplômes en Chine“. Communication & langages N° 215-216, Nr. 1 (22.09.2023): 203–21. http://dx.doi.org/10.3917/comla1.215.0203.

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Cet article 1 questionne les pratiques d’étudiants chinois utilisateurs du réseau socionumérique Moments de WeChat , en regard de leur appartenance à une institution universitaire, et plus particulièrement de leur participation à la cérémonie de remise de diplôme 2020 organisée par celle-ci. Il s’agit de saisir comment les relations entre l’administration universitaire et les étudiants se perpétuent à travers les pratiques éditoriales en ligne de ces deux catégories d’acteurs interdépendants en présence, et quels sont leurs intérêts propres à activer le « dispositif communicationnel » au centre duquel figure WeChat . Le recours à l’analyse qualitative et comparative des messages publiés sur Moments par les étudiants et des articles diffusés par l’université fait entre autres apparaître un « jeu », plutôt qu’une tension, entre l’institué et l’instituant.
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ASRI, PUTRI ARUNA, PENGADILEN SEMBIRING und ANDI WETE POLILI. „UTILISATION DE L’IMPERSONNEL DANS L’ÉDITORIAL DU JOURNAL LE MONDE“. HEXAGONE Jurnal Pendidikan, Linguistik, Budaya dan Sastra Perancis 5, Nr. 2 (26.01.2017): 235. http://dx.doi.org/10.24114/hxg.v5i2.4662.

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Le français a un type de verbe qu’on dit impersonnel. On peut trouver l’utilisation de l’impersonnel dans la langue de presse, par exemple dans l’éditorial.Cette recherche a pour but savoir les catégories et les pronoms du sujet de l’impersonnel trouvés dans l’éditorial du journal Le Monde. La méthode de la recherche utilisée dans cette recherche est la méthode descriptive qualitative. La source de données de cette recherche se compose de 13 éditions d’éditorial qui sont analysées en utilisation la technique de documentation. Pour analyser les donées, la procédure comprend les étapes, entre autre, premièrement la chercheuse télécaharge 13 éditions du journal Le Monde, lit les espaces d’éditorial, souligne l’utilisation de l’impersonnel, calssifie les impersonnels trouvés selon les catégories, regroupe les catégories et les pronoms du sujet de l’impersonnel trouvés dans le tableau, analyse les catégories et les pronoms du sujet de l’impersonnel et fait la conclusion. Le résultat de cette analyse montre que les catégories de l’impersonnel trouvées dans l’éditorial sont deux, ce sont la catégorie du verbe essentiellement impersonnel et la catégorie du verbe personnel construit impersonnellement. Le pourcentage d’utilisation de la catégorie du verbe essentiellement impersonnel est 52,28% qui comprend les verbes falloir, s’agir et y avoir. Tandis que le pourcentage d’utilisation de la catégorie du verbe personnel construit impersonnellement est 47,72% qui comprend les verbes être, exister, sembler, arriver et suffire. Ensuite, les pronoms du sujet de l’impersonnel trouvés sont il et ce. Le pourcentage d’utilisation du pronom du sujet il neutre est 72,73% alors que le pourcentage d’utilisation du pronom du sujet démonstratif ce est 27,27%. Les chiffres montrent que le pronom il est plus utilisé que le pronom ce. Mots-clés : analyse, utilisation de l’impersonnel, éditorial, journal Le Monde
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Bernard, Alain. „La géométrie par problèmes. D’Ozanam à Clairaut puis La Chapelle“. Revue de Synthèse 143, Nr. 3-4 (06.12.2022): 457–94. http://dx.doi.org/10.1163/19552343-14234036.

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Résumé Le mode d’organisation par problèmes qui caractérise les Éléments de Géométrie d’Alexis Clairaut (1741) trouve plausiblement son origine dans l’introduction d’une catégorie éditoriale nouvelle dans une des éditions françaises des huit livres d’Euclide par le père Jésuite Claude-François Milliet-Dechales (1677) : celle des « Usages » adjoints à certaines propositions. La transformation de cette nouveauté éditoriale dans les commentaires de Jacques Ozanam au texte de Dechales en 1690, puis sa réélaboration dans son Cours mathématiques de 1693, conduit à un dispositif d’introduction à la géométrie très proche de ce que proposera ensuite Clairaut, moyennant plusieurs simplifications drastiques. Cette reconstruction est étayée par la lecture que proposera plus tard La Chapelle, dans ses Institutions de Géométrie (1746) aussi bien des « Usages » de Dechales et d’Ozanam que de la méthode d’exposition de Clairaut. Nous montrons au passage que La Chapelle s’inspire largement de cette dernière.
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Lunardi, Serena. „Lire les fabliaux au Moyen Âge et au xviiie siècle : les manuscrits Paris, BNF, fr. 2168 et Paris, Arsenal, 2770“. Études françaises 48, Nr. 3 (03.05.2013): 59–93. http://dx.doi.org/10.7202/1015390ar.

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L’article propose une réflexion sur la notion médiévale de « fabliau », sur la physionomie ambiguë et complexe des recueils médiévaux et sur les critères que la critique moderne utilise pour interpréter la littérature du Moyen Âge. On se concentre sur le ms. Paris, BNF, fr. 2168 : un recueil médiéval issu d’un projet éditorial unitaire, où l’on envisage néanmoins la présence de plusieurs manipulations ; on essaye de les analyser et de reconstruire, dans la mesure du possible, son assemblage original. Cette reconstruction permet tout d’abord de réfléchir sur l’agencement original des textes et sur les dynamiques intertextuelles que le recueil présente. Le croisement entre les données codicologiques et celles qui concernent les contenus permet quelques considérations à propos des destinataires du volume : le format et la mise en page du manuscrit, sa typologie, les textes qu’il contient, ainsi que le rapport étroit qu’il entretient avec le Nord-Est, amènent à supposer qu’il était adressé principalement à un public de laïcs désireux de s’instruire, voire aux milieux urbains qui étaient en train de se développer à l’époque. La réflexion portant sur les dynamiques intertextuelles permet de mieux comprendre comment ce public pensait et lisait la tradition littéraire de son époque. L’analyse des étiquettes génériques appliquées aux textes dans les rubriques du manuscrit permet enfin de formuler quelques considérations sur la question, toujours assez discutée, de la notion de « genre littéraire » au Moyen Âge et notamment sur la catégorie « fabliau ». Ensuite, on prend en compte la copie partielle du recueil faite au xviiie siècle par La Curne de Sainte-Palaye, conservée dans le ms. Paris, Arsenal, 2770. L’analyse de cette copie donne la possibilité de retourner à l’origine d’une tradition critique qui a contribué à la formulation des catégories que l’on utilise encore aujourd’hui pour interpréter le Moyen Âge et sa littérature.
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David, Gilbert. „Éléments d’analyse du paratexte théâtral : le cas du programme de théâtre“. L’Annuaire théâtral, Nr. 34 (06.05.2010): 96–111. http://dx.doi.org/10.7202/041542ar.

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Quelles sont les composantes du programme de théâtre, dans la perspective d’une théorie générale du paratexte théâtral? Après avoir repoussé les catégories de Genette concernant le paratexte littéraire, l’auteur de l’étude propose un autre modèle suivant lequel le programme est divisé en trois champs éditoriaux, sous la responsabilité d’une unique instance auctoriale (le producteur du spectacle) : le co-texte, l’avant-texte et le métatexte. Un tableau synoptique permet en outre de repérer une stratification de ce type particulier de paratexte, selon que les éléments (textuels et/ou visuels) portent sur le spectacle lui-même, sur le producteur (le personnel artistique, technique et administratif) ou sur la diffusion et la réception de la production. La prise en compte de la structure éditoriale du programme de théâtre constitue de la sorte un préalable méthodologique à toute analyse proprement discursive de son contenu.
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Cuny, Cécile, Alexa Färber und Anne Jarrigeon. „« L’urbain par l’image ». Retour sur la fabrique d’un objet éditorial collectif“. Communication & langages N° 215-216, Nr. 1 (22.09.2023): 101–19. http://dx.doi.org/10.3917/comla1.215.0101.

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L’ouvrage collectif L’urbain par l’image, collaborations entre arts visuels et sciences sociales (Creaphis, mars 2020) ouvre la boite noire des pratiques de collaboration entre artistes, chercheuses et chercheurs. Il déplie leurs arrangements matériels, leurs temporalités, leurs objets, leurs techniques, leurs références et catégories. Sa maquette, délibérément expérimentale, a été réalisée avec un éditeur particulièrement attentif aux spécificités de chaque projet et à leur dimension visuelle. Nous revenons ici sur la fabrique de cet objet éditorial. Les choix esthétiques et de médiation qu’il active offrent une entrée privilégiée pour questionner les transformations du statut de l’image dans la recherche urbaine. Dans cet espace de pratiques, l’analyse des multiples articulations d’un travail collaboratif contextualisé permet de réinterroger les potentialités de l’image et ses actualisations.
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CANDELIER, Kévin, Jean-François TRÉBUCHON und Clarisse VAUTRIN. „Bois et Forêts des Tropiques une revue pour la promotion des sciences forestières appliquées et les partenariats Sud-Nord et Sud-Sud“. BOIS & FORETS DES TROPIQUES 354 (01.12.2022): 3–6. http://dx.doi.org/10.19182/bft2022.354.a37109.

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La revue Bois et Forêts des Tropiques est éditée en continu depuis 1947 par le CTFT (Centre technique forestier tropical) puis par le Cirad (l’organisme français de recherche agronomique et de coopération internationale pour le développement durable des régions tropicales et méditerranéennes), en France. Cette revue publie des articles originaux de recherche appliquée ancrée territorialement ainsi que des documents techniques sur les sciences de la foresterie et les bois en régions chaudes. Des résumés de thèse de doctorat, des descriptifs techniques et des rapports de séminaires sont occasionnellement publiés. Tous les articles sont soumis à l’examen d’au moins deux membres du comité de rédaction afin d’en estimer les potentiels rédactionnels et éditoriaux ainsi que le fond scientifique, et ensuite à une évaluation selon un système en double aveugle menée par des examinateurs externes, intervenant bénévolement et suivant leurs disponibilités et domaines d’expertise. Un comité éditorial, renouvelé tous les trois ans et qui rassemble une trentaine de chercheurs du Nord et du Sud pour la période 2020-2022 (figure 1), selon une parité du genre et un équilibre Nord-Sud et générationnel, veille à la qualité du contenu de la revue, en lien avec les évolutions thématiques des recherches sur l’environnement de la forêt, de l’arbre et du bois. Une attention particulière à la faible représentation des régions de l’Asie et de l’Océanie (figure 1) au sein de ce comité éditorial sera portée lors du prochain renouvellement de l’équipe en 2023. Ce processus d’évaluation nécessite du temps, mais constitue un outil incontournable permettant de s’assurer de la qualité scientifique et de l’impact des articles publiés dans la revue. La durée du traitement d’un article, entre la soumission du manuscrit par les auteurs et l’acceptation définitive pour publication, est de 6 mois en moyenne. À cela s’ajoute le temps d’édition pour publier l’article qui est de l’ordre de 4 mois (figure 2). La durée de chacune de ces étapes est relativement stable sur les cinq dernières années (figure 2B). La compression de ces délais est assujettie à la qualité des travaux présentés, à l’aspect novateur des contenus et à la réactivité des différents acteurs intervenant dans le processus éditorial (auteurs, relecteurs, rédacteurs scientifiques, rédacteur en chef, équipe d’édition). Des thématiques multiples sur des sujets d’actualité À l’interface entre la recherche et le développement, la revue est entièrement consacrée aux sciences et techniques de la filière Forêts-Bois en régions chaudes, foresterie au sens large (gestion multifonctionnelle des espaces ruraux et forestiers, et approches environnementales qui en découlent), incluant les sciences et technologies du bois et de ses matériaux dérivés. La représentation visuelle de l’analyse des mots-clés les plus cités dans les articles publiés sur la période 2018-2022 (figure 3, Photo 1) reflète fidèlement le panorama des thématiques et des sites géographiques les plus traités dans Bois et Forêts des Tropiques durant la période écoulée. Un soutien pour les pays du Sud, un modèle éditorial « Diamant », et une notoriété en constante augmentation Tous les articles publiés sont entièrement et immédiatement accessibles aux lecteurs et utilisateurs du monde entier, sans embargo, sous les formats de fichier PDF (Portable Document Format), ainsi que le préconise le modèle éditorial Diamant, gratuit pour les lecteurs et les auteurs. Les auteurs sont libres d’archiver et de diffuser leurs articles comme ils le souhaitent, en conservant tous les droits (licence CC-BY). La revue reste gratuite, en accès libre et soutenue financièrement par le Cirad. Conformément au mandat de partenariat porté par cet organisme de recherche, la revue est au service de la publication de travaux de recherche appliquée dans le domaine des sciences forestières, en soutien et en coopération avec la recherche au Sud. Publiée en français ou en anglais (et en espagnol pour des articles anciens), la revue a choisi d’accompagner les jeunes chercheurs et les chercheurs ou enseignants-chercheurs expérimentés oeuvrant dans l’univers de la recherche forestière appliquée. Ces cinq dernières années (2018-2022), un peu moins de la moitié (43 %) des articles publiés ont été rédigés en anglais (figure 4). La part des manuscrits rédigés en anglais fluctue chaque année, mais reste comprise entre 38 % en 2018 et 50 % en 2022 (figure 4B). Dans la continuité de cette démarche bilingue, Bois et Forêts des Tropiques assure les traductions des titres, des résumés et des légendes des figures de chaque article (français, anglais et espagnol pour les résumés ; français et anglais pour les titres et légendes des figures). Ce modèle éditorial permet aujourd’hui à la revue de maintenir un large impact des articles publiés. Cela reste un des engagements du comité de rédaction au cours de ces dernières années et restera la motivation centrale de l’équipe éditoriale dans la vie future de Bois et Forêts des Tropiques. Cette identification par le lectorat s’illustre par l’évolution constante des indices de notoriété des bases de données internationales attribués à la revue, qui étaient pour l’année 2021 à la valeur de 11 pour l’indice H (6 en 2018), 1,1 pour l’indice CiteScore (0,5 en 2018) et 0,94 pour le facteur d’impact (FI-3 ans Web of Science) (0,35 en 2018) (figure 5). Aujourd’hui, la revue est également répertoriée dans les catégories « CiteScore », « Écologie » (Q3, quartile 3), « Écologie, évolution, comportement et systématique » (Q3, quartile 3), « Foresterie » (Q3, quartile 3). Des sciences forestières en partenariat avec et vers les pays du Sud La revue Bois et Forêts des Tropiques porte à la connaissance des résultats de recherche appliquée sur les forêts des régions intertropicales et méditerranéennes, dans plus de soixante pays, privilégiant une recherche coopérative appliquée associant le Sud et le Nord. Toutefois, la réalité est plus nuancée et illustre un changement de paradigme. Les articles publiés au cours de ces cinq dernières années reflètent bien l’esprit de partenariat entre les pays et entre les instituts, avec en première portion un ensemble Nord-Sud (31 %) et Sud-Sud (16 %) menant des projets de recherche et de développement conjoints (figure 6 et figure 7A), conduits dans des zones intertropicales et méditerranéennes (figure 7B). La deuxième portion des articles publiés concerne les études menées par un seul pays du Sud (35 %) avec des partenariats entre les instituts nationaux. Une troisième portion concerne l’ensemble des articles publiés issus de partenariats Nord-Nord et intra-Pays Nord, dans lesquels les terrains d’étude concernés sont situés en zones tropicale ou méditerranéenne (figure 7B). La part des partenariats impliquant uniquement des pays du Sud représente la moitié des travaux publiés dans Bois et Forêts des Tropiques (partenariats Intra-Pays Sud et Sud-Sud, cf. ligne rouge figure 6). Enfin, la revue est destinée résolument à l’attention des pays du Sud (82 %) en favorisant les partenariats à l’intérieur des pays du Sud, Nord-Sud et Sud-Sud. Place du Cirad au sein de la revue et dans les partenariats Depuis 75 ans, le CTFT, puis le Cirad s’engagent dans une stratégie institutionnelle pour la science ouverte, la valorisation et la libre diffusion des connaissances tout en contribuant à répondre aux enjeux de développement de leurs partenaires dans le monde. Outre l’investissement du comité de rédaction de la revue Bois et Forêts des Tropiques, les chercheurs du Cirad s’impliquent dans des projets de recherche et de développement menés en étroits partenariats avec les institutions du Sud. Ils représentent un quart des articles publiés dans la revue au cours de ces cinq dernières années (figure 8). Ce niveau d’implication fluctue autour du seuil de 20 %, année après année. La part des manuscrits émanant uniquement du Cirad avec ou sans l’implication de ses partenaires des pays du Nord ne représente qu’une faible proportion, soit 4 % et 3 %, respectivement. La dernière portion (73 %) représente donc les articles publiés dans lesquels le Cirad n’est pas partenaire et ne joue aucun rôle dans les études correspondantes. Les chercheurs du Cirad interviennent dans la revue, en appui aux pays et aux institutions du Sud, et non pas pour s’octroyer une niche éditoriale, respectant en cela le mandat de la revue. Leurs contributions se matérialisent également dans l’évaluation en double aveugle des manuscrits en tant que relecteurs, dans l’équipe éditoriale et dans le comité éditorial. Bois et Forêts des Tropiques persiste à appuyer collectivement les pays du Sud en s’épaulant d’instituts de recherche et/ou de développement internationaux, et compte aussi sur leurs engagements pour continuer à faire évoluer et progresser la revue pour le bénéfice du Sud et du Nord.
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Connan-Pintado, Christiane. „Quand un « classique » illustre les classiques. Jean Claverie et les Contes de Perrault“. Ondina - Ondine, Nr. 9 (29.12.2023): 177–92. http://dx.doi.org/10.26754/ojs_ondina/ond.202396223.

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En réponse à une commande éditoriale ou, plus rarement, à une intention personnelle, les artistes de l’album se confrontent aux œuvres patrimoniales dont ils renouvellent la lecture par leurs illustrations. Tel est le phénomène que nous proposons d’aborder à partir de l’illustration des Contes de Perrault par Jean Claverie. Nombre de critères permettent de classer cet artiste de l’album dans la catégorie des « classiques » du genre : sa légitimation par des prix prestigieux, par l’institution scolaire, par la critique universitaire ; le Centre de l’illustration de Moulins, ouvert en 2005, lui a consacré une exposition monographique dès l’année suivante. L’illustration des contes occupe une place centrale dans son œuvre qui débute en 1977 avec la légende du Joueur de flûte de Hamelin. D’abord éclectique – Bechstein, Grimm, Andersen, Wilde, Beck – il manifeste par la suite une véritable prédilection pour Perrault dont il illustre six contes. Tout en les situant dans leur contexte, Jean Claverie parvient à nous les rendre proches en humanisant leurs personnages. Fidèle à son style personnel, il épouse l’esprit de l’auteur patrimonial dont il mime iconographiquement la « narration enjouée » et les facéties, car il sait viser, comme lui, un double destinataire. Mots clés classique, album, légitimation, illustration, Contes Perrault.
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Polycandrioti, Ourania. „Lectures pour enfants. Productions originales et traductions au XIXe siècle en Grèce“. Historical Review/La Revue Historique 12 (30.12.2015): 101. http://dx.doi.org/10.12681/hr.8803.

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<p>La formation progressive de la littérature pour la jeunesse en Grèce pendant le<br />XIXe siècle est principalement fondée sur les textes qui circulaient en Europe et reflète<br />les tendances culturelles européennes, tout comme il s’est passé avec les autres catégories<br />littéraires pour adultes. La production grecque originale, qui se situe aux deux dernières<br />décennies du XIXe siècle, émerge des traductions abondantes antérieures des oeuvres<br />étrangères et puisa dans leurs libres paraphrases et leurs adaptations selon la réalité culturelle<br />grecque. Ces adaptations drastiques des originaux, tout à fait légitimes quant à la déontologie<br />littéraire de l’époque, présupposent des traducteurs–créateurs très actifs dans le processus de<br />l’écriture; elles présupposent donc la re-création du texte original, presque son éclatement<br />en vue de son adaptation conceptuelle, sociale et culturelle aux réalités du pays. La littérature<br />pour la jeunesse donc pendant le XIXe siècle et jusqu’en 1880 est principalement traduite<br />du français, mais aussi de l’allemand et de l’anglais et reflète les concepts et les modèles<br />pédagogiques ainsi que les mouvements intellectuels européens. Les lectures pour la jeunesse,<br />des traductions dans leur grande majorité, révèlent les transferts culturels particuliers sur<br />lesquels s’est fondée la formation de l’identité culturelle et nationale grecque. En même<br />temps, elles arrivèrent à créer une longue tradition éditoriale et textuelle, qui, dans un certain<br />sens, reflète également la production originale grecque.</p>
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Damian-Gaillard, Béatrice. „Sexuality Stereotypes and Fantasies of Consumers of French Male Heterosexual Pornographic Media.“ Sur le journalisme, About journalism, Sobre jornalismo 8, Nr. 2 (20.12.2019): 46–61. http://dx.doi.org/10.25200/slj.v8.n2.2019.401.

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EN. Based on a survey of the French male heterosexual pornographic press, this paper addresses the class and gender stereotypes writers and editors have of their readership and their sexuality. The analysis is based on publishing company data, editorial guidelines for publications representative of the sector and individual interviews with four managers and nine editors. It identifies the commercial, professional and social issues underlying the construction and deployment of these stereotypes. The study is divided into two parts. The first sheds light on the heterogeneity of existing editorial positions that result from strategies such as market segmentation, content specialization and targeting of readers (as practiced in the conventional magazine press). The second part analyzes the stereotypes advanced by editors-in-chief and journalists about the sexualities of their readers, and their own professional and social challenges, demonstrating how these stereotypes are part of discursive strategies to counteract the social abasement of their career due to the social illegitimacy of pornography. It also examines how these stereotypes influence pornographic discourses and their modes of production, and more broadly how the agents of this press confine their readers to a certain category of masculinity and sexuality, exercising a type of domination based on class and gender stereotypes. *** FR. Basé sur une enquête sur la presse pornographique hétérosexuelle masculine française, cet article s'intéresse aux stéréotypes de classe et de genre que les journalistes et les rédacteurs en chef ont sur leurs lecteurs et leur sexualité. L'analyse s'appuie sur les données des éditeurs de ces médias, les lignes éditoriales de publications représentatives du secteur et des entretiens individuels avec quatre directeurs de publication et neuf éditeurs. L’étude identifie les enjeux commerciaux, professionnels et sociaux qui sous-tendent la construction et le déploiement de ces stéréotypes. Ce travail est divisé en deux parties. La première met en lumière l'hétérogénéité des positions éditoriales existantes, résultant de stratégies telles que la segmentation du marché, la spécialisation des contenus et le ciblage des lecteurs (comme cela se pratique dans la presse magazine classique). La deuxième partie analyse les stéréotypes véhiculés par les rédacteurs en chef et les journalistes sur la sexualité de leurs lecteurs ainsi que leurs propres défis professionnels et sociaux, en montrant comment ces stéréotypes s'inscrivent dans des stratégies discursives qui tendent à contrer l'humiliation sociale de leur carrière due à l'illégitimité de la pornographie dans la société. Enfin, cette recherche examine également comment ces stéréotypes influencent les discours pornographiques et leurs modes de production, et plus largement comment les agents de cette presse confinent leurs lecteurs à une certaine catégorie de masculinité et de sexualité, exerçant une forme de domination fondée sur les stéréotypes de classe et de genre. *** PT. Com base em uma pesquisa da imprensa pornográfica heterossexual masculina francesa, este artigo aborda os estereótipos de classe e gênero que escritores e editores têm de seus leitores e de sua sexualidade. A análise é baseada na publicação de dados da empresa, diretrizes editoriais para publicações representativas do setor e entrevistas individuais com quatro gerentes e nove editores. Ela identifica as questões comerciais, profissionais e sociais subjacentes à construção e implantação desses estereótipos. O estudo está dividido em duas partes. A primeira esclarece a heterogeneidade das posições editoriais existentes que resultam de estratégias como segmentação de mercado, especialização de conteúdo e direcionamento de leitores (como praticado na imprensa convencional de revista). A segunda parte analisa os estereótipos adiantados por editores-chefes e jornalistas sobre as sexualidades de seus leitores e seus próprios desafios profissionais e sociais, demonstrando como esses estereótipos fazem parte de estratégias discursivas para neutralizar o rebaixamento social de sua carreira devido à ilegitimidade social da pornografia. Também examina como esses estereótipos influenciam os discursos pornográficos e seus modos de produção e, de maneira mais ampla, como os agentes desta imprensa confinam seus leitores a uma determinada categoria de masculinidade e sexualidade, exercendo um tipo de dominação com base nos estereótipos de classe e gênero. ***
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GUYOMARD, H., B. COUDURIER und P. HERPIN. „Avant-propos“. INRAE Productions Animales 22, Nr. 3 (17.04.2009): 147–50. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2009.22.3.3341.

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L’Agriculture Biologique (AB) se présente comme un mode de production agricole spécifique basé sur le respect d’un certain nombre de principes et de pratiques visant à réduire au maximum les impacts négatifs sur l’environnement. Elle est soumise à des interdictions et/ou des obligations de moyens, par exemple l’interdiction des Organismes Génétiquement Modifiés (OGM), des engrais de synthèse et des pesticides ou l’obligation de rotations pluriannuelles. Dans le cas de l’élevage, les critères portent sur l’origine des animaux, les conditions de logement et d’accès aux parcours, l’alimentation ainsi que la prévention et le traitement des maladies. Ainsi, la prévention des maladies est principalement basée sur l’utilisation de techniques d’élevage stimulant les défenses naturelles des animaux et, en cas de problème sanitaire, le recours à l’homéopathie ou à la phytothérapie ; l’emploi d’autres médicaments vétérinaires n’est pas exclu à condition de respecter des conditions réglementaires strictes1. L’AB s’inscrit dans des filières d’approvisionnement et de commercialisation incluant la transformation et la préparation des aliments, la distribution de gros et/ou de détail et le consommateur final. Dans tous les pays, agriculteurs, conditionneurs et importateurs doivent se conformer à des réglementations pour associer à leurs produits un étiquetage attestant de leur nature biologique. Les produits issus de l’AB sont certifiés et des mécanismes d’inspection assurent le respect des règlements. L’AB mondiale est aujourd’hui encore une activité marginale au regard des terres consacrées (moins de 2%), du nombre d’agriculteurs engagés ou des volumes concernés. Il s’agit toutefois d’une activité en forte croissance avec, par exemple, un triplement des surfaces mondiales dédiées entre 1999 et aujourd’hui. Le marché mondial des produits issus de l’AB était estimé à 25 milliards d’euros en 2006, soit deux fois plus qu’en 2000 (données IFOAM). La consommation est très fortement concentrée, à plus de 95% en Amérique du Nord d’une part, et en Europe de l’Ouest où les principaux marchés sont l’Allemagne, l’Italie, la France et le Royaume-Uni, d’autre part. Sur ces deux continents, les importations sont nécessaires pour pallier le déficit de l’offre domestique au regard de la demande intérieure. Ceci est particulièrement vrai en France. Selon le ministère en charge de l’agriculture (2009), «la demande [française] de produits issus de l’AB croît de 10% par an depuis 1999. Or, l’offre [nationale] de produits issus de l’AB est aujourd’hui insuffisante pour satisfaire cette demande croissante. Les surfaces des 11 970 exploitations agricoles françaises en AB ne représentent que 2% de la surface agricole. Par défaut d’organisation entre les producteurs et à cause de l’éparpillement des productions, une part significative des produits bio n’est pas valorisée». Et simultanément, 25% environ de la consommation française de produits bio est satisfaite par des importations. Cette situation a conduit le Ministre en charge de l’agriculture à proposer, dans le cadre du Grenelle de l’environnement, un plan visant le triplement à l’horizon 2012 des surfaces françaises en AB (6% de la surface agricole utile en 2012). Pour atteindre cet objectif, le plan inclut un soutien budgétaire à la structuration de la filière bio (sous la forme d’un fonds de structuration doté de 15 millions d’euros sur cinq ans), la mobilisation de la recherche (notamment sous la forme de crédits «recherche»), un soutien accru aux exploitations converties en AB (via le déplafonnement des 7 600 €/an/unité des aides agro-environnementales pour les exploitations en conversion vers l’AB et une augmentation de l’enveloppe dédiée, ainsi que la reconduction du crédit d’impôt en 2009, celui-ci étant par ailleurs augmenté) et enfin, l’obligation dès 2012 faite à la restauration collective de proposer dans ses menus 20% de produits issus de l’AB. Enfin, dans le cadre du bilan de santé de la Politique Agricole Commune (PAC) du 23 février 2009, une aide spécifique aux exploitations en AB d’un montant d’un peu moins de 40 millions d’euros a été adoptée. Le plan français en faveur de l’AB, popularisé sous le libellé «AB : objectif 2012», vise donc à développer la production domestique de produits issus de l’AB via la fixation d’un objectif quantitatif en termes de surfaces dédiées en jouant simultanément sur la demande (via une contrainte d’incorporation de produits issus de l’AB dans la restauration collective) et l’offre (via, de façon générale, un soutien augmenté aux exploitations en conversion vers l’AB et déjà converties à l’AB). Dans ce contexte, le comité éditorial de la revue Inra Productions Animales et la direction de l’Inra ont souhaité apporter un éclairage scientifique sur les acquis, les verrous et les perspectives en matière d’élevage AB. Ce numéro a été coordonné par J.M. Perez avec l’aide de nombreux relecteurs : que tous soient ici remerciés. Après une présentation du cahier des charges français et de la réglementation communautaire (Leroux et al), le numéro se décline en trois parties : une série d’articles sur différentes filières animales concernées (avicole, porcine, bovine allaitante, ovine allaitante), un focus sur deux approches à l’échelle des systèmes d’élevage (ovin allaitant et bovin laitier), et enfin des articles centrés sur les problèmes les plus aigus rencontrés dans le domaine de la gestion sanitaire et de la maitrise de la reproduction. L’article conclusif de Bellon et al fait le point sur les principales questions de recherche qui demeurent. En aviculture (Guémené et al), à l’exception de l’œuf, la production bio reste marginale, mais les filières sont bien organisées. Cette situation résulte d’une relative synergie avec les filières label rouge, avec lesquelles elles partagent plusieurs caractéristiques (types génétiques, longue durée d’élevage, parcours). Des difficultés multiples subsistent néanmoins. La production bio est pénalisée par le manque de poussins AB, des difficultés de maintien de l’état environnemental et sanitaire des parcours, la rareté de l’aliment bio et la difficulté d’assurer l’équilibre en acides aminés des rations (pas d’acides aminés de synthèse), élément susceptible d’expliquer la surmortalité constatée en pondeuse (liée à des problèmes comportementaux). Par suite, les performances sont inférieures à celles de l’élevage conventionnel (augmentation de la durée d’élevage et de l’indice de conversion) et l’impact environnemental, bien qu’amélioré quand il est rapporté à l’hectare, est moins favorable quand il est mesuré par unité produite, à l’exception notable de l’utilisation de pesticides. Prunier et al aboutissent aux mêmes conclusions dans le cas de la production de porcs AB. Relativement au conventionnel, les contraintes sont fortes sur le plan alimentaire (rareté de l’aliment AB, problème d’équilibre en acides aminés des rations) et de la conduite d’élevage (interdiction ou limitation des pratiques de convenance, âge des animaux au sevrage de 40 jours, difficultés de synchronisation des chaleurs et des mises bas, limitation des traitements vétérinaires). Ces contraintes et la grande diversité des élevages de porcs AB se traduisent par une forte variabilité des performances en termes de survie, reproduction, composition corporelle ou qualité des produits : autant de critères qu’il conviendra de mieux maîtriser à l’avenir pour assurer la pérennité de l’élevage porcin AB. Les performances zootechniques et économiques de l’élevage bovin allaitant bio sont abordées dans l’article de Veysset et al à partir d’un échantillon limité d’exploitations situées en zones défavorisées. Les caractéristiques des unités AB diffèrent peu de celles de leurs voisines en élevage conventionnel ; avec un chargement à l’hectare plus faible mais une plus grande autonomie alimentaire, les résultats techniques des élevages AB sont proches de ceux des élevages conventionnels et ce, en dépit d’une moindre production de viande vive par unité de bétail, en raison d’un cycle de production en moyenne plus long. Sur le plan économique, les charges plus faibles (pas de traitements antiparasitaires, pas de vaccinations systématiques) ne suffisent pas à compenser un moindre produit à l’hectare. Un verrou majeur est le déficit de gestion collective de la filière verticale (absence totale de débouché en AB pour les animaux maigres, en particulier) qui se traduit par un problème aigu de sous-valorisation puisque dans l’échantillon enquêté 71% des animaux sont vendus sans signe de qualité : nul doute qu’il s’agit là d’une priorité d’action. En élevage ovin (Benoit et Laignel), également sur la base d’un échantillon malheureusement restreint, les différences de performances techniques et économiques des élevages conventionnels versus bio varient sensiblement selon la localisation géographique, plaine ou montagne ; il est de ce fait difficile (et dangereux) de dégager des enseignements généraux valables pour l’élevage bio dans son ensemble. L’étude détaillée des adaptations des systèmes d’élevage aux potentialités agronomiques réalisée sur quatre fermes expérimentales montre néanmoins le rôle clé de la variable «autonomie alimentaire». Par suite, la situation économique des élevages ovins bio est plus difficile en zone de montagne où l’autonomie alimentaire, voire fourragère, est moindre (l’achat des aliments non produits sur l’exploitation représente 41% du prix de vente des agneaux dans l’échantillon enquêté). In fine, cela suggère que la variabilité des performances de l’élevage ovin bio, de plaine et de montagne, dépend plus du coût de l’aliment et de la valorisation des agneaux que de la productivité numérique. L’article de Benoit et al porte également sur l’élevage ovin biologique, plus précisément la comparaison de deux systèmes ovins allaitants AB différant par le rythme de reproduction des animaux. Cela montre que les performances de l’élevage ovin AB ne s’améliorent pas quand le rythme de reproduction est accéléré, le faible avantage de productivité numérique ne permettant pas de compenser l’augmentation des consommations d’aliments concentrés et la moindre qualité des agneaux. Au final, cela illustre la plus grande difficulté à piloter le système AB le plus intensif. L’article de Coquil et al relève aussi d’une approche systémique appliquée cette fois à l’élevage bovin laitier. Il porte sur l’analyse d’un dispositif original de polyculture-élevage mis en place à la Station Inra de Mirecourt reposant sur la valorisation maximale des ressources du milieu naturel et accordant une importance première à l’autonomie en paille et à la culture des légumineuses (protéagineux, luzerne). Le cheptel valorise les produits végétaux (prairies et cultures) et assure la fertilisation des parcelles en retour. L’autonomie alimentaire étant privilégiée, les effectifs animaux sont une variable d’ajustement, situation plutôt inhabituelle par comparaison avec des élevages laitiers conventionnels qui cherchent en premier lieu à maintenir les cheptels et les capacités de production animale. Les premiers retours d’expérience suggèrent une révision du dispositif en maximisant les synergies et les complémentarités plutôt que de considérer que l’une des deux activités, la culture ou l’élevage, est au service de l’autre. Cabaret et al proposent un éclairage sur les problèmes sanitaires en élevage biologique. Sur la base, d’une part, d’une analyse des déclaratifs des acteurs de l’élevage, et, d’autre part, d’évaluations aussi objectivées que possible, les chercheurs montrent qu’il n’y aurait pas de différence notable entre l’AB et le conventionnel sur le plan des maladies infectieuses et parasitaires (nature, fréquence). La gestion de la santé des cheptels AB repose davantage sur l’éleveur que sur les prescripteurs externes auxquels il est moins fait appel, et sur une planification sanitaire préalable privilégiant la prévention et une réflexion de plus long terme sur la santé globale du troupeau, l’ensemble des maladies qui peuvent l’affecter, etc. La planification n’est pas uniquement technique. Elle requiert aussi l’adhésion des éleveurs. De fait, l’enquête analysée dans cet article relative aux élevages ovins allaitants met en lumière l’importance de ces aspects individuels et culturels sur la gestion de la santé en élevage biologique. Les alternatives aux traitements anthelminthiques en élevage ruminant AB font l’objet de nombreux travaux (Hoste et al). Différents moyens de lutte contre les parasitoses sont mis en œuvre : gestion du pâturage de façon à limiter le parasitisme helminthique (rotations, mise au repos, assainissement), augmentation de la résistance de l’hôte (génétique, nutrition, vaccination), et traitements alternatifs des animaux infectés (homéopathie, phytothérapie, aromathérapie). Les protocoles d’évaluation objective de ces traitements alternatifs posent des problèmes méthodologiques non totalement résolus à ce jour. Mais traiter autrement, c’est aussi réduire le nombre de traitements anthelminthiques de synthèse via un emploi plus ciblé (saison, catégories d’animaux). Au total, de par la contrainte du cahier des charges à respecter, l’élevage biologique a recours à l’ensemble des moyens de lutte contre les maladies parasitaires. Dans le cadre de cette approche intégrée de la santé animale, l’élevage biologique peut jouer un rôle de démonstrateur pour l’ensemble des systèmes d’élevage concernés par le problème de la résistance et des alternatives aux anthelminthiques utilisés à grande échelle. Même si la réglementation n’impose pas de conduites de reproduction spécifiques en élevage AB, elle contraint fortement les pratiques, notamment l’utilisation des traitements hormonaux. L’impact de ces contraintes est particulièrement fort en élevage de petits ruminants (où le recours à des hormones de synthèse permet l’induction et la synchronisation des chaleurs et des ovulations) et en production porcine (où la synchronisation des chaleurs et des mises bas est très pratiquée). Néanmoins, Pellicer-Rubio et al rappellent que des solutions utilisées en élevage conventionnel peuvent également être mobilisées en élevage biologique, l’effet mâle et les traitements photopériodiques naturels notamment, et ce dans toutes les filières, en particulier celles fortement consommatrices de traitements hormonaux. De façon générale, les marges de progrès sont encore importantes et les solutions seront inévitablement multiformes, combinant diverses techniques selon une approche intégrée. Ici aussi, l’AB veut être valeur d’exemple, en particulier dans la perspective d’une possible interdiction des hormones exogènes en productions animales. L’article de Bellon et al conclut le numéro. Il met l’accent sur quatre thématiques prioritaires de recherche à développer, à savoir 1) la conception de systèmes d’élevage AB, 2) l’évaluation de l’état sanitaire des troupeaux et le développement d’outils thérapeutiques alternatifs, 3) la maîtrise de la qualité des produits et 4) l’étude des interactions entre élevage AB et environnement. A ces quatre orientations, on ajoutera la nécessité de recherches sur l’organisation des filières, la distribution, les politiques publiques, etc. dans la perspective de différenciation et de valorisation par le consommateur des produits issus de l’élevage biologique. Dans le droit fil de ces conclusions, l’Inra a lancé, ce printemps, un nouvel appel à projets de recherche sur l’AB dans le cadre du programme dit AgriBio3 (programme qui prend la suite de deux premiers programmes également ciblés sur l’AB). Les deux grandes thématiques privilégiées sont, d’une part, les performances techniques de l’AB (évaluation, amélioration, conséquences sur les pratiques), et, d’autre part, le développement économique de l’AB (caractérisation de la demande, ajustement entre l’offre et la demande, stratégie des acteurs et politiques publiques). Ce programme, associé à d’autres initiatives nationales (appel à projets d’innovation et de partenariat CASDAR du ministère en charge de l’agriculture) et européennes (programme européen CORE Organic en cours de montage, suite à un premier programme éponyme), devrait permettre, du moins nous l’espérons, de répondre aux défis de l’AB, plus spécifiquement ici à ceux de l’élevage biologique. Un enjeu important est aussi que les innovations qui émergeront de ces futurs programmes, tout comme des travaux pionniers décrits dans ce numéro, constituent une source d’inspiration pour faire évoluer et asseoirla durabilité d’autres formes d’élevage.
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Stewart, Sherry H. „Editorial: Announcing the Winner of the Inaugural JGI Scholar’s Award for Research Excellence (Category B: Cognitive, Developmental, Biobehavioral, and Neuroimaging Research)“. Journal of Gambling Issues, Nr. 34 (01.08.2017). http://dx.doi.org/10.4309/jgi.2016.34.1.

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Editorial: Announcing the Winner of the Inaugural JGI Scholar’s Award for Research Excellence (Category B: Cognitive, Developmental, Biobehavioral, and Neuroimaging Research) Éditorial : Annonce du gagnant de la bourse inaugurale JGI pour l’excellence en recherche (Catégorie B pour la recherche cognitive, développementale, biocomportementale ou en neuroimagerie
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Stewart, Sherry H. „Editorial: Announcing the Winner of the Inaugural JGI Scholar’s Award for Research Excellence (Category B: Cognitive, Developmental, Biobehavioral, and Neuroimaging Research)“. Journal of Gambling Issues, Nr. 34 (01.08.2017). http://dx.doi.org/10.4309/jgi.v0i34.3954.

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Editorial: Announcing the Winner of the Inaugural JGI Scholar’s Award for Research Excellence (Category B: Cognitive, Developmental, Biobehavioral, and Neuroimaging Research) Éditorial : Annonce du gagnant de la bourse inaugurale JGI pour l’excellence en recherche (Catégorie B pour la recherche cognitive, développementale, biocomportementale ou en neuroimagerie
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Courbières, Caroline. „MÉDIATIONS CROISÉES ET PARCOURS D’ÉDITION GENRÉS : UNE ESQUISSE DE LA FIGURE ADOULESCENTE“. La conception de dispositifs info-communicationnels 4 (04.06.2018). http://dx.doi.org/10.7202/1046999ar.

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Le jeune, qu’on le nomme ado, préado, ou jeune adulte, constitue une catégorie instable que les langages d’indexation et les acteurs du monde du livre entreprennent de définir, notamment à travers ses pratiques de lecture. L’étude croisée du discours documentaire (en l’occurrence, le langage RAMEAU et la classification CLIL) et de celui des maisons d’édition permet de cerner les contours de la figure adoulescente et de questionner le genre, aussi bien social que littéraire. On observe in fine un marquage sexuel, à la fois dans la définition de son identité et dans la structuration de l’offre éditoriale jeunesse.
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Guijarro Arribas, Delia. „La jeunesse se met en poche : genèse et mutations d’une catégorie éditoriale“. Strenae, Nr. 16 (15.06.2020). http://dx.doi.org/10.4000/strenae.4413.

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„Approche quantitative d’un projet intellectuel“. Annales. Histoire, Sciences Sociales 75, Nr. 3-4 (September 2020): 583–608. http://dx.doi.org/10.1017/ahss.2021.10.

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Approche quantitative d’un projet intellectuelDepuis 1990, les Annales ont publié 1 182 articles. Cette production éditoriale peut être appréhendée de façon quantitative et éclairer ainsi comment s’est traduit – ou non – le projet intellectuel affirmé au cours des années, notamment à travers le « tournant critique ». L’analyse propose d’observer la répartition chronologique des articles, puis de croiser les différentes catégories disciplinaires et thématiques auxquels ils appartiennent. L’interdisciplinarité, centrale dans le programme épistémologique des Annales, occupe une place importante, tout en se heurtant à des limites liées aux contraintes inhérentes aux revues et au contexte de « redisciplinarisation » des sciences sociales. L’approche quantitative permet également de mettre en lumière certains angles morts thématiques, comme les études sur le genre, en même temps que la fécondité de certaines approches croisées – par exemple entre l’anthropologie et l’histoire du politique et du droit. La dimension réflexive et épistémologique de nombreux articles publiés aux Annales reste l’une des clefs du dialogue entre histoire et sciences sociales, tel que le propose la revue.
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Brucker, Nicolas. „Comment peut-on être allemand ? Clandestinité, identité et médiation. Le cas de Charles de Villers“. Clandestins, clandestinités - Gestes de couleur : arts, musique, poésie, Nr. 17-2 (15.12.2022). http://dx.doi.org/10.58335/textesetcontextes.4051.

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Dans le contexte de l’émigration des nobles durant la Révolution française (1790-1800), la clandestinité consiste à cacher son identité et à voiler son origine. La communication épistolaire rend nécessaires certains subterfuges. Les hommes de lettres qui poursuivent une activité éditoriale recourent à d’autres stratégies pour garantir leur anonymat. Charles de Villers (1765-1815), journaliste, traducteur et essayiste réfugié en Allemagne dès 1794, est représentatif de cette catégorie. Il s’est, comme d’autres intellectuels, assimilé à la culture du pays d’accueil, et s’est rapidement imposé comme un intermédiaire culturel de premier plan. La clandestinité, par l’abolition de toute attache identitaire antérieure, a favorisé la transformation vers l’apatridie politique et la construction d’une identité transnationale. La biculturalité n’est pas l’addition de deux identités, mais le rejet d’un modèle exclusif et l’acceptation d’une instabilité certes inconfortable, mais source de dynamisme et de création. Il en résulte un style de médiation marqué par le goût du débat et le refus du consensus.
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Réach-Ngô, Anne. „Ni savants, ni populaires : la stratégie éditoriale des « Trésors de médecine » à la Renaissance“. Articles 6, Nr. 1 (04.12.2014). http://dx.doi.org/10.7202/1027688ar.

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Les ouvrages de médecine qui s’intitulent « Trésor » constituent un corpus fécond pour qui s’intéresse à la participation des milieux éditoriaux à la transmission des connaissances et expériences héritées, durant la Renaissance. Envisagée comme un produit éditorial visant à rassembler en de petits ouvrages commodes d’emploi les écrits les plus célèbres des autorités en la matière, la catégorie des « Trésors de médecine » tire sa valeur aussi bien de la reconnaissance accordée à ces écrits, à la fois théoriques et pratiques, que du souci de les transmettre au plus grand nombre. Le choix de la langue vernaculaire, les nombreuses aides à la lecture, le coût modéré de ces ouvrages contribuent à inscrire ces publications dans la vaste entreprise de vulgarisation des savoirs née du développement de l’imprimé, tout en promettant à leurs lecteurs, par la rhétorique titulaire et préfacielle des « Trésors », des ouvrages d’exception.
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