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  1. Dissertationen

Auswahl der wissenschaftlichen Literatur zum Thema „Aristote (0384-0322 av. J.-C. ; philosophe) – Morale“

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Dissertationen zum Thema "Aristote (0384-0322 av. J.-C. ; philosophe) – Morale"

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Bataillard, Marie-Christine. „La structure de la doctrine aristotélicienne des vertus éthiques“. Paris 4, 1993. http://www.theses.fr/1993PA040116.

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La doctrine des vertus ethiques n'est pas imparfaite illustration de la these de la vertu-mediete, mais problematisation de la morale d'aristote elle-meme. En effet, l'analyse successive de la methode d'exemen des vertus, de leurs aspects objectifs (domaine de chaque vertu, nombre, ordre), puis subjectifs (juste milieu, vices, exces et defaut) permet de degager deux modeles de la moralite : d'une part les vertus ethiques exprement la valeur d'une affectivite ramenee a la mesure, et par consequent soumise aux regles politiques; d'autre part elles unissent desir et raison pour realiser le juste milieu objectif, c'est-a-dire des actes equilibrant parfaitement les circonstances, ce en quoi elles ne sont plus seulement bonnes, mais belles. Cette dualite n'est ni contradiction ni expression d'une evolution de la pensee d'aristote; elle doit etre conservee sous la forme de la feconde distance entre la lettre et l'esprit, opposition en accord avec la structure meme du discours moral d'aristote
Aristotle's doctrine of the moral virtues is not a confuse illustration of his theory that virtue is a mean, but a problematisation of his ethics. The successive analysis of the method in which the virtues are exposed, then of the objective aspects (sphere of each virtue, nomber, ordrer), lastly of the subjective aspects (nature of the mean, vices, excess and defect) leads indeed to determinate two patterns of morality : on the one hand, the moral virtues point out the praise of a well-tempered character, disposed to fulfil the political rules ; on the other hand, they combine desire and reason so that they produce the objective mean (that is a perfect balance of circumstances) and so become not only good, but also noble. This double conception is neither a contradiction nor the sign of an evolution of aristotle's thought ; it must be conserved in the form of the fecund opposition between letter and spirit, this according to the structure of the aristotelian moral doctrine
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Tavernier, Frédéric. „Structure d'une philosophie morale selon confucius et aristote“. Paris 4, 1986. http://www.theses.fr/1986PA040135.

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Redecouvrir la structure d'une ethique selon toutes ses dimensions a travers l'etude de deux grandes sources de l'antiquite grecque et chinoise, aristote et confucius, pour reprendre de facon radicale le probleme de la philosophie morale et politique, telle est l'intention profonde de ce travail. Redecouvrir dans le monde d'aujourd'hui ce qui est capable de fonder l'ethique comme "episteme", c'est a dire comme une connaissance rigoureuse et fruit de la saisie de ce qui dans l'activite humaine est principe au sens de l'"arche" grec, semble une chose urgente et difficile. Il semblait bon pour entrer dans cette recherche de la structure d'une philosophie morale de revenir a deux tres grands moralistes, et de pouvoir comparer leurs positions en cherchant a les situer l'une par rapport a l'autre. Ainsi s'entammait avec nos deux anciens sages un dialogue philosophique que nous avons voulu dans l'esprit de socrate : un dialogue amical oriente vers une saisie commune de la verite, toujours plus grande que les opinions humaines. Ce dialogue nous a permis de mieux expliciter la place des vertus morales ordonnees vers le bien-fin, le bonheur. D'autre part le point de vue confuceen nous a pose le probleme d'une ethique religieuse naturelle, developpement present chez aristote au livre lambda de sa "philosophie premiere" et au livre kappa de son "ethique a nicomaque" mais seulement dans ses elements principaux : theologie naturelle et probleme de la contemplation philosophique. Le probleme de l'amour d'amitie fonde une ethique humaine, le jugement de sagesse l'accomplit parfaitement en ethique religieuse, l'ethique chretienne impliquant non une negation des niveaux naturels de l'ethique mais un depassement dans la sagesse des beatitudes. Tout ceci vecu au sein de la communaute politique.
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Radoilska, Lubomira. „Du projet aristotélicien dans la philosophie morale“. Paris, EHESS, 2003. http://www.theses.fr/2003EHES0004.

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Cette thèse de philosophie s’attache à montrer la plausibilité d’une théorie morale réaliste respectant l’exigence internaliste à l’égard de la force motivationnelle des raisons morales. Une telle théorie devient possible à travers la conception de la rationalité pratique en tant que rationalité des fins implicite dans l’éthique d’Aristote. En ce sens, cette recherche se propose de dégager un projet aristotélicien dans la philosophie morale. La démarche suivie concerne à la fois les problèmes de la métaéthique contemporaine et l’interprétation de la pensée d’Aristote. La première partie traite des difficultés théoriques liées aux concepts de vérité et d’objectivité dans la perspective contemporaine. La deuxième partie présente une analyse de l’épistémologie aristotélicienne suivant laquelle l’éthique constitue un domaine légitime de connaissance. La troisième partie met en évidence le caractère problématique de la conception instrumentale de la rationalité pratique supposée par l’antiréalisme moral. La dernière partie développe une conception substantielle de la rationalité pratique à partir de la notion aristotélicienne de finalité immanente. Cette conception garantit la compatibilité des aspects motivationnel et cognitif des jugements moraux
The aim of this thesis is to show the plausibility of a moral realism meeting the internalist requirement concerning moral reasons. Such a realist position finds support in the conception of practical rationality as a rationality of ends, implied in Aristotle’s ethics. Therefore I try to explicit an Aristotelian project in moral philosophy by discussing on the one hand questions of recent metaethics and on the other hand topics of Aristotelian philosophy. The first part explains some theoretical difficulties concerning the concepts of truth and objectivity in contemporary moral theory. The second analyses the Aristotelian epistemology, considering ethics as a legitimate field of knowledge. The third criticises the instrumental conception of practical rationality assumed by moral antirealism. The starting point of the argument of the last part is the Aristotelian concept of the inner finality of action. It allows to explicit a substantial conception of practical rationality according to which the cognitive and the motivational aspects of moral judgements are not mutually exclusive
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Guremen, Refik. „L'homme, le plus politique des animaux : essai sur les "Politiques" d'Aristote, livre I, chapitre 2“. Electronic Thesis or Diss., Paris 1, 2013. http://www.theses.fr/2013PA010678.

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Cette étude est entièrement consacrée à un examen du deuxième chapitre du premier livre des "Politiques" d'Aristote. Elle vise à analyser l'affirmation aristotélicienne selon laquelle l'homme est un animal plus politique que les autres animaux politiques (Pol., I, 1, 1253a7-9). Tous les commentateurs d'Aristote expliquent cette affirmation par référence à la rationalité, ou à la moralité ou encore à la capacité langagière de l'homme. Selon l'idée soutenue dans cette étude, bien que ces traits exclusivement humains ne soient pas impertinents à la forme spécifique que prend la vie politique de l'homme, le plus haut degré de son caractère politique ne peut pas s'expliquer en fonction d'eux. Après un examen détaillé des plusieurs difficultés que l'on rencontre dans les commentaires contemporains des Politiques, 1,2, nous avons développé la thèse que selon Aristote l'homme est le plus politique des animaux politiques parce qu'il est un animal grégaire à multiple communautés. D'après Aristote, l'homme développe cette multiplicité de communautés en vue de l'autosuffisance. Pour pouvoir montrer que cette interprétation est en conformité avec une autre affirmation d'Aristote selon laquelle la polis existe en vue du bien-vivre, nous avons aussi démontré qu'il existe chez le Stagirite des éléments d'une notion de bien-vivre qui relève moins de la moralité que des conditions animales de l'homme et que c'est dans ce dernier sens que l'existence de la polis en vue du bien-vivre doit être comprise
This dissertation is dedicated to an exclusive study of Aristotle's "Politics", I, 2. It aims at analyzing Aristotle's affirmation that human beings are more political than the other political animals (Pol., I, 1, 1253a7-9). According to the most widely shared views about Aristotle's argument here, human beings would be more political either because they are rational, or because they have a natural capacity for speech or because they are perceptive about questions of morality. According to the idea defended in this study, although these exclusively human features are not impertinent to the specific form that human beings' political life takes, human beings' higher degree of politicalness cannot be explained on the basis of them. After a detailed examination of certain difficulties and shortcomings in contemporary commentaries on Politics, l, 2, we develop the thesis that according to Aristotle, the human being is more political because it is a gregarious animal of multiple communities. For Aristotle, human beings develop this multiplicity of communities for the sake of self-sufficiency. In order to show that this thesis is in conformity with Aristotle's other main idea that the polis exists for the sake of living-well, we demonstrate that elements of a different conception of living-well, based more on human being's animality than its rnorality, are present in Aristotle’s work. Aristotle's affirmation that the polis exists for the sake of living-well must be understood in this rather zoological sense of living-well
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Zhu, Weijia. „La diffusion et l'influence de la philosophie d'Aristote en Chine à partir des dynasties Ming et Qing“. Electronic Thesis or Diss., Limoges, 2015. http://www.theses.fr/2015LIMO0014.

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Cette thèse porte sur la diffusion et l’influence des idées d’Aristote en Chine de la fin de la dynastie Ming jusqu’à la période contemporaine. Le but de cette recherche consiste à cerner les impacts interculturels et à favoriser la compréhension des dialogues et des échanges entre la culture d’origine européenne et chinoise. Il était important de découvrir la traduction des oeuvres et les recherches spécialisées concernant la philosophie d’Aristote en Chine. Il semblait aussi pertinent de se pencher sur l’étude comparative entre la philosophie d’Aristote et quelques courants de pensée principaux de la Chine dans certains domaines, comme l’éthique et l’éducation de Confucius, la philosophie naturelle de Lao zi, la logique de Mo zi et la pensée politique de Han Feizi. Et pour conclure, il fallait reconnaître les influences considérables d’Aristote dans ces domaines en Chine. Cette étude s’appuie sur une base documentaire large et variée que j’ai dépouillée en France et en Chine
This thesis focuses on the spread and the influence of Aristotle¡¯s ideas in China from the end of the Ming`s Dynasty to the contemporary period. The purpose of this research is to identify the interculturals impacts and to promote the understanding of the dialogues and the exchanges between European and Chinese native culture. It was of great importance to find out the translation of the works and also the specialized research on the philosophy of Aristotle in China. In addition, a comparative study on the philosophy of Aristotle and several major schools of thought in China in some areas, such as the ethics and the education of Confucius, the natural philosophy of Laozi, the logic of Mo Zi and the political thought of Han Feizi. At the end, we try to conclude with the considerable influence of Aristotle in several areas in China. This study is based on a wide series of documents we have got through in France and in China
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Aluze, Vincent. „Rhétorique et politique dans les "Librorum deperditorum Fragmenta" d'Aristote : avec présentation, édition, traduction, annotations et commentaire des fragments relatifs à la rhétorique, à l'éthique et à la politique“. Electronic Thesis or Diss., Aix-Marseille, 2016. http://www.theses.fr/2016AIXM3111.

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La thèse examine la relation de la rhétorique, de l’éthique et de la politique dans les fragments des œuvres perdues d’Aristote, et la recherche porte plus largement sur le lien de cette relation avec l’ensemble de la philosophie d’Aristote. Cette étude tente donc de savoir si Aristote, par opposition à ses prédécesseurs, est bien « l’inventeur » de la rhétorique – à laquelle il confère le rang de technique avec une méthode et un objet propres dans le traité éponyme – dès ses premières œuvres de jeunesse, ou bien si sa conception a évolué au cours du temps. Ce faisant et en considérant les aspects éthico-politiques des ces œuvres perdues, l’examen discute les grandes hypothèses interprétatives qui ont été proposées à ce sujet pour soutenir la thèse d’une cohérence de la pensée d’Aristote plutôt que celle d’une évolution. L’étude comporte deux grands moments. Le premier consiste en l’édition, la traduction parfois inédite en langue française, et l’annotation des fragments des Librorum deperditorum relatifs à la rhétorique et la politique, avec la présentation des apparats critiques correspondants. Le second se consacre à l’examen de la cohérence de la pensée aristotélicienne au moyen du commentaire des fragments et de leur comparaison aux œuvres des sophistes (Protagoras, Gorgias, Isocrate, Lycophron), de Platon (Gorgias, Phèdre) et des traités aristotéliciens. Pour ce faire, le travail propose une étude lexicale du vocabulaire employé par Aristote, une analyse philosophique de certains concepts importants (andreia, eleutheriotês, eugeneia, metron, orgê, phronêsis) justifiée par leur emploi dans les fragments et le reste du Corpus aristotelicum, et une exégèse d’ensemble
The thesis investigates the relationship between rhetoric, ethics and politics in the fragments of Aristotle’s lost works, and more globally its relation in Aristotle’s entire philosophy. This study intends to understand if Aristotle, in opposition to his predecessors, is the « inventor » of the rhetoric – to which he awards the value of technique with a proper methodology and object in the eponym treatise – from is early years works, or if his conception of it evolved in time. In doing so, and considering the ethico-political aspects of these lost works, the thesis discusses the main interpretative hypothesis that have been proposed on this subject in order to support the theory of Aristotle’s thought consistency, more than its evolution. The study stands in two main parts. The first one consists in the edition, the translation sometimes unprecedented in French language, and the annotation of Librorum deperditorum’s fragments related to rhetoric and politics, including the corresponding critical apparatus. The second inspects the consistency of Aristotle’s thought using the fragments’ comments and in comparison to the works of the sophists (Protagoras, Gorgias, Isocrates, Lycophron), of Plato (Gorgias, Phaedrus) and of the aristotelian treatises. To proceed, a lexical study of the vocabulary used by Aristotle, a philosophic analysis of a few main concepts (andreia, eleutheriotês, eugeneia, metron, orgê, phronêsis) justified by their presence in the fragments and the rest of the Corpus aristotelicum, and a comprehensive textual exegesis have been undertaken
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Campbell, Matthieu. „Le plaisir dans la pensée d’Aristote : physiologie, essence, valeur et usage“. Electronic Thesis or Diss., Paris 4, 2011. http://www.theses.fr/2011PA040069.

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Cette étude réexamine la théorie aristotélicienne du plaisir en analysant les textes qui s’approchent au plus près d’une définition du concept, et en mesurant les présupposés et les enjeux de leur contenu doctrinal dans l’ensemble de la philosophie d’Aristote. Elle est organisée autour d’un commentaire suivi de Ethique à Nicomaque X 3-4, où le statut du plaisir se trouve précisément déterminé : au sein d’un unique acte cognitif pensé comme une activité continuellement parfaite, le plaisir est à la fois la satisfaction avérée de notre bon exercice, et l’incitation à le continuer tel quel. Cette étude exige une élucidation de l’opposition entre « activité » (energeia) et mouvement, mais aussi un examen préalable de certains présupposés : nous reconsidérons, notamment à partir des traités de psychologie, les caractéristiques formelles de la sensation, paradigme de l’activité plaisante, et montrons que les plaisirs n’obéissant pas au même paradigme, et d’abord les satisfactions des appétits corporels, ne sont pas pour Aristote des plaisirs effectifs. Le dernier moment de notre étude est consacré à évaluer la théorie par rapport à sa destination, le savoir dont doit disposer l’éducateur pour produire les vertus et le bonheur : à partir des éléments fournis par Aristote, il s’avère difficile, bien que nécessaire, de distinguer le plaisir du bien auquel on doit tendre ; il est également malaisé de penser et d’évaluer les plaisirs que l’éducation doit réguler, mais aussi ceux qu’elle doit atteindre (celui de la meilleure pratique et celui de la meilleure contemplation)
I scrutinize Aristotle’s theory of pleasure by analysing the texts that define the concept as closely as can be, and by assessing the presuppositions and the stakes of this definition within Aristotle’s philosophy as a whole. My study is centred upon a commentary of Nicomachean Ethics X, 3-4 where the status of pleasure is enlightened with precision: located within a unique act of cognition (which is essentially a perfect and perpetual activity), pleasure is both an aspect that reveals our good functioning, and an incentive for us to keep it working in the exact same way. I explore the elements presupposed by this account, elucidating the opposition between “activity” (energeia) and process, and before, giving a new light to the formal features of the paradigm of a pleasant activity, i. e. perception, as it is conceived in the psychological treatises. I also explain how pleasures that do not follow this paradigm, i. e. bodily pleasures, are not seen by Aristotle as some effective pleasures at all. The last phase in this work is devoted to an assessment of the discourse on pleasure according to its aim: delivering to a teacher the knowledge he needs in order to produce virtues and happiness. I underline that, from the elements given by Aristotle, it is difficult, but necessary, to make a distinction between the pleasure one can feel at goodness and this very same goodness towards which one must strive. It is quite as difficult to conceive and evaluate all the forms of pleasure education has to regulate, as well as those that it must lead one to feel (pleasure deriving from the best practice, or from the best contemplation)
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Nossenty, Julien. „La phronêsis : une philosophie morale et politique pour repenser le système technicien de santé et médico-social“. Electronic Thesis or Diss., Paris Est, 2022. http://www.theses.fr/2022PESC2002.

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Les autorités politiques ont décidé que les établissements de soins et d'accompagnement devaient normaliser leur fonctionnement, avec une organisation structurée qui promeut une qualité maximale, le bien-être assuré afin de supprimer les risques. Refoulée, dissimulée, occultée la personne est devenue dans cette technostructure sanitaire et médico-sociale un indicateur, un marqueur de bonne qualité, que l'on peut afficher de manière péremptoire à l'entrée des établissements ou sur les sites internet de ces mêmes établissements qui montrent qu'ici la qualité est de rigueur. Mais alors, quelle est la place de la personne dans cette organisation? Que pense la personne? Est ce que la personne à encore le pouvoir de décider? Le développement de la gestion des risques, de la technique, de la biotechnologie et l'idéologie de la qualité absolue nous rappellent l'importance du concept aristotélicien de la "phronèsis". Ce rappel de la "phronèsis" est nécessaire, ca il place la personne toujours au cœur de l'action et plus spécifiquement au cœur de l'accompagnement des personnes vulnérables. En effet, la "phronèsis" sert à ne pas modéliser la réponse à apporter à la personne, encore plus lorsqu'il s'agit d'une personne en situation de handicap, de vulnérabilité. Au contraire, cette démarche philosophique et éthique laisse toute sa place à une "praxis" de l'accompagnement, et à la personnalisation de l'être, de la personne. Il est intéressant de voir au cours de cette thèse, comment la "phronèsis", peut trouver sa place dans l'approche de l'accompagnement à la vulnérabilité. Puis, il sera utile d'analyser dans le cadre de cette thèse que le handicap n'a pas besoin d'être surmédicalisé et que parfois, il est nécessaire d'accepter la fragilité de l'Autre. Savoir l'accepter, c'est regarder l'Autre dans sa singularité, avec sa personnalité propre. Pour les professionnels de santé et du médico-social, accompagner une personne, c'est la laisser prendre de décisions, et ce même si le risque et de ne pas répondre aux critères, au modèle imposé par les institutions politiques sanitaires, car la vulnérabilité et le handicap ne se quantifient pas, ne se mesurent pas. L'accompagnement d'une personne vulnérable, c'est aussi un engagement envers l'Autre, envers un semblable qui vit une souffrance particulière, différente et unique. Ainsi, nous tenterons également au cours de cette thèse, de comprendre les normes règlementaires qui promeuvent une qualité toujours plus grande de l'offre de soins qui dictent et astreignent l'accompagnant lui-même à suivre un modèle d'aide e d'accompagnement qui nie la singularité de la personne qui souffre de déficiences. La finalité de ce travail de thèse est de consentir que la personne vulnérable reste une personne à part entière, qui a la possibilité de choisir et de décider de sa vie et de l''aide qu'on lui apporte. Cette sagacité donne la possibilité de démontrer que la "phronèsis" doit guider les institutions, ainsi que les accompagnants à aller vers une juste sagesse pratique qui prend en considération et reconnait la personne vulnérable.Notre but est de remettre l’éthique de la décision au cœur de la pensée des différents professionnels de santé et du médico-social, au cœur des décideurs afin de ne pas laisser une absolutisation de la techno-politique sanitaire prendre une place toujours grande. Le principe de subsidiarité peut-il répondre à cet enjeu ?
Politics have decided that healthcare institutions must standardize their operating procedures and tend to become an industrial kind of organizations which promote maximal quality, sure well-being and focus on the risk management. Inhibited, hidden, concealed, the individual has become, within this health technostructure, an indicator, a marker of good quality, which we can show off at etablishments' entrance, on those same etablishments' websites, to highlight that quality reigns supreme here. But then, where does the individual stand in this organization ? What about his ideas? Does the individual still own some decision making power? The growth of risk management, technics, biotechnology and doctrine of the absolute quality call us out and remind us the significance of the Aristoltelian concept of « phronèsis ». Highlighting the « phronèsis » concept is necessary here as it puts the individual at the heart of the action and more specifically at the heart of caring to the vulnerable ones. Indeed, the « phronesis » helps us to not standardize the answer to the Individual, especially when this person is disabled or vulnerable. On the contrary, this philosophical and ethical approach gives way to a “praxis” of caring and bet-ter knowlege of the Individual himself. In this thesis, it is interesting to see how the “phronesis” can find its place from the initial caring to the vulnerability. Then, we will consider that it is not necessary to resort to medicalization to deal with handicap; most of the time, it is only a question of how we accept someone's fragility. Accepting means looking at the other as an Individual, considering his own personnality, his peculiarity. For healthcare and social & medical professionnals, caring for someone should mean leave him mak-ing decisions even if it leads to relax the pressure on standardized criterias from heathcare policies. Indeed, vulnerability and handicap are not quantifiable. Caring for a vulnerable individual also means commitment towards him, towards someboby who faces a pain, a personnal and special suffering. That is why, in this thesis, we will try to understand the standards, the norms and the conflict be-tween the wish of higher and higher quality of healthcare's offering and the medical professionnal who have to follow, sometimes reluctancy, a model denying the peculiarity of the Individual. The prupose of this thesis is to agree that the vulnerable people remains an Individual, who keeps the ability of choosing and deciding for his own life and for the support, the help given by the pro-fessionals. This sagacity offers us the possibilty of showing that the “phronesis” must lead the insti-tutions and the medical staff to a more concrete and fairer wisdom witch takes into account the vulnerable individual and recocgnize his importance.The purpose of this thesis is to agree that the vulnerable people remains an individual, who keeps the ability of choosing and deciding for his own life and for the support, the help given by the pro-fessionals. Can the principle of subsidiarity respond to this issue ?
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Alcoloumbre, Thierry. „"Psychè" et "Nefesh" : les rapports de la psychologie et de la morale chez Aristote et Mai͏̈monide“. Paris 1, 1993. http://www.theses.fr/1993PA010674.

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Aristote n'a pas conceptualisé la notion de personne, mais on en trouve des aspects dans sa description des fonctions intellectuelles, qui sont spécifiquement humaines. Je me connais à travers mes réalisations théoriques et pratiques (connaissance en acte, œuvres d'art, action de valeur) et dans la permanence de mes qualités intellectuelles et morales. Mise en acte de notre finalité, le bonheur inclut tous les biens, mais d'abord la réussite intellectuelle et morale ; il dépend donc de nous, mais reste soumis aux aléas de la naissance et du hasard ainsi qu'aux difficultés d'une régulation morale. Maïmoide applique le péripatétisme à l'élucidation de l'anthropologie biblique et rabbinique; c'est par l'intellect que l'homme est "à l'image de Dieu". Mais sa théologie l'amène à dépasser l'anthropologie d’Aristote: l'intellection conduit à l'unité et à la volonté d'un créateur et fonde une théodicée de la nature; le perfectionnement moral est indispensable à l'accomplissement spirituel véritable, qui est la prophétie; enfin la Torah est une loi révélée qui garantit pour chacun la possibilité de la réussite morale
Aristotle has not formed a definite notion of the human person, but has contributed to it's later development by describing what is specific to the human soul, namely the theoretical and practical foncti ons of the intellect. The human self is not only to be found in the actualization of knowledge but also in practical realizations, either artifacts or moral actions, the latter deriving from moral goodness. Happiness, understood as the fulfillment of human finality, will consequently depend on our decision, within the bounds of our nature, but one happens to fail either by misfortune or for lack of a proper direction. Maïmonides applies his peripatetic views to interprete the jewish anthropology; intellect turns to be what bible calls the "image" of good. But Maïmonides gets rid of aristotle on the main points of his theology: intellection leads to the knowledge of god's unity and will, laying the foundations of a theodicy; moral improvement is necessary to the reach of prophecy, which is the very accomplishment of mond; above all, Torah is a revealed law, and the key to moral accomplishment
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Zhu, Weijia. „La diffusion et l'influence de la philosophie d'Aristote en Chine à partir des dynasties Ming et Qing“. Thesis, Limoges, 2015. http://www.theses.fr/2015LIMO0014.

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Cette thèse porte sur la diffusion et l’influence des idées d’Aristote en Chine de la fin de la dynastie Ming jusqu’à la période contemporaine. Le but de cette recherche consiste à cerner les impacts interculturels et à favoriser la compréhension des dialogues et des échanges entre la culture d’origine européenne et chinoise. Il était important de découvrir la traduction des oeuvres et les recherches spécialisées concernant la philosophie d’Aristote en Chine. Il semblait aussi pertinent de se pencher sur l’étude comparative entre la philosophie d’Aristote et quelques courants de pensée principaux de la Chine dans certains domaines, comme l’éthique et l’éducation de Confucius, la philosophie naturelle de Lao zi, la logique de Mo zi et la pensée politique de Han Feizi. Et pour conclure, il fallait reconnaître les influences considérables d’Aristote dans ces domaines en Chine. Cette étude s’appuie sur une base documentaire large et variée que j’ai dépouillée en France et en Chine
This thesis focuses on the spread and the influence of Aristotle¡¯s ideas in China from the end of the Ming`s Dynasty to the contemporary period. The purpose of this research is to identify the interculturals impacts and to promote the understanding of the dialogues and the exchanges between European and Chinese native culture. It was of great importance to find out the translation of the works and also the specialized research on the philosophy of Aristotle in China. In addition, a comparative study on the philosophy of Aristotle and several major schools of thought in China in some areas, such as the ethics and the education of Confucius, the natural philosophy of Laozi, the logic of Mo Zi and the political thought of Han Feizi. At the end, we try to conclude with the considerable influence of Aristotle in several areas in China. This study is based on a wide series of documents we have got through in France and in China
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