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Dissertationen zum Thema „Aristote (0384-0322 av. J.-C. ; philosophe) – Critique et interprétation“

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Châteauvieux, Marie de. „Justice et amitié selon Aristote“. Paris 4, 1985. http://www.theses.fr/1985PA040100.

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Brague, Rémi. „Aristote et la question du monde“. Paris 4, 1986. http://www.theses.fr/1986PA040002.

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Plusieurs aspects de la métaphysique, de la physique, de l'éthique et de la psychologie d’Aristote peuvent s'interpréter comme des affleurements d'un concept non-thématisé, celui d'être-dans-le-monde (l'in-der-welt-sein de heidegger). L’ensemble de la pensée grecque classique, même si elle était fascinée par l'ordre du cosmos, ne s'est guère demande ce que signifiait "être-dans-le-monde". L’expérience de la facticité, qui est un des traits fondamentaux de celle-ci, est ce qui permet à Aristote dans le protreptique, de justifier la vie philosophique ; mais il conçoit celle-ci comme culminant dans la contemplation, c'est-à-dire l'accès a ce qui est au plus haut point (ch. 2). Aristote est toujours resté pris dans cette ambiguïté, qui provient de ladite transposition : son éthique révèle ses hésitations entre deux sujets de l'agir moral : le "je" à qui il incombe d'agir de par ce qu'il a d'unique, le cédé a l'homme, tel qu'il est défini par sa place parmi les autres parties de l'univers (ch. 3 & 4). Par suite, il lui faut définir l'homme comme le plus mondain des êtres sublunaires : l'homme imite l'univers grâce à son universalité, et parce qu'il est capable de saisir les réalités les plus élevées (ch. 5). Cependant, Aristote ne peut définir le topos - ce dans quoi sont les choses- sans renvoyer à notre façon particulière d'être-là, même s'il réintroduit ensuite l'idée d'univers grâce à sa théorie des dimensions du corps humain comme fondées dans la structure objective du cosmos (ch. 6). Les difficultés de la définition aristotélicienne de l'âme ainsi que celles de la doctrine de l'intellect agent proviennent de la tentative d'Aristote pour transposer ce qu'il pense implicitement comme l'ouverture même du monde à travers notre présence dans le registre de la réalité mondaine-ce qui l'oblige à réduire l'âme à la conscience de ce qui se produit parmi les choses du monde (ch. 7). Il conçoit celui-ci d'une manière telle qu'elle l'amène à exclure le mouvement spécifiquement humain au profit de la continuité absolue des corps célestes. Cependant, la contemplation de soi du premier moteur reflète l'ambiguïté non résolue de l'energeia humaine : le pur acte d'être-là et l'activité de contempler le plus haut de tous les êtres s'y fondent (ch. 8). Malgré tout, l'energeia comme concept ontologique fondamental ne peut pas se définir en dehors de l'expérience humaine de l'être-là (ch. 9)
Some aspects of aristotle's metaphysics, physics, ethics and psychology can be accounted for as dim echoes of a concept a. Never dealt with thematically : being-in-theworld (heidegger's in-der-welt-sein). Classical greek though as a whole, although it was fascinated by the orderliness of the cosmos, hardly asked what being-in-the world means (ch. 1). The experience of facticity, which is one of its main features, enables a. To justify philosophical life in the protrepticus, but he conceives of this life as focussing on contemplation, i. E. Access to what emphatically is (ch. 2). A. Never got rid of this ambiguity, which arises from such a transposition : his ethics bear witness of his hesitating between two subjects of moral life : the i whom it behoves to act, because of his uniqueness, gives way to man as defined by his place among other parts of the universe (ch. 3 & 4). A. Therefore has to define man as the worldliest of all sublunar beings : he imitates the universe thanks to his universality and because he can grasp the highest beings (ch. 5). Nevertheless, a. Cannot define topos - the place in which things are - without his referring to our paculiar way of being there, although he later brings back the idea of universe through his theory of the dimensions of human body as rooted in the objective structure of the cosmos (ch. 6). The difficulties in a. "s definition of the soul as well as in his doctrine of the active intellect stem from his attempt at translating what he silently conceives of as the vey openness of the world through our presence, into the optics of worddly realitywhat compels him to reduce soul to consciousness of what takes place among things of the world. (ch. 7). A. Conceives the universe in a way which leads him to dis- card specifically human motion on behalf of the heavenly beings' absolute continuity. However, the first mover's self-contemplation mirrors the unresolved ambiguity of hu- man energeia : both the pure act of being there and the activity of contemplating the highest being coalesce in it (ch. 8). However, a. 's central ontological concept, en- ergeia, cannot be defined apart from the experience of our being there (ch. 9)
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Lefebvre, René. „La ressemblance chez Aristote“. Paris 4, 1993. http://www.theses.fr/1993PA040115.

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La ressemblance parait occuper une place moins importante chez Aristote que chez Platon ou les présocratiques : paradigmatisme, cratylisme, dynamique de la ressemblance, fascination pour le pseudos et les eidola sont morts. Pourtant, même en position de rupture, Aristote continue de parler de la ressemblance entre les opposes, ou de la similitude des formes dans le perçu et le percevant. Surtout, il fait de la ressemblance un thème sémantique de l'hénologie, et la laisse continuer à essayer d'unifier le monde, en tant qu'analogie dans l'horizontalité, et mimesis verticale en cosmo-théologie. La dialectique voit en elle un indispensable instrument de la définition, de l'induction et du raisonnement hypothétique. Les pensées sont dites des homoiomata, et Aristote découvre la phantasia. Contre Platon, il comprend ce qui fait la valeur de la mimétique poétique. Comme biologiste, il insiste sur la ressemblance des enfants aux parents, considérant que la reproduction est la perpétuation d'un type
It seems that the place of likeness is less important in Aristotle than in Plato and pre-Socratic philosophy: paradigmatism, cratylism, presocratic dynamics or fascination for pseudos and eidola are dead. However, even while breaking, Aristotle goes on speaking of the resemblance of the opposites, and of the likeness of forms in the perceived thing and the perceiving mind. More, he makes likeness become a semantic theme of henology, and lets it go on trying to unify the world, qua analogy in horizontality, and vertical mimesis in cosmo-theology. Dialectic considers it as an indispensable organon of definition, induction and hypothetical reasoning. Thoughts are called homoiomata, and Aristotle discovers phantasia. Contra Plato, he understands what is valuable in poetical mimesis. As a biologist, he stresses upon the resemblance between parents and children, because he considers that reproduction is the perpetuation of a type
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Jaulin, Annick. „Genre, genèse et génération : de l'ousia prôtè chez Aristote“. Paris 1, 1995. http://www.theses.fr/1995PA010529.

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Souchard, Bertrand. „Aristote, de la physique à la métaphysique, réceptivité et causalité“. Dijon, 2002. http://www.theses.fr/2002DIJOL004.

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Lemaire, Juliette. „La contradiction chez Aristote : analyse et problèmes“. Paris 10, 2005. http://www.theses.fr/2005PA100088.

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Aristote serait l'inventeur du concept de contradiction : la contradiction est l'opposition d'énoncés. Pourtant, l'analyse du Corpus Aristotélicien révèle que la contradiction est guettée par l'équivocité : la contradiction est l'une des quatre façons de dire être opposé, et la contradiction est une des façons dont les énoncés s'opposent. Comment articuler la classification quadripartite de l'opposition avec la distinction des propositions opposées ? S'agit-il de divisions complémentaires ou concurrentes ? Pourquoi la contrariété est-elle si proche de la contradiction ? Après l'étude des textes définissant et utilisant la contradiction, cette thèse contient une analyse de Métaphysique Gamma. Aristote affronte les négateurs du principe de non contradiction. Le point de départ de l'argumentation d'Aristote est la signification des mots. Outre la nature et les étapes de cette argumentation, son analyse conduit à poser la question d'une pluralité de principes de non-contradiction
Aristotle is supposed to be the inventor of the concept of contradiction: contradiction is the opposition between propositions. But, the analysis of the Aristotelian Corpus shows that contradiction may be close to equivocity: contradiction is one of the four ways of saying " to be opposite ", and contradiction is one of the ways propositions oppose each other. How to link the fourfold classification of the different meanings of opposition with the distinction between opposing propositions? Are they complementary or competing divisions? Why is contrariety so close to contradiction? After the study of the texts using and defining contradiction, this thesis presents an analysis of Metaphysics Gamma. Aristotle is facing those who deny the principle of noncontradiction. Besides the nature and the different stages of his argumentation, its analysis leads to discuss the question of a plurality of principles of non-contradiction
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Zingano, Marco Antonio de Avila. „Vertu et délibération : une étude de la notion de prohairesis chez Aristote“. Paris, EHESS, 1993. http://www.theses.fr/1993EHESA311.

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La notion de prohairesis (choix delibere) est une notion centrale dans l'ethique aristotelicienne. La these se divise en trois parties : la premiere introduit les notions de raison et de raison pratique, la deuxieme partie touche directement les concepts de choix delibere et de vertu ethique, et la troisieme partie, en guise e conclusion, porte sur le bonheur et les genres de vie chez aristote
The concept of prohairesis (choice) is one of the most important in aristotle's ethics. This thesis is divided into three chapters : the first one introduces the concepts of reason and practical reason; the second one discusses ethical choice and ethical virtue; the third and last one, which serves as a conclusion, deals with the meaning of happiness and the types of life in aristotle's ethics
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Crubellier, Michel. „Il libro Lambda della Metafisica di Aristotele“. Lille 3, 2009. http://www.theses.fr/2009LIL30082.

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Martínez, Lucía. „La théorie du rêve chez Aristote : principes physiologiques et psychologiques“. Paris 4, 1999. http://www.theses.fr/1998PA040152.

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Aristote est le premier penseur de la civilisation occidentale à refuser l'interprétation surnaturelle du phénomène du rêve, dominante dans la culture grecque, et à offrir une théorie cohérente et rationnelle sur ce sujet. Aussi a-t-il marqué de son empreinte l'étude de ce phénomène, de sorte que les marques de son influence peuvent être suivies jusqu'à nos jours. Il a, pour la première fois, marqué les limites de ce sujet qu'il situe aux frontières de la biologie et de la psychologie, à un moment du développement de la science où l'on a coutume de faire appel à une cause surnaturelle. Avec lui, le rêve cesse d'être présenté comme un phénomène d'origine métaphysique, pour être décrit comme un phénomène endogène, de nature psychophysiologique appartenant tout entier à l'être sensible. Aristote inaugure ainsi une tradition psychologique qui définit toujours le rêve comme une image engendrée par l'imagination, dans le contexte psychophysiologique du sommeil. La théorie sur le rêve d’Aristote représente en même temps l'achèvement et la synthèse de tout le savoir aristotélicien. Car Aristote s'est intéressé au phénomène du rêve lors de sa maturité. Dans trois traités des parva naturalia : du sommeil et de la veille, des rêves, de la divination dans le sommeil, après avoir précisé tout son système philosophique et lui avoir donné une forme définitive. Nous nous sommes proposé d'étudier dans ce travail la théorie sur le rêve telle qu'elle est développée dans ces trois traités, en exposant les principes physiologiques et psychologiques qui constituent son fondement - l'âme comme entéléchie, l'âme sensitive et la sensation, le sens commun et son organe le cœur, la @ ou imagination - à travers une analyse du lexique et des fonctions qu’Aristote leur attribue.
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Tavernier, Frédéric. „Structure d'une philosophie morale selon confucius et aristote“. Paris 4, 1986. http://www.theses.fr/1986PA040135.

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Redecouvrir la structure d'une ethique selon toutes ses dimensions a travers l'etude de deux grandes sources de l'antiquite grecque et chinoise, aristote et confucius, pour reprendre de facon radicale le probleme de la philosophie morale et politique, telle est l'intention profonde de ce travail. Redecouvrir dans le monde d'aujourd'hui ce qui est capable de fonder l'ethique comme "episteme", c'est a dire comme une connaissance rigoureuse et fruit de la saisie de ce qui dans l'activite humaine est principe au sens de l'"arche" grec, semble une chose urgente et difficile. Il semblait bon pour entrer dans cette recherche de la structure d'une philosophie morale de revenir a deux tres grands moralistes, et de pouvoir comparer leurs positions en cherchant a les situer l'une par rapport a l'autre. Ainsi s'entammait avec nos deux anciens sages un dialogue philosophique que nous avons voulu dans l'esprit de socrate : un dialogue amical oriente vers une saisie commune de la verite, toujours plus grande que les opinions humaines. Ce dialogue nous a permis de mieux expliciter la place des vertus morales ordonnees vers le bien-fin, le bonheur. D'autre part le point de vue confuceen nous a pose le probleme d'une ethique religieuse naturelle, developpement present chez aristote au livre lambda de sa "philosophie premiere" et au livre kappa de son "ethique a nicomaque" mais seulement dans ses elements principaux : theologie naturelle et probleme de la contemplation philosophique. Le probleme de l'amour d'amitie fonde une ethique humaine, le jugement de sagesse l'accomplit parfaitement en ethique religieuse, l'ethique chretienne impliquant non une negation des niveaux naturels de l'ethique mais un depassement dans la sagesse des beatitudes. Tout ceci vecu au sein de la communaute politique.
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Song, Dae-Hyeon. „La critique par Aristote du non-être (to mê on) chez Platon“. Paris 1, 2006. http://www.theses.fr/2006PA010540.

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Aristote critique âprement le non-être (ta mê on) de Platon dans la Métaphysique, livre N, chapitre 2 et la Physique, livre A. La critique aristotélicienne est-elle pour autant bien justifiée? De quelle manière Aristote envisage-il le non-être de Platon? Ignorait-il volontairement ou inconsciemment les significations du non-être platonicien? Voici nos réponses à ces questions: (1) Aristote critique injustement le non-être de Platon. (2) Aristote tente en effet d'expliquer le devenir et la génération des choses à raide de la notion du non-être en dunamis et du non-être selon la sterêsis (privation). C'est ce dont ne rend pas compte Platon, car son but dans le Sophiste se différencie de celui de son élève. (3) La proposition (2) incite subséquemment à la proposition (1). ( 4) Il ressort de ce fait que l'originalité aristotélicienne du non-être réside paradoxalement dans l'infidélité vis-à-vis du non-être de son maître
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Viano, Cristina. „Héraclite dans Aristote“. Paris 4, 1986. http://www.theses.fr/1986PA040138.

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L'objet de cette recherche est la source aristotelicienne d'heraclite. Les schemas conceptuels a travers lesquels aristote expose la doctrine de l'ephesien se ramenent a deux grands themes qu'on retrouve aussi chez platon : l'etre et le devenir heraclite fait partie du groupe des anciens physiologues qui reconnurent la seule cause materielle. L'arche (le principe des etres) est pour lui le feu et ce choix semble le distinguer, parmi les autres monistes, comme"le plus coherent" a cause des caracteristiques extremes de cet element, qui relevent plus de la forme que de la matiere : finesse, autonomie, mi-incorporeite. Toutes les choses prennent origine du feu et reviennent a lui selon un devenir perpetuel, comme si elles etaient plongees dans un courant de fleuve. La seule chose qui "persiste" est le feu. Les elements gnoseologiques et ethiques de la pensee d'heraclite semblent se rapporter a la physiologie du feu et l'image qui en resulte est celle d'une pensee totale sans coupures qualitatives. Aristote fait souvent allusion a la mediation des heracliteens dont cratyle est le representant par excellence. L'heracliteisme apparait comme une involution theorique : cratyle oublie le repere ontologique de l'arche et rend absolue la vitesse du devenir, sa derniere position est le refus de la connaissance et de la parole. L'interpretation sceptique d'heraclite commence a se dessiner dans le temoignage d'aristote. La doctrine du devenir semble suivre une ligne ideale qui surgit du passe poetique, atteint son plus haut niveau speculatif chez heraclite et devient absolue dans l'agnosticisme des heracliteens dont les echos parviendront jusqu'aux sceptiques
The subject of this research is heraclitus' aristotelician source. The conceptual schemas through which aristotle exposes the ephesian's doctrine consist of two main themes one can also find in plato : being and becoming. Heraclitus is an ancient physiologist and according to him fire is the material cause and the arche (the principe of all beings). The choice of fire seems to distinguish him as "the most coherent" with monist vision of reality. In fact aristotle says that caracteristics of fire are extreme and belont more to form than to matter. Continuously all things have their origin in fire and come back to him. This becoming looks like a river stream. The only "persisting" thing is fire. Heraclitus' knowledge and ethics are in his physiology of fire. The resulting image is a total thought without qualitative breaks. Aristotle offen alludes to the heracliteans' mediation, of whose cratylus is the most representative. Heraclitismus appears as a theoretical involution : cratylus forgets ontological element of arche and makes absolue the river's speed and renonces to knowledge and to words. Heraclitus' sceptical interpretation begins in aristotle's source. The doctrine of becoming follows an ideal line which begins in poetical past, reaches his hight speculative level in heraclitus, and falls into decline with heracliteans' agnosticism, the echos of whose will get to sceptics
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Gain, Frédéric. „Logos et genesis : étude sur les modalités d'une approche rationnelle du devenir chez Platon et Aristote“. Lille 3, 2005. http://www.theses.fr/2005LIL30034.

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Le but de la thèse est de comparer l'approche platonicienne du monde en devenir et la théorie aristotélicienne des processus naturels, afin de déterminer à quel point Aristote est encore platonicien. Le parallèle repose sur trois axes. Après une introduction qui interroge la possibilité de connaître ce qui change, et distingue deux interprétations du verbe gignomai, la première partie étudie les réquisits logiques d'un discours sur le réel, c'est-à-dire la pluralité, en comparant la critique platonicienne de Parménide dans le Sophiste et la réfutation dialectique des arguments éléatiques menée par Aristote en Physique I,2-3, tandis que la deuxième partie examine le statut de l'enquête physique chez l'un et l'autre, tente un parallèle entre le rôle de la chôra du Timée et la matière de Physique I,7, pour enfin questionner le rôle de la matière dans le composé tel qu'il apparaît en Métaphysique Z10-11. La dernière partie traite du rapport entre la génération et la structure achevée dans le Timée de Platon et dans les Parties des animaux, et de l'articulation entre structure et fonction dans les corps vivants. On aboutit aux résultats suivants : la réfutation du monisme est à chaque fois sémantique plutôt que physique, la chôra partage des traits centraux avec la matière d'Aristote (bien qu'une comparaison sur ce point relève de l'analogie), notamment la permanence relative et un statut proprement physique ; sur le dernier point, l'antériorité de l'essence dans la biologie d'Aristote n'est pas seulement méthodologique, tout comme la préexistence éternelle du modèle dans le Timée, et la théorie de la nécessité hypothétique des modes d'explication platoniciens
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Sohn, Yun-Rak. „Hylê au seuil de l’ontologie : une recherche sur l’Etre et la matière chez Aristote“. Paris 4, 2007. http://www.theses.fr/2007PA040098.

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Abordant la notion de la matière chez Aristote, cette recherche porte un regard critique sur la lecture traditionnelle qui juge que le problème de la matière pèse sur la validité de l’ontologie aristotélicienne. En effet, le poids sur cette théorie ne vient pas seulement de la part de matière, mais de ce qu’elle a un cadre hylémorphique. Le travail commence par saisir en Métaphysique Z 3 un concept étrange, celui de matière en tant que sujet, et cela en tant que substance, d’où vient deux problèmes : ceux de la matière première et de la prédication substantielle. On analyse les Catégories, puis continue la recherche dans des oeuvres d’Aristote de la philosophie naturelle comme la Physique, Du ciel, et De la génération et de la corruption avant de revenir en Métaphysique pour essayer de répondre à des importantes questions ontologiques
Dealing with the notion of matter in Aristotle, this thesis takes a critical regard to the traditional interpretation that considers the problem of matter as a burden on the Aristotelian ontology. In effect, the charge on this theory is caused not only by matter but by the fact that it has a frame of hylomorphism. The study begins by seizing a strange concept in Metaphysics Z 3, the matter qua subject, and this qua substance, from which issue two puzzling questions : that of prime matter and of substantial predication. The author makes an analysis on passages of the Categories, and enlarges his research in Aristotle’s texts of natural philosophy such as the Physics, On the Heavens, and On generation and corruption, and will return in the Metaphysics for an attempt to answer some important ontological questions
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Chindea, Gabriel. „Le problème de la transcendance chez Aristote et Plotin“. Paris 1, 2006. http://www.theses.fr/2006PA010613.

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Analysé d'un point de vue logique, le concept de transcendance semble inconsistant, parce qu'il engendre un paradoxe. Car si le transcendant pouvait être connu et donc affirmé comme transcendant, sa transcendance serait annulée, et le transcendant s'avérerait ne plus être transcendant. D'autre part, si le transcendant était vraiment transcendant, alors, comme il faudrait ne plus rien affirmer de lui ni même le fait qu'il est transcendant, l'expression de sa transcendance serait de nouveau impossible. Dans ces conditions, en analysant les théories théologiques d'Aristote et de Plotin, l'auteur essaie de déterminer la solution de ce problème chez les deux philosophes. Or, leur réponse ne présuppose pas l'élimination du paradoxe, pour arriver à une transcendance qui ne serait plus paradoxale. Au contraire, la transcendance doit conserver un caractère paradoxal, admis comme tel en vertu d'une nécessité qui n'est plus logique, mais ontologique.
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Kim, Heon. „Logoi devant la foule : la rhétorique et la poétique selon Aristote“. Université Marc Bloch (Strasbourg) (1971-2008), 2004. http://www.theses.fr/2004STR20002.

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"Dans le cadre de la philosophie d'Aristote, la rhétorique et la poétique appartiennent à la science poi͏̈étique (productrice). En mettant en relief la " faculté (dunamis) " des deux " arts (tekhnai) ", le philosophe s'efforce de donner une base théorique à la pratique dans les deux créations verbales. En dépit des ressemblances du point de vue de la définition, les deux arts se distinguent l'un de l'autre par la différence de leur fin : le plaisir procuré par la représentation (mimêsis) dans la poétique et la persuasion réalisée par la " preuve (pistis) " dans la rhétorique. Tandis qu'on observe des rubriques semblables dans la méthodologie, qui résultent de la ressemblance des termes utilisés pour la définition, les méthodes concrètes de la composition des " intrigues (muthoi) " d'une part, des discours oratoires d'autre part, sont différentes. D'abord, les niveaux du traitement des rubriques semblables ne se confondent pas l'un avec l'autre : la rhétorique consiste à synthétiser la démonstration logique, les caractères et les émotions au titre de la " pensée (dianoia) ", qui constitue le fond du discours ; la poétique considère les termes semblables - à savoir la logique du déroulement des faits, les caractères et les émotions - sur un autre plan, en renvoyant totalement le traitement de la pensée à la rhétorique. En outre, quant à l'" expression (lexis) ", qui est en général considérée comme un point commun à la poétique et à la rhétorique, la poétique se distingue nettement de la rhétorique par la différence des fins. En soulignant la différence plutôt que la ressemblance entre ces deux arts créateurs (sans ignorer toutefois cette dernière), on est à même de faire apparaître les aspects autonomes des deux arts, qui ne se confondent pas et qui possèdent chacun leur propre domaine - la rhétorique qui n'est pas encore un moyen littéraire ainsi que la poétique dans laquelle la rhétorique n'est pas encore transposée. Dans le cadre de la philosophie d'Aristote, la rhétorique et la poétique appartiennent à la science poi͏̈étique (productrice). En mettant en relief la " faculté (dunamis) " des deux " arts (tekhnai) ", le philosophe s'efforce de donner une base théorique à la pratique dans les deux créations verbales. En dépit des ressemblances du point de vue de la définition, les deux arts se distinguent l'un de l'autre par la différence de leur fin : le plaisir procuré par la représentation (mimêsis) dans la poétique et la persuasion réalisée par la " preuve (pistis) " dans la rhétorique. Tandis qu'on observe des rubriques semblables dans la méthodologie, qui résultent de la ressemblance des termes utilisés pour la définition, les méthodes concrètes de la composition des " intrigues (muthoi) " d'une part, des discours oratoires d'autre part, sont différentes. D'abord, les niveaux du traitement des rubriques semblables ne se confondent pas l'un avec l'autre : la rhétorique consiste à synthétiser la démonstration logique, les caractères et les émotions au titre de la " pensée (dianoia) ", qui constitue le fond du discours ; la poétique considère les termes semblables - à savoir la logique du déroulement des faits, les caractères et les émotions - sur un autre plan, en renvoyant totalement le traitement de la pensée à la rhétorique. En outre, quant à l'" expression (lexis) ", qui est en général considérée comme un point commun à la poétique et à la rhétorique, la poétique se distingue nettement de la rhétorique par la différence des fins. En soulignant la différence plutôt que la ressemblance entre ces deux arts créateurs (sans ignorer toutefois cette dernière), on est à même de faire apparaître les aspects autonomes des deux arts, qui ne se confondent pas et qui possèdent chacun leur propre domaine - la rhétorique qui n'est pas encore un moyen littéraire ainsi que la poétique dans laquelle la rhétorique n'est pas encore transposée. "
In the Aristotelian philosophy, the rhetoric and the poetics are part of the productive science. The philosopher endeavars to give the theoretical base to the practice in the two verbal creations. .
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Dos, Santos Nélio Gilberto. „Préservation et Usage. Le dualisme de la fin chez Aristote“. Electronic Thesis or Diss., Sorbonne université, 2019. http://www.theses.fr/2019SORUL142.

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Selon Aristote, la cause finale est double, suivant ce qu’il indique en cinq endroits stratégiques du corpus : à propos de la relation causale entre la finalité et la matière, dans Physique II ; par rapport à la finalité de la reproduction animale, dans De Anima II ; et un peu plus loin, dans cette même ouvrage, le dualisme est affirmé pour éclairer la manière dont l’âme est fin pour le corps ; dans l’Éthique à Eudème, où il s’agit de préciser la façon dont le dieu est fin pour la sagesse pratique ; enfin, concernant la causalité téléologique du Premier Moteur, dans Métaphysique Λ. Ce dualisme téléologique, formulé dans les occurrences du De Anima II à travers l’expression technique τὸ οὗ et τὸ ᾧ, ayant été développée dans une étude qui ne nous est pas parvenue, est fréquemment comprise en fonction de la finalité de la production technique et traduite par « le but visé » et « le bénéficiaire ». Toutefois, cette tentative d’éclaircir cette expression laconique pose des problèmes assez importants, dont celui de sa pertinence pour l’approche des phénomènes naturels qu’elle est censée expliquer. Cette étude cherche à restituer ce dualisme de la fin au centre de la compréhension aristotélicienne de la téléologie. L’examen des occurrences, ainsi que l’étude des thèmes majeurs de la finalité dans la philosophie de la nature d’Aristote, nous conduisent à mettre en avant deux notions qui permettent expliciter ce à quoi fait référence le dualisme téléologique : la notion d’usage, χρῆσις, et celle de préservation, σωτηρία
According to Aristotle, the final cause is twofold, as it indicates in five strategic places of the corpus: concerning the causal relation between finality and matter, in Physics II; with respect to the purpose of animal reproduction, in De Anima II; and a little further on, in this same work, this dualism is affirmed to enlighten the way in which the soul is end for the body; in Eudemian Ethics, where is it to specify the way in which the god is an end for practical wisdom; finally, concerning the teleological causality of the Prime Mover, in Metaphysics Λ. This teleological dualism, formulated in the occurrences of De Anima II through the technical expression τὸ οὗ and τὸ ᾧ, having been developed in a study that has not survived to our times, is frequently understood in terms of purpose in technical production and translated by "purpose" and "beneficiary". However, this attempt to clarify this laconic expression raises quite significant problems, including that of its relevance for the approach of the natural phenomena that it is supposed to explain. This study attempts to restore this dualism of the end at the centre of Aristotelian understanding of teleology. The examination of occurrences, as well as the study of the major themes of finality in Aristotle's philosophy of nature, lead us to put forward two notions that make explicit what the teleological dualism refers to: the notion of usage, χρῆσις, and that of preservation, σωτηρία
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Dorion, Louis-André. „Les réfutations sophistiques d'Aristote : introduction, traduction et commentaire“. Paris 1, 1991. http://www.theses.fr/1991PA010535.

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Cette thèse sur les réfutations sophistiques d’Aristote comporte trois grandes parties : une introduction, une traduction et un commentaire. L'introduction se subdivise elle-même en deux: premièrement, nous retraçons l'évolution sémantique du terme elenchos ("réfutation"). Cette évolution est tout à fait remarquable puisque ce terme signifie, a l'origine, "honte". Nous tentons de montrer que la définition aristotélicienne de l'elenchos marque une rupture très nette avec la conception traditionnelle de l'elenchos qui a prévalu depuis Homère jusqu'à Platon inclusivement. La définition aristotélicienne, qui est purement logique, s'oppose en effet à la conception éthique de l'elenchos. Deuxièmement, nous proposons un expose d'ensemble des réfutations sophistiques, ou nous examinons en détail les principaux problèmes d'interprétation soulevés par cette œuvre. Notre traduction des réfutations sophistiques se démarque en plusieurs passages des deux seules autres traductions françaises de ce traite, soit celle de J. Barthelemy Saint-Hilaire (1843) et celle de J. Tricot (1939). Quant au commentaire, il est composé de 472 notes qui s'efforcent de conférer le maximum d'intelligibilité au texte, souvent difficile, d’Aristote. Ce commentaire vient combler un vide flagrant, puisque la dernière étude d'ensemble sur les réfutations sophistiques remonte à 1866
This thesis on the sophistical refutations of Aristotle is divided into three main sections: an introduction, a translation and a commentary. The introduction subdivides itself in two parts; in the first part we relate the semantic evolution of the term elenchus ("refutation"). This evolution is altogether remarkable as this word originally signifies "shame". We attempt to demonstrate that Aristotle’s' definition of elenchus is a radical break from the traditional conception that had prevailed from homer to Plato inclusively. Aristotle’s' definition, which is purely logical, is in fact opposed to an ethical conception of elenchus. Next we submit an overall view of the sophistical refutations and examine in detail the main interpretative problems that arise in this text. Our translation of the sophistical refutations differs in several places from the two other French translations of this essay, both the one by J. Barthelemy Saint-Hilaire (1843) and the one by J. Tricot (1939). The commentary is composed of 472 notes attempting to confer a maximum of clarity to this often difficult text by Aristotle. It fills a blatant void, since the last overall study of the sophistical refutations goes back to 1866
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Brière, Véronique. „Langage, sémantique et ontologie : une étude de la problématique catégoriale dans l'oeuvre d'Aristote (Des Catégories aux catégories)“. Paris 10, 2006. http://www.theses.fr/2006PA100171.

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Cette thèse se propose d'étudier la notion de catégorie dans les oeuvres d'Aristote, à travers les différentes formulations et problématiques dans lesquelles la notion s'inscrit ; la notion traverse les champs de la physique, de la métaphysique, autant que la dialectique ou l'analytique ; à partir d'une relecture détaillée du texte dit des Catégories, nous tentons de saisir une stratégie philosophique destinée à déconstruire des apories du platonisme notamment, fondée sur l'interprétation par Aristote des causes de ces apories ontologiques. C'est la constitution d'une réflexion sur le caractère sémantique qui est fondatrice, confirmée par les lectures des Réfutations sophistiques, Topiques, Analytiques. Mais la sémantique n'est pas réduite ni à l'ontologie qui la fonde, elle est plutôt le moyen d'en fonder une nouvelle ;les catégories sont ainsi les formes d'unité, et de la détermination qui supplante la domination du schème substantiel. La métaphysique pour sa part n'en fait pas seulement des « genres » qui se substituent à ceux du platonisme (Sophiste) ni des accidents ontologiques de la substance. Il faut réinterpréter l'ensemble de l'enquête sur l'ousia en métaphysique, autant que le statut supposé des « catégories ». On peut ainsi dégager la force de la réflexion aristotélicienne sur le langage, irréductible à la perspective d'une réduction formaliste, autant qu'à une régulation du langage courant : la perspective apophantique, des sciences, de la démonstration elle-même ne fait pas l'économie du caractère sémantique du langage, et de ce qui vient mettre en question la fonction symbolique qui lui est conventionnellement assurée. Notre lecture consiste à relier la compréhension de l'acte de katêgorein à une manière aristotélicienne d'interpréter les apories du Platonisme, des Éléates et des physiologues, autant qu'à ce qui fait la force de la sophistique : l'absence d'une sémantique, une saturation essentialiste, qui s'appuie sur une manière de confondre toute unité signifiée, et toute unité déterminée avec la forme de la substance, le ceci -C'est contre ce schème, jugé dominant et catastrophique pour le langage comme pour l'ontologie qu'Aristote fabrique les concepts catégoriels, qu'il faut donc interpréter autrement que comme les formes imposées au logos dans la prédication, ou que les types de « choses » manifestées nécessairement par la signification (réduite alors à une phénoménologie naïve). Cela n'interdit pas, au contraire, de suivre aussi, entre les textes, et dans certains point textuels en particulier, des glissements, des effets de métaphore, qui participe à la transformation ontologique des notions
This dissertation interrogates the notion of categories in Aristotle's work in ils various formulations as it ranges across the registers of physics and metaphysics, dialectics, and logic. A detailed rereading of Categories that focuses on Aristotle's interpretation of the origins of the ontological aporias -- of Platonism in particular-- reveals how the text adumbrates a philosophical strategy meant to deconstruct such aporias. A reading of On Sophistical Refutations, of Topics, and Prio rAnalytics confirms that at the basis of ibis strategy is a reflection on semantics. Semantics, however, cannot be reduced to ontology, although it is founded upon it. Rather, it represents the means to establish a new ontology. Consequently, categories should be understood as unity forms, and forms for determination, which supplant the domination of the logic of substance. As for metaphysics, it does not reduce categories to "genres" that would replace platonic ones (Sophist) nor to ontological accidents of substance. At stake here is the reinterpretation of the entire study of ousia in metaphysics as much as the supposed status of « categories. » My aim is to foreground the full scope of Aristotle's conceptualization of language, for it is neither a work of strict formalism nor simply a work on the rules of common speech. Not even the apophantic perspective of the sciences can ignore the semantic nature of language and the fact that the symbolic function it supposedly guarantees is thrown into question. This dissertation connects the understanding of katêgorein to Aristotle's interpretation of the aporias of Platonism, of the Eleates and of the physiologues. It connects it as well to what constitutes sophistics, i. E. The absence of semantics, a saturation based on the conflation of all units of meaning as well ac of any determined unit, with the form of substance, tode it. It is precisely against this dominant scheme, thought to be deleterious for language and ontology both, that Aristotle generates the concepts of categories. For this reason, I argue, we must no longer interpret categories as forms imposed on logos in predication or as types of "things" reduced to a naïve phenomenology. This new approach, rather, invites us to trace, from one text to another and within given texts, metaphorical slippages responsible for the ontological transformation of certain notions
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Labarrière, Jean-Louis. „L'intelligence et la vie des animaux selon Aristote“. Paris, EHESS, 1998. http://www.theses.fr/1998EHES0034.

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La question de l'intelligence des animaux chez aristote est abordee a partir de la psychologie des facultes et de l'etude des comportements. Il s'agit de mettre en place les diverses formes d'intelligence animale en les reliant aux differents modes de vie que peuvent adopter les animaux afin de pouvoir soutenir que cette notion n'a rien de metaphorique et qu'elle est au contraire zoologiquement bien fondee, la partie ethologique de la zoologie ne contredisant donc pas l'ethique. A travers l'analyse des facultes mises en jeu dans le mouvement local et les actions vitales accomplies par les animaux (desir et faculte cognitive, a commencer par la memoire et la phantasia), mais aussi grace a l'elaboration de la notion de langage animal chez aristote, j. -l. L. Cherche a montrer que si la participation des autres animaux que l'homme a l'experience est minime par rapport a ces derniers, elle ne se reduit pourtant pas a rien et se diversifie en fonction des actions qu'ils ont a accomplir selon leurs differents modes de vie, d'alimentation et de reproduction. C'est pourquoi chaque grand genre animal (insectes, poissons, oiseaux, " mammiferes ") est aussi etudie separement afin de pouvoir etablir pour les especes les plus caracteristiques de chacun de ces grands genres quel est leur mode de vie privilegie (solitaire ou gregaire ; disperse ou politique) et quel est leur type d'intelligence (besogneuse, sociale, familiale. . . ). Enfin, puisque aristote qualifie de "politiques" d'autres animaux que l'homme (abeilles, guepes, fourmis, grues) et qu'il semble que cette denomination n'ait rien non plus de metaphorique, j. -l. L. Se demande quel peut bien etre de ce point de vue le propre de l'homme puisque la tendance dans laquelle aristote cherche a enraciner le caractere naturellement politique de l'homme, c'est-a-dire la tendance a laisser apres soi un autre pareil a soi-meme, n'a rien de proprement humain.
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Richard, Christophe. „La théorie aristotélicienne de la mimesis poétique“. Paris 1, 1992. http://www.theses.fr/1992PA010562.

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Étude la poétique d’Aristote visant à faire apparaitre l'originalité de la conception aristotélicienne de la "mimesis"poétique et ce en comparaison avec l'approche platonicienne de la question. Seront analysés dans ce but : l'origine (nature), les différents lieux d'intervention (éducation, expression poétique, peinture, musique) ainsi que les effets principaux (plaisir, purification) propres à la "mimesis" telle qu'Aristote l’a déterminé
Study of Aristotle's poetics aiming at showing the original feature of the Aristotelian conception of the poetical "mimesis" and this, in comparison with the platonic approach of the question. Tn this aim, the following points will be analyzed : the origin (nature), the different domains where it can be found (education, poetical expression, painting, music) as well as the main effects (pleasure, purification) characteristic of the "mimesis" determined by Aristotle
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Guéguen, Haud. „La mesure du possible chez Aristote : étude sur la notion aristotélicienne de "dunaton"“. Paris 1, 2010. http://www.theses.fr/2010PA010692.

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Cette thèse se propose de montrer que la notion aristotélicienne de dunaton, que l'on peut traduire à la fois par capable, possible et potentiel, se trouve au croisement du logique et du réel, précédant et coupant ainsi court à la séparation, opérée par la scolastique puis reprise par les modernes, du possible logique et du possible réel. La première partie analyse la façon dont les différents sens du dunaton s'articulent entre eux et entend montrer que la notion se fonde en réalité sur une structure tripartite : le logos, la relation et le temps comme conditions ou principes du dunaton. La seconde partie étudie ensuite la notion dans la sphère pratique pour montrer la façon dont cette structure apparaît tout à la fois fondatrice de la praxis et de son inversion dans la the6ria comme dans l' action tragique.
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Kleltz, Françoise. „La figure du philosophe chez Platon et chez Aristote confrontée à l'image de la sagesse dans des œuvres littéraires antérieures“. Paris 4, 1988. http://www.theses.fr/1988PA040052.

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Le sujet de ce travail est l'étude de la figure du philosophe chez Platon et chez Aristote confrontée à l'image de la sagesse dans des œuvres littéraires antérieures. Ainsi, l'objet de cette analyse n'est pas la réalité profonde de la sagesse ou de la philosophie, mais une réflexion sur leurs images. Cette recherche comporte trois parties: la figure de la sagesse chez les auteurs de fictions; l'image du philosophe conçue par Platon et Aristote; une présentation de la question posée par ces deux figures. Dans les œuvres littéraires, nous avons réuni les textes qui permettaient de préciser cette image chez Homère, Hésiode, Esope, Pindare, Eschyle, Sophocle, Euripide, Hérodote, Thucydide, Aristophane, Xénophon. Chez Platon et Aristote, nous avons ensuite examiné premièrement l'apparence extérieure du philosophe, c'est-à-dire sa figure et ses comportements; deuxièmement, ses relations avec "l'extérieur", donc sa manière de se confronter à la cité; enfin, ses relations avec ceux qui sont déjà sages, mais ne sont pas encore philosophes selon Platon et Aristote. Dans notre conclusion, nous avons tenté de mettre en place les grandes lignes d'une réflexion sur les problèmes soulevés par cette "incarnation" très anthropomorphique de la philosophie
The subject of this thesis is a study of the philosopher's appearance in Plato and in Aristotle compared to the wisdom's figure in anterior literature. Therefore, the matter of this analyze is not the wisdom and the philosophy considered from the point of view of their true nature, but a reflection on their images. There is three parts in that work: an analyze of the wise's figure for the authors of fictions; a presentation of the "character" of the philosopher in Plato’s and Aristotle’s texts; the questions revealed by these two figures. In the literary works, we have collected a selection of the texts which allowed to precise the image of the wisdom, then we have studied this problem successively in Homer, Hesiod, Aesop, Pindar, Aeschylus, Sophocles, Euripides, Herodotus, Thucydides, Aristophanes and Xenophon. Afterwards, in Plato and Aristotle, we have analyzed firstly the appearance and the behavior of the philosopher; secondly, his confrontation to the city; thirdly, his relationship with the people who are already wise but not completely philosopher according to Plato and Aristotle. In conclusion, we have tried to set the outline of the problem posed by the necessity of a "characterization" of philosophy
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Gauthier-Muzellec, Marie-Hélène. „Eidos et ousia : les rapports de la forme et de la substance dans les livres centraux de la métaphysique (Z-H-O) : le cas particulier de l'âme“. Paris 4, 1991. http://www.theses.fr/1991PA040038.

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Il s'agit, à partir de l'étude de l'élaboration d'une structure minimale des rapports de la forme et de la substance, de mette en évidence, le statut véritablement central du groupe de livres z-h-o, qui contribue fondamentalement a cette élaboration tout en définissant les conditions d'application et de légitimation de la structure un examen systématique des exemples utilises doit servir de preuve à l'appui de cette hypothèse, et révéler en même temps la pertinence d'une référence croissante au cas particulier de l'âme, prise dans une perspective métaphysique mais aussi "psycho-physiologique". Le privilège de l'âme est alors double, en ce qu'elle dirige l'achèvement de la structure, devenue modèle général d'analyse de l'être et du devenir, tout en échappant irréductiblement à l'efficacité du modèle qu'elle conditionne. La psycho-physiologie des facultés devient l'impensé d'un système qu'elle fonde, ce qui désigne peut-être une origine silencieuse de toute métaphysique rigoureuse
The aim is to demonstrate, using as one's starting point, the study of the elaboration of a minimal structure of relations between form and substance, the truly central role of books z-h-o, which play a fundamental part in the elaboration, while at the same time defining the conditions for applying and legitimating the structure involved. A systematic appraisal of the examples used by Aristotle may serve as a proof of this hypothesis and, at once, reveal the judiciousness of a graded scale of reference to the specific case of the soul, considered from a metaphysical point a view, but also from a psycho-physiological one. There are, therefore, two reasons for the privileged case of the soul, in so far as it governs the achievement of the structure, which has become a general model for the analysis of being and natural evolution, as well as resisting validity of the model it has permitted. Psycho-physiology of faculties becomes the unthinkable of the system it founds, which may coincide with the silent premiss of any rigorous metaphysic
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Joachim, Henri-Gaël. „Heidegger et Aristote : pour une métaphysique de l'être-en-acte“. Paris 1, 1996. http://www.theses.fr/1997PA010538.

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La confrontation entre Heidegger et Aristote permet de poser le problème de l'être-en-acte. Car, selon Heidegger, le sommet de la pensée d’Aristote réside dans la découverte de l'être comme energeia. Au cours de ses travaux sur Aristote, Heidegger a souligné avec une grande perspicacité l'importance de la conception aristotélicienne de l'antériorité de l'acte sur la puissance. Pourtant, dans sa propre philosophie, il a inversé ce rapport hiérarchique en accordant le primat au possible sur l'actuel. Du point de vue Heideggerien, ce renversement s'explique par le refus de toute forme d'onto-théologie. Mais d'un point de vue aristotélicien, Il s'explique par l'"oubli" de la distinction entre la détermination et le conditionnement. En effet, négliger cette distinction, c'est s'empêcher de découvrir l'acte comme principe et cause finale de ce-qui-est ; c'est passer d'une recherche de la finalité dans l'ordre de l'être à une quête du fondement ou de la condition de possibilité. De fait, dans ses commentaires de la métaphysique d’Aristote, Heidegger n'a rien dit de l'induction de l'être-en-acte au chapitre 6 du livre 9. Une redécouverte de l'être-en-acte s'avère donc nécessaire. Le chemin d'une telle redécouverte doit partir du jugement d'existence et rechercher les principes propres de ce-qui-est. Mais après être et temps, il n'est plus possible de négliger l'étude du dasein. C'est pourquoi il faut aujourd'hui prolonger la perspective d'Aristote en pensant le "je suis" dans la lumière de l'être-en-acte. M. D. Philippe a déjà tenté cette entreprise. Sa réflexion philosophique nous semble ainsi permettre de dépasser le débat entre Aristote et Heidegger et d'élaborer une métaphysique de l'être-en-acte
The confrontation between Heidegger and Aristotle allows to raise the problem of being in act. According to Heidegger, the apex of Aristotle’s thought lies in the discovery of being as energeia. In the course of his works on Aristotle, Heidegger has underlined the importance of the Aristotelian conception of the anteriority of actuality over potentiality. However, in his own philosophy, he has reversed this hierarchical relation by giving primacy to the possible over the actual. From the Heideggerian point of view, this inversion can be explained by his rejection of any form of onto-theo-logy. Now, from an Aristotelian point of view, it can also be explained by the "forgetting" of the distinction between the determination and the conditioning. Neglecting this distinction makes it impossible to discover actuality as principle and final cause of that which is. This amounts to a move from a theological inquiry in the order of being to a quest for the foundation or condition of possibility. As a matter of fact, Heidegger, in his commentaries on Aristotle’s metaphysics says nothing of the induction of being in act of book 9 chapter 6. It appears then that a rediscovery of being in act is necessary. The way leading to such a discovery must start from the judgment of existence, and go on with the inquiry into the principles of that which is. But after being and time, it is impossible to neglect the study of dasein. This is why, today, it is necessary to develop Aristotle’s perspective with a thinking of the "i am", in the light of being in act. M. D. Philippe has already attempted such an endeavor. It seems to us that his philosophical reflection enables us to go beyond the dilemma between Aristotle and Heidegger, and to articulate a metaphysics of being in act
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Ehrmann, Sabine. „Laisser voir : contemplation et photographie“. Paris 1, 2007. http://www.theses.fr/2007PA010626.

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Cette thèse propose de redéfinir la notion de contemplation comme notion essentielle de l'esthétique. Il s'agit en renouant avec le lexique de la sensation d'offrir aux théories esthétiques : notamment à celle de la photographie - une alternative aux champs conceptuels de la représentation et du symbolisme. L'étude expose tout d'abord deux schèmes qui lui servent de référents : la théoria aristotélicienne et la réflexion romantique. Par la suite, un concept d'enregistrement venant de la pratique de la photographie est proposé comme- apte à indiquer les conditions contemporaines de l'expérience contemplative et à cerner son entretien avec ou par la technique. Sont dès lors posés les arguments d'une esthétique mettant en faillite le « jugement de goût ». Il s'agit enfin de tirer parti de cette faillite afin d'établir une critique de l'identité, qu'elle soit celle du sujet ou de la communauté, afin d'entrevoir l'implication et l'enjeu politique d'un contemplateur du monde.
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Carbone, Andrea L. „La représentation de l'organisation spatiale du corps chez Aristote“. Paris 1, 2005. http://www.theses.fr/2005PA010691.

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La représentation de l'organisation spatiale du corps vivant est l'instrument privilégié d'une pensée visuelle qui est à l'œuvre dans la zoologie d'Aristote à coté de la pensée discursive. Une telle schématisation du corps est l'instrument d'une technique du regard, une vision chargée de théorie qui permet d'établir des relations complexes entre la conformation ou la collocation des parties dans l'espace du corps et la fonction qu'elles remplissent. Ou encore de considérer d'une manière synoptique les différences qui distinguent ces mêmes parties dans la série animale. C'est pourquoi la pensée visuelle contribue de façon significative à aborder conjointement les taches majeures de l'enquête scientifique aristotélicienne, à savoir la détermination des genres par différences multiples et l'explication des causes.
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Gullino, Silvia. „L'Autarkeia e i suoi significati in Aristotele“. Paris 1, 2011. http://www.theses.fr/2011PA010593.

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Cette thèse consiste en une étude du sens de la notion d' autarkeia chez Aristote. J'ai d'abord examiné ses dimensions éthiques et politiques - c'est a dire son enjeu anthropologique -, qui avaient déjà été traitées par les chercheurs. J'ai ensuite examiné ses dimensions physiques, biologiques et métaphysiques, qui n'avaient pas, jusqu'à présent, été traitées par les chercheurs. C'est précisément pour cette raison que j'ai explicitement tenté de mener une enquête relative à la notion d' autarkeia qui soit la plus complète possible, en prenant en considération toutes ses occurrences chez Aristote.
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Charfeddine, Slim. „Immédiateté et médiation dans le discours sur l'être chez Aristote et Hegel“. Electronic Thesis or Diss., Lille 3, 2014. http://www.theses.fr/2014LIL30044.

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Telle la nature qui aime à se cacher, la médiation apparaît d’abord comme médiation absente ou oubliée. L’ontologie se développe spontanément comme discours qui affirme l’immédiateté de l’être. Mais si l’être est immédiateté, c’est-à-dire identité simple à soi-même, alors le discours sur l’être est impossible. Seule la médiation, qui est l’identité négative, ou encore l’identité qui se réalise par le truchement de l’altérité, de la différence permet à l’ontologie de se réaliser comme discours sur l’être. Mais non seulement le concept de médiation rend possible l’ontologie, mais elle éclaire de manière remarquable la Métaphysique d’Aristote. C’est pourquoi nous proposons une lecture de la Métaphysique qui montre son unité thématique via le concept de médiation.Ensuite, le coeur de la médiation est la logique que nous saisissons dans ces principaux moments : tout d’abord comme philosophie platonicienne du langage qui saisit la prédication comme unité du même et de l’autre, puis véritablement comme logique syllogistique fondée sur le moyen-terme, véritable médiateur des termes de la conclusion, et enfin comme logique spéculative hégélienne. Pour terminer, le concept de médiation permet de rendre raison d’une certaine cohérence de l’histoire de la philosophie, et notamment de classer les réponses types(au sens d’un idéal-type) concernant le problème central de l’ontologie à savoir le rapport entre l’être et le discours. Notamment nous étudierons deux périodes de l’histoire de la philosophie :l’antiquité de l’affirmation parménidienne de l’immédiateté de l’être à la médiation aristotélicienne conçue comme finalité ou actualisation d’une puissance, ou entéléchie, et la modernité de Descartes à Hegel qui voit un mouvement analogue s’opérer en son sein mais à partir du concept d’Infini en acte et non plus à partir de l’être
As Nature - which loves to hide - mediation appears at first as missing or forgotten. Ontology develops spontaneously as a discourse affirming the immediacy of being. But if being is immediate, that is to say simple identity in itself, then no discourse on being is possible. Only mediation, which is negative identity, or even identity which exists through the articulation of otherness, enables ontology to exist as a discourse on being. But not only does the concept ofmediation enable ontology, but it also remarkably enlightens Aristotle’s Metaphysics. That is why we suggest an interpretation of Aristotle’s Metaphysics which shows its thematical unity through the concept of mediation.Then, the core of mediation is logic grasped thanks through the following steps : first of all through Plato’s philosophy of language, that interprets predicating as unity of the same nessand of the difference, then through Aristotle’s syllogistic logic based on the middle term, the true mediator of the terms of the conclusion, and finally through Hegel’s speculative logic.Finally, the concept of mediation enables the reader to somewhat make sense of the Historyof Philosophy and especially to sort typical answers (that is ideal types) regarding ontology’sforemost disputed point i.e. the relationship between being and discourse. Moreover, we will study two periods in the History of Philosophy : ancient philosophy starting from Parmenides’claim that being is immediate to Aristotle’s mediation, perceived as a purpose or the actualization of a potentiality or even entelechy and modern History from Descartes to Hegel during which a similar movement occurs but with a different starting point : the concept of actual infinity vs the concept of being
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Gautier, Timothée. „Législation et éducation dans la politique d' Aristote“. Electronic Thesis or Diss., Paris 1, 2022. http://www.theses.fr/2022PA01H214.

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Dans les premières lignes du livre VIII de la Politique, Aristote affirme : « Que donc le législateur doive s’occuper avant tout de l’éducation des jeunes gens, nul ne saurait le contester. Et, en effet, dans les cités où ce n’est pas le cas, cela est dommageable à la constitution. » Pour Aristote le rôle fondamental et premier du législateur est donc de conduire les membres de la cité dont ils ont la charge à la vertu en garantissant par là-même sa stabilité, sa pérennité et sa justice. C’est sur cette fonction pédagogique de l’homme politique que porte le présent travail, qui tâche de mettre au jour « le cercle de l’action politique » par lequel la bonne éducation produit de bons gouvernants qui, en retour, établissent un système politique et pédagogique favorisant la diffusion de la vertu dans la cité. L’enjeu principal de la réflexion est de déterminer les finalités de l’action du véritable politique et les modalités privilégiées de son intervention dans la cité afin de comprendre comment, pour Aristote, un homme devient vertueux. Notre intuition est la suivante : la perspective pédagogique que l’on peut porter sur l’œuvre politique d’Aristote, du point de vue du nomothète, permet d’en comprendre la cohérence et, si ce n’est dissiper, au moins éclairer un certain nombre des difficultés traditionnelles que rencontre l’exégèse. Cette intuition se déploie à travers trois axes principaux portant sur la nature et le sens du projet politique et philosophique d’Aristote, la finalité de l’éducation et les moyens et les modalités d’une paideia véritable
In the first lines of Book VIII of the Politics, Aristotle affirms: “That therefore the legislator should above all be concerned with the education of young people, no one can dispute it. And, indeed, in cities where this is not the case, it is damaging to the constitution.” For Aristotle, the fundamental and primary role of the legislator is to lead the members of the city for which they are responsible to virtue by thereby guaranteeing its stability, its durability and its justice. It is on this pedagogical function of the politician that the present work focuses, which tries to bring to light "the circle of political action" by which good education produces good rulers who, in return, establish a political and pedagogical system favoring the diffusion of virtue in the city. The main challenge of the reflection is to determine the purposes of the action of the true politician and the privileged modalities of his intervention in the city in order to understand how, for Aristotle, a man becomes virtuous. Our intuition is as follows: the pedagogical perspective that can be brought to bear on the political work of Aristotle, from the point of view of the nomothete, makes it possible to understand its coherence and, if not to dissipate, at least to enlighten a certain number of the traditional difficulties encountered by exegesis. This intuition unfolds through three main axes relating to the nature and meaning of Aristotle's political and philosophical project, the purpose of education and the means and modalities of a true paideia
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Guyomarc'h, Gweltaz. „Aux origines de la métaphysique : l’interprétation par Alexandre d’Aphrodise de la Métaphysique d’Aristote“. Electronic Thesis or Diss., Lille 3, 2012. http://www.theses.fr/2012LIL30004.

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Le terme de "métaphysique" ne se lit pas chez Aristote. Les livres rassemblés sous ce titre ne cessent d'interroger leurs lecteurs quant à leur unité. La science ainsi désignée, enfin, semble contrevenir aux règles communes de la scientificité aristotélicienne. Désigner Aristote comme le "fondateur de la métaphysique" fait dès lors problème. L'hypothèse du présent travail est que cette fondation engage l'oeuvre des commentateurs d'Aristote, au premier chef desquels se situe Alexandre d'Aphrodise. L'Exégète par excellence aurait ouvert la possibilité de "faire de la métaphysique", sans que cela signifie seulement commenter Aristote. Alexandre travaille à faire de la "Métaphysique" un livre, et à instituer la métaphysique en une science une. Selon l'Aphrodisien, la métaphysique est cette science à la fois universelle et première, à la fois science modèle et fondatrice des autres sciences. Elle s'articule en trois programmes principaux : l'étude générale de l'étant en tant qu'étant, celle de la substance et celle enfin de la cause première. Ces trois programmes sont distincts, mais coordonnés et suffisamment proches pour ne pas pouvoir être étudiés par une autre science, ni éclatés entre diverses sciences. Ils progressent à chaque fois par un passage d'une généralité à son maximum et sa cause. Ainsi la substance est-elle cause de l'être des autres étants et étant au maximum. Ainsi la cause première est-elle intelligible au plus haut point et cause de l'intelligibilité du monde. L'Exégète offre une interprétation forte de l'unité de la Métaphysique et de celle de la science correspondante. C'est dans et par cette reprise que les écrits du Stagirite sont devenus proprement fondateurs
Aristotle does not use the word "metaphysics". The books called "Metaphysics" clearly lack unity. The science called "metaphysics" seems to break the common epistemological rules set by Aristotle himself. From that point of view, it seems problematic to consider Aristotle as the "founding father of metaphysics". The present dissertation aims to show that the foundation of metaphysics as a science is also based on the work of the Ancient Commentators, especially Alexander of Aphrodisias (fl. 200 AD). Paradoxically, the "Exegete par excellence" makes it possible to be engaged in metaphysics without limiting metaphysics to explaining Aristotle's books. The reason is that he tries in fact to makes explicit and to enhance the unity of this work as well as to establish the unity of the corresponding science. According to him, metaphysics is both universal and the first true science. As such it constitutes the condition for any type of knowledge to be established as a science. Metaphysics is devoted to three main programs : the general study of being, the study of substance, the study of the first cause. These different programs are closed enough to be carried out within one single science. The passage from one level to another is guided by what I propose to call the Principle of Maximum Casuality. In this way, the substance is the higher being and the cause of being for all the rest ; the first cause is the higher and most thinkable substance, the cause of the order on the world, and what makes it intelligible. So the Exegete offers a strong view of the unity of metaphysics and thanks to this reappropriation Aristotle's work became the origin of a long-lasting tradition
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Ogien, Ruwen. „La faiblesse de la volonté : (Aristote, Davidson)“. Paris 1, 1991. http://www.theses.fr/1991PA010648.

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Trois types d'explication de l'action humaine sont soumis au test aristolecien de l'acrasia (faiblesse de la volonté ou action intentionnelle contraire au meilleur jugement de l'agent) : causal, logique (le syllogisme pratique) et mixte (la théorie aristotélicienne de la phorésies et la théorie davidsonnienne du raisonnement pratique). La conclusion est sceptique ou négative nous ne disposons d'aucune explication convaincante ou d'aucune justification rationnelle de nos façons ordinaires de parler du pouvoir de nos croyances et de nos désirs dans la production et l'orientation de nos actions
Three types of esplanation of human action are submitted to the aristotelician test of acrasia (weakness of will, intentional action aginst one's own better judgement) : the causal, the logical (the so-called practical syllogism) and the mixed (the aristotelician theory of phronesis or the davidsonian theory of practical reasoning). The conclusion is sceptical or negative. We don't have any convincing explantation or any good rational justification for our ordinary talk about the power of our desires and beliefs in the production and orientation of our actions
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Aluze, Vincent. „Rhétorique et politique dans les "Librorum deperditorum Fragmenta" d'Aristote : avec présentation, édition, traduction, annotations et commentaire des fragments relatifs à la rhétorique, à l'éthique et à la politique“. Electronic Thesis or Diss., Aix-Marseille, 2016. http://www.theses.fr/2016AIXM3111.

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La thèse examine la relation de la rhétorique, de l’éthique et de la politique dans les fragments des œuvres perdues d’Aristote, et la recherche porte plus largement sur le lien de cette relation avec l’ensemble de la philosophie d’Aristote. Cette étude tente donc de savoir si Aristote, par opposition à ses prédécesseurs, est bien « l’inventeur » de la rhétorique – à laquelle il confère le rang de technique avec une méthode et un objet propres dans le traité éponyme – dès ses premières œuvres de jeunesse, ou bien si sa conception a évolué au cours du temps. Ce faisant et en considérant les aspects éthico-politiques des ces œuvres perdues, l’examen discute les grandes hypothèses interprétatives qui ont été proposées à ce sujet pour soutenir la thèse d’une cohérence de la pensée d’Aristote plutôt que celle d’une évolution. L’étude comporte deux grands moments. Le premier consiste en l’édition, la traduction parfois inédite en langue française, et l’annotation des fragments des Librorum deperditorum relatifs à la rhétorique et la politique, avec la présentation des apparats critiques correspondants. Le second se consacre à l’examen de la cohérence de la pensée aristotélicienne au moyen du commentaire des fragments et de leur comparaison aux œuvres des sophistes (Protagoras, Gorgias, Isocrate, Lycophron), de Platon (Gorgias, Phèdre) et des traités aristotéliciens. Pour ce faire, le travail propose une étude lexicale du vocabulaire employé par Aristote, une analyse philosophique de certains concepts importants (andreia, eleutheriotês, eugeneia, metron, orgê, phronêsis) justifiée par leur emploi dans les fragments et le reste du Corpus aristotelicum, et une exégèse d’ensemble
The thesis investigates the relationship between rhetoric, ethics and politics in the fragments of Aristotle’s lost works, and more globally its relation in Aristotle’s entire philosophy. This study intends to understand if Aristotle, in opposition to his predecessors, is the « inventor » of the rhetoric – to which he awards the value of technique with a proper methodology and object in the eponym treatise – from is early years works, or if his conception of it evolved in time. In doing so, and considering the ethico-political aspects of these lost works, the thesis discusses the main interpretative hypothesis that have been proposed on this subject in order to support the theory of Aristotle’s thought consistency, more than its evolution. The study stands in two main parts. The first one consists in the edition, the translation sometimes unprecedented in French language, and the annotation of Librorum deperditorum’s fragments related to rhetoric and politics, including the corresponding critical apparatus. The second inspects the consistency of Aristotle’s thought using the fragments’ comments and in comparison to the works of the sophists (Protagoras, Gorgias, Isocrates, Lycophron), of Plato (Gorgias, Phaedrus) and of the aristotelian treatises. To proceed, a lexical study of the vocabulary used by Aristotle, a philosophic analysis of a few main concepts (andreia, eleutheriotês, eugeneia, metron, orgê, phronêsis) justified by their presence in the fragments and the rest of the Corpus aristotelicum, and a comprehensive textual exegesis have been undertaken
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Bassu, Sébastien. „"Métron", entre "logos" et "praxis" dans la philosophie grecque, d'Homère à Aristote“. Electronic Thesis or Diss., Aix-Marseille, 2013. http://www.theses.fr/2013AIXM3135.

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Cette étude porte sur la notion de μέτρον dans l’antiquité grecque d’Homère à Aristote. Le μέτρον désigne la notion de mesure : il traverse à la fois l’histoire des idées et les différents domaines de la réflexion philosophique. Il est question de déterminer la signification et la fonction de la mesure dans la pensée philosophique. Dans un premier temps, l’étude entreprend la détermination de la notion éthique et pratique de la « juste mesure » dans la pensée archaïque, de la poésie archaïque (Homère, Hésiode) aux Sept sages et à la poésie élégiaque (Solon et Théognis). Ensuite, elle entreprend de montrer comment la « mesure » s’est élevée à une fonction scientifique grâce au développement mathématique. Par ce développement, la notion de « mesure » est intégrée à la rationalité (λόγος) et à l’étude de la physique par les premiers philosophes présocratiques (Milésiens, Pythagoriciens, Héraclite et Parménide) : la « mesure » est appliquée au temps et à l’espace dans l’étude de l’univers. Puis, la notion de mesure est intégrée par Platon qui fait du μέτρον une idée centrale de sa pensée philosophique comme notion éthique, épistémologique et métaphysique. Il développe une conception de la « mesure » qui tente de répondre au relativisme hérité de la sophistique (Protagoras et Gorgias). Enfin, l’étude se clôt sur un examen de la fonction du μέτρον dans la métaphysique, la physique et l’éthique d’Aristote
This study is concerned with the notion of μέτρον in Greek Antiquity from Homer to Aristotle. This notion means the « measure ». Mέτρον is a term which goes across in the same time the History of Ideas and the different domains of the philosophical thought. So the question is the determination of the meaning and function of μέτρον. In the first time, the study undertakes the determination of the ethical and practical notion about the « due measure » in the archaïc thought, from archaïc poetry (Homer, Hesiod) to Seven Wise Men and Elegy (Solo and Theognis).Then, the study undertakes to show how the « measure » is elevated to a scientifical function thanks to the mathematical development. By this development, the notion of « measure » is integrated in the rationality (logos) and study of the Physics by the first Presocratic Philosophers (Milesians, Pythagoreans, Heraclitus and Parmenides) : the « measure » is applicated to the Time and Space in Universe. Then, Plato makes metron a central notion of his philosophical thought as an ethical, epistemological and metaphysical term. He develops his own conception of « measure » against the relativism of the measure inherited from the sophistic (Protagoras and Gorgias). Finally, this study is closed on an examen about the function of μέτρον in Aristotle’s Metaphysics, Physics and Ethics
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Torrente, Luca. „Génération, nature et individuation chez Aristote“. Electronic Thesis or Diss., Sorbonne université, 2022. https://accesdistant.sorbonne-universite.fr/login?url=https://theses-intra.sorbonne-universite.fr/2022SORUL015.pdf.

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Cette thèse se propose d’examiner le problème de l’individuation chez Aristote à partir d’une étude sur la génération des êtres vivants. Ce choix a permis d’aborder un problème controversé selon une perspective quasiment inédite. La première partie de la thèse est une analyse de la génération des substances physiques dans le corpus aristotélicien. Ce chapitre vise à mettre en évidence les caractères propres de la génération absolue des substances par rapport aux autres types de devenir. La deuxième partie étudie l’embryogenèse des vivants dans une perspective qui cherche à intégrer le modèle hylémorphique dans un autre modèle, plus complexe et exhaustif, qui est celui du développement dynamique. Dans la troisième partie, c’est le problème de l’individuation qui est visé. On achève l’analyse de la génération animale jusqu’à sa fin : le développement des caractères héréditaires et particuliers de chaque individu. Les deux thèses les plus connues – l’identification du principe d’individuation avec la matière ou la forme – sont discutées et critiquées. On propose enfin une solution qui établit trois causes particulières capables d’expliquer la génération d’un individu en tant qu’individu, en s’appuyant sur un passage de Métaphysique Λ 5. La quatrième partie prend en compte la spécificité de l’être humain dans la question de l’individuation. Il est question de l’individualisation de l’homme, c’est-à-dire du processus par lequel un certain individu cherche à se constituer comme sujet agent et personne morale autonome à l’intérieur d’une communauté donnée
My thesis proposes to examine the problem of individuation in Aristotle’s philosophy from a study on the generation of living beings. This choice has made possible to approach a controversial problem from an almost unprecedented perspective. The first part of the thesis is an analysis of the generation of physical substances in the Aristotelian corpus. This chapter aims to highlight the specific characteristics of the absolute generation of substances in relation to other types of becoming. The second part studies the embryogenesis of the living beings from a perspective that seeks to integrate the hylomorphic model into another, more complex and exhaustive model, which is that of dynamic development. In the third part, the problem of individuation is addressed. We complete the analysis of the animal generation to its end: the development of the hereditary and particular characteristics of each individual. The two best-known theses – the identification of the principle of individuation with matter or form – are discussed and criticized. Finally, a solution is proposed that establishes three particular causes capable of explaining the generation of an individual as an individual, based on a passage from Metaphysics Λ 5. The fourth part considers the specificity of the human being in the question of individuation. It is a question of the individualization of man, the process by which a certain individual seeks to constitute himself as an agent subject and autonomous legal person within a given community
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Groisard, Jocelyn, und Alexandre d'Aphrodisias. „Le "De mixtione" d'Alexandre d'Aphrodise : édition critique, traduction, commentaire, précédés d’une introduction à l’histoire du problème philosophique du mélange“. Paris, EPHE, 2009. http://www.theses.fr/2009EPHE5013.

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Cette thèse traite du mélange dans la philosophie grecque, en se concentrant sur le De mixtione du philosophe péripatéticien Alexandre d’Aphrodise (ca. 200 ap. J. C. ). Ce traité est la seule œuvre de l’Antiquité qui soit entièrement consacrée au problème philosophique du mélange, à savoir comment plusieurs choses peuvent s’unir en une seule et comment rendre compte tant de leur relation entre elles au cours du mélange que de leur relation au mixte produit. La recherche menée est d’un côté de nature philologique puisqu’est proposée une traduction complète du traité d’Alexandre basée sur une nouvelle édition critique du texte d’après la tradition manuscrite ; une première édition critique a été publiée par Bruns en 1892, mais sur des collations partielles et sans utiliser l’un des deux seuls manuscrits indépendants, découvert seulement plus tard par Vitelli ; un réexamen de toute la tradition manuscrite était nécessaire et a de fait permis d’améliorer le texte des précédentes éditions. Cette recherche relève aussi de la l’histoire de la philosophie : l’édition du De mixtione d’Alexandre est suivie d’un commentaire analytique et précédée d’une étude générale situant cette œuvre dans l’histoire des théories anciennes du mélange, laquelle est divisée en trois tendances principales : la tradition péripatéticienne, dans laquelle s’inscrit Alexandre ; la théorie stoïcienne du mélange, sévèrement critiquée par Alexandre ; et enfin la transposition des schèmes physiques de mélange dans la métaphysique néoplatonicienne, un déplacement amorcée par Plotin qui dépendait probablement du traitement donné par Alexandre à la question du mélange
This PhD research deals with mixture theories in ancient Greek philosophy and focuses on the treatise On mixture by the Peripatetic philosopher Alexander of Aphrodisias (ca. 200 A. D. ). This treatise is the only surviving work from antiquity devoted to the philosophical issue of mixture, that is, to the problem of how a plurality of things can be unified into one product and how one should account for both their reciprocal relation in process of mixture and their relation to the mixed product. This thesis is on the one hand philological nature as it provides a complete translation of Alexander ‘s treatise based on a new critical edition of the text from the manuscript tradition ; a first critical edition has been published by Buns in 1892, but from incomplete collations and without using one of the only two independent manuscripts, discovered only later by Vitelli ; a re-examination of the whole manuscript tradition was necessary and indeed allowed to improve on the text of former editions. This PhD thesis is also concerned with history of philosophy ; the edition of Alexander’s On mixture is followed by an analytical commentary and comes after a general study situating this work in the long-term history of ancient mixture theories, which is divided into three major trends : the Peripatetic tradition, of which Alexander is a main representative ; the mixture theory of the Stoics, which was sharply criticised by Alexander ; and eventually the transposition of physical mixture schemes in Neoplatonic metaphysics, a move initiated by Plotinus who was probably dependant on Alexander’s treatment of the mixture issue
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Maskaleut, Steve. „Έξις (état) et πως έχειv (se-conduire-d'une certaine-manière) dans la pensée d'Aristote : attitude subjective, forme de l'action et du mouvement“. Paris 1, 2007. http://www.theses.fr/2007PA010628.

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Chez Aristote, l'Έξις (état) est stable parce qu'elle est un principe formel. On en a pour preuve les faits suivants: (1) La théorie du changement fait de l' είδος (forme) un état particulier opposé à la privation. (2) Celle de l'altération la présente comme un achèvement, c'est-à-dire la forme d'une chose. (3) L'état est aussi un principe formel comme relatif. L'altération étant un mouvement selon la qualité, il faut examiner la théorie de la qualité dans laquelle s'insère l'état et comment il se distingue des πάθη (affections) et de la δύυαμις (puissance/capacité). Or, tout état n'est fondamentalement ni une capacité active, ni une disposition à agir. Autrement, ce serait ne pas reconnaître l'originalité de la notion d'« état ». L'état est forme du mouvement, principe du même dans l'humain. Le πωςέχειν (se- conduire-d'une-certaine-manière) est la manière de l'acte consentie relativement aux passisons. Sa stabilité réside alors dans le choix délibéré, non dans l'habitude.
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Campbell, Matthieu. „Le plaisir dans la pensée d’Aristote : physiologie, essence, valeur et usage“. Electronic Thesis or Diss., Paris 4, 2011. http://www.theses.fr/2011PA040069.

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Cette étude réexamine la théorie aristotélicienne du plaisir en analysant les textes qui s’approchent au plus près d’une définition du concept, et en mesurant les présupposés et les enjeux de leur contenu doctrinal dans l’ensemble de la philosophie d’Aristote. Elle est organisée autour d’un commentaire suivi de Ethique à Nicomaque X 3-4, où le statut du plaisir se trouve précisément déterminé : au sein d’un unique acte cognitif pensé comme une activité continuellement parfaite, le plaisir est à la fois la satisfaction avérée de notre bon exercice, et l’incitation à le continuer tel quel. Cette étude exige une élucidation de l’opposition entre « activité » (energeia) et mouvement, mais aussi un examen préalable de certains présupposés : nous reconsidérons, notamment à partir des traités de psychologie, les caractéristiques formelles de la sensation, paradigme de l’activité plaisante, et montrons que les plaisirs n’obéissant pas au même paradigme, et d’abord les satisfactions des appétits corporels, ne sont pas pour Aristote des plaisirs effectifs. Le dernier moment de notre étude est consacré à évaluer la théorie par rapport à sa destination, le savoir dont doit disposer l’éducateur pour produire les vertus et le bonheur : à partir des éléments fournis par Aristote, il s’avère difficile, bien que nécessaire, de distinguer le plaisir du bien auquel on doit tendre ; il est également malaisé de penser et d’évaluer les plaisirs que l’éducation doit réguler, mais aussi ceux qu’elle doit atteindre (celui de la meilleure pratique et celui de la meilleure contemplation)
I scrutinize Aristotle’s theory of pleasure by analysing the texts that define the concept as closely as can be, and by assessing the presuppositions and the stakes of this definition within Aristotle’s philosophy as a whole. My study is centred upon a commentary of Nicomachean Ethics X, 3-4 where the status of pleasure is enlightened with precision: located within a unique act of cognition (which is essentially a perfect and perpetual activity), pleasure is both an aspect that reveals our good functioning, and an incentive for us to keep it working in the exact same way. I explore the elements presupposed by this account, elucidating the opposition between “activity” (energeia) and process, and before, giving a new light to the formal features of the paradigm of a pleasant activity, i. e. perception, as it is conceived in the psychological treatises. I also explain how pleasures that do not follow this paradigm, i. e. bodily pleasures, are not seen by Aristotle as some effective pleasures at all. The last phase in this work is devoted to an assessment of the discourse on pleasure according to its aim: delivering to a teacher the knowledge he needs in order to produce virtues and happiness. I underline that, from the elements given by Aristotle, it is difficult, but necessary, to make a distinction between the pleasure one can feel at goodness and this very same goodness towards which one must strive. It is quite as difficult to conceive and evaluate all the forms of pleasure education has to regulate, as well as those that it must lead one to feel (pleasure deriving from the best practice, or from the best contemplation)
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Garcia, Gilles. „Pour une conception du passage à l'acte à partir de Aristote et Lacan“. Paris 1, 2004. http://www.theses.fr/2004PA010661.

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Le passage à l'acte se dit en plusieurs acceptions mais il est impossible de savoir ce qui se passe. Nous butons sur une difficulté logique qui n'est pas sans rapport avec une incapacité réelle, et ce, malgré les registres de la physique, de l'éthique et de la psychanalyse que nous interrogeons. Que recouvre la conception du passage à l'acte ? qu'en est-il du substrat ou du sujet qui passe ? Nous posons que les sujets du passage à l'acte occupent une seule et même place, les multiples acceptions correspondent aussi bien au passage de la puissance aristotélicienne, au mécanisme de l'action incontinente, qu'au " raptus ". Chaque acception exige un traitement dans son contexte mais nous avons enrichi l'extension de chacune d'elle au profit de la conception suivante: l'aphanisis du sujet ne correspond pas à une renonciation volontaire mais à l'automaticité logique ou pulsionnelle, selon les cas, contraignant le sujet. Il est devant son acte, et le mystère de son désir passe devant son savoir.
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Soulier, Philippe. „De l'illimité à l'infini : l'interprétation néoplatonicienne de l'ἄπειρον selon le commentaire de Simplicius à la "Physique" d'Aristote (livre III, ch. 4-8)“. Paris, EPHE, 2010. http://www.theses.fr/2010EPHE5020.

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Le coeur de cette thèse est constitué par la première traduction en langue française de quelque soixante-sept pages du texte grec de Simplicius dans l’édition d’H. Diels (Commentaria in Aristotelem Graeca, vol. IX, Berlin, 1882, p. 451. 10–518. 31). Elle est précédée d’une introduction générale qui met en lumière l’horizon néoplatonicien dans lequel s'inscrit le Commentaire. Cette introduction, présentée dans le premier volume, comprend quatre sections principales. La première dégage la signification philosophique que Simplicius reconnaît au texte aristotélicien sur l’ἄπειρον. La deuxième met en évidence l’ancrage néoplatonicien de cette interprétation. Elle étudie la doctrine orthodoxe de l’ἄπειρον présentée par Proclus (In Parmenidem, VI, col. 1118. 7 -1124. 37 Cousin). Ce texte, dont nous proposons une traduction originale, nous permet de situer les niveaux de l’ἄπειρον qui intéressent Simplicius. Nous examinons aussi comment celui-ci invoque l’infini transcendant en interprétant les doctrines des Pythagoriciens, d’Anaxagore et de Platon. La troisième section retrace l’histoire de l’ἄπειρον néoplatonicien de Plotin à Damascius et étudie son interférence avec l’histoire néopythagoricienne du concept de dyade indéfinie. La quatrième section étudie la méthode d’exégèse employée par Simplicius. Le second volume contient la traduction du texte de Simplicius, annotée et pourvue d’intertitres. Elle est précédée d’un résumé analytique et suivie d’un métacommentaire qui propose une analyse détaillée de la structure de chaque lemme ainsi que des notes complémentaires. Nous proposons enfin une bibliographie thématique et un index grec-français
The core of this thesis is the first translation into French of about sixty-seven pages from Simplicius’ Greek text in the Diels edition (Commentaria in Aristotelem Graeca, vol. IX, Berlin, 1882, p. 451. 10–518. 31). It is preceded by a general introduction which brings to light the Neoplatonic background of this section of the Commentary. This introduction, presented in the first volume, includes four chief sections. The first one brings out what philosophical meaning Simplicius recognizes in the Aristotelian text about apeiron. The second one underscores how his interpretation is anchored in Neoplatonism. It studies the “orthodox” doctrine of apeiron as presented by Proclus (In Parmenidem, VI, col. 1118. 7 -1124. 37 Cousin). We offer an original translation of this text, which allows us to set the levels of apeiron which concerns Simplicius. We also consider how the latter involves the transcendent infinite in interpreting the doctrines of the Pythagoreans, Anaxagoras and Plato. The third section gives a historical account of Neoplatonic apeiron from Plotinus to Damascius and studies its interference with the Neopythagorean history of the Indefinite Dyad. The fourth section analyses the method of exegesis used by Simplicius. The second volume includes the translation of Simplicius’ text, provided with subheads and footnotes. It is preceded by an analytical summary and followed by a metacommentary which offers a detailed analysis of each lemma’s structure and also further notes. We lastly offer a thematical bibliography and a Greek-French index
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Margel, Serge. „Le reste et le temps : étude sur la représentation temporelle de l'étant chez Aristote, Hegel et Heidegger“. Paris, EHESS, 1992. http://www.theses.fr/1992EHES0328.

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Ce travail, qui porte essentiellement sur la question du temps chez res, , ), gthned by his correspondence aristote, hegel et heidegger, a pour enjeu majeur la delimitation du res, , ), gthned by his correspondence champ metaphysique a partir duquel s'est forme le concept traditionnel res, , ), gthned by his correspondence de temps. - en suivant de pres l'interpretation heideggerienne de nnel res, , ), gthned by his correspondence l'histoire de la metaphysique, et donc en interrogeant sa conception res, , ), gthned by his correspondence du rapport historial entre l'etre et le temps, ou le sens de l'etre res, , ), gthned by his correspondence se voit toujours deja determine par l'horizon du temps, nous essaye- res, , ), gthned by his correspondence rons de comprendre, dans un premier livre, comment s'articule, d'aris- res, , ), gthned by his correspondence tote a hegel, cette inevitable predetermination temporelle, et dans res, , ), gthned by his correspondence un second livre nous tacherons d'analyser en quoi les presuppositions res, , ), gthned by his correspondence metaphysiques d'une telle predetermination, bien que fortement depla- res, , ), gthned by his correspondence cees, se retrouvent dans le texte de heidegger. Que fortement depla- res, , ), gthned by his correspondence
The object of this study on the question of time in aristotle, hegel res, , ), gthned by his correspondence andheidegger is to determine the metaphysical boudaries which limit res, , ), gthned by his correspondence the traditional concept of time. - we will follow closely the heideg- res, , ), gthned by his correspondence gerian interpretation of the history of metaphysics and will analyse res, , ), gthned by his correspondence his conception of the historial relation between being and time inse res, , ), gthned by his correspondence which the meaning of being is always already determined by the horizon res, , ), gthned by his correspondence of time. From there, we will try to understand in the first book how res, , ), gthned by his correspondence this inevitable temporal predetermination is concieved by aristotle res, , ), gthned by his correspondence and hegel. In the second book, we will attempt to analyse how the me- res, , ), gthned by his correspondence taphysical presuppositions of this predetermination can befound, albeit res, , ), gthned by his correspondence stronly displaced, in heidegger's work. Rmination can befound, albeit res, , ), gthned by his correspondence
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Bartocci, Barbara. „Dialectical reasoning and topical argument in the middle ages : an inquiry into the commentaries on aristotle's "topics" (1250-1500)“. Electronic Thesis or Diss., Tours, 2017. http://www.theses.fr/2017TOUR2035.

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La seule monographie consacrée à la réception des Topique d’Aristote au Moyen Age est le livre de Nigel J. Green-Pedersen, The Tradition of the Topics in the Middle Ages. The Commentaries on Aristotie ‘s and Boethius’ Topics’, publié en 1984. Les recherches sur la logique médiévale, qui ont été conduites pendant les derniers trente années, ont suggéré la nécessité d’une révision de l’analyse développé par Green-Pedersen. Cette thèse se pose comme objectif de situer les commentateurs médiévaux des Topiques d’Aristote dans leur milieu intellectuel. En prenant en considération une documentation inédite, nous avons essayé d’illustrer l’influence des différentes orientations philosophiques des commentateurs sur leurs modes d’interprétation du texte d’Aristote. Les premiers maîtres Parisiens essayèrent de dénouer des questions qui étaient issues de l’exégèse littéraire des Topiques, comme le problème concernant la forme et la matière des divers types des syllogismes, et en particulier du syllogisme dialectique. Leurs successeurs, notamment les auteurs Modiste comme Boece de Dace, Simon de Faversham et Raoul le Breton, se détachèrent de l’exégèse littéraire du texte pour envisager des questions métalogiques de caractère générale. Au milieu du XIVe siècle, Jean Buridan proposa une interprétation innovative du raisonnement dialectique, selon laquelle les raisonnements dialectiques valides comprenaient soit les arguments formellement valides que celles invalides. On retrouve l’opinion Buridanienne d’argumentation dialectique dans les commentaires du XVe siècles, qui furent produits dans les universités dominés par le nominalisme. Tandis que dans les universités d’orientation réaliste, les commentateurs des Topiques se retournaient vers les auteurs du XIlIe siècle, comme Albert le Grand. Les commentateurs Anglaises des Topiques, comme le Pseudo-Bonaventure, Jean Duns Scot et Walter Burley, développèrent leurs interprétations des Topiques en continuité avec tradition logique Britannique d’orientation terministe et de façon autonome des leurs collègues Parisiens
For anyone who intends to inquiry into the reception fo the Arisotelian Topics in the Middle Age, the inevitable starting point is the unique monography dealing with this issue, namely The Tradition of the Topics in the Middle Ages. The Commentaries on Aristotie‘s and Boethius ‘Topics’, published by Nigel Jørgen Green-Pedersen in 1984. Since the publication of this volume, scholarly research on medieval logic has shown the need to define better there suits of Green-Pedersens ‘s analysis. My PhD thesis aims at placing the commentators of the Topics in their intellectual context. Through the analysis of manuscript material, I have tried to show the bearing of authors’ diverse philosophical orientations on their approach to and reflections on the Aristotelian work. The earliest Parisian masters who commented on the Topics were concemed with issues that originated from the literaI explanation of the text, e.g. whether the various types of syllogisms had different forms or whether they differentiated only materially. Their prosecutors, namely the modistic authors Boethius of Dacia, Simon of Faversham and Radulphus Brito analysed the Topics in a different way. They paid special attention to metalogical questions, which were beyond the scope of the mere literal explication of the text. In mid-14th century, the Parisian master of art John Buridan proposed an innovative view about the proper subject of dialectic: it was dialectical argumentation, namely a probative or convincing reasoning which brought the agent an epistemic gain, although it could be formally invaiid. Buridan’s opinion about the subject matter of dialectic was adopted by 15th century masters, who taught in University that were nominalist in orientation. In those 15th century Universities in which the via antiqua provided the intellectual setting for masters and scholars, commentators of Aristotle’s Topics were influenced by 13th century commentators, such as Albert the Great. The English reception of the Aristotelian Topics was significantly diverse from the continental or Parisian tradition. The commentaries written by Pseudo-Bonaventure, John Duns Scotus and Walter Burley shared common features, which were strictly connected to terministic logic and which were not present in Parisian commentaries of the same period
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Lurson, Guillaume. „Ravaisson et le problème de la métaphysique“. Electronic Thesis or Diss., Toulouse 2, 2019. http://www.theses.fr/2019TOU20054.

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Le spiritualisme ravaissonien, loin d’être une étiquette répondant à des besoins de classification historique, ouvre l’horizon d’une refondation de la métaphysique au cœur du XIXe siècle français. A partir de la lecture de la Métaphysique d’Aristote, Ravaisson élabore une critique de ce que l’on peut nommer les « métaphysiques de la séparation », dont le point de départ se trouve dans les écrits du stagirite. Il s’agira dès lors de déployer une philosophie qui affirme l’identité de l’être et de la pensée, par-delà toute transcendance et tout dualisme. C’est ainsi que le problème de la métaphysique peut être posé : peut-on surmonter les apories léguées par la Métaphysique d’Aristote, et suturer la disjonction de l’être et de l’étant, de la nature et de l’esprit, ou encore de l’homme et de Dieu ? Faut-il au contraire considérer que la séparation définit le geste inaugural de la métaphysique ? Ravaisson, en refusant cette dernière possibilité, élabore une philosophie qui s’inscrit contre l’idéalisme transcendantal de Kant ou le positivisme de Comte, et plus largement, contre toute tendance matérialiste de la pensée. Ainsi, l’unité perdue de la métaphysique, soit sa possibilité, doivent être recherchées en questionnant l’héritage d’Aristote, afin de déterminer s’il s’agit de penser avec, ou contre celui-ci
Far from a mere label created for the purpose of historical classification, Ravaisson’s spiritualism opens the horizon of a refoundation of metaphysics at the heart of the French 19th century. From Aristotle’s Metaphysics, Ravaisson puts together a critique of what can be called “the metaphysics of separation”, the starting point of which is to be found in the writings of the Stagira-born philosopher. From there, he will endeavor to elaborate a philosophy that affirms the identity of Being and Thought far from any transcendence or dualism. That is how the question of metaphysics can be posed: can one overcome the aporia inherited from Aristotle’s Metaphysics, and stitch up the gap between the entity and the Being, Nature and the Spirit, or even Man and God? Or should one, on the contrary, consider that separation defines the inaugural gesture of metaphysics? By refusing this latter possibility, Ravaisson builds a philosophy that entirely refutes Kant’s transcendental idealism, or Comte’s positivism and, more broadly even, any materialistic way of thinking. The lost unity of metaphysics, that is, its possibility, must thus be sought by questioning Aristotle’s heritage, in order to determine whether one should think with, or against it
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Goncalves, de Oliveira Eraci. „Membre articulé : modèle anatomique de l'automotricité dans le De motu animalium d'Aristote : un opérateur de la pensée de l'immanence“. Electronic Thesis or Diss., Paris 1, 2017. http://www.theses.fr/2017PA01H233.

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La présente thèse se propose de réfléchir sur le caractère cinétique de la méthode analogique adopté dans le De motu animalium d’Aristote. En considèrant que l'objet du traité est la cause commune du mouvement et qu'Aristote en adopte une solution du type paradigmatique, d'une manière générale l'automotricité est le thème pendant que le membre articulé est le phore dans le raisonnement analogique du DMA. Nous considérons hypothétiquement que les stratégies plastiques sont le fil conducteur du raisonnement suivi par la recherche de la cause commune de la motricité pour tout mouvement. Notre double objectif général est, d’une part de tirer les acquis philosophiques sur le caractère immanent du principe du mouvement de la recherche menée dans le DMA et, d’autre part de percevoir le caractère cinétique et plastique de sa démarche, qui comporte des procédés méthodologiques dynamiques dans le but de s’adapter à l’objet. Ce que nous faisons en deux pas : premièrement par l’analyse des étapes de l’établissement du paradigme du membre articulé ; et en suite par l’analyse de l’analogie entre le membre articulé et l’automotricité animée. Les deux analyses visent saisir des éléments pour confronter les deux termes de l'analogie et vérifier la validité de toute la thèse et de la considération selon laquelle, la méthode analogique est un l'instrument plastique de la pensée de l'immanence
This thesis proposes to reflect on the kinetic character of the analogical method adopted in De Motu Animalium of Aristotle. Considering that the object of the treatise is the common cause of the movement of animais, in general, automotricity is the "thème" while the articulated member is the ''phore" in De Motu's analogical reasoning. Hypothetically we consider that the plastic strategies of the analogical method of De motu are the guiding thread of the reasoning undertaken in the research on the common cause of the motility of ail animal movements. Our general double aim is: on the one hand, to take philosophical acquisitions on the immanent character of the principle of movement, and on the other hand, to grasp the kinetic and plastic character of this philosophical enterprise, which involves dynamic methodological procedures in view of the adaptation of the method to the object. We seek to achieve these objectives through two analyses: first, the analysis of the stages of the establishment of the articulated member paradigm (AMP), and then the analysis of the main analogy of the treatise, between the articulated limb and the animated automotricity. Through the two analyses we must gather the necessary elements to confront the two tenns of the main analogy, as well as to verify the general validity of the thesis and also the consideration according to which the analogical method of De Motu Animalium is a plastic instrument of the thought of immanence
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Alloa, Emmanuel. „Das durchscheinende Bild“. Paris 1, 2009. http://www.theses.fr/2009PA010518.

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L'image a fait l'objet d'une dévaluation systématique dans l'histoire des savoirs philosophiques, considérée - au mieux - comme chose seconde ou - au pis - comme usurpation de l'originaire. L'image, c'est la son scandale, n'est qu'apparence. Les tentatives de réhabilitation de l'image dans l'ordre des savoir ont donc consiste en une élision méthodologique de son caractère apparaissant, en la subordonnant ou bien a ce vers quoi elle renvoie supposément en tant que signe ou bien en la réifiant comme chose matérielle. La reconstruction de ce double paradigme - le paradigme de fa transparence du signe et le paradigme de l'opacité de l'objet immanent - a travers I'histoire de la métaphysique, mais aussi dans les théorisations contemporaines de l'image, permet de remonter a une autre alternative qui est celle d'une pensée de l'image comme transparution. En redécouvrant la théorie aristotélicienne du diaphanes comme milieu de l'apparaître et en la mettant en regard avec le projet phénoménologique du XXe siècle, il s'agit d'indiquer l'horizon d'une pensée de la médialité, enracinée dans la conviction que tout apparaître n'est jamais qu'un apparaître-à-travers.
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Manzini, Frédéric. „Spinoza : lecteur d'Aristote“. Paris 4, 2004. http://www.theses.fr/2004PA040157.

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Moor, Mieke de. „Aristote et la question du temps : avec la traduction française de l'ouvrage de Gernot Böhme, "Zeit und Zahl" introduction, première et deuxième parties relatives à Platon et Aristote“. Electronic Thesis or Diss., Aix-Marseille, 2012. http://www.theses.fr/2012AIXM3090.

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La thèse propose une analyse de la théorie aristotélicienne du temps à partir d'une lecture de Physique IV, 10–14, dans une perspective nouvelle étayée par l'examen du contexte historique et intellectuel dans lequel s'inscrit l'étude du temps chez Aristote, qui permet de présenter une histoire pratique et théorique de la notion χρόνος dans la Grèce antique. Cette analyse s'attache également à comprendre la façon dont Aristote lui-même utilise cette notion dans ses oeuvres dites descriptives. L'Histoire des Animaux occupe donc une place particulière dans cette recherche, dans la mesure où l'examen détaillé de toutes les occurrences de χρόνος qui se trouvent dans cet écrit permet de trouver des éléments corroborant l'interprétation de Physique IV, 10–14, ainsi que la tentative d'Aristote de fournir les bases d'un temps non pas mathématique mais physique. Le but de cette analyse est de montrer que poser la question du temps comme le fait Aristote se présente comme une tentative adéquate pour penser l'unité du temps et du maintenant à partir de la multiplicité à la fois du temps et du maintenant. Cette thèse s'accompagne en outre d'une traduction partielle de l'ouvrage allemand de Gernot Böhme : Zeit und Zahl, Studien zur Zeittheorie Bei Platon, Aristoteles, Leibniz und Kant, 1974, qui est la version publiée de l'Habilitationsschrift de l'auteur. Les parties traduites concernent, outre l'introduction, les chapitres consacrés à Platon et à Aristote
The dissertation provides an analysis of the Aristotelian theory of time based on Physics IV, 10–14, and does so from a new perspective examining the historical and intellectual context of the study of time in Aristotle's work, which leads to the presentation of a theoretical and practical history of the notion χρόνος in ancient Greece. This analysis is subsequently related to the question as to how Aristotle himself uses this concept in his so-called descriptive works. In this respect, Aristotle's History of Animals occupies a special place in this analysis, to the extent that a detailed examination of all the occurrences of χρόνος in this work provides elements corroborating the interpretation of Physics IV, 10-14 as well as of Aristotle's attempt to provide foundations for a theory of time based on physics and not on mathematics. The objective of this analysis is to show that the question of time as presented by Aristotle amounts to a proper attempt to think of time and present as single concepts based on their respective multiplicities. Furthermore, this dissertation is accompanied by a partial translation of the German work of Gernot Böhme : Zeit und Zahl, Studien zur Zeittheorie Bei Platon, Aristoteles, Leibniz und Kant, 1974, which is the published version of the Habilitationsschrift of the author. The translation concerns, in addition to the introduction, the chapters on Plato and Aristotle
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Guérin, Charles. „L'élaboration de la notion rhétorique de "persona" au Ier siècle av. J. -C. : antécédents grecs et enjeux cicéroniens“. Paris 12, 2006. https://athena.u-pec.fr/primo-explore/search?query=any,exact,990002535200204611&vid=upec.

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Cette thèse se propose d’étudier la manière dont la rhétorique latine du Ier siècle av. J. -C. Est parvenue à formaliser l’aspect éthique de la pratique oratoire par l’élaboration progressive d’une catégorie adaptée aux enjeux de la République romaine : celle de persona, notion qui désigne, dans son acception rhétorique, l’image que l’orateur projette de lui-même à travers son discours, tant par l’énonciation directe de ses propres mérites que, de façon indirecte, par son argumentaire, son style (elocutio), sa voix et ses gestes (actio). Cette étude entend mettre en évidence la spécificité latine de la notion (par opposition à la notion grecque d’h\qo") et cherche à inscrire la pensée rhétorique dans l’environnement idéologique dont elle dépend étroitement dès qu’entrent en jeu l’apparence et le comportement de l’orateur. Une première partie fait de la théorie athénienne de l’h\qo" et de ses implications politiques un point de comparaison permettant d’appréhender les spécificités de la persona. Il est alors possible d’étudier la difficile émergence, dans l’anonyme Rhétorique à Herennius et le De inuentione de Cicéron, d’une notion dégagée des stricts enjeux de la rhétorique grecque et embrassant les dimensions symboliques, idéologiques et pratiques propres au contexte aristocratique romain. Est enfin analysée la manière dont Cicéron, dans ses œuvres de maturité, parvient à donner à la persona un statut théorique véritable et à utiliser cette notion au sein d’un projet rhétorique et philosophique large
This thesis intends to study the theoretical means by which the Latin rhetoric of the first century BCE has understood the ethical aspect of rhetorical performances and has progressively built a category suited to the peculiarities of the late Roman republic : the notion of persona, which, in its rhetorical meaning, corresponds to the merits mentioned by the orator in his own speech and to the ethos he conveys through his argumentation, style, voice and gestures. This work seeks to demonstrate that the notion of persona is no strict equivalent of the Greek notion of h\qo". It emphasizes therefore how historical and ideological contexts must be taken into account when rhetorical theory tries to deal with oratorical ethos. The first part of this study uses the Athenian theory of h\qo" and its political value as a reference in order to give the notion of persona its particular rhetorical meaning. It then becomes possible to study how this notion slowly emerges, detaches itself from Greek rhetorical tradition and takes into account the symbolical, ideological and practical realities of the Roman aristocratic environment in the anonymous Rhetorica ad Herennium and Cicero’s De inuentione. The last part of this study analyzes how Cicero gives a true theoretical status to the notion of persona in his mature works and uses it for philosophical and rhetorical purposes that are wider than they were in the first Latin rhetorical texts
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Vanandruel, Jean-Pierre. „L'analyse du mouvement dans les traités de philosophie de la nature et dans les traités métaphysiques d'Aristote“. Electronic Thesis or Diss., Paris 1, 2019. http://www.theses.fr/2019PA01H230.

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Les traités des Métaphysiques d’Aristote contiennent des analyses du mouvement. Ce travail cherche à déterminer la raison de leur présence dans ces textes, ainsi que le point de vue propre – différent de celui des études physiques – sous lequel Aristote y étudie ce que sont les causes et les principes des mouvements naturels. Une étude des opinions antérieures et de la construction des apories corrélatives, montre qu’Aristote situe les recherches des Métaphysiques en continuité avec celles des autres philosophes : il s’agit de concevoir ce que sont les premiers principes de toutes choses, ou de tous les étants, mieux que ne l’on fait les physiciens et les platoniciens. Or, puisqu’il reproche aux principes de ses prédécesseurs d’être incapables d’expliquer les mouvements naturels, on peut en conclure que les solutions conçues par Aristote fournissent des principes premiers aptes à rendre compte de ces mouvements. La sagesse et la science première des Métaphysiques est donc, pensons-nous, cette recherche des premiers principes et des premières causes ; cette science est une science de la substance et elle se distingue ainsi de la science physique, en établissant que les substances sont les premiers principes de toutes choses, et cela en trois sens différents : (1) les substances sont principes de toutes choses, puisque sans elles, il n’y a aucun autre étant, ni aucun mouvement ; (2) la forme est substance première, principe des substances composées ; et elle est, avec la matière, un principe inengendré pour leurs générations et leurs mouvements ; (3) il y a des substances antérieures aux substances naturelles : les moteurs ordonnés des mouvements des sphères célestes
Aristotle's Metaphysics contains analyses of movement. The present thesis seeks to determine the reasons for their presence in these texts, and the point of view - different from that of physics - under which Aristotle studies what the causes and principles of natural movements are. A study of previous opinions and the construction of correlative aporias shows that Aristotle situates the inquiry of the Metaphysics in continuity with those of other philosophers: the aim is to conceive what the first principles of all things, or of all beings, are, in a way that improves on the Physicists and the Platonists. Now, since he criticises his predecessors’ principles on the ground that they are incapable of explaining natural movements, we can conclude that the solutions conceived by Aristotle do provide first principles capable of accounting for natural movements. The wisdom and the first science of the Metaphysics is, in my view, this search for the first principles and the first causes. This science is the science of substance, and so is distinguished from physical science, in that it establishes that substances are the first principles of all things, and this in three different senses: (1) substances are principles of all things, since without them there can be no other beings and no movement; (2) the form is first substance and principle of compound substances; and, with matter, it is an ungenerated principle for their generations and their movements; (3) there are substances that are prior to natural substances: the ordered movers of the movements of the celestial spheres
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Graziani, Françoise. „La pensée fossile mythe et poésie : d’Aristote a Vico“. Electronic Thesis or Diss., Paris 4, 2010. http://www.theses.fr/2010PA040187.

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Le vieux différend entre le philosophe et le poète, entre logos et mythos, peut être converti en accord à condition de changer de point de vue. Alors que Platon n’a voulu voir dans leurs différences qu’une source de discorde et de division, Aristote en a tiré une poétique et une rhétorique, les poètes de la Renaissance une philosophie poétique et Vico une anthropologie du langage et une archéologie de la pensée. Ce qui est pour les modernes une « pensée sauvage » a longtemps été considéré par les anciens comme une sagesse archaïque, qui s’exprimait par figures et « traduisait en langue des dieux » les voix de la nature.On se propose ici de réévaluer les notions de pensée poétique et de pensée mythique en adoptantle point de vue des poètes de la Renaissance et de l’âge baroque, qui identifièrent l’une et l’autre à la pensée ingénieuse productrice de métaphores, de figures et de fictions. Mais il faut remonter aux sources antiques pour pouvoir rendre compte de l’active polysémie des anciennes méthodes d’interprétation des mythes qui, loin de séparer les points de vue de la physique, de la morale et de la théologie, les associaient en une « science poétique » qui faisait la synthèse de tous les savoirs du monde, et qui est désormais une science fossile
The old dispute between the Philosopher and the Poet, which leads to the dichotomy betweenLogos and Mythos, can be turned into a settlement as long as one changes one’s viewpoint. WhilePlato only considered their difference as a source of discord and division, Aristotle drew from it aPoetic and a Rhetoric, the Renaissance poets a Poetical Philosophy, and Vico a language’sAnthropology and an Archeology of the Thought. What is considered by the Moderns to be a « wildthinking » was seen by the Ancients as an archaic wisdom, expressed through figures and« translating the voices of nature into the language of gods ».The purpose here is to reassess the concepts of Poetic and Mythic thought by adopting theviewpoint of the poets of the Renaissance and the Baroque era. Those cleary identified these twospecific thinkings with the wit’s power to produce metaphors, figures and fictions. In order to achievethis research, it is important to revisit the antic sources, so as to enlight the effective polysemysupporting the ancient ways used to interpret myths. Far from categorising the stance of the physics,the morals and the theology, the Ancients used to gather them into a comprehensive « poeticscience » : it reunited the synthesis of all knowledge but has become a fossilised science
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