Auswahl der wissenschaftlichen Literatur zum Thema „Arts du spectacle – Mise en scène“

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Zeitschriftenartikel zum Thema "Arts du spectacle – Mise en scène"

1

Valade, Pauline. „Un spectacle contrarié : la mise en scène de la joie publique à Paris“. Dix-huitième siècle 49, Nr. 1 (2017): 219. http://dx.doi.org/10.3917/dhs.049.0219.

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Légeret, Katia. „Briller, obscurcir ou aveugler ? La lumière dans le théâtre et la danse contemporaine“. Figures de l'Art. Revue d'études esthétiques 17, Nr. 1 (2009): 259–74. http://dx.doi.org/10.3406/fdart.2009.883.

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Dans certaines mises en scène contemporaines du spectacle vivant, fondées sur l’interculturalité, les dispositifs lumineux n’éclairent plus une dramaturgie préétablie mais ils participent activement au processus de création collective, invitant le public à en multiplier les lectures possibles. En effet, lorsque la lumière est perçue par son concepteur comme un élément essentiellement aveuglant, toute instrumentalisation la réduisant à un objet ou à une technique est ainsi évitée. Dès lors, la lumière se situe entre les arts et entre les corps des acteurs et des danseurs, tel un matériau ou un environnement transculturel, résistant à certaines pratiques et conceptions du signe. Cultivant la réception d’un spectateur qui accepte de ne plus rien voir a priori, ces performances risquent cependant de préférer à la lumière son contraire. La mise en œuvre d’une telle esthétique de la disparition, notamment dans des mises en scène de Pina Bausch, de Carolyn Carlson et de Bartabas, remet en question l’idée d’un corps qui serait à la fois visible et voyant, et joue sur les limites de ses formes sensibles et de ses transformations possibles.
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Burtin, Tatiana. „Interartialité et remédiation scénique de la peinture“. Mettre en scène, Nr. 12 (19.02.2010): 67–93. http://dx.doi.org/10.7202/039232ar.

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Résumé Le propos de cet article est d’approfondir la notion d’interartialité, dont l’archéologie a été élaborée par Walter Moser, et d’étendre son application à des cas peu fréquents afin de la mettre à l’épreuve. La théâtralisation de la peinture sur la scène, examinée dans deux spectacles contemporains, « Art » de Yasmina Reza et Seuls de Wajdi Mouawad, offre un bon exemple de résistance d’un art à un autre. La mise en scène d’un tableau interroge le statut et le sens de l’oeuvre d’art hors du musée, mais aussi la spécificité de l’esthétique théâtrale, et sa capacité à jouer avec la transparence et l’opacité des arts et des médias qu’elle accueille dans son espace. Par la présence du tableau (« réelle » ou reproduite par image vidéo) sur la scène, et par la place des autres corps, notamment celui de l’acteur, face à elle, l’art de la peinture permet au spectateur d’appréhender une nouvelle profondeur de la scène, quelque peu oubliée de nos jours par la perception bidimensionnelle des arts de l’image, appréhension qui remet en cause l’esthétique théâtrale de la distance et de l’illusion.
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Caïe, Thibault, Léa Garcia, Amandine Schreiber und Laure Turner. „Billetterie du spectacle vivant en 2022“. Culture chiffres N° 4, Nr. 4 (25.04.2024): 1–24. http://dx.doi.org/10.3917/culc.234.0001.

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Théâtre, cirque, musique, danse ou encore seul-en-scène… le spectacle vivant, deuxième secteur culturel en matière de poids économique après l’audiovisuel, couvre une large variété de domaines esthétiques. D’après les données déclarées auprès du dispositif du ministère de la Culture SIBIL (Système d’information billetterie) et enrichies de celles du Centre national de la musique (CNM) et de l’Association pour le soutien du théâtre privé (ASTP), au moins 200 000 représentations de spectacle vivant ont été données en 2022, qui ont rassemblé 53 millions de spectateurs et généré une recette de billetterie de 1,7 milliard d’euros. La diversité du spectacle vivant induit une grande hétérogénéité d’un domaine esthétique à l’autre mais aussi au sein d’un même domaine, où le nombre de représentations, de spectateurs, la recette par billet et par représentation varient. Ainsi, les concerts rassemblent la moitié du public et génèrent les recettes les plus élevées (1 milliard d’euros, soit 60 % de la recette totale de billetterie) devant le théâtre et les arts associés (27 % du public et 320 millions d’euros), les comédies musicales, l’humour, le cabaret, le music-hall (18 % et 290 millions d’euros) et la danse (5 % et 74 millions d’euros). Cependant, une représentation de spectacle vivant sur deux relève du théâtre ou des arts associés, souvent jouée dans de plus petites salles (140 spectateurs en moyenne par représentation) que pour les représentations musicales (570 spectateurs), les spectacles de danse (300 spectateurs) ou d’humour (195 spectateurs). C’est en Île-de-France que sont données quatre représentations sur dix de spectacle vivant mais l’offre de festivals participe fortement à la vitalité culturelle des territoires. Les festivals rassemblent 400 spectateurs par représentation, moyenne qui varie de 80 pour le théâtre ou le conte, marionnettes et mime à 1 800 pour le pop, rock et 3 500 pour le rap, hip-hop, ces deux derniers genres musicaux générant les recettes les plus élevées. Si la diversité des propositions artistiques est grande, celle des déclarants l’est aussi. Une représentation sur deux est déclarée par une société commerciale, une sur trois par une association et une sur six par un établissement public ou une collectivité territoriale. Parallèlement, deux représentations sur dix sont données au sein du réseau constitué par les établissements publics nationaux ou les structures auxquelles le ministère de la Culture a délivré un label ou une appellation. Pour ces structures, la reprise post-crise sanitaire est lente : le nombre de représentations déclarées en 2022 excède de 6 % celui de 2019, mais la fréquentation est en baisse de 7 % et les recettes, de 11 %. La fréquentation et les types de spectacle proposés sont ainsi détaillés dans cette étude qui établit une toute première photographie de la billetterie du spectacle vivant en 2022.
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Cazes, Hélène. „Représentations des textes et des savoirs chez Charles Estienne : la « vive parole » d’un humaniste“. Renaissance and Reformation 40, Nr. 3 (24.11.2017): 187–216. http://dx.doi.org/10.33137/rr.v40i3.28741.

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Homme aux savoirs multiples et homme de vulgarisation, Charles Estienne (1514–1564) s’intéressa à la traduction et à l’édition théâtrale parallèlement à ses activités éditoriales et scientifiques, tant en latin qu’en français. Non pas en marge, mais au centre d’une carrière consacrée à la parole du partage des savoirs, l’intérêt pour le théâtre de Charles Estienne se manifeste d’abord par la traduction française d’une comédie italienne contemporaine, rééditée au moins deux fois, puis par des éditions annotées pour la jeunesse d’une comédie de Térence, l’Andrie, qui se continuent par la traduction française de cette comédie, accompagnée d’un traité sur les Jeux des Anciens. Ces deux pièces de théâtres sont représentatives de l’entreprise de Charles Estienne visant à rendre accessible à un plus grand public les grandes oeuvres du passé classique comme de la modernité italienne. Surtout, ces textes sont conçus pour la représentation, dans un cadre éducatif mais aussi, simplement, pour le plaisir du spectacle théâtral. La mise en français, mais aussi la mise en lisibilité (par des lexiques, annotations, commentaires, abrègements etc.) paraissent de fait constituer une mise sur scène du texte source, qui sera dit lors de la représentation mais également par son médiateur, le vulgarisateur (qui traduit, édite, rend compréhensible et diffuse). Ainsi, la traduction pour la scène illustre une parole humaniste, de la transmission et du partage des savoirs : une représentation de la reprise et de la vulgarisation. A man of much learning and a man of popularisation, Charles Estienne (1514–1564) was interested in theatrical translation and edition both in Latin and in French, as well as in many other editorial and scientific activities. Interest in theatre was at the centre of Charles Estienne’s career consecrated to knowledge sharing; it manifested itself first in the French translation of a contemporary Italian comedy, re-edited at least twice. Then he produced several annotated editions for young people of a comedy by Terence, Andria. These were followed by the French translation of this same comedy, accompanied by a treatise on the Jeux des Anciens [Plays of the Ancients]. These two plays are representative of Charles Estienne’s endeavour to make the great works of from classical past as well as contemporary Italy accessible to a wider public. Above all, these texts are designed for performance, in an educational context but also simply for the pleasure of theatrical spectacle. The rendering of the French, and the rendering of readability (through lexica, annotations, commentaries, abridgements etc.) stage the source text, which would be spoken during the performance but also stage its mediator, the populariser (who translated, edited, made comprehensible and disseminated the text). Thus translation for the stage illustrated a humanist position on the transmission and sharing of knowledge: a performance of revival and popularisation.
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Turney, Jo. „Under-dressed: Vests as representations of White, liminal masculinity and the transnational body in Saturday Night Fever and Raging Bull“. Film, Fashion & Consumption 9, Nr. 2 (01.10.2020): 131–55. http://dx.doi.org/10.1386/ffc_00016_1.

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The 1970s is often considered a period in which masculinity was in crisis. This article considers that through cinematic representation and the use of the white cotton vest as a motif of hegemonic and working-class masculinity, masculinity was not in crisis, but in transition. The focus on films Saturday Night Fever and Raging Bull, is used here to exemplify discussions surrounding primarily hetero-normative masculinity, nationhood, tradition and the White working-class male body both dressed and undressed, and how these provide spaces through narrative and mise en scène to discuss notions of flux, change and fluidity that maps and arcs ‘masculinity’ to masculinities. The male body is deconstructed and reconstructed through the vest and becomes public spectacle. The centrality of the vest and its purpose within these (and many other) films during the period, acts as a means of revealing more than just the body of the wearer. In particular, the ethnicity of the protagonist and the repurposing of stereotypes through the vest as motif, underpin the credibility of the narrative and can be understood as a means of simplifying or coding approaches to shifting masculinities.
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7

TAN, MARCUS CHENG CHYE. „Between Sound and Sight: Framing the Exotic in Roysten Abel's The Manganiyar Seduction“. Theatre Research International 38, Nr. 1 (01.02.2013): 47–61. http://dx.doi.org/10.1017/s0307883312000983.

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Roysten Abel's The Manganiyar Seduction is perhaps the most popular performance of Indian folk music on the global festival market today. This performance of Rajasthani folk music is an apt exemplification of an auto-exoticism framed as cultural commodity. Its mise en scène of musicians framed, literally, by illuminated red square boxes ‘theatricalizes’ Rajasthan's folk culture of orality and gives the performance a quality of strangeness that borders on theatre and music, contemporary and traditional. The ‘dazzling’ union of the Manganiyars' music and the scenography of Amsterdam's red-light district engendered an exotic seduction that garnered rave reviews on its global tour. This paper examines the production's performative interstices: the in-betweenness of sound and sight where aural tradition is ‘spectacularized’. It will also analyse the shifting convergences of tradition and cultural consumption and further interrogates the role of reception in the construction of such ‘exotic’ spectacles.
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8

Nikiforova, Larisa V., und Anna M. Zinovyeva. „Theodore Géricault’s Living Picture “Raft of the Medusa” in Scenography: Visual Experience of the Romantic Era“. Vestnik of Saint Petersburg University. Arts 13, Nr. 4 (2023): 639–63. http://dx.doi.org/10.21638/spbu15.2023.403.

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This article demonstrates the connections between visual and the theatrical mise en scène, raises the question of the inclusion of a live painting in the theatrical narrative as a form of interpretation of original painting, and finally presents the diversity of visual experience of the era in which static images coexisted with the moving ones. For the first time Géricault’s painting was animated on stage in 1820, a year after it was exhibited at the Salon (W. T. Moncrieff ’s melodrama “The Wreck of the Medusa, or the Fatal Raft”, London). Then in 1839 audiences saw it in Paris in a drama by Ch. Denoyer at the Théâtre Ambigue Comique and in an opera by F. Flottov to a libretto by the Cognard brothers at the Théâtre Renaissance. Denoisier’s drama proved to be the most suitable for transfer to other stages, and from 1847 to 1876 Géricault’s picture came to life at the Alexandrinsky Theatre in St. Petersburg, and on other Russian stages until 1914. As far as we know, none of the Russian art and theatre historians have paid attention to the stage embodiment of the famous picture. In the works on the history of Russian theater, Ch. Denoyer’s play is mentioned, but no more than that. On the contrary, foreign researchers of the 19th century art treat with great interest the interaction of painting, theater, and new optical spectacles in a single field of visual experience, including such classics of visual studies as P. Virillo and J. Creri. But neither they nor others have touched the Russian material. The article fills the gap in Russian art history and presents an analysis of the contexts in which the story of the Géricault’s living picture aroused interest; it traces the history of the transfer of Géricault’s painting to the Russian stage basing on archiveal sources.
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Laudin, Gérard, und François Moureau. „Le Tableau et la scène. Peinture et mise en scène du répertoire héroïque dans la première moitié du 18 e siècle. Autour des figures des Coypel , dir. Adeline Collange-Perugi et Jean-Noël Laurenti, Annales de l’Association pour un Centre de Recherche sur les Arts du Spectacle aux 17 e et 18 e siècles, février 2014, n° 5, 130 p. ill.“ Dix-huitième siècle 47, Nr. 1 (17.06.2015): CXXX. http://dx.doi.org/10.3917/dhs.047.0627dz.

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Singleton, Brian. „Mise en scène“. Contemporary Theatre Review 23, Nr. 1 (Februar 2013): 48–49. http://dx.doi.org/10.1080/10486801.2013.765116.

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Dissertationen zum Thema "Arts du spectacle – Mise en scène"

1

Proust, Sophie. „La direction d'acteurs : dans la mise en scène théâtrale contemporaine“. Paris 8, 2002. http://www.theses.fr/2002PA082154.

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Principalement basée sur une expérience de stagiaire et d'assistante à la mise en scène de Denis Marleau, Matthias Langhoff, Yves Beaunesne et Robert Wilson de 1997 à 1999, cette recherche définit en quatre parties le travail du metteur en scène avec les acteurs en relation avec un objet de création lors de la période des répétitions pour créer un spectacle. Elle répertorie les prémisses à toute direction d'acteurs dans un processus de création, place le travail du metteur en scène avec les interprètes au-delà d'une simple relation binaire, développe les manifestations du langage spécifique du directeur d'acteurs et les fonctionnements de la direction d'acteurs. Les annexes contiennent notamment des entretiens réalisés avec Matthias Langhoff, Stéphane Braunschweig, Claude Régy, Ferruccio Soleri et François Chat, et des notes de répétitions
Based on my experience as an intern and assistant director for Denis Marleau, Matthias Langhoff, Yves Beaunesne and Robert Wilson between 1997 and 1999, this research defines, in four parts, the director's work with actors during rehearsals for the creation of a production. It indexes the premises necessary to the direction of actors in a creative process, places the director's work with the performers beyond a simple binary relationship, and develops the manifestations of language specific to the director of actors and the functioning of the direction of actors. The appendixes contain, in particular, interviews with Matthias Langhoff, Stéphane Braunschweig, Claude Régy, Ferruccio Soleri et François Chat, as well as rehearsal notes
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Dion, Hélène. „Mise en scène du spectacle La vie comme un voyage - Récit d'un parcours de création“. Thesis, Université Laval, 2010. http://www.theses.ulaval.ca/2010/27106/27106.pdf.

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3

Guilbert, Marjolainea. „Mettre en scène l'autre, par le biais de la chanson : étude des fondements de la mise en scène d'un spectacle chansonnier“. Master's thesis, Université Laval, 2009. http://hdl.handle.net/20.500.11794/20525.

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Ce mémoire de maîtrise vise à cerner les fondements de la mise en scène d'un spectacle chansonnier et à instaurer, en utilisant l'exercice de la mise en scène au théâtre comme base comparative, un premier pan de littérature sur le sujet. L'essai suivant fait donc état des principaux enjeux qui caractérisent ce type de conception artistique et qui résultent d'un amalgame de mes réflexions personnelles, des témoignages de quatre metteurs en scène de chanson chevronnés (Bertrand Alain, Paule- Andrée Cassidy, François Léveillée et Denis Bouchard), ainsi que de lectures sur le sujet. Les annexes, quant à elles, se veulent un document témoin de l'expérimentation scénique Mise en scène de l'Autre, qui consistait à endosser personnellement la mise en scène du spectacle d'un auteur-compositeur-interprète (François Duchesne), expérimentation ayant permis l'élaboration du questionnaire utilisé lors des entrevues avec les quatre artistes du domaine à l'étude rencontrés.
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Bernard, Judith. „Rhétorique du discours de mise en scène : mythes et pratiques de la parole dans la répétition de théâtre“. Lyon 2, 2000. http://theses.univ-lyon2.fr/documents/lyon2/2000/bernard_j.

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Cette recherche a pour objet les répétitions de théâtre des années 1980-90, et concerne le théâtre de texte dans des mises en scène francophones. Il s'agit d'observer les principes structurels de la créativité théâtrale à travers les formes et les fonctions de la parole en répétition. Une étude de type interactionniste permet d'abord de dégager les spécificités de la répétition théâtrale comme interaction communicative. Puis, la parole de mise en scène est considérée comme parole sur le texte de théâtre, discours à la fois critique et poétique : le metteur en scène y est vu comme un lecteur verbalisant, et traduisant, sa lecture de la pièce en un langage susceptible d'être figuré à la scène. C'est ensuite l'aspect rhétorique de cette parole qui est envisagé : sa valeur persuasive et figurale est interrogée dans sa capacité à nourrir l'imaginaire des comédiens, afin de stimuler leur force de proposition et de rendre pérenne la vitalité de leur jeu. La parole de mise en scène est enfin abordée dans sa relation avec les signes dans le jeu d'acteur : " miroir " verbal du jeu d'acteur, la parole du metteur en scène cherche à renvoyer l'image de ce qui a été fait sur scène, pour le fixer, l'effacer ou le nuancer ; il faut alors convoquer ou forger des outils sémiologiques en mesure de décrire l'interaction qui se développe entre parole de mise en scène et production de signes dans le jeu d'acteur.
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5

Fargier, Noémie. „Expériences sonores et intersubjectivité dans le spectacle vivant contemporain. L'inter[o]ralité, entre désir et pouvoirs“. Thesis, Sorbonne Paris Cité, 2018. http://www.theses.fr/2018USPCA152.

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Cette thèse propose une réflexion sur la relation entre scène et salle se tissant à travers l’écoute. Dépassant le modèle activité/passivité auquel pourrait être rattachée l’expérience sonore du spectateur, nous tenterons de cerner les contours de cette relation où l’un émet tandis que l’autre reçoit, mais aussi répond. Le pouvoir semble du côté de la scène, capable de forcer l’écoute du spectateur, d’écraser toute réaction, tandis que le désir serait l’enjeu même de cette relation asymétrique, et circulerait de part et d’autre. Associant la notion d’auralité, qui englobe en un seul terme l’écoute et l’audition, à celle d’oralité, acte d’émettre une parole à l’intention d’un auditeur, la notion d’inter[o]ralité, fusionne les deux pôles, émission et réception, et les deux organes, bouche et oreille. Elle cherche à cerner la dimension intersubjective de la relation d’écoute liant la scène à la salle : si celle-ci prend modèle sur la situation d’énonciation, elle ne se réduit pas à l’écoute muette d’une parole ; elle est jeu d’adresse, intention d’attention.Cette réflexion, mûrie au fil d’une expérience de spectatrice, nourrie de la mémoire, souvent fragmentaire, de spectacles, se fonde sur un corpus d’oeuvres vues et entendues entre 2004 et 2017, créées par des artistes de la scène européenne tels que Joël Pommerat, Romeo Castellucci, Maguy Marin, Vincent Macaigne, Gisèle Vienne, Rimini Protokoll, dont le rapport au sonore est remarquable ou parlant du fait de la relation qu’il engendre avec le spectateur. Aussi cette réflexion invite-t-elle à une appréhension plus large de l’écoute : non seulement comme réception du sonore et de ce qu’il y a à entendre, mais comme réponse à une proposition émise à l’attention d’un autre, attention à cette attention elle-même, à laquelle ce dernier est libre, à tout moment, de se dérober
This thesis explores the relationship between stage and audience as it arises in listening. Going beyond the activity/passivity paradigm that could be used to describe the audience’s sonic experience, we will try to draw the contours of a relationship in which the one produces while the other not only receives, but also responds. Power seems to belong to the stage in order to enforce listening on the part of the spectator and to prevent any reaction, while desire appears to be circulating back and forth as the purpose of this asymmetrical relationship. Conflating the notion of aurality, which gathers “listening” and “hearing”, and the notion of orality, which is the act of producing speech for a listener, the notion of inter[o]rality combines the two sides, production and reception, and the two organs, mouth and ears. It aims at capturing the intersubjective dimension of the listening relationship between stage and audience : even if it is modeled on the paradigm of enunciation, it is not limited to the mute listening of what is being said ; it is a game of addressing, an intention of attentiveness. This reflection, which has matured along with my experience as a spectator and which relies on the often incomplete memory of the shows I have seen, is based on a corpus of works that I watched and heard between 2004 and 2017. They were produced by European stage directors and artists such as Joël Pommerat, Romeo Castellucci, Maguy Marin, Vincent Macaigne, Gisèle Vienne, or Rimini Protokoll, whose connection to sound is remarkable or significant because of the relationship it creates with the spectator. In this way, this reflection encourages a wider approach to listening, considered not only as the reception of sound and of what is to be heard, but also as a response to what is offered to the attention of an other, and as an attentiveness to this attention itself, which the other is free, at any moment, to relinquish
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Siaud, Florent. „Les processus de la mise en scène : polyphonie et complexité dans la création scénique“. Thèse, Lyon, École normale supérieure, 2014. http://hdl.handle.net/1866/12820.

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Les processus de la mise en scène reposent nécessairement sur une réalité humaine complexe, faite de dialogues et de rapports de force en constante redéfinition. Afin de les théoriser, plusieurs travaux ont institué en corpus les documents produits en cours de réunion ou de répétition, pour leur appliquer les méthodes issues de la génétique des textes. Or le transfert s’avère problématique : vestiges lacunaires, ces supports ne sauraient témoigner à eux seuls de la vie organique et polyphonique de la mise en scène en gestation. Une première solution consiste à opter pour une approche radicalement intermédiale des archives d’un spectacle : dans la mesure où la mise en scène fait interagir plusieurs disciplines artistiques, pourquoi ne pas la penser en confrontant activement les différents media générés lors de son élaboration ? Complémentaire de la première, une seconde proposition suppose que le chercheur s’implique dans une observation in vivo de réunions et de répétitions afin de disposer d’une matière plus complète. À cette clarification épistémologique succède un essai de théorisation des processus de la création scénique. Il apparaît tout d’abord que l’espace de travail est aussi bien un contenant physique de la recherche des artistes qu’un catalyseur : c’est en se l’appropriant à plusieurs qu’un groupe de collaborateurs donne corps à la mise en scène. L’espace de création révèle par là même une dimension polyphonique que l’on retrouve sur le plan du temps : dans la mesure où il engage un ensemble d’artistes, un processus ne possède pas de linéarité chronologique homogène ; il se compose d’une multitude de temporalités propres à chacun des répétants, qu’il s’agit de faire converger pour élaborer un spectacle commun à tous. Les processus de la mise en scène se caractérisent ainsi par leur dimension fondamentalement sociale. Réunie dans un espace-temps donné, la petite société formée autour du metteur obéit à un mode de création dialogique, où les propositions des uns et des autres s’agrègent pour former un discours foisonnant dont la force et l’unité sont garanties par une instance surplombante.
A complex human reality, based on dialogues as well as power relations which are permanently being redefined, is at the heart of the process of performance creation. So as to theorize such processes, several studies have been building a corpus compiling the documents which are produced during meetings or rehearsals. However, such a transfer has proven questionable : as it is made of incomplete traces, such material is necessarily too incomplete to bespeak of the organic and polyphonic life of a performance in gestation. A first solution is to elect a decidedly intermedial approach of a performance’s archives : since various artistic disciplines interact in the process of a performance’s production, one may analyze it by actively comparing and contrasting the different media which are generated during its elaboration. As a complement to the first proposal, a second approach will lead the researcher to get involved into an in vivo observation of meetings and rehearsals so as to have at his disposal a more comprehensive research material. This epistemological clarification paves the way for an attempt to theorize the processes of stage creation. First, it appears that the stage or work space is as much of a physical receptacle for the artists’ research as it is a catalyst : it is in the course of getting to own this space collectively that a group of collaborators gives substance to the production. The creative space thus reveals a polyphonic dimension which is also true regarding time : since it involves an ensemble of artists, a creative process has no uniform chronological linearity ; it comprises a whole array of relations to time which are specific to each of the participants, and one has to bring these temporalities together to give birth to a performance that belongs to all. There is therefore a fundamentally social dimension to any staging process. As it is gathered in a given space and time, the small society which is formed around the stage director has to follow a creative process based on dialogue, where the suggestions of the different individuals coalesce to produce a prolific discourse whose strength and unity are guaranteed by the presence of the director.
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Firmo, Ana Catarina Cardoso. „Da palavra à cena e da palavra em cena : dramaturgias do absurdo em França e em Portugal“. Paris 8, 2012. http://www.theses.fr/2012PA083967.

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Les dramaturgies de l’absurde en France et au Portugal se caractérisent par des mouvements artistiques d’avant-garde, pendant les décennies de 1950 et 1960, dans le sens où les auteurs s’opposent aux systèmes sociaux et politiques de leur époque, en proposant de nouvelles perspectives pour envisager le monde. Le fait que ces dramaturgies se maintiennent en scène nous amène à une interrogation essentielle : quelle est l’importance de la transposition du contenu du texte pour l’espace scénique dans ce genre de dramaturgie ? Dans la première partie de notre étude nous analysons les origines de la dramaturgie de l’absurde en France, tout en réfléchissant sur la polémique qui s’est engendrée autour de la terminologie. Nous nous penchons ensuite sur l’œuvre dramatique de Ionesco et de Beckett. Le choix de ces deux dramaturges se justifie par le fait qu’ils sont devenus les noms les plus emblématiques et avec le plus de visibilité dans la recréation de l’absurde dans l’espace français. En ce qui concerne l’œuvre de Ionesco, nous nous proposons de réfléchir sur les binômes mémoire et amnésie dans l’espace scénique. Chez Ionesco, le jeu de la mémoire et le cours du temps ne cesse pas de préoccuper les personnages qui, loin de se résigner, réagissent contre les blancs de mémoire. La mémoire est représentée ou évoquée en scène par une multitude d’espaces scéniques. La mort est concrétisée sur scène et le poids du temps se fait ressentir. Avec Beckett, le temps semble cristallisé et l’espace est minimisé. Dans ce sens, nous nous proposons d’analyser la façon dont nous pouvons observer dans sa dramaturgie un parcours qui part de la représentation d’un parler incessant accompagné d’un état d’immobilité, pour arriver finalement à la représentation de l’épuisement du langage accompagné par le mouvement incessant. Ce parcours beckettien sera illustré par le fait que nous observons chez les personnages, le passage d’un état de dualité à un état de spectres. De notre point de vue, les thématiques choisies pour analyser l’œuvre des deux auteurs rendent compte des parcours différents de l’absurde ontologique qui nous permet de les rapprocher. Il nous semble aussi qu’il s’agit des thématiques fondamentales pour les transpositions scéniques. Le théâtre de l’absurde au Portugal suit clairement l’influence de l’absurde français, sachant que la France constituait alors une source culturelle d’inspiration artistique. Nous dégageons une ligne commune d’identification liée à l’après-guerre, à l’éclosion des avant-gardes européennes et à la récupération des mouvements artistiques qui ont surgi dans le contexte de la Première Guerre, tels que le Surréalisme et nous rendons compte aussi d’une déviation : le théâtre de l’absurde au Portugal a aussi été une stratégie pour échapper à la censure. Si le théâtre de l’absurde en France s’est caractérisé par une avant-garde aux feux de la rampe, le théâtre de l’absurde au Portugal a été caractérisé par une écriture muette, traumatisé par la censure de l’Etat nouveau, qui a bloqué le passage du texte à la scène. Il est très curieux de s’interroger sur les raisons qui ont motivé la censure pendant la dictature portugaise à être plus rigide vis-à-vis la dramaturgie nationale, qu’elle ne l’a été envers les auteurs étrangers. Pour éclaircir ces questions, la deuxième partie de la thèse portera sur l’analyse de la dramaturgie portugaise. Nous dresserons le panorama théâtral pendant la dictature de l’Etat nouveau au Portugal et présenterons les différents parcours des auteurs faisant l’objet de la censure politique. Nous cherchons à observer la façon dont le langage codifié de ces dramaturges surgit comme une évocation des auteurs français et comme subversion politique. Ce fait souligne le pouvoir critique du théâtre de l’absurde, un nonsense qui produit du sens. Il faut aussi s’interroger sur les causes de la censure des représentations des textes, alors que leur publication était autorisée. Nous pouvons alors observer d’une façon plus claire en quel sens l’effet immédiat du spectacle peut dénoncer l’espace social plus efficacement que le texte qui le précède. Si le théâtre de l’absurde en France s’est défini par une présence constante en scène, le théâtre de l’absurde au Portugal est banni de la scène. Nous nous proposons d’observer le lieu du théâtre de l’absurde, dans son passage à la scène. Nous étudions les recréations françaises les plus récentes et les voies des dramaturges portugais après la fin de la dictature en 1974. Ainsi, la troisième partie de ce travail propose une réflexion sur l’importance de la recréation scénique dans le contexte du théâtre de l’absurde. Cette étude nous permettra de mieux comprendre les voies possibles pour contrarier le mutisme du théâtre portugais et les parcours d’un théâtre canonique, bloqué par la tradition, dans le cas français
The main question that underlies this research is the brige between the written word and the theater stage in absurd dramaturgies from France and Portugal. In the French case we propose to study the dramaturgical itineraries of Ionesco and Beckett, through sets of thematic approaches which seem fundamental in the stage re-creation of their texts. In the Portuguese case we aim to look at the theater's political and legislative structure under the Estado Novo dictactorship, in order to better grasp the context in which the main representatives of the absurd movement saw their work asphyxiated by state censorship. We will try to understand the continuity of absurd theater today, by analyzing a set of recent stagings of some of these written works in France, as well as observing the reality of Portuguese absurd theater after the establishment of democracy in 1974. By confronting these two different contexts we will try to demonstrate the importance of both recreating the absurd dramaturgies of the French stage, and counteracting the invisibility of the Portuguese reality
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Rezzouk, Aurélie. „Exposer le théâtre. De la scène à la vitrine“. Thesis, Paris 4, 2013. http://www.theses.fr/2013PA040161.

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Pour qui, à quelles fins, et comment exposer le théâtre? L’approche muséologique se veut ici à la fois méthode d’investigation du champ théâtral et éthique du muséal, dont elle envisage les enjeux, les moyens et la portée. L’exposition d’objets de théâtre, vestiges, témoins ou empreintes de la scène, ordonnés dans un parcours et intégrés à un propos, interroge la nature de l’événement scénique et de l’événement théâtral. Elle donne à voir l’objet en instance de signification, sans toutefois l’y réduire. Elle joue, pour ce faire, des affinités autant que des tensions entre présence scénique et présence muséale; elle offre, en réponse, une vision du théâtre en son histoire, mais aussi comme processus de création et de réception. L’exposition participe des temps du théâtre pour le visiteur et le spectateur d’aujourd’hui: elle peut être pensée à la fois comme espace de manipulation, par l'expositeur et par le visiteur, de la matière théâtrale (espace, temps, objets et textes) et comme lieu d’une philosophie de la scène, orientée vers un théâtre à venir. Son mode discursif spécifique est de l’ordre du montage, du discontinu et de la polyphonie. Le visiteur s’y exerce à différents régimes scopiques et intellectifs sur des formes théâtrales passées et présentes, met à l’épreuve une pensée du théâtre au contact de l’objet et à celui d’autres pensées, celles des praticiens de la scène, celle de l’expositeur
For whom, to what end and how may theatre be exhibited? The museologic approach is meant to be both an investigating method of the theatrical field and a museum ethics, whose stakes, means and import it considers. Exhibiting theatre objects -- remnants, pieces of evidence or imprints of the stage -, arranged for display, and used as statements, questions the very nature of on-stage and theatrical events. It shows the object as becoming meaningful without confining it to its meaning. To such an end, it plays both on the similarities and tensions between being on stage and on display and it conveys, as a response, a vision of theatre as part of its own history but also as a process of creation and reception. The exhibition is a theatrical time in itself for today’s visitor and spectator: it can be thought of both as a place for the manipulation of theatrical material (space, time, objects and texts) and as one dedicated to a stage philosophy that looks into theatre as it could be in the future. Its specific discursive mode relies on montage, discontinuity and polyphony. It offers the visitor a chance to try different scopic and intellective regimes on present and past theatrical forms and to put theatre thinking to the test of the object itself and of other modes of thinking – those of stage practitioners and of the exhibitor
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Fénelon, Ian. „Des robots sur la scène, aspects du cyber-théâtre contemporain“. Thesis, Sorbonne Paris Cité, 2017. http://www.theses.fr/2017USPCA006.

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« On considère que le XXIe siècle sera “le siècle des robots”comme le XXe siècle a été le siècle des ordinateurs » , annonce Franck Bauchard. Or, si les robots ne semblent pas avoir tout à fait envahi notre quotidien, en revanche, au théâtre, ils sont bien là. Depuis plusieurs années, le « cyber-théâtre » convoque sur scène, et ailleurs (dans les musées, dans la rue, dans le cadre d’expositions d’art contemporain) toutes sortes de robots, qu’il s’agisse d’androïdes, d’humanoïdes, de robots zoomorphes, ou « simplement » mécanomorphes. Quelles formes revêt ce théâtre ? Qu’advient-il de l’acteur, mis, une fois de plus, en présence d’un énième artefact technologique, cette fois mobile et intelligent, avec lequel il devra partager la scène recomposée ? Enfin, comment le public réagit-il à la présence concrète de ces monstres tridimensionnels, qui jusque-là n’existaient qu’au cinéma, ou dans la littérature ?Un corpus élargi nous permettra d’apprécier la diversité du cyber-théâtre contemporain, qu’il soit « anthropo-mimétique », ou « non-anthropo-mimétique ». Néanmoins, nous avancerons l’hypothèse que le premier se révèle étriqué et rigide, au point, parfois, de mettre en péril l’acte théâtral. En revanche, nous saluerons dans le second un théâtre riche d’esthétiques débridées, et de dramaturgies inédites. Ce théâtre-là interroge et refonde une relation homme / machine millénaire et tumultueuse, mais désormais basée sur l’égalité, et le respect des paradigmes de chacun. Sur ces scènes occupées par des créatures technologiques autonomes et imprévisibles, l’acteur aux aguets n’a jamais été autant immergé dans le hic et nunc, tandis que le robot, lui, s’augmente d’une dimension nouvelle : il accède à ce que nous avons baptisé la « vie scénique »
« We assume that the XXIst century will be the century of robots, as well as the XXeth century was the one of computers » , reveals Franck Bauchard. Yet robots don’t seem to have invaded our daily life, indeed we meet them in theatre. For some years now, Robots have appeared on stage, and in other variuos places, such as museums, public spaces (street), art exhibitions. Those new technological creatures divide into humanoïds and androïds, zoomorphic machines, and « pure » machines, that generally don’t refer to anything familiar. What does this theatre look like ? Whats does the actor become, when dropped, one more time, on a technological stage, but which he has to share, this time, with mobile intelligent creatures ? Last, how does the public react to such genuine tridimensional monsters that were only present in cinema or in littérature so far ?Our enlarged corpus, will allow us to to figure out the diversity of contemporanean cyber-creation, either « anthropo-mimetic or » « non-anthropo-mimetic. Then we will put the hypothesis that anthropo-mimetic cyber-theatre shows rigid, and narrow, so far as to endanger the theatrical act. Whereas the other proposal reveals audacious aesthetics, and renewed dramaturgies. This theatre questions and reinvents the relashionships between robots and humans, that priviledge equality and collaboration. Thus, in the representation process, actors coping with such autonomus and unpredictable technological robots gain spontanity and presence, whereas robots find themselves elevated to a new prestigious dimension : they acquire what we have called « scenic life »
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Barut, Benoît. „Un Spectacle dans un fauteuil. Poétiques et pratiques didascaliques d'Axël à Zucco“. Thesis, Paris 3, 2014. http://www.theses.fr/2014PA030134.

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Parce qu’elle se donne comme un discours ancillaire chargé d’actualiser le dialogue et de construire la représentation, parce qu’elle semble empiéter sur le terrain réservé du metteur en scène mais ne peut égaler la magie du spectacle, parce qu’elle n’est ni vraiment littéraire ni réellement scénique, la didascalie est longtemps restée le parent pauvre des études théâtrales. Depuis quelques années, elle fait l’objet d’un engouement relatif. D’une part, des études linguistiques décrivent le fonctionnement standard du discours didascalique en synchronie.D’autre part, des études critiques éclairent les poétiques didascaliques d’auteurs en s’intéressant particulièrement aux infractions par rapport à une pure fonctionnalité supposée.Dans cette thèse, nous cherchons à dépasser cette approche clivée en fournissant une poétique générale de la didascalie et, afin de lui donner sens, poids et nuance, nous l’ancrons résolument dans l’histoire en nous fondant sur le théâtre du XXe siècle, de Villiers à Koltès, soit un XXe siècle élargi, solidement ancré dans le XIXe et les yeux déjà tournés vers le XXIe. C’est le moment où la didascalie se redéfinit du fait de l’avènement et de la prise de pouvoir du metteur en scène, le moment où elle sort spectaculairement de son ornière sans pour autant pouvoir ou vouloir se débarrasser totalement d’un fond utilitaire. Elle apparaît alors sans conteste comme une parole boitant "un pied dans le devoir, un pied dans le désir", une parole icarienne tendue entre des catégories théoriquement exclusives. Dans une première partie, nous posons le format du discours didascalique, son territoire,son fonctionnement énonciatif (c’est-à-dire la place exacte qu’il occupe dans la communication dramatique) et ses caractéristiques graphiques (ponctuation, typographie, mise en page). Dans une seconde partie, c’est la fabrique même de l’écriture didascalique qui est étudiée, c’est-à-dire sa tension constitutive entre le pacte qui la régit (clarté, économie) et sa fondamentale aspiration à devenir (devenir-spectacle, devenir-poème, devenir-roman…)
Because they seemingly have to make the dialog work as well as to construct theperformance, because they seem to encroach upon the director’s grounds and yet cannot level with the magic of the actual staging, because they are not a real piece of literature nor do they belong to the show, the stage directions have long been overlooked by theater studies. In the past few years, a mild interest has arisen. On the one hand, linguists describe in a synchronic fashion the generic features of this particular type of discourse. On the other hand, critics wish to seize the specificity of each author’s stage directions, with an emphasis on the breaches of their theoretical functional purity.In this thesis, we intend to go beyond this fragmented approach by offering an overall poetics of stage directions and, in order for it to carry meaning, weight and nuance, we choose to base it on history and, specifically, on XXth century theater, from Villiers to Koltès, an enlarged century, deeply rooted in the XIXth and already glancing at the XXIst. It is then that stage directions redefine themselves as a result of the advent of the director and his coming to power ;it is then that they spectacularly travel out of joint but appear, nonetheless, incapable or unwilling to get rid altogether of their fundamental usefulness. Unequivocally, they prove to be a form of speech limping “one foot in duty, on foot in desire”, an icarian discourse reconciling what is theoretically opposed.This study starts with the format of the stage directions, their territory, their enunciation (i.e. the exact role they play in the dramatic communication), their graphic characteristics (punctuation, typography, lay-out). Then, we investigate the very fabric of stage directions writing, the perpetual tension between the pact that rules them (clarity, economy) and a fundamental drive to become something else (to become stage, to become poem, to become novel…)
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Bücher zum Thema "Arts du spectacle – Mise en scène"

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Coupan, Jean. Les aventures et la mésaventure d'un enfant gâté. Paris, 80 rue Taitbout, 75009: A. Coupan, 1998.

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Beaulne, Jean. Fabrication d'une star: Les clés de l'industrie musicale. Outremont, Québec: Éditions Publistar, 2006.

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Landi, Michela, Hrsg. La double séance. Florence: Firenze University Press, 2018. http://dx.doi.org/10.36253/978-88-6453-665-1.

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Là où le spectacle, notre appareil, n'aurait d'autre fonction que de projeter, "à quelque élévation", certains manques dont nous serions à peine conscients, il ne peut y avoir dans les Lettres, au dire de Mallarmé, qu'un seul acte, capital: questionner les rapports que cet appareil entretient avec quelque état intérieur de nous-mêmes. Nous croyons, avec l'auteur de La Musique et les Lettres, que c'est par le jeu de leurs relations, souvent rivales, que les arts peuvent se comprendre et nous faire comprendre. Ce jeu, qui n'en finit pas de nous solliciter, nous demande sans cesse de nouveaux instruments pour sa mise en place – ou sa mise en scène.
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4

Bouchet, Sylvain. La mise en scène est de Pierre de Coubertin. Paris]: Éditions Jacob-Duvernet, 2013.

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5

tourisme, Commission canadienne du, Hrsg. Touristes canadiens adeptes des arts de la scène. Vancouver, B.C: Commission canadienne du tourisme, 2003.

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6

Chevalier, Pauline, und Raphaël Abrille. Le musée par la scène: Le spectacle vivant au musée : pratiques, publics, médiations. Montpellier: Éditions Deuxième Époque, 2018.

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7

Faure, Julie. En scène: Lieux de spectacle en Île-de-France, 1910-1940. Lyon: Lieux dits éditions, 2021.

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8

Christophe, Triau, Hrsg. Qu'est-ce que le théâtre? Paris: Gallimard, 2006.

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9

Surbezy, Agnès. Être ou ne pas être... quantique: Le théâtre contemporain à l'épreuve de la physique moderne. Carnières-Morlanwelz, Belgique: Lansman Editeur, 2015.

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10

Éric, Lacascade, Hrsg. Tchekhov-Lacascade: La communauté du doute : avec des extraits des cahiers de mise en scène d'Eric Lacascade. Saint-Jean-de-Védas: Entretemps, 2003.

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Buchteile zum Thema "Arts du spectacle – Mise en scène"

1

Marshall, Jonathan W. „Charcot, Spectacle, and the Mise en Scène of the Salpêtrière“. In Performing Neurology, 19–45. New York: Palgrave Macmillan US, 2016. http://dx.doi.org/10.1057/978-1-137-51762-3_2.

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2

Lemmens, Annelyse. „Le frontispice, mise en scène de la poésie néo-latine. étude de cas de la première moitié du XVIIe siècle“. In Les Arts poétiques du XIIIe au XVIIe siècles, 143–60. Turnhout: Brepols Publishers, 2017. http://dx.doi.org/10.1484/m.latin-eb.4.2017009.

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Ferreira, Filipe, und Nicolas Delferrière. „Les aditus du théâtre du Haut du Verger à Autun“. In Les théâtres antiques et leurs entrées, 259–304. Lyon: MOM Éditions, 2024. http://dx.doi.org/10.4000/11qrw.

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Les fouilles récentes du théâtre du Haut du Verger à Autun ont permis de mettre en évidence une partie de la chronologie d’un édifice bien connu, mais qui n’avait plus fait l’objet de recherches depuis 1977. Le Projet commun de recherche (PCR) sur le quartier antique de la Genetoye, mené par le Service archéologique de la ville d’Autun, a été l’occasion d’étudier l’angle sud du théâtre en 2013 et en 2014 ; puis une partie de sa zone interne, correspondant à la moitié nord de l’orchestra et de l’ima cavea en 2016. D’une campagne de fouille à l’autre, il a été possible d’observer le soin apporté à ces espaces du monument, utilisés particulièrement par les élites de la cité. De leur conception à leur décor, depuis l’extérieur de la façade jusqu’au cœur du monument, les accès privilégiés du théâtre du Haut du Verger témoignent du rapport étroit qui existait entre la population et les espaces publics de la cité. Les circulations au sein des édifices de spectacle contribuaient à la mise en scène quotidienne des habitants et facilitaient la reconnaissance de leur statut social par l’usage d’accès spécifiquement dédiés aux uns et aux autres.
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Doudet, Estelle, und Natalia Wawrzyniak. „7. Scènes éphémères à l’épreuve du virtuel (XVe-XVIe s.)“. In St Andrews Studies in French History and Culture, 97–110. Cambridge, UK: Open Book Publishers, 2024. http://dx.doi.org/10.11647/obp.0400.07.

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Dans la plupart des pays européens, avant la seconde moitié du XVIe siècle, le spectacle dramatique s’est joué sans théâtre ; les performances avaient lieu dans des espaces urbains variés, accueillant des espaces scéniques adaptés aux occasions de représentation. La reconstruction en réalité virtuelle de ces scènes occasionnelles et éphémères, tréteaux ou aires de jeu entourées de gradins, soulève des questions différentes de la restitution 3D de bâtiments théâtraux car les archives sur ces constructions ponctuelles sont souvent lacunaires et rarement étudiées. Dès lors, que peut-on reconstruire en réalité virtuelle et pour quoi faire ? L’article montre comment ces questions de recherche peuvent nourrir les formations pédagogiques, à travers l’exemple des spectacles des XVe et XVIe siècles remis en scène par les étudiants de l’Atelier de recherche créative en histoire des arts du spectacle (ARCHAS, Université de Lausanne). In most European countries, before the second half of the sixteenth century, dramatic performances took place without theatres; performances were hosted in various urban spaces transformed into stages suitable for the occasion. The virtual reconstruction of these occasional and ephemeral scenes, stages, or playing areas surrounded by bleachers, raises different questions from those emerging from the 3D restoration of theatrical buildings because archival traces of these temporary constructions are often incomplete and seldom studied. Therefore, what can be reconstructed in virtual reality and for what purpose? The article demonstrates how these research questions can enrich educational programs, through the example of the spectacles of the fifteenth and sixteenth centuries restaged by students of the Creative Research Workshop in the History of Performing Arts (ARCHAS, University of Lausanne).
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5

Bélanger, Anouk. „Le projet du Quartier des spectacles à Montréal : Une mise en scène de la nouvelle économie culturelle ?“ In Arts et territoires à l'ère du développement durable, 131–49. Les Presses de l’Université de Laval, 2015. http://dx.doi.org/10.1515/9782763726205-006.

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6

Gras, Pierre. „La mise en scène“. In Arts & Cinéma, 189–202. De Boeck Supérieur, 2000. http://dx.doi.org/10.3917/dbu.aumon.2000.01.0189.

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7

Beauvais, Yann. „La mise en scène“. In Arts & Cinéma, 279–88. De Boeck Supérieur, 2000. http://dx.doi.org/10.3917/dbu.aumon.2000.01.0279.

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8

Aumont, Jacques. „La mise en scène“. In Arts & Cinéma, 5–10. De Boeck Supérieur, 2000. http://dx.doi.org/10.3917/dbu.aumon.2000.01.0005.

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9

Aumont, Jacques. „La mise en scène“. In Arts & Cinéma, 127–42. De Boeck Supérieur, 2000. http://dx.doi.org/10.3917/dbu.aumon.2000.01.0127.

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10

Delavaud, Gilles. „La mise en scène“. In Arts & Cinéma, 233–50. De Boeck Supérieur, 2000. http://dx.doi.org/10.3917/dbu.aumon.2000.01.0233.

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Konferenzberichte zum Thema "Arts du spectacle – Mise en scène"

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Wulandhani, Dominick, und Andika Wijaya. „Mise-en-Scène Analysis on Heteronormativity in Queer Narrative “San Junipero” from Black Mirror“. In International University Symposium on Humanities and Arts (INUSHARTS 2019). Paris, France: Atlantis Press, 2020. http://dx.doi.org/10.2991/assehr.k.200729.028.

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2

Yudiaryani und Hirwan Kuardhani. „The Performance of Theatre Mixed Text “Pembayun”: Open Boundary of Mise Ēn Scène and Its Meaning“. In 1st International Conference on Interdisciplinary Arts and Humanities. SCITEPRESS - Science and Technology Publications, 2019. http://dx.doi.org/10.5220/0008763602920295.

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