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Zeitschriftenartikel zum Thema „Caractérisation du cycle circadien“

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HUBAULT, B., E. SETROUK, O. ZAMBROWSKI, A. DUCASSE und C. ARNDT. „Circadien cycle and chronic central serous chorioretinopathy“. Acta Ophthalmologica 90 (06.08.2012): 0. http://dx.doi.org/10.1111/j.1755-3768.2012.4226.x.

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Clairambault, J., S. Mischler und B. Perthame. „Un modèle du cycle cellulaire et de son contrôle circadien“. Pathologie Biologie 55, Nr. 3-4 (April 2007): 211–12. http://dx.doi.org/10.1016/j.patbio.2006.12.011.

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Gonzalez Rodriguez, Elena, Dr Angela Hernandez, Charna Dibner, Bettina Koehler Ballan und Antoinette Pechere-Bertschi. „Implications cliniques du [b]cycle[/b] circadien de la pression artérielle“. Revue Médicale Suisse 8, Nr. 353 (2012): 1709–15. http://dx.doi.org/10.53738/revmed.2012.8.353.1709.

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Boghen, Andrew D., und Hubert J. Ceccaldi. „Cycle circadien des acides amines libres et des proteines de l'hemolymphe chez Cancer pagurus“. Biochemical Systematics and Ecology 15, Nr. 4 (Juli 1987): 479–86. http://dx.doi.org/10.1016/0305-1978(87)90064-0.

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Stefanelli, Bruno. „Une caractérisation de technologie CMOS à l’usage d’étudiants en cycle d’ingénieur“. Annales Des Télécommunications 46, Nr. 9-10 (September 1991): 496–500. http://dx.doi.org/10.1007/bf02998689.

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Abdallah BADIANE, Yakhya Ben, und Bienvenu SAMBOU. „Caractérisation de l’ichtyo faune de l’AMP de JoalFadiouth (Sénégal)“. Journal of Applied Biosciences 154 (31.10.2020): 15950–59. http://dx.doi.org/10.35759/jabs.154.11.

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Objectif : L’étude a été menée dans l’Aire Marine Protégée (AMP) de Joal-Fadiouth avec pour principal objectif de déterminer l’état et la configuration de l’ichtyofaune dans les zones protégées en milieu marin. Méthodologie et Résultats : La méthode de collecte de données biologiques de ce travail repose principalement sur la pêche expérimentale (SFA, 2011). Elle repose, pour la plupart, sur une pêche d’échantillonnage du fait des surfaces importantes à étudier. L’étude a pris en compte de quatre périodes importantes du cycle hydro-climatique. L’AMP de Joal-Fadiouth est marquée par la présence d’une ichtyofaune riche et variée. On y note 126 espèces de poisson réparties en 49 familles dont les plus représentatives sont les Carangidae, les Sparidae et les Haemulidae. Certains paramètres comme la structure en taille de la population de poissons laisse apparaître beaucoup de variations entre les saisons hydrologiques. Conclusion et applicabilité des résultats : L’état et la configuration de l’ichtyo faune de l’AMP sont le résultat de la combinaison de trois facteurs notamment la position géographique du site, la diversité de l’habitat et l’absence de pêche destructive. Par conséquent pour l’amélioration de la gestion de l’AMP, ces facteurs devraient être tenus en compte. Mots clés : Aire marine protégée, Pêche expérimentale, Poisson, Espèce, Biomasse, Taille Characterization of the ichtyofaune of the Joal-Fadiouth MPA (Senegal) ABSTRACT Objective: The study was conducted in the Joal-Fadiouth MPA to determine the state and configuration of the fish fauna in protected areas in the marine environment. Methodology et Results: The method of collecting biological data was mainly based on experimental fishing (SFA, 2011). The study took into account four important periods of the hydro-climatic cycle. Some of parameters such as the size structure of the fish population reveal a lot of variations between hydrological seasons. The Marine Protected Area of Joal-Fadiouth is marked by the presence of a rich and varied fish fauna. There are 126 species of fish distributed in 49 families, the most representative of which are Carangidae, Sparidae and Haemulidae. Certain parameters, such as the size structure of the fish population, reveal many variations between hydrological seasons. Badiane et Sambou, J. Appl. Biosci. 2020 Caractérisation de l’ichtyo faune de l’AMP de Joal-Fadiouth (Sénégal) 15951 Conclusion and applicability of findings: The state and the configuration of the ichthyofauna of the MPA are the result of the combination of three factors, in particular the geographical position of the site, the diversity of the habitat and the absence of destructive fishing, therefore for the improvement of its management, these factors should be taken into account. Key words: Marine Protected Area, Experimental Fishing, Fish, Species, Biomass, Size
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Portugais, Jean, und Olga Ranzenhofer. „Îles de la Nuit“. Circuit 11, Nr. 2 (02.10.2002): 15–54. http://dx.doi.org/10.7202/004688ar.

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Résumé Ce texte propose un parcours dans le corpus des sept quatuors de Schafer à travers une quarantaine d’exemples musicaux. Le parcours est développé de manière à faire apparaître à la fois l’unité du cycle et la caractérisation propre à chaque oeuvre, dans un effort de situer ce corpus dans un cadre de lecture à la fois poétique et philosophique. En retraçant quelques éléments fondamentaux pour chaque quatuor, le texte propose une suite de repères musicaux et esthétiques qui constituent, selon les auteurs, autant d’entrées possibles dans les quatuors à cordes de Murray Schafer.
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Postel-Pellerin, J., V. Della Marca, J. D. Aguirre-Morales, R. Bouchakour und R. Laffont. „Simulation TCAD, fabrication, caractérisation électrique et extraction des paramètres physiques du procédé MOS“. J3eA 23 (2024): 1016. http://dx.doi.org/10.1051/j3ea/20241016.

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Dans le cadre du Cycle Ingénieurs de la Filière « Microélectronique et Télécommunications » de Polytech Marseille, différents enseignements sont directement articulés autour du procédé MOS proposé dans la salle blanche de l’Atelier Interuniversitaire de Micro-Nano Électronique (AIME, Pôle CNFM de Toulouse). En effet, les TP de physique des composants (3A) et les cours de technologie des composants (4A) portent sur la fabrication et la caractérisation électrique des dispositifs pour la microélectronique. Dans ce contexte nous avons fait une connexion directe avec les expériences dans la salle blanche de l’AIME pour préparer les élèves ingénieurs aux manipulations.
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Geoffre, Thierry. „Profils d’acquisition de la morphographie au cycle 3. Vers une caractérisation des parcours des élèves ?“ Repères, Nr. 49 (30.11.2014): 147–68. http://dx.doi.org/10.4000/reperes.723.

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Bécot, Anaïs, Maribel Lara Corona und Guillaume van Niel. „L’imagerie in vivo“. médecine/sciences 37, Nr. 12 (Dezember 2021): 1108–15. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/2021210.

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Les vésicules extracellulaires interviennent dans un nombre croissant de processus physiopathologiques et constituent des outils cliniques prometteurs pour le diagnostic et le traitement de diverses maladies. Leur petite taille a longtemps entravé leur étude in situ, ce qui a limité leur caractérisation in vivo et leur utilisation en clinique. Les avancées récentes en imagerie permettent à présent d’examiner et de suivre les vésicules extracellulaires dans différents modèles animaux, en temps réel et à l’échelle de la vésicule unique. Le poisson zèbre apparaît notamment comme un organisme modèle pertinent pour explorer le cycle de vie de ces vésicules in vivo et évaluer leurs potentialités thérapeutiques.
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Fayolle, Jacky, und Alexandre Mathis. „Tendances et cycles stylisés dans les pays du G7 - Une approche stochastique“. Revue de l'OFCE 47, Nr. 5 (01.11.1993): 201–33. http://dx.doi.org/10.3917/reof.p1993.47n1.0201.

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Résumé Pour styliser les mouvements cycliques des économies du G7, on recourt aux modèles à composantes inobservables proposés par Harvey (1985, 1989). La gamme des spécifications de ces modèles recouvre diverses représentations possibles de la combinaison entre tendance, cycle et irrégularité. Il ne s'agit pas de simples outils descriptifs. En particulier, leur écriture ne préjuge pas de la valeur des caractéristiques de base du cycle, comme sa période, qui sont l'objet de l'estimation. On met ainsi en évidence les propriétés statistiques de chacune des composantes, dont l'extraction recourt à la technique du filtre de Kalman, une fois le modèle écrit sous forme espace-état. La caractérisation du cycle qui découle de certains des modèles examinés s'accorde bien avec les intentions et les résultats des conjoncturistes recourant aux outils de statistique descriptive. Le modèle dit tendance plus cycle propose une représentation du cycle qui respecte la propriété statistique de stationnante et s'avère capable de reproduire la complexité des mouvements cycliques apparents, dont on sait qu'ils manifestent fréquemment dissymétries et angulosités. Les innovations de cette composante cyclique donnent les impulsions conjoncturelles du cycle, et leur chronique est interprétable au regard de l'histoire économique. La formulation de la tendance stochastique, quant à elle, permet d'obtenir une composante tendancielle qui soit à la fois lisse et apte à intégrer les courbures du sentier de croissance.
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Souêtre, E., E. Salvati, M. Savelli, B. Krebs, A. Jorlet, J. L. Ardisson und G. Darcourt. „Rythmes endocriniens en période de dépression et de rémission“. Psychiatry and Psychobiology 3, Nr. 1 (1988): 19–27. http://dx.doi.org/10.1017/s0767399x00001280.

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RésuméLa participation des rythmes biologiques circadiens à la pathogénie de la dépression repose sur une série d’arguments cliniques, thérapeutiques et biologiques. La recrudescence matinale des symptômes dépressifs oriente vers une anomalie de l’organisation temporelle. Les aspects épidémiologiques de la dépression ou des suicides évoquent, quant à eux, l’existence de recrudescence saisonnière dans laquelle les facteurs naturels de synchronisation pourraient jouer un role. De plus, les thérapeutiques de la dépression agissent directement sur les horloges biologiques, qu’il s’agisse des manipulations du cycle veille/sommeil, de la photothérapie ou des antidépresseurs.Notre étude longitudinale a permis de comparer les rythmes circadiens de cortisol, de TSH et de mélatonine plasmatique chez des sujets déprimés (n = 16), chez des sujets en rémission clinique (n = 15) ainsi que chez des sujets sains (n = 16). Nos résultats montrent de profondes perturbations du système circadien endocrinien en période dépressive. L’anomalie essentielle semble porter sur l’amplitude des rythmes, les sécrétions nocturnes de TSH et de mélatonine étant effondrées chez les sujets dépressifs. Ces perturbations disparaissent avec l’amélioration clinique des sujets.Nos résultats confirment, dans une certaine mesure, les interrelations temporelles et fonctionnelles qui existent entre les sécrétions de cortisol, de TSH et de mélatonine. Par ailleurs, l’absence de décalage horaire de la position des rythmes étudiés incite à nuancer l’hypothèse d’une désynchronisation biologique dans la dépression pour privilégier une défaillance des mécanismes de couplage entre les facteurs synchronisants de l’environnement et les oscillateurs centraux. Dans cette perspective, les traitements de la dépression tels que les manipulations du cycle veille/sommeil, la photothérapie ainsi que les tricycliques semblent agir sur ces mécanismes de transmission de l’information temporelle soit en augmentant artificiellement leur intensité, soit en abaissant le seuil de perception. Cette hypothèse pourrait aboutir à concevoir de nouveaux outils thérapeutiques des troubles de l’humeur.
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Fuchs, F., L. Robin-Choteau, A. Schneider, S. Reibel, D. Ciocca, L. Hugueny und P. Bourgin. „La mémoire spatiale de souris exposées à un cycle ultradien de lumière dépend de la phase du rythme circadien et non d’un effet direct de la lumière“. Médecine du Sommeil 16, Nr. 1 (März 2019): 23. http://dx.doi.org/10.1016/j.msom.2019.01.224.

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Pindé, S., A. S. R. Tapsoba, F. Traoré, R. Ouédraogo, S. Ba, M. Sanou, A. Traoré, H. H. Tamboura und J. Simporé. „Caractérisation et typologie des systèmes d’élevage de la poule locale du Burkina Faso“. Journal of Animal & Plant Sciences 46, Nr. 2 (30.11.2020): 8226–39. http://dx.doi.org/10.35759/janmplsci.v46-2.6.

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La présente étude est une contribution à l’établissement des caractéristiques et de la typologie des systèmes d’élevage de la poule locale dans les 3 zones agro écologique du Burkina Faso. Des informations ont été collectées sur 251 éleveurs de poules locales à travers une enquête de type transversale dans les 3 zones agro-écologiques, du Burkina Faso. Les résultats indiquent que l’élevage des poules locales est pratiqué principalement par des autochtones (84,91%) et des hommes (70,26%) dans un système extensif (63,83%). Les enquêtés sont pour la plupart des adultes (66,38%), sont mariés (92,41%), n’ont reçu aucune formation technique (45,69%) et pratiquent l’agriculture comme activité principale (67,93%). Les petits éleveurs de poules locales (effectif inférieur ou égal à 25 têtes) sont les plus nombreux (40,56%). Les enquêtés disposent majoritairement de poulaillers/abris (76,37%), utilisent des mangeoires (58,65%), des abreuvoirs (73%) et distribuent principalement des céréales à leurs poules. Les maladies aviaires sont la première cause de mortalités dans les effectifs visités (89,22%), malgré que presque la quasi-totalité des éleveurs (98,77%) administrent des traitements sanitaires à leurs poules. L’âge de la maturité sexuelle chez les poules mâles est en moyenne de 5,46±0,12 mois et de 5,49±0,10 mois chez les femelles, avec une différence statistiquement significative pour ce paramètre, au seuil de p<0,05, entre les femelles des 3 zones agroécologiques. Le nombre d’œufs pondus par cycle et par poule dans la zone d’étude est en moyenne de 11,52±0,17 œufs, avec la zone sahélienne qui a le nombre moyen d’œufs pondus le plus élevés (12,6±0,32 œufs). La majorité des enquêtés (75,58%) affirme que la période de ponte favorable dans leur exploitation s’étale du début saison des pluies à la fin de la saison sèche froide. L’âge de la réforme des poules dans la zone d’étude est, en moyenne, de 36,82±1,63 mois pour les femelles et de 24,55±1,16 mois chez les mâles avec une forte variabilité existant au niveau surtout des femelles des différentes zones agro-écologiques. L’âge moyen à la réforme des femelles (36,82±1,63 mois) révèle une différence statistiquement significative, à p<0,05, entre les oiseaux de la zone sahélienne et ceux des zones soudanienne et soudano-sahélienne. Pinde et al., 2020 Journal of Animal & Plant Sciences (J.Anim.Plant Sci. ISSN 2071-7024) Vol.46 (2): 8212-8225 https://doi.org/10.35759/JAnmPlSci.v46-2.6 ABSTRACT This study is a contribution to the establishment of the characteristics and the typology of the farming systems of the local hen in the 3 agro-ecological zones of Burkina Faso. Information was collected on 251 local chicken farmers through a cross-sectional survey in the 3 agroecological zones of Burkina Faso. The results indicate that the rearing of local chicken is practiced mainly by natives (84.91%) and men (70.26%) in an extensive system (63.83%). Respondents are mostly adults (66.38%), are married (92.41%), have received no technical training (45.69%) and practice agriculture as their main activity (67.93%). The smallest local chicken breeders (number less than or equal to 25 heads) are the most numerous (40.56%). Respondents have chicken coops / shelters (76.37%), use feeders (58.65%), drinkers (73%) and mainly distribute cereals to their hens. Avian diseases are the leading cause of mortality in the numbers visited (89.22%), although almost almost all breeders (98.77%) administer sanitary treatments to their hens. The age of sexual maturity in male hens is on average 5.46 ± 0.12 months and 5.49 ± 0.10 months in females, with a statistically different significant for this parameter, at the threshold of p <0.05, between the females of the 3 agro-ecological zones. The number of eggs laid per cycle and per hen in the study area averages 11.52 ± 0.17 eggs, with the Sahelian zone having the highest average number of eggs laid (12.6 ± 0.32 eggs). The majority of respondents (75.58%) say that the favorable spawning period in their exploitation extends from the beginning of the rainy season to the end of the cold dry season. The age of hen reform in the study area is, on average, 36.82 ± 1.63 months for females and 24.55 ± 1.16 months in males with high variability. level especially of females from different agroecological zones. The culling age of females (36.82±1.63 months) reveals a statistically significant difference, at p <0.05, between birds in the Sahelian zone and those in the Sudanian and Sudano-Sahelian zones.
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Nasri-Ammar, Karima, und Hajer Khemaissia. „CARACTÉRISATION DU CYCLE REPRODUCTEUR DES FEMELLES DE PORCELLIO LAMELLATUS (ISOPODA, ONISCIDEA) PROVENANT DES BERGES DE LA LAGUNE DE BIZERTE (TUNISIE)“. Crustaceana 83, Nr. 9 (2010): 1025–34. http://dx.doi.org/10.1163/001121610x510642.

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Edmond Fulgence, Thiemelle Deless, Koffi Eric-Blanchard Zadjéhi, Issali Auguste Emmanuel, Kouame Tchrewa Stanislas und Gnonhouri Philippe. „Évaluation de la Variabilité Génétique d’Une Collection de Bananiers Plantain (Musa sp.) Cultivés en Côte d’Ivoire à Partir d’Une Caractérisation Agro-morphologique“. European Scientific Journal, ESJ 18, Nr. 40 (31.12.2022): 366. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2022.v18n40p366.

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La banane plantain est un produit de grande consommation en Côte d’Ivoire. Dans le but d’accroître les rendements par la création de variétés performantes, une bonne connaissance de la diversité des accessions existante est indispensable. Dans cette optique, la diversité agro-morphologique de la collection de bananiers du Centre National de Spécialisation plantain (CNS-Plantain) composée de 42 accessions a été analysée sur la base de 38 variables qualitatives et quantitatives selon le descripteur de l’IPGRI-INIBHP/CIRAD 1996. Les résultats ont montré des différences significatives entre les accessions au niveau morphologique, des caractères de production et des rendements. L’analyse en composantes principales (ACP) et la classification ascendante hiérarchique (CAH) ont montré une importante variabilité génétique et ont permis d’identifier 5 groupes de bananiers dans la collection. Le groupe des French (Groupe 1) et le groupe de banane à cuire de type ABB (Groupe 5) sont caractérisés par un nombre de mains élevés (6 à 16), des fruits courts et nombreux (53 à 192) et donc de gros régimes avec un long cycle de production pour les French. Le groupe des Faux-cornes (Groupe 3) possède 4 à 8 mains avec des fruits de taille moyenne et peu nombreux (14 à 57) et un cycle de production plus court. Les individus du groupe 2 (Bâtard) possèdent des fruits de taille et de nombre intermédiaire entre les French et les Faux-cornes. Dans le quatrième groupe (Vrai-cornes), les accessions sont caractérisées par des fruits de grande taille et peu nombreux (7 à 20). Cette diversité génétique offre ainsi une grande possibilité de choix de géniteurs pour la création de variétés améliorées de banane plantain en Côte d’Ivoire. The plantain banana is a widely consumed product in Côte d'Ivoire. In order to increase yields by creating high-performance varieties, a good knowledge of the diversity of existing accessions is important. Thus, the agro-morphological diversity of the banana collection of the National Center for Plantain Specialization (CNS-Plantain) composed of 42 accessions was analyzed based on 38 qualitative and quantitative variables according to the IPGRI-INIBHP descriptor. /CIRAD 1996. The results showed significant differences between the accessions in terms of morphology, production traits and yields. Principal component analysis (PCA) and hierarchical ascending classification (HAC) showed significant genetic variability and identify 5 groups of bananas in the collection. The French group (Group 1) and the ABB-type cooking banana group (Group 5) are characterized by a high number of hands (6 to 16), short and more fruits (53 to 192), therefore a bigger bunch with a long production cycle for the French. The False horn group (Group 3) has 4 to 8 hands with medium-sized and few fruits (14 to 57) and a shorter production cycle. The accessions of group 2 (Bâtard) have fruits of intermediate size and number between the French and the False horns. In the fourth group (True horns), the accessions are characterized by large and few fruits (7 to 20). Thus, this genetic diversity offers a great possibility of choice of genitors for the creation of improved varieties of plantain in Côte d'Ivoire.
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van Bochove, E., D. Couillard und M. C. Nolin. „Caractérisation des Phases du Processus de Compostage Par Une Approche Multidimensionnelle: Application Au Cycle de L'Azote Characterization of the Composting Stages by a Multivariate Analysis: Application to the Nitrogen Cycle“. Environmental Technology 16, Nr. 10 (Oktober 1995): 929–41. http://dx.doi.org/10.1080/09593330.1995.9618290.

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Marlot, Corinne. „Le processus de double sémiotisation au cœur des stratégies didactiques du professeur. Une étude de cas en découverte du monde vivant au cycle 2“. Swiss Journal of Educational Research 36, Nr. 2 (20.09.2018): 307–32. http://dx.doi.org/10.24452/sjer.36.2.4938.

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Ce travail – inscrit dans le cadre de la Théorie de l’Action Conjointe en Didactique – s’intéresse à la dimension transactionnelle de la communication en milieu didactique dans lequel le savoir représente l’objet de la transaction. Nous cherchons à mieux comprendre comment, dans le contexte des apprentissages scientifiques, le savoir structure les interactions langagières. La structure d’investigation des transactions didactiques sur laquelle nous prenons appui, s’est trouvé enrichie et affinée par la mise en relation de deux notions, l’une issue de l’approche didactique comparatiste l’équilibration didactique et l’autre, issue de la didactique des langues la double sémiotisation. Cet enrichissement représente une contribution théorique à la caractérisation de l’agir langagier et des stratégies didactiques du professeur. D’une manière plus élargie, la visée de ce travail est de mieux saisir comment et à quelles fins le professeur produit ses discours. Dans cette étude, nous regardons le travail du professeur comme un processus de double sémiotisation des objets d’apprentissage. Selon cette focale, la mise à l’épreuve de cette structure d’investigation nous a donné accès à certains des phénomènes subtils au cœur de l’enseignement et de l’apprentissage lors de la régulation des échanges entre le professeur et les élèves. Nous avons pu ainsi reconstruire la genèse du phénomène «d’évanouissement de savoir» observé dans cette étude de cas.
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Nana, Rasmata, Saïdou Bonkoungou, N’golo Diakalia Coulibaly, Amos Miningou, Bepio Hervé Bama und Hawa Sohoro. „Evaluation agro-morphologique de sept écotypes de lentille de terre (Macrotyloma geocarpum) cultivés au Burkina Faso“. International Journal of Biological and Chemical Sciences 14, Nr. 3 (19.06.2020): 835–47. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v14i3.15.

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Macrotyloma geocarpum est une légumineuse dont sa culture est largement abandonnée au profit de celle d’autres légumineuses. Cette étude avait pour objectif d’identifier les écotypes performants à partir d’une caractérisation agromorphologique dans les conditions pluviales. Les résultats ont montré une diversité phénotypique entre les écotypes pour les caractères couleur du tégument, couleur des fleurs et du pétiole. L’analyse de variance a révélé une faible variabilité entre les caractères quantitatifs. La classification ascendante hiérarchique a mis en évidence 3 ensembles de diversité agro-morphologique. Le premier groupe constitué de 3 écotypes à graines noires, est caractérisé par un nombre important de feuilles trifoliolées à la floraison, un cycle du semis à la floraison intermédiaire et un poids de 100 bonnes graines élevé. Le second groupe compte un seul écotype à graines blanches, caractérisé par un cycle de floraison précoce, un nombre de feuilles trifoliolées faible et un poids de 100 bonnes graines faible. Le troisième groupe constitué de 3 écotypes à graines noires, est caractérisé par un cycle de floraison tardif, un nombre de feuilles trifoliolées moyen et un poids de 100 bonnes graines moyen. Ces résultats pourront contribuer à la création de variétés performantes répondant aux attentes des producteurs et consommateurs.Mots clés: Culture négligée, génotypes, caractères, variabilité, climat. English Title: Agro-morphological evaluation of seven earth lens (Macrotyloma geocarpum) ecotypes cultivated in Burkina FasoMacrotyloma geocarpum is a legume whose cultivation is largely abandoned in favor of that of other legumes. The objective of this study was to identify successful ecotypes based on agromorphological characterization in rainfed conditions. The results showed phenotypic diversity between the ecotypes for seed coat color, flower color and petiole color. Analysis of Variance revealed little variability between quantitative traits. The hierarchical ascending classification has highlighted 3 sets of agro-morphological diversity. The first group consisting of 3 black-seeded ecotypes is characterized by a large number of trifoliate leaves at flowering, a cycle of sowing at intermediate flowering and a high weight of 100 good seeds. The second group has only one white-seeded ecotype characterized by an early flowering cycle, a low trifoliate leaf count and a low good seed weight of 100. The third group of 3 black-seeded ecotypes is characterized by a late flowering cycle, a medium number of trifoliate leaves and a medium weight of 100 good seeds. These results can contribute to the creation of high-performance varieties that meet the expectations of producers and consumers.Keywords: Neglected crop, Genotypes, characters, variability, climate.
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Fayolle, Jacky, und Paul-Emmanuel Micolet. „Réalité et déboires de l'espace conjoncturel européen : une régulation sans croissance ?“ Revue de l'OFCE 62, Nr. 3 (01.09.1997): 5–28. http://dx.doi.org/10.3917/reof.p1997.62n1.0005.

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Résumé L'histoire du capitalisme industriel met en évidence la formation et la dissolution d'espaces conjoncturels rassemblant un ensemble de pays aux cycles fortement corrélés. A cet égard, le renforcement, depuis une quinzaine d'années, d'un espace conjoncturel européen est relevé par une série d'études récentes. L'étude précise de la corrélation des cycles français et allemand et de ses modalités, sur les trois dernières décennies, montre cependant qu'il ne s'agit pas d'un phénomène entièrement neuf. Les cycles de la France et de l'Allemagne sont fortement synchronisés, depuis déjà assez longtemps, parce qu'ils répondent à des impulsions communes de demande interne et externe. C'est cependant la corrélation des demandes internes privées, et non celle des demandes publiques, qui a contribué, jusqu'au début des années quatre-vingt-dix, à cette synchronisation. En ce sens, la convergence budgétaire européenne en cours constitue un changement sensible, si elle doit engendrer une mise en phase durable des impulsions publiques. La relation entre le cycle européen et le cycle américain est de nature duale. Elle fait jouer les effets d'entraînement exercés par l'économie américaine mais aussi des effets d'éviction. Ceux-ci passent par la compétition entre les exportations américaines et européennes et par l'impact des asymétries financières sur les demandes privées de chacune des deux zones. Ces effets d'éviction sont à la source des déphasages cycliques fréquents entre les Etats-Unis et l'Europe. Cette caractérisation comparée des cycles américain et européen sur longue période amène à relever l'ambivalence de la désynchronisation persistante et croissante des mouvements conjoncturels de ces deux zones depuis une quinzaine d'années. L'espace européen gagne en consistance et, en son sein, les facteurs d'homogénéisation des conjonctures, qu'il s'agisse de la densité des interdépendances commerciales ou de la convergence des politiques économiques, l'emporte rapidement sur les forces de différenciation, qui sont notamment passées par les mouvements de change durant ces dernières années. En même temps, cette régionalisation de la conjoncture européenne ne signifie pas une indépendance accrue vis-à- vis des influences monétaires et financières en provenance des Etats-Unis. L'Europe subit l'impact persistant et négatif des modalités, notamment des mouvements de change et d'intérêt, grâce auxquelles les Etats-Unis assurent la régulation conjoncturelle de leur croissance. Ce double aspect incite à s'interroger sur les conditions ď émergence d'une véritable régulation conjoncturelle à l'échelle européenne, qui facilite l'accès collectif des pays européens à leur sentier de croissance potentielle.
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Deffo, Victor, Sylvie Hounzangbe-Adote, Raphiou Maliki und H. H. M. Ould Ferroukh. „Evaluation participative ex ante de propositions de la recherche. Cas d’application dans le sud du Togo“. Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 64, Nr. 1-4 (01.01.2011): 89. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.10119.

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L’objectif de cette étude a été d’expérimenter une méthode d’évaluation participative d’options techniques au sud du Togo. Pour répondre aux besoins face aux problèmes de fertilité des sols dans un contexte de systèmes mixtes agriculture élevage, des chercheurs ont évalué avec les diverses catégories d’acteurs le potentiel d’adoption de l’association du maïs, plante à fonction mixte alimentaire (grain) et fourragère (paille), et du Mucuna pruriens, légumineuse à cycle long employée comme fourrage et pour améliorer la fertilité des sols. L’association fertilisée avec des engrais chimiques a été dénommée MME ci-après. La méthode utilisée a mobilisé des outils d’analyse de la méthode active de recherche participative (MARP) et a compris quatre phases. La première correspondait à la description générale de l’ensemble de la région d’étude pour identifier des sites représentatifs à partir de la littérature et d’entretiens exploratoires. La seconde phase a permis la caractérisation de la diversité des producteurs à partir d’entretiens auprès des personnes ressources des sites retenus. La troisième phase a concerné la sélection participative d’un éventail d’options techniques comprenant l’association MME mais aussi des pratiques locales présentant des similitudes avec l’association MME, ainsi que d’autres propositions alternatives de la recherche pour améliorer la fertilité des sols et assurer l’alimentation fourragère des animaux. Cette sélection a été réalisée par un échantillon de producteurs représentatifs de leur diversité. Il leur a été demandé de hiérarchiser les différentes options techniques présentées lors de visites de parcelles expérimentales ou à l’aide de supports visuels. Ils ont utilisé des notes ou des cailloux compte tenu de la forte proportion d’illettrisme. La quatrième phase a été celle de l’évaluation aux dires de producteurs des effets perçus des différentes options sur la gestion des ressources agropastorales (eau, sol, biodiversité), leur acceptabilité ou leur rentabilité en fonction du coût de la main d’oeuvre. Cette méthode a été appliquée dans trois villages du sud du Togo. Dans ces villages, six principales catégories de producteurs ont été identifiées : les propriétaires terriens, les locataires de terres, les membres d’organisations paysannes, les producteurs lettrés, les producteurs illettrés, et les femmes. En plus du MME, six options ont été retenues dont l’association MME avec des variantes issues de pratiques locales, soit l’association maïs et Mucuna à cycle long mais sans l’usage d’engrais (MM), l’association maïs et Mucuna à cycle court et à base d’engrais (MMCE), l’association maïs et Mucuna à cycle court sans l’usage d’engrais (MMC), et maïs en culture seul avec apport massif d’engrais (ME). Les deux autres options ont été proposées par la recherche : maïs entouré de haies vives de légumineuses fourragères destinées à du bétail en stabulation contrôlée et dont le fumier était ensuite épandu au champ (MHF), et culture en couloirs de maïs et de Cajanus cajan. L’association MME a été l’option préférée des propriétaires terriens, des lettrés et des membres d’organisations paysannes. Chez les femmes, l’option privilégiée a été l’association MM compte tenu de leurs faibles ressources financières mais aussi de leur insécurité foncière. Chez les locataires des terres et les producteurs illettrés, l’option favorite a été l’association MMCE qui permettait le maintien de la seconde saison de culture. L’évaluation des différentes options a montré que l’association MME et l’option MHF ont été jugées par la majorité des catégories de producteurs comme ayant les effets les plus positifs sur les ressources agropastorales. Les associations MME et MMCE ont été considérées comme étant les plus acceptables socialement, notamment chez les propriétaires terriens mais aussi chez les vulgarisateurs, les consommateurs et les commerçants également interrogés ; venait ensuite l’option MHF. La rentabilité a été la meilleure pour les associations MM et MME et la plus faible pour les deux autres alternatives proposées par la recherche. Cette méthode d’évaluation permet de valoriser l’expertise des producteurs. Elle repose sur la perception que les producteurs ont des effets des technologies. Une perception positive constitue un des premiers facteurs d’adoption d’une proposition de la recherche. Mais pour cela du temps et des outils appropriés doivent être consacrés à l’étape de formation des producteurs sur les différentes options pour que cette perception ne soit pas biaisée par la qualité de l’information donnée par le chercheur. Cette évaluation permet en outre d’identifier ou d’adapter des variantes locales aux options pré-identifiées par les chercheurs. Les efforts de recherche-développement doivent se concentrer sur les processus de ces adaptations participatives.
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Molina, Sergio Andrés Pulgarín, und Marleny Cardona Acevedo. „Caracterización del comportamiento emprendedor para los estudiantes de administración de la Universidad Nacional = Characterization of the enterpreneurial behavior of business administration students at Universidad del Rosario“. Revista EAN, Nr. 71 (01.08.2013): 22. http://dx.doi.org/10.21158/01208160.n71.2011.549.

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RESUMEN:El emprendimiento como campo de estudio ha cobrado una creciente relevancia en las agendas académicas y gubernamentales del último quinquenio por su capacidad para empujar el desarrollo económico y los procesos de innovación en los países. Un ejemplo de ello es Colombia, donde el nivel de impacto ha sido tan elevado que se han formalizado desde marcos regulatorios como la ley 1014 del 2006 para el fomento a la cultura empresarial , hasta instituciones de todo tipo para el fomento al emprendimiento empresarial. No obstante, los esfuerzos por estructurar espacios para estimular el emprendimiento deben trascender más allá del simple asistencialismo, para centrarse en la definición de planes estratégicos que permitan la formación de emprendedores de una manera articula y congruente con objetivos y políticas claramente identificadas.Por tal razón, desde el centro de emprendimiento de la Universidad de Rosario se impulsó el desarrollo de un estudio que permitiese la caracterización del perfil emprendedor de los estudiantes, a fin de identificar sus fortalezas y debilidades. Este estudio toma como base la metodología de características del comportamiento emprendedor o CCE para estudiar los alumnos de pregrado de la Facultad de Administración en cada uno de sus tres programas. Al final con estos resultados el Centro Emprendimiento podrá formular cada uno de sus planes, programas y proyectos, así como también políticas asociadas al desarrollo de las cualidades necesarias para formar mejores emprendedores.ABSTRACT:Entrepreneurship as a field of study has gained a significant role in the academic and government agendas stated at a five- year term as it consolidates economic development and innovation processes in different countries. One example of this is Colombia, in which the impact has been obvious to get regulatory formal frameworks as 1014 of 2006 Law to foment an entrepreneurial culture, as well as institutions for the development of entrepreneurship. However, all efforts to have spaces to stimulate this aspect should go further the design of strategic planning that allows the formation of entrepreneurs based on articulated aims and policies clearly identified.For this reason, in the entrepreneurship department of Universidad del Rosario a study was made which set up the characterization of the entrepreneur profile of students to identify weaknesses and strengths. This study used the methodology based on the characteristics of entrepreneur behavior to make the study involving Business Administration students in each of the three academic programs. Finally, considering the results of this study, this department can design its programs and projects as well as all the policies to develop the necessary qualities to form better entrepreneurs.RESUMÉÉL’entrepreneuriat a acquis en tant que champ d’étude, une importance croissante dans les universités et les programmes gouvernementaux de ces cinq dernières années pour sa capacité à améliorer le développement économique et les processus d’innovation des pays. Un exemple clair en est la Colombie, où l’impact de l’entrepreneuriat a été si fort qu’il a été officialisé dans le cadre réglementaire avec la Loi 1014 de 2006 pour la promotion de la culture entrepreneuriale, mais aussi dans différentes institutions pour la promotion de l’entreprise. Toutefois, les efforts pour structurer les espaces de stimulation del’esprit d’entreprise doivent aller au-delà de la simple assistance mais plutôt mettre en place des plans stratégiques permettant la formation des entrepreneurs de manière articulée et conforment aux objectifs et politiques établies. Pour cette raison, une étude permettant la caractérisation des forces et faiblesses du profil des étudiants–entrepreneurs a été entreprise par le Centre de Gestion de l’Université de Rosario.Cette étude prend comme base les caractéristiques du comportement entrepreneurial ou CCE pour étudier les élèves de premier cycle de la Faculté de Gestion dans chacun de ses trois programmes. Finalement et avec l’aide de ces résultats, le Centre de Gestion pourra mettre en oeuvre ses programmes et projets, ainsi que les politiques liées au développement des qualités requises pour former de meilleurs entrepreneurs.
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FAVERDIN, P. „Dossier : Palatabilité et choix alimentaires - Avant-propos“. INRAE Productions Animales 9, Nr. 5 (20.10.1996): 337–38. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1996.9.5.4072.

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Les trois articles qui suivent retracent le contenu de trois exposés présentés dans le cadre du groupe de réflexion sur le thème ingestion au sein du département Elevage et Nutrition des Animaux de l’INRA. Ce groupe "Ingestion", qui existe depuis environ une dizaine d’année maintenant, se réunit une ou deux fois par an autour d’un thème particulier dont les différents aspects sont traités par des membres du groupe ou invités par le groupe. Il nous est apparu que ce travail pouvait intéresser un public francophone plus large que les seuls participants à ces réunions. A l’avenir, des dossiers seront donc ainsi proposés à la revue Productions Animales en fonction des activités du groupe. Le premier dossier a pour thème "Palatabilité et choix alimentaires". Avant même d’essayer d’en définir les termes, le titre posait problème : fallait- il parler de palatabilité ou d’appétibilité ? Si palatabilité nous apparaît aujourd’hui comme un néologisme, Gallouin et Le Magnen (1987) nous ont rassurés en nous apprenant que les Anglais l’ont importé de France il y a plusieurs siècles. Quant au mot appétibilité, il n’a été proposé qu’il y a un peu moins d’un demi-siècle pour traduire "palatability" de l’anglais. Malheureusement, résoudre ce différend linguistique ne permet pas de définir facilement et précisément ce terme. L’estimation de la palatabilité est généralement décrite par la notion de préférence alimentaire, donc de choix, sans que les deux soient équivalents. Enfin, ce critère de palatabilité est très couramment associé aux qualités organoleptiques des aliments. Différences de définitions, de méthodes de caractérisation, de mécanismes impliqués pour expliquer ces phénomènes, il est apparu important de clarifier la situation et de faire le point sur ce sujet. Les finalités des travaux sur la prise alimentaire chez les monogastriques et les ruminants sont généralement différentes. La nature de la ration (des aliments concentrés jusqu’aux prairies naturelles), mais également le type de production qui recouvre des échelles de temps très variées (de quelques semaines à 10 ans) posent des problèmes de prise alimentaire très différents. Les travaux sur les monogastriques (porcs et volailles) et les ruminants sont donc traités dans des articles séparés. Ces textes permettent de mieux percevoir la spécificité d’approche pour chaque espèce, mais soulignent les points communs quant aux mécanismes associés au concept de palatabilité. Pour les espèces à cycle court, les problèmes d’apprentissage et les choix alimentaires peuvent affecter rapidement la productivité des systèmes. Le refus par des jeunes d’un nouvel aliment pendant quelques jours va affecter leur croissance, même si, a priori, dans l’aliment rien de perceptible par l’homme ne permet de comprendre ce comportement. La synthèse de Marie- Christine Meunier-Salaün et Michel Picard essaye donc de préciser les relations entre ces problèmes de choix alimentaires, de préférence ou d’aversion, et la notion de palatabilité chez le porc et les volailles et discute les moyens d’étudier ces problèmes. Les ruminants disposent souvent de fourrages à volonté. Les fourrages étant généralement, en France, d’un coût plus faible que les autres aliments, l’éleveur souhaite en maximiser l’utilisation. Ceci suppose que le fourrage soit bien ingéré par l’animal. La palatabilité d’un aliment interfère-t-elle avec le niveau d’ingestion de cet aliment ? Comment apprécier objectivement cette notion de palatabilité ? Quel est le rôle des sens dans les préférences alimentaires des ruminants ? La revue de René Baumont essaye de répondre à ces questions à l’aide de nombreux exemples. Les ruminants d’élevage disposent généralement pendant plus de la moitié de l’année d’un accès au pâturage. Dans ces conditions d’alimentation très particulières l’animal va être amené à gérer lui-même ses prises alimentaires avec des situations de choix parfois très complexes. Cette complexité au pâturage est accrue par la dispersion de l’offre alimentaire. Les choix comportementaux ne sont donc pas que le reflet des préférences alimentaires strictes pour telle ou telle espèce ou partie de végétal, mais le résultat d’une stratégie de pâturage complexe qui pourrait chercher à maximiser le bénéfice énergétique. Ces relations entre les préférences alimentaires des ruminants et les choix alimentaires effectués au pâturage sont étudiées par Bertrand Dumont qui en présente une synthèse dans le dernier article de ce dossier. Bien que recouvrant des approches et des points de vue très divers, ces trois articles partagent certaines conclusions sur la notion de palatabilité. En particulier, on peut difficilement la dissocier d’une notion d’apprentissage si l’on veut en comprendre les rouages. Essayer de s’en défaire ne fait que renforcer le poids des apprentissages précédents (souvent inconnus) au détriment de la propre expérience de l’animal sur tel aliment. Les choix d’un animal peuvent donc évoluer pour prendre en compte des signaux post-ingestifs. L’utilisation de tests en tout genre pour apprécier la palatabilité doit donc se faire avec discernement. Néanmoins, une meilleure connaissance des mécanismes d’apprentissage et d’identification de l’aliment permettrait de limiter les problèmes lors des transitions alimentaires et de mieux comprendre comment l’animal équilibre sa ration. Un travail de réflexion important reste donc à réaliser pour mettre en place des méthodologies adaptées afin de mieux expliquer les choix alimentaires des animaux domestiques. Gallouin F., Le Magnen J., 1987. Evolution historique des concepts de faim, satiété et appétit. Reprod. Nutr. Dévelop., 27, 109-128.
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GUYOMARD, H., B. COUDURIER und P. HERPIN. „Avant-propos“. INRAE Productions Animales 22, Nr. 3 (17.04.2009): 147–50. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2009.22.3.3341.

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L’Agriculture Biologique (AB) se présente comme un mode de production agricole spécifique basé sur le respect d’un certain nombre de principes et de pratiques visant à réduire au maximum les impacts négatifs sur l’environnement. Elle est soumise à des interdictions et/ou des obligations de moyens, par exemple l’interdiction des Organismes Génétiquement Modifiés (OGM), des engrais de synthèse et des pesticides ou l’obligation de rotations pluriannuelles. Dans le cas de l’élevage, les critères portent sur l’origine des animaux, les conditions de logement et d’accès aux parcours, l’alimentation ainsi que la prévention et le traitement des maladies. Ainsi, la prévention des maladies est principalement basée sur l’utilisation de techniques d’élevage stimulant les défenses naturelles des animaux et, en cas de problème sanitaire, le recours à l’homéopathie ou à la phytothérapie ; l’emploi d’autres médicaments vétérinaires n’est pas exclu à condition de respecter des conditions réglementaires strictes1. L’AB s’inscrit dans des filières d’approvisionnement et de commercialisation incluant la transformation et la préparation des aliments, la distribution de gros et/ou de détail et le consommateur final. Dans tous les pays, agriculteurs, conditionneurs et importateurs doivent se conformer à des réglementations pour associer à leurs produits un étiquetage attestant de leur nature biologique. Les produits issus de l’AB sont certifiés et des mécanismes d’inspection assurent le respect des règlements. L’AB mondiale est aujourd’hui encore une activité marginale au regard des terres consacrées (moins de 2%), du nombre d’agriculteurs engagés ou des volumes concernés. Il s’agit toutefois d’une activité en forte croissance avec, par exemple, un triplement des surfaces mondiales dédiées entre 1999 et aujourd’hui. Le marché mondial des produits issus de l’AB était estimé à 25 milliards d’euros en 2006, soit deux fois plus qu’en 2000 (données IFOAM). La consommation est très fortement concentrée, à plus de 95% en Amérique du Nord d’une part, et en Europe de l’Ouest où les principaux marchés sont l’Allemagne, l’Italie, la France et le Royaume-Uni, d’autre part. Sur ces deux continents, les importations sont nécessaires pour pallier le déficit de l’offre domestique au regard de la demande intérieure. Ceci est particulièrement vrai en France. Selon le ministère en charge de l’agriculture (2009), «la demande [française] de produits issus de l’AB croît de 10% par an depuis 1999. Or, l’offre [nationale] de produits issus de l’AB est aujourd’hui insuffisante pour satisfaire cette demande croissante. Les surfaces des 11 970 exploitations agricoles françaises en AB ne représentent que 2% de la surface agricole. Par défaut d’organisation entre les producteurs et à cause de l’éparpillement des productions, une part significative des produits bio n’est pas valorisée». Et simultanément, 25% environ de la consommation française de produits bio est satisfaite par des importations. Cette situation a conduit le Ministre en charge de l’agriculture à proposer, dans le cadre du Grenelle de l’environnement, un plan visant le triplement à l’horizon 2012 des surfaces françaises en AB (6% de la surface agricole utile en 2012). Pour atteindre cet objectif, le plan inclut un soutien budgétaire à la structuration de la filière bio (sous la forme d’un fonds de structuration doté de 15 millions d’euros sur cinq ans), la mobilisation de la recherche (notamment sous la forme de crédits «recherche»), un soutien accru aux exploitations converties en AB (via le déplafonnement des 7 600 €/an/unité des aides agro-environnementales pour les exploitations en conversion vers l’AB et une augmentation de l’enveloppe dédiée, ainsi que la reconduction du crédit d’impôt en 2009, celui-ci étant par ailleurs augmenté) et enfin, l’obligation dès 2012 faite à la restauration collective de proposer dans ses menus 20% de produits issus de l’AB. Enfin, dans le cadre du bilan de santé de la Politique Agricole Commune (PAC) du 23 février 2009, une aide spécifique aux exploitations en AB d’un montant d’un peu moins de 40 millions d’euros a été adoptée. Le plan français en faveur de l’AB, popularisé sous le libellé «AB : objectif 2012», vise donc à développer la production domestique de produits issus de l’AB via la fixation d’un objectif quantitatif en termes de surfaces dédiées en jouant simultanément sur la demande (via une contrainte d’incorporation de produits issus de l’AB dans la restauration collective) et l’offre (via, de façon générale, un soutien augmenté aux exploitations en conversion vers l’AB et déjà converties à l’AB). Dans ce contexte, le comité éditorial de la revue Inra Productions Animales et la direction de l’Inra ont souhaité apporter un éclairage scientifique sur les acquis, les verrous et les perspectives en matière d’élevage AB. Ce numéro a été coordonné par J.M. Perez avec l’aide de nombreux relecteurs : que tous soient ici remerciés. Après une présentation du cahier des charges français et de la réglementation communautaire (Leroux et al), le numéro se décline en trois parties : une série d’articles sur différentes filières animales concernées (avicole, porcine, bovine allaitante, ovine allaitante), un focus sur deux approches à l’échelle des systèmes d’élevage (ovin allaitant et bovin laitier), et enfin des articles centrés sur les problèmes les plus aigus rencontrés dans le domaine de la gestion sanitaire et de la maitrise de la reproduction. L’article conclusif de Bellon et al fait le point sur les principales questions de recherche qui demeurent. En aviculture (Guémené et al), à l’exception de l’œuf, la production bio reste marginale, mais les filières sont bien organisées. Cette situation résulte d’une relative synergie avec les filières label rouge, avec lesquelles elles partagent plusieurs caractéristiques (types génétiques, longue durée d’élevage, parcours). Des difficultés multiples subsistent néanmoins. La production bio est pénalisée par le manque de poussins AB, des difficultés de maintien de l’état environnemental et sanitaire des parcours, la rareté de l’aliment bio et la difficulté d’assurer l’équilibre en acides aminés des rations (pas d’acides aminés de synthèse), élément susceptible d’expliquer la surmortalité constatée en pondeuse (liée à des problèmes comportementaux). Par suite, les performances sont inférieures à celles de l’élevage conventionnel (augmentation de la durée d’élevage et de l’indice de conversion) et l’impact environnemental, bien qu’amélioré quand il est rapporté à l’hectare, est moins favorable quand il est mesuré par unité produite, à l’exception notable de l’utilisation de pesticides. Prunier et al aboutissent aux mêmes conclusions dans le cas de la production de porcs AB. Relativement au conventionnel, les contraintes sont fortes sur le plan alimentaire (rareté de l’aliment AB, problème d’équilibre en acides aminés des rations) et de la conduite d’élevage (interdiction ou limitation des pratiques de convenance, âge des animaux au sevrage de 40 jours, difficultés de synchronisation des chaleurs et des mises bas, limitation des traitements vétérinaires). Ces contraintes et la grande diversité des élevages de porcs AB se traduisent par une forte variabilité des performances en termes de survie, reproduction, composition corporelle ou qualité des produits : autant de critères qu’il conviendra de mieux maîtriser à l’avenir pour assurer la pérennité de l’élevage porcin AB. Les performances zootechniques et économiques de l’élevage bovin allaitant bio sont abordées dans l’article de Veysset et al à partir d’un échantillon limité d’exploitations situées en zones défavorisées. Les caractéristiques des unités AB diffèrent peu de celles de leurs voisines en élevage conventionnel ; avec un chargement à l’hectare plus faible mais une plus grande autonomie alimentaire, les résultats techniques des élevages AB sont proches de ceux des élevages conventionnels et ce, en dépit d’une moindre production de viande vive par unité de bétail, en raison d’un cycle de production en moyenne plus long. Sur le plan économique, les charges plus faibles (pas de traitements antiparasitaires, pas de vaccinations systématiques) ne suffisent pas à compenser un moindre produit à l’hectare. Un verrou majeur est le déficit de gestion collective de la filière verticale (absence totale de débouché en AB pour les animaux maigres, en particulier) qui se traduit par un problème aigu de sous-valorisation puisque dans l’échantillon enquêté 71% des animaux sont vendus sans signe de qualité : nul doute qu’il s’agit là d’une priorité d’action. En élevage ovin (Benoit et Laignel), également sur la base d’un échantillon malheureusement restreint, les différences de performances techniques et économiques des élevages conventionnels versus bio varient sensiblement selon la localisation géographique, plaine ou montagne ; il est de ce fait difficile (et dangereux) de dégager des enseignements généraux valables pour l’élevage bio dans son ensemble. L’étude détaillée des adaptations des systèmes d’élevage aux potentialités agronomiques réalisée sur quatre fermes expérimentales montre néanmoins le rôle clé de la variable «autonomie alimentaire». Par suite, la situation économique des élevages ovins bio est plus difficile en zone de montagne où l’autonomie alimentaire, voire fourragère, est moindre (l’achat des aliments non produits sur l’exploitation représente 41% du prix de vente des agneaux dans l’échantillon enquêté). In fine, cela suggère que la variabilité des performances de l’élevage ovin bio, de plaine et de montagne, dépend plus du coût de l’aliment et de la valorisation des agneaux que de la productivité numérique. L’article de Benoit et al porte également sur l’élevage ovin biologique, plus précisément la comparaison de deux systèmes ovins allaitants AB différant par le rythme de reproduction des animaux. Cela montre que les performances de l’élevage ovin AB ne s’améliorent pas quand le rythme de reproduction est accéléré, le faible avantage de productivité numérique ne permettant pas de compenser l’augmentation des consommations d’aliments concentrés et la moindre qualité des agneaux. Au final, cela illustre la plus grande difficulté à piloter le système AB le plus intensif. L’article de Coquil et al relève aussi d’une approche systémique appliquée cette fois à l’élevage bovin laitier. Il porte sur l’analyse d’un dispositif original de polyculture-élevage mis en place à la Station Inra de Mirecourt reposant sur la valorisation maximale des ressources du milieu naturel et accordant une importance première à l’autonomie en paille et à la culture des légumineuses (protéagineux, luzerne). Le cheptel valorise les produits végétaux (prairies et cultures) et assure la fertilisation des parcelles en retour. L’autonomie alimentaire étant privilégiée, les effectifs animaux sont une variable d’ajustement, situation plutôt inhabituelle par comparaison avec des élevages laitiers conventionnels qui cherchent en premier lieu à maintenir les cheptels et les capacités de production animale. Les premiers retours d’expérience suggèrent une révision du dispositif en maximisant les synergies et les complémentarités plutôt que de considérer que l’une des deux activités, la culture ou l’élevage, est au service de l’autre. Cabaret et al proposent un éclairage sur les problèmes sanitaires en élevage biologique. Sur la base, d’une part, d’une analyse des déclaratifs des acteurs de l’élevage, et, d’autre part, d’évaluations aussi objectivées que possible, les chercheurs montrent qu’il n’y aurait pas de différence notable entre l’AB et le conventionnel sur le plan des maladies infectieuses et parasitaires (nature, fréquence). La gestion de la santé des cheptels AB repose davantage sur l’éleveur que sur les prescripteurs externes auxquels il est moins fait appel, et sur une planification sanitaire préalable privilégiant la prévention et une réflexion de plus long terme sur la santé globale du troupeau, l’ensemble des maladies qui peuvent l’affecter, etc. La planification n’est pas uniquement technique. Elle requiert aussi l’adhésion des éleveurs. De fait, l’enquête analysée dans cet article relative aux élevages ovins allaitants met en lumière l’importance de ces aspects individuels et culturels sur la gestion de la santé en élevage biologique. Les alternatives aux traitements anthelminthiques en élevage ruminant AB font l’objet de nombreux travaux (Hoste et al). Différents moyens de lutte contre les parasitoses sont mis en œuvre : gestion du pâturage de façon à limiter le parasitisme helminthique (rotations, mise au repos, assainissement), augmentation de la résistance de l’hôte (génétique, nutrition, vaccination), et traitements alternatifs des animaux infectés (homéopathie, phytothérapie, aromathérapie). Les protocoles d’évaluation objective de ces traitements alternatifs posent des problèmes méthodologiques non totalement résolus à ce jour. Mais traiter autrement, c’est aussi réduire le nombre de traitements anthelminthiques de synthèse via un emploi plus ciblé (saison, catégories d’animaux). Au total, de par la contrainte du cahier des charges à respecter, l’élevage biologique a recours à l’ensemble des moyens de lutte contre les maladies parasitaires. Dans le cadre de cette approche intégrée de la santé animale, l’élevage biologique peut jouer un rôle de démonstrateur pour l’ensemble des systèmes d’élevage concernés par le problème de la résistance et des alternatives aux anthelminthiques utilisés à grande échelle. Même si la réglementation n’impose pas de conduites de reproduction spécifiques en élevage AB, elle contraint fortement les pratiques, notamment l’utilisation des traitements hormonaux. L’impact de ces contraintes est particulièrement fort en élevage de petits ruminants (où le recours à des hormones de synthèse permet l’induction et la synchronisation des chaleurs et des ovulations) et en production porcine (où la synchronisation des chaleurs et des mises bas est très pratiquée). Néanmoins, Pellicer-Rubio et al rappellent que des solutions utilisées en élevage conventionnel peuvent également être mobilisées en élevage biologique, l’effet mâle et les traitements photopériodiques naturels notamment, et ce dans toutes les filières, en particulier celles fortement consommatrices de traitements hormonaux. De façon générale, les marges de progrès sont encore importantes et les solutions seront inévitablement multiformes, combinant diverses techniques selon une approche intégrée. Ici aussi, l’AB veut être valeur d’exemple, en particulier dans la perspective d’une possible interdiction des hormones exogènes en productions animales. L’article de Bellon et al conclut le numéro. Il met l’accent sur quatre thématiques prioritaires de recherche à développer, à savoir 1) la conception de systèmes d’élevage AB, 2) l’évaluation de l’état sanitaire des troupeaux et le développement d’outils thérapeutiques alternatifs, 3) la maîtrise de la qualité des produits et 4) l’étude des interactions entre élevage AB et environnement. A ces quatre orientations, on ajoutera la nécessité de recherches sur l’organisation des filières, la distribution, les politiques publiques, etc. dans la perspective de différenciation et de valorisation par le consommateur des produits issus de l’élevage biologique. Dans le droit fil de ces conclusions, l’Inra a lancé, ce printemps, un nouvel appel à projets de recherche sur l’AB dans le cadre du programme dit AgriBio3 (programme qui prend la suite de deux premiers programmes également ciblés sur l’AB). Les deux grandes thématiques privilégiées sont, d’une part, les performances techniques de l’AB (évaluation, amélioration, conséquences sur les pratiques), et, d’autre part, le développement économique de l’AB (caractérisation de la demande, ajustement entre l’offre et la demande, stratégie des acteurs et politiques publiques). Ce programme, associé à d’autres initiatives nationales (appel à projets d’innovation et de partenariat CASDAR du ministère en charge de l’agriculture) et européennes (programme européen CORE Organic en cours de montage, suite à un premier programme éponyme), devrait permettre, du moins nous l’espérons, de répondre aux défis de l’AB, plus spécifiquement ici à ceux de l’élevage biologique. Un enjeu important est aussi que les innovations qui émergeront de ces futurs programmes, tout comme des travaux pionniers décrits dans ce numéro, constituent une source d’inspiration pour faire évoluer et asseoirla durabilité d’autres formes d’élevage.
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FAVERDIN, P., und C. LEROUX. „Avant-propos“. INRAE Productions Animales 26, Nr. 2 (16.04.2013): 71–76. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2013.26.2.3137.

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Le lait n’est pas tout à fait un aliment comme les autres puisqu’il est aussi produit par l’Homme. Cet aliment est indispensable à l’alimentation de l’enfant, car sa richesse nutritionnelle combinée à sa forme liquide en font une ration « tout en un » du jeune pendant ses premières semaines de vie. L’homme a très tôt domestiqué d’autres mammifères pour produire cet aliment nécessaire pour le jeune et l’a aussi intégré dans l’alimentation de l’adulte sous forme native ou après transformation. De fait, le lait est un des rares produits animaux avec l’oeuf qui est produit régulièrement et qu’il est possible d’obtenir sans tuer l’animal. Sa production fait pleinement partie de la fonction de reproduction et son prélèvement doit être géré pour ne pas handicaper le développement du jeune animal qui est également un élément d’avenir dans l’élevage. Les vaches laitières ont longtemps bénéficié de noms très personnalisés, voire de prénoms, jusqu’à ce que la traçabilité ne vienne proposer des identifiants plus proches du matricule de la sécurité sociale que des petits noms affectueux utilisés jusqu’alors. La traite est un moment particulier où l’éleveur se substitue au jeune pour prélever le lait plusieurs fois par jour. Tout ceci fait traditionnellement de l’élevage laitier un élevage qui associe étroitement l’homme et l’animal. Au commencement de la domestication et pendant longtemps, le principal défaut du lait a résidé dans sa faible aptitude à la conservation, nécessitant une consommation plutôt locale, le temps entre production et consommation devant rester le plus court possible. De fait, le développement de sa consommation dans les villes est récent et ne s’est pas fait sans quelques soucis (Fanica 2008). Bien entendu, les évolutions de l’industrie laitière et des transports ont permis de franchir ce double cap de la conservation et des distances, faisant en quelques décennies d’un produit local du peuple d’un terroir, riche d’identité, d’histoire et de culture (Faye et al 2010), un produit générique du commerce mondial qui s’échange entre continents suivant les règles de l’organisation mondiale du commerce et dont la demande augmente régulièrement. Ce passage du local au mondial ne s’effectue pas sans des changements radicaux des modes de production et de l’organisation des filières, avec des conséquences parfois importantes sur les territoires. La production de lait en France, pays traditionnel d’élevage bovin laitier, illustre parfaitement cette évolution et se trouve aujourd’hui à une période charnière. Riche d’une grande diversité de terroirs et de produits, la production française présente un profil original dont on ne sait pas aujourd’hui si c’est une force ou une faiblesse dans cette évolution. Depuis 1984, le système des quotas laitiers liés à la terre et non commercialisables en France a ralenti, comparativement aux pays voisins, l’évolution vers une spécialisation et une intensification des systèmes de production laitiers, mais il disparaîtra en 2015. Le contexte économique des prix des matières premières et du prix du lait devient beaucoup plus instable que par le passé. Le métier d’éleveur laitier, avec sa complexité, sa charge de travail importante, ses astreintes et la diminution de sa rémunération, devient moins attractif. La nécessaire prise en compte de l’impact de l’élevage sur l’environnement et plus globalement de la durabilité, constitue un nouveau défi qui est souvent vécu comme une contrainte supplémentaire. Cependant, les connaissances scientifiques et technologiques ont beaucoup progressé et offrent de nouveaux outils à l’élevage laitier pour construire une trajectoire originale dans cette évolution. Ce numéro spécial d’INRA Productions Animales se propose donc en quelques articles de faire un état des lieux des connaissances concernant la production laitière, ainsi que des nouveaux défis et des nouveaux outils qui s’offrent à la filière pour construire son avenir. Ce panorama n’est volontairement pas exhaustif et traitera prioritairement des vaches laitières avec cependant, lorsqu’il est apparu nécessaire, quelques exemples tirés de travaux réalisés chez les caprins. De même, il ne s’agit pas ici d’aborder la transformation du lait et les évolutions des nombreux produits transformés. Mais nous avons cherché à présenter un point sur un certain nombre de sujets en mettant en avant les avancées récentes et les défis scientifiques, techniques, économiques et organisationnels qui concernent la production laitière, en quatre grandes parties. La première plantera tout d’abord le décor du secteur laitier français. La deuxième présentera les nouvelles avancées des travaux sur la femelle laitière, la lactation et le lait. La troisième analysera les différents leviers que constituent la sélection génétique, la gestion de la santé, l’alimentation et la traite, pour mieux maîtriser la production de lait en élevage. Enfin, la dernière partie abordera des questions plus spécifiques concernant les systèmes d’élevage et leur futur. Le premier article de V. Chatellier et al fournit une analyse à la fois du bilan et des perspectives du secteur laitier français. Après une analyse du marché des produits laitiers au travers de la demande et de l’offre et des grandes stratégies des acteurs de la filière, cet article présente les spécificités françaises des exploitations laitières liées en particulier à la diversité des systèmes de production et des territoires. Cette double diversité se traduit également dans les écarts de productivité et des résultats économiques des exploitations dont la main-d’oeuvre reste majoritairement familiale, avec la question de son renouvellement qui se pose différemment selon les territoires. Enfin, à l’aune des changements importants de contexte qui se préparent avec la fin des quotas et les nouvelles relations qui se mettent en place entre producteurs et transformateurs, les auteurs étudient les différents scénarios qui en découlent et qui conduiront à l’écriture du futur du secteur laitier français dans les territoires et le marché mondial. La série d’articles sur l’animal et le lait débute par une approche systémique de l’animal laitier. La vache laitière est d’abord perçue au travers de sa fonction de production, et les modèles de prévision de la lactation se sont longtemps focalisés sur cette seule fonction. La notion d’animaux plus robustes et d’élevages plus durables (cf. Dossier « Robustesse... », Sauvant et Perez 2010) amène à revisiter cet angle d’approche pour l’élargir à ensemble des fonctions physiologiques en prenant mieux en compte les interactions entre les génotypes animaux et leurs environnements. La modélisation aborde cette complexité de deux façons contrastées, l’une plutôt ascendante en partant des mécanismes élémentaires et en les agrégeant, l’autre plutôt descendante, en partant de grandes propriétés émergeantes des principales fonctions et de leurs interactions, voire de leur compétition dans l’accès aux ressources nutritionnelles. La revue de Friggens et al aborde ainsi la question de la dynamique de partition des nutriments entre fonction physiologiques chez les vaches laitières en fonction du génotype en présentant plusieurs approches de modélisation. Cette revue s’attache à montrer l’intérêt de partir des propriétés émergeantes pour arriver à modéliser les réponses complexes (production, reproduction, composition du lait, état corporel…) d’une vache soumise à différentes conduites d’élevage au cours de sa carrière. Les outils de demain qui permettront d’optimiser la conduited’élevage face aux aléas économiques et climatiques dépendront de l’avancée de ces modèles et des connaissances scientifiques qui les sous-tendent. La fonction de lactation est la conséquence de nombreux mécanismes à l’échelle de l’animal, tout particulièrement au niveau de la glande mammaire. Le développement et le fonctionnement de cet organe caractérisé par sa cyclicité ont fait l’objet de nombreux travaux à l’Inra et dans de nombreuses équipes de recherches internationales. Il ne s’agissait pas ici de relater l’ensemble de ces travaux mais de consacrer un article aux dernières connaissances acquises sur les mécanismes de biosynthèse et de sécrétion des constituants du lait. L’article de Leroux et al présente les travaux sur la régulation de l’expression génique dans la glande mammaire avec un intérêt particulier pour les données acquises avec les nouveaux outils d’études globales de génomique expressionnelle. Ceux-ci apportent de nouvelles connaissances sur les effets des facteurs génétiques sur la biosynthèse et la sécrétion du lait, sur leur régulation nutritionnelle et sur l’interaction de ces facteurs. Ce dernier point constitue un champ d’investigation supplémentaire pour décrypter les secrets du fonctionnement mammaire avec notamment l’intervention de nouveaux acteurs que sont les petits ARN non codants (ou microARN) qui vient encore accroître la complexité du fonctionnement mammaire dans son rôle prépondérant lors de la lactation. Après avoir fait cet état des lieux des connaissances sur la biosynthèse et la sécrétion des constituants du lait au niveau de la glande mammaire, l’article de Léonil et al présente la complexité des fractions protéique et lipidique du lait et de leur assemblage en structures supramoléculaires. Ces structures finales sont sous la dépendance de la nature et de la variabilité des constituants, ellesmêmes dues aux polymorphismes des gènes responsables de leur synthèse. Ainsi, les auteurs font un état des lieux des connaissances sur la structure et le polymorphisme des gènes spécifiant les protéines coagulables du lait que sont les caséines pour arriver à l’organisation de ces dernières en micelles. Le rôle nutritionnel de ces protéines majeures du lait et leur fonction biologique sont revisitées à la lumière des connaissances croissantes sur les peptides bioactifs qu’elles contiennent. La fraction lipidique n’est pas en reste avec la présentation de sa complexité et de son organisation sous forme de globule gras ainsi que de son impact nutritionnel sur le consommateur. Enfin, la découverte récente, dans le lait, de petites particules (ou exosomes) véhiculant des protéines et des ARN ouvre de nouvelle voies d’investigation de l’impact du lait sur la santé du consommateur. La série d’articles consacrée aux leviers d’action dont disposent les éleveurs pour moduler la production laitière ainsi que la composition du lait débute par l’article de Brochard et al, qui retrace l’impact de la sélection génétique pour arriver aux apports de la sélection génomique des races bovines laitières. Un bref historique de la sélection génétique présente les progrès réalisés sur les caractères de production laitière mais aussi sur des caractères de robustesse (fertilité, mammites…) et permet ainsi de dresser le décor génétique des élevages français. L’avènement des outils de génomique grâce au séquençage du génome bovin a conduit à renouveler les perspectives de sélection des bovins laitiers (cf. Numéro spécial, «amélioration génétique" Mulsant et al 2011). La présentation brève de ces outils permet de mieux appréhender les retombées attendues. Les opportunités offertes par la sélection génomique sur les caractères laitiers sensu stricto se complètent et permettent également de proposer une sélection sur de nouveaux caractères. En effet, la prise en compte progressive d’autres caractères oriente la sélection vers une complexité accrue notamment grâce à l’établissement de nouvelles mesures phénotypiques. L’évolution vers une meilleure robustesse, une efficacité alimentaire optimisée mais aussi une empreinte environnementale réduite, sera d’autant plus envisageable que la sélection pourra s’appuyer sur des capacités de phénotypage de plus en plus fin et à grande échelle. Un autre facteur prépondérant dans l’élevage laitier concerne la gestion de la santé animale qui affecte, notamment, la durabilité des élevages sous l’angle socio-économique. Cette gestion complexe doit prendre en compte de nombreux paramètres tel que le nombre des traitements nécessaires, le temps passé, les pertes économiques directes à court et long terme, etc. Les infections ne touchent pas toutes directement la glande mammaire, mais en affectant l’animal, elles impactent la lactation, l’efficacité de production du troupeau et donc l’élevage. L’article de Seegers et al passe en revue sept maladies majeures classées en trois groupes affectant les bovins laitiers. Il présente les connaissances récentes acquises sur ces maladies et les perspectives qu’elles ouvrent pour mieux les maîtriser. Ces maladies ont bien souvent un impact économique fort sur les élevages et/ou sont transmissibles à l’Homme constituant ainsi des questionnements de recherche forts et pour lesquels les moyens d’actions sont aussi multiples que variés. De plus, les attentes sociétales visent à diminuer, autant que faire se peut, les intrants médicamenteux. L’alimentation est un levier de maîtrise de la production et de la composition du lait qui présente l’avantage d’avoir des effets rapides et réversibles. Bien que ce levier puisse également moduler la composition protéique du lait, l’impact prépondérant de l’alimentation sur la composition en acides gras du lait, dans le but de fournir aux consommateurs une qualité nutritionnelle du lait la plus favorable possible, a été mis en exergue par de nombreuses études. La détermination de la composition en acides gras des laits est de plus en plus précise, notamment du fait des nouvelles techniques qui permettent une meilleure caractérisation de ces profils. Outre l’impact de l’alimentation, les effets des apports nutritionnels chez le ruminant sur les teneurs en composés vitaminiques du lait sont également à prendre en compte dans la perspective de l’utilisation du lait comme source complémentaire naturelle de vitamines chez les sujets présentant une efficacité d’absorption réduite (tel que les jeunes ou à l’inverse les personnes âgées). L’article de Ferlay et al recense les principaux facteurs alimentaires (nature de la ration de base, supplémentation oléagineuse, différents types de suppléments lipidiques et leurs interactions) influençant la composition en acides gras et en vitamines du lait de vache. Enfin, la traite constitue un outil supplémentaire de pilotage des troupeaux en termes de production laitière mais aussi de qualité sanitaire, technologique et nutritionnelle du lait. De plus, une meilleure connaissance des effets des différentes pratiques de traite est cruciale dans le contexte actuel de gestion du travail dans les exploitations laitières (cf. Numéro spécial, « Travail en élevage », Hostiou et al 2012). Les moyens mis en oeuvre se situent à différents niveaux allant de la fréquence de traite aux systèmes de stockage des laits en passant par les réglages possibles ou les types de machines à traire. L’article de Guinard-Flament et al fait le point des connaissances actuelles sur les effets et les conséquences de modifications de la conduite des animaux à la traite. Il présente les effets de la fréquence de traite sur le niveau de production laitière et sur la composition du lait. Le contexte de la traite, avec les effets mécaniques de la machine à traire et celui du système de stockage, est également présenté dans ses multiples facettes pour souligner leur rôle prépondérant sur la qualité microbienne des laits. La conduite des vaches à la traite est également un moyen de gestion de la carrière d’une vache laitière à travers le pilotage de certaines phases du cycle de production (effets sur la reproduction et sur la durée de la lactation et leurs conséquences sur la santé de l’animal...). La dimension des systèmes d’élevage est dominée ces dernières années par la question environnementale, notamment depuis la parution du rapport de la FAO « Livestock’s long shadow » (Steinfeld et al 2006). L’élevage laitier, très consommateur de ressources de qualité, est concerné au premier rang par ce défi environnemental. Mais ces enjeux, peu perceptibles à l’échelle de l’élevage pourtant à l’origine de ces risques, sont difficiles à intégrer dans les objectifs des systèmes de production. L’article de Dollé et al sur les impacts environnementaux des systèmes bovins laitiers français apporte de nombreux éléments quantifiés sur les émissions des éléments à risque pour l’environnement par les élevages laitiers. Ces risques concernent bien entendu la qualité de l’eau, notamment via les excrétions d’azote et de phosphore, ce qui est connu depuis longtemps avec leurs impacts sur l’eutrophisation des cours d’eau et des côtes. Les risques liés à la qualité de l’air ont été pris en compte beaucoup plus récemment et concernent principalement les émissions d’ammoniac pouvant affecter la santé humaine et des gaz à effet de serre responsables du réchauffement climatique (cf. Dossier, « Gaz à effet de serre en élevage bovin : le méthane », Doreau et al 2011). Ensuite, l’article aborde la question de la biodiversité, auxiliaire de l’agriculture et des paysages, où l’élevage joue un rôle central au sein des territoires agricoles. L’article aborde pour finir la question de la quantification de ces impacts afin d’améliorer objectivement les performances environnementales des élevages et montre que performances environnementales et économiques en élevage laitier ne sont pas antinomiques. En guise de conclusion de ce numéro, J.L. Peyraud et K. Duhem se sont prêtés à un exercice d’analyse prospective des élevages laitiers et du lait de demain en reprenant certains des constats de l’article introductif, notamment sur la diversité des systèmes et des territoires, la restructuration rapide de la filière et la reconstruction du métier d’éleveur. La filière devra demain affronter la tension entre l’amélioration de la compétitivité et celle de la durabilité de l’élevage en tirant profit des innovations. La meilleure prise en compte des qualités nutritionnelles des produits et de l’évolution des demandes tout en améliorant l’intégration de l’élevage au sein des territoires constitue un double défi pour résoudre cette tension. L’analyse des auteurs prône cependant un maintien de la diversité et la complémentarité des systèmes dans une diversité de territoires pour mieux répondre aux enjeux de la société et des éleveurs. Ce numéro spécial montre combien la filière laitière est aujourd’hui plus que jamais à la croisée des chemins avec des défis économiques et sociétaux difficiles à relever dans un climat de plus en plus incertain. Entre diversité d'une part, et spécialisation et standardisation d'autre part, le chemin de la filière française reste complexe à définir. Les nombreuses évolutions des connaissances scientifiques permettent de disposer à court ou moyen terme de nouveaux outils pour relever ces défis. La sélection génomique pour disposer des animaux les plus adaptés à leur système, les modèles de prévision pour anticiper les aléas et leurs conséquences, les outils d’évaluation environnementale pour maîtriser les risques, les outils de monitoring et d’information des troupeaux d’élevage pour améliorer les conditions de travail et l’efficience des troupeaux, les possibilités de piloter la qualité des produits par les conduites d’élevage et en particulier l’alimentation, une meilleure connaissance des mécanismes de régulation de la lactation, la découverte de la richesse des constituants du lait et de leurs propriétés nutritionnelles et fonctionnelles sont autant d’atouts pour la filière pour affronter ces défis. A travers les articles de ce numéro, nous avons voulu illustrer quelques un de ces défis et des perspectives offertes par la recherche. L’enjeu sera de les mobiliser à bon escient dans le cadre de stratégies cohérentes. Cela nécessitera la collaboration de tous les acteurs de la recherche, de la formation, du développement et de la filière. A leur niveau, les articles de ce numéro, par les nombreuses signatures communes entre chercheurs, enseignants-chercheurs et ingénieurs de recherche-développement, témoignent de la vitalité des unités mixtes de recherche et des unités mixtes thématiques impliquées dans l’élevage laitier. De même, bon nombre de travaux relatés dans les articles de ce numéro sont le fruit de programmes de recherche co-financés et menés en collaboration étroite entre la recherche, les instituts technique et la filière. Nous y voyons un fort signe positif pour l'avenir de l'élevage laitier en France Cet avant-propos ne saurait s’achever sans remercier René Baumont et le comité de rédaction d’Inra Productions Animales pour l’initiative judicieuse de ce numéro spécial, mais aussi pour nous avoir aidés à mener à bien ce projet comprenant de nombreux auteurs, qui ont bien voulu se prêter à l’exercice difficile de la rédaction d’un article de synthèse qui conjugue la rigueur de l’information scientifique avec l’exigence de la rendre accessible à un large public. Ce numéro doit beaucoup aussi aux relectures constructives de nombreux collègues que nous remercions ici anonymement. Enfin, cet ouvrage doit aussi sa qualité à un travail remarquable d’édition technique assuré par Pascale Béraudque nous associons à ces remerciements. Nous avons eu la primeur de ces articles et nous espérons que vous partagerez l’intérêt que nous avons eu à leur lecture à la fois instructive, enrichissante et propice à nourrir notre réflexion pour le futur de la recherche-développement dans le domaine de l’élevage bovin laitier.Philippe FAVERDIN, Christine LEROUX RéférencesDoreau M., Baumont R., Perez J.M., (Eds) 2011. Dossier, Gaz à effet de serre en élevage bovin : le méthane. INRA Prod. Anim., 24, 411-474. Fanica P.O., 2008. Le lait, la vache et le citadin. Du XVIIe au XXe siècle. Editions Quae, Paris, France,520p. Faye B., Bonnet P., Corniaux C., Duteurtre G., 2010. Peuples du lait. Editions Quae, Paris France, 160p. Hostiou N., Dedieu B., Baumont R., (Eds) 2012. Numéro spécial, Travail en élevage. INRA Prod. Anim., 25, 83-220. Mulsant P., Bodin L., Coudurier B., Deretz S., Le Roy P., Quillet E., Perez J.M., (Eds) 2011. Numéro spécial, Amélioration génétique. INRA Prod. Anim., 24, 283-404. Sauvant D., Perez J.M., (Eds) 2010. Dossier, Robustesse, rusticité, flexibilité, plasticité, résilience… les nouveaux critères de qualité des animaux et des systèmes d'élevage. INRA Prod. Anim., 23, 1-102. Steinfeld H., Gerber P., Wassenaar T., Castel V., Rosales M., de Haan C., 2006. Livestock's long shadow: environmental issues and options. Food and Agriculture Organization of the United Nations,414p.
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Kara, Kamla, Zohra Taoutaou und Gilbert Peres. „Effets Du Jeûne De Ramadan Sur La Variabilité De La Fréquence Cardiaque Durant Le Cycle Circadien Chez Les Coureurs“. المجلة العلمية العلوم والتكنولوجية للنشاطات البدنية والرياضية, 2020, 127. http://dx.doi.org/10.54031/2070-017-002-010.

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BOUGHIDENE, Rachid, und Mohamed ACHOUCHE. „Economic cycles in Algeria: identification and characterization“. Cahiers du cedimes, 2022, 71–88. https://doi.org/10.69611/cahiers17-4-05.

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In this article, we propose to establish a chronology of dating the Algeria economic cycle and the study of its characteristics. The adoption of Bry-Boschan's non-parametric approach to the Algerian production index allowed us to extract the reference cycle and the growth cycle of the Algerian economy over the period 1992 to 2016. The results obtained show that, for the reference cycle, there is little relationship between the expansion phase and the severity of the previous recession and its subsequent influence. For the growth cycle, it is broadly related to the socio-economic events that the country has gone through during this period.
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Ben Ayed, L., A. Hassen, N. Jedidi, N. Saidi, O. Bouzaiane und F. Murano. „Caractérisation des paramètres physico-chimiques et microbiologiques au cours d’un cycle de compostage d’ordures ménagères“. Déchets, sciences et techniques, Nr. 40 (2005). http://dx.doi.org/10.4267/dechets-sciences-techniques.2001.

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Bishop-Williams, Katherine E., Kaitlin Roke, Erin Aspenlieder und Meagan Troop. „Graduate Student Perspectives of Interdisciplinary and Disciplinary Programming for Teaching Development“. Canadian Journal for the Scholarship of Teaching and Learning 8, Nr. 3 (04.12.2017). http://dx.doi.org/10.5206/cjsotl-rcacea.2017.3.11.

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Interdisciplinary (i.e., university-wide programming) and disciplinary (i.e., programming open to participants from one college or department) teaching development programs for graduate students have been used for many years in higher education. Currently, research on the benefits of these teaching models remains scant in terms of a contextualized understanding, and empirical studies are needed. The purpose of this study was to determine graduate students’ perspectives related to interdisciplinary and disciplinary teaching and learning experiences. Two online surveys were used: a quantitative survey and a qualitative follow-up survey. Three participatory focus groups were also conducted to allow for further in-depth exploration in both an interdisciplinary and disciplinary group setting that represented seven distinct colleges. Statistical and thematic analyses were conducted with survey responses, and thematic analyses were conducted on focus group data. Similar themes emerged from the survey and focus group data identifying perceived benefits of participation in either interdisciplinary or disciplinary teaching development. Respondents’ perceived benefits were related to: (a) becoming a better teacher; (b) social learning; and (c) that while the perceived benefits of the models vary, the outcomes of both experiences are shared. The lived experiences of these graduate students expand the characterization of interdisciplinary and disciplinary programming. This study points to the need for graduate student programs—specifically teaching development offered by educational development units—to provide both interdisciplinary and disciplinary teaching development opportunities that achieve a blend of benefits for learners. Les programmes interdisciplinaires (c’est-à-dire les programmes offerts à l’échelle de l’université) et disciplinaires (c’est-à-dire ceux qui sont ouverts aux participants d’un collège ou d’un département) de perfectionnement de l’enseignement pour étudiants de cycle supérieur existent depuis de nombreuses années en enseignement supérieur. À l’heure actuelle, la recherche sur les avantages de ces modèles d’enseignement reste très incomplète en matière de compréhension contextualisée et il y a grand besoin de mener des études empiriques. Le but de cette étude était de déterminer les perspectives des étudiants de cycle supérieur liées aux expériences d’enseignement et d’apprentissage interdisciplinaires et disciplinaires. Deux sondages en ligne ont été employés : un sondage quantitatif et un sondage de suivi qualitatif. Également, trois groupes de discussion participatifs ont été organisés afin d’explorer plus profondément les contextes des groupes interdisciplinaires et disciplinaires qui représentaient sept collèges distincts. Des analyses statistiques et thématiques ont été effectuées avec les réponses aux sondages et des analyses thématiques ont été effectuées sur les données recueillies des groupes de discussion. Des thèmes semblables se sont dégagés des sondages et des données recueillies des groupes de discussion. Ces thèmes identifiaient les avantages perçus de la participation dans le perfectionnement de l’enseignement tant interdisciplinaire que disciplinaire. Les répondants ont perçu les avantages suivants : (a) possibilité de devenir de meilleurs enseignants; (b) apprentissage social; et (c) bien que les avantages perçus de chaque modèle varient, les résultats des deux expériences sont semblables. Les expériences vécues de ces étudiants de cycle supérieur élargissent la caractérisation des programmes interdisciplinaires et disciplinaires. Cette étude souligne la nécessité que les programmes pour étudiants de cycle supérieur – spécifiquement les programmes de perfectionnement de l’enseignement offerts dans le cadre d’unités de pédagogie – doivent offrir des occasions de perfectionnement de l’enseignement à la fois interdisciplinaires et disciplinaires pour que les apprenants tirent des deux modèles un mélange d’avantages.
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