Auswahl der wissenschaftlichen Literatur zum Thema „Arabe (langue) – Influence sur l'espagnol“

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Zeitschriftenartikel zum Thema "Arabe (langue) – Influence sur l'espagnol"

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Glesener, Thomas. „Gouverner la langue arabe: Miguel Casiri et les arabisants du roi d’Espagne au siècle des Lumières“. Annales. Histoire, Sciences Sociales 76, Nr. 2 (Juni 2021): 227–67. http://dx.doi.org/10.1017/ahss.2021.91.

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Gouverner la langue arabe: Miguel Casiri et les arabisants du roi d’Espagne au siècle des LumièresOriginaire de Tripoli (mont Liban), Miguel Casiri (1708-1791) a exercé une influence importante sur les études arabes en Espagne durant la seconde moitié du xviiie siècle. Son empreinte a été traditionnellement appréciée à l’aune d’une histoire intellectuelle focalisée sur son œuvre, qui négligeait largement son activité en tant qu’agent de la Monarchie hispanique. Or, Casiri a collaboré à la consolidation d’un pôle d’expertise en langue arabe à Madrid à une époque où la couronne entendait réfuter rationnellement certains privilèges urbains appuyés sur des textes et des inscriptions en langue arabe. En exhumant la part prise par Casiri dans ces réformes, cet article analyse les modalités conflictuelles de formation d’un champ linguistique spécialisé adossé à la juridiction royale et met en évidence deux lignes de fracture majeures. L’une porte sur la sélection du personnel employé dans l’expertise linguistique, et en particulier sur la manière de réguler les réseaux de la diaspora maronite – qui ont été d’importants fournisseurs de main-d’œuvre. L’autre concerne la définition de l’expertise en langue arabe, opposant les défenseurs d’un savoir spécialisé contrôlé par une communauté de savants et les tenants d’un savoir pratique soumis aux besoins des commanditaires. À rebours d’une histoire intellectuelle de la langue, cet article propose une histoire politique des arabisants, qui replace la connaissance de l’arabe au cœur de la constitution des savoirs d’État.
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Peixoto da Fonseca, Fernando V. „À propos de l' influence de la langue Portugaise“. Linguistica 26, Nr. 1 (01.12.1986): 107–14. http://dx.doi.org/10.4312/linguistica.26.1.107-114.

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Sur les mots castillans d'origine portugaise, le Prof. Rodrigo de Sá Noguiera écrit: "Il y a une série de mots castillans d'origine claire ou probable portugaise, que le Dictionnaire de l'Académie Espagnole dans la plupart des cas ou omet, ou considère comme d'origine différente". Ceux d'origine claire portugaise, ajoute cet étymologiste, sont ceux qui phonétiquement n'auraient pu avoir en espagnol la forme qu'ils revêtent dans cette langue, tandis qu'ils sont d'accord avec les règles de notre phonétique historique, existant, en outre, sous la même forme (p. ex. chato) ou sembllable (p. ex. follaje) dans la langue portugaise. Les suivants se trouvent dans ce cas: achantarse, achubascarse, afeitar, aldorta, brinco, barroco, canela, caramelo, cariño, chamada, chapa, chato, chaveta, chinela, chocal!o, chocho, chopa, choza, chubasco, chumacera, chus, chusma, cobra, conchabar, cortiña, desvaído, desvergoñadamente, fado, follaje, fuera, macho, malla, mermelada, morriña, nonio, pintada, vaivén, vergoña. Les vocables d'origine probable (et souvent sûre) sont les exotiques, lesquels, dans l'opinion de Sá Nogueira, citée plus haut, ont pénétré dans l'espagnol à travers le portugais. Cet auteur en étudie les suivants: abada, albino, almadía, ananás, bambu, banana, bengala, betel, biombo, bonzo, cacatúa, cachimbo, cacimba, cafre, carcunda, carimbo, catinga, cha, coco, cobra, cornaca, fetiche, jangada, junco, macaco, malagueta, mandarín, mandinga, mandioca, manga, marimba, monzón, naire, pagoda et palanquín. Il est certain qu'ils sont beaucoup plus nombreux, ainsi que l'on s'en rend compte par les ouvrages de Monseigneur Sebastião Rodolfo Dalgado et Georg Friederici. Quant au mot chapéu, dit le Prof. Sá Nogueira, il est difficile de garantir si l'espagnol l'a reçu du portugais, ou si le contraire a eu lieu, et c'est également compliqué le problème du mot castillan jeito, à acception differénte de la nôtre, raison pour laquelle ils n'entrent ni dans l'une ni dahs l'autre des deux catégories, c'est-à-dire, ni dans ceux d'origine claire portugaise, ni dans ceux d'à peine probable.
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Fischbach, Henry. „Translation, the Great Pollinator of Science“. Babel. Revue internationale de la traduction / International Journal of Translation 38, Nr. 4 (01.01.1992): 193–202. http://dx.doi.org/10.1075/babel.38.4.02fis.

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Abstract Medical science was the first to benefit from the transfer of knowledge through translation. Because of universal interest in the human body as well as the mostly Greco-Latin terminology, wealth of documentation, fewer lexicographic problems than other fields and a venerable history, medicine continues to thrive on information transfer through translation. A brief historical flashback illustrates the great pollinating role of translation in the dissemination and cross-fertilization of early medical knowledge. RÉSUMÉ La médicine a été la première science à tirer profit du transfert des connaissances par l'entremi-se de la traduction. La langue scientifique médicale étant principalement d'origine grecque et latine, le fait que la documentation médicale est abondante et universellement à la portée de tous, et que les êtres humains ont essentiellement la même anatomie partout où ils vivent, les textes de médecine présentent peut-être moins d'obstacle que d'autres au passage d'une langue et culture à une autre. L'auteur jette un bref coup d'oeil sur la longue et glorieuse histoire de la médecine, s'attardant aux jalons de cette science dans l'ancienne Grèce et Rome, et plus tard dans le monde arabe, où le savoir médical fut transféré uniquement par les traducteurs... d'Hip-pocrate et Galien à Asclépiade et Celse, et de Rome aux anciennes écoles médicales de Bagdad et de Damas, puis à celles de Tolède et de Salerne. Après la conquête de Tolède, où l'Archevêque Raymond avait établi une école de traduction, les savants occidentaux prirent contact avec la médecine arabe grâce aux traducteurs se servant du grec, du latin, de l'arabe et de l'hébreu, et après le 15e siècle, du français, de l'italien, de l'espagnol, de l'allemand et de l'anglais. C'est à l'école de Montpellier au début du 12e siècle que les savants juifs traduirent les textes médicaux arabes sous le haut patronage d'évèques catholiques. Les traductions du savant juif Faraj ben Salim des traités d'Ibn Sinâ Avicenne, dit le "Galien de l'Islam", ont achéminé les connaissances médicales de l'ancien monde au monde moderne. L'auteur en conclut que la traduction a joué un rôle prédominant dans la pollinisation, pour ne pas dire la fécondation active, de la science médicale à travers les âges.
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Copin, Mireille, Cyrille Granget und Inès Saddour. „Étude des verbes de collision instrumentée en français L1 et L2 : apport du clustering“. SHS Web of Conferences 191 (2024): 10003. http://dx.doi.org/10.1051/shsconf/202419110003.

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Cette étude s’intéresse à l’acquisition du lexique et de son sémantisme en français L2, en s’appuyant sur une méthode de classement des événements, l’analyse en clusters (Majid et al. 2007, 2008, Stathi 2023). Nous avons ciblé les verbes servant à décrire des scènes de collision instrumentée en français langue première (FRL1) et seconde (FRL2), autrement dit des scènes au cours desquelles une action menée par un protagoniste Causeur au moyen d’un Instrument impacte un autre protagoniste, Affecté. Nous avons collecté des récits en FRL1 (n=22) et en FRL2 (arabe syrien L1, n=29) au moyen d’une tâche de verbalisation de clips vidéos montrant des situations de collision, où nous avons fait varier la contiguïté spatio-temporelle entre les différents sous-événements, pour mesurer son influence sur les choix des verbes employés par les deux groupes. Par ailleurs, nous avons réalisé des analyses en clusters couplées à des analyses statistiques sur un corpus de 486 verbes de collision instrumentée pour en observer la distribution selon la condition [± contiguë] et la comparer entre les groupes FRL1 et FRL2. Les résultats révèlent des différences dans la description d’événements de collision instrumentée selon le critère de contiguïté spatio-temporelle [± contiguë] et suggèrent une différence dans la catégorisation sémantique de ces deux types d’événements. En effet, les locuteurs du FRL1 préfèrent utiliser des verbes exprimant le Contact comme toucher ou frapper lorsque la condition est [+ contiguë]. Cependant, dans la condition [- contiguë], les verbes comme jeter ou envoyer, exprimant le Mouvement de l’Instrument, sont privilégiés. Toutefois, les apprenants du FRL2 continuent à employer les mêmes verbes de Contact dans les deux situations, ce qui suggère une tendance à catégoriser ces deux événements de manière semblable. Les analyses montrent également que d’autres critères, comme les caractéristiques physiques de l’Instrument, peuvent également influencer le choix des locuteurs. Ainsi, les analyses en cluster des verbes employés se révèlent pertinentes pour observer la catégorisation cognitive et langagière des événements, car elles permettent d’appréhender le sémantisme des verbes employés autant en L1 qu’en L2, et de comparer les différents patrons de lexicalisation.
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NOURINE ELAID, Lahouaria. „L’interculturalité en Algérie dans la perspective de l’intégration et la multiplicité“. ALTRALANG Journal 1, Nr. 02 (31.12.2019): 153–61. http://dx.doi.org/10.52919/altralang.v1i02.31.

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ABSTRACT: Interculturality describes a relation between cultures because it implies, by definition, interaction, obviously each culture can have ways of thinking, feeling and acting. We propose in this work a reflection on the fact that the west of Algeria has experienced a strong Spanish influence characterized by an important Spanish migratory contribution during the French colonization. As oranian, the traces of the Spanish language conserved in the variety of our Arabic dialect, interest me a lot. It is important then to begin the task of recovering our history and our linguistic heritage, a difficult but necessary task. Our communication aims to present the socio-historical elements that demonstrate the interaction in Algerian society. In it, coexist cultural diversity and intercultural dialogue, thus creating a coexistence based on the acceptance of the other, as a different entity, with a different identity. This acceptance of difference and coexistence arises from the consciousness of society and, therefore, of the individual, through the history of an entire society, a plural identity, or rather an identity with several aspects and several facets. This awareness makes it possible to give more prominence to the aspect of harmony and integration of social culture than differences. It is in this perspective that diversity and multiplicity are seen more as factors of wealth and enrichment than as a division. RÉSUMÉ: L'interculturalité décrit une relation entre les cultures parce qu'elle implique, par définition, l'interaction, chaque culture peut évidemment avoir des façons de penser, de sentir et d'agir. Nous proposons dans ce travail une réflexion sur le fait que l'ouest de l'Algérie a connu une forte influence espagnole caractérisée par une importante contribution migratoire espagnole lors de la colonisation française. En tant qu'oranaise, les traces de la langue espagnole conservées dans la variété de notre dialecte arabe, m'intéressent beaucoup. Il est donc important de commencer la tâche de récupérer notre histoire et notre héritage linguistique, une tâche difficile mais nécessaire. Notre communication vise à présenter les éléments socio-historiques qui démontrent l'interaction dans la société algérienne. En cela coexistent la diversité culturelle et le dialogue interculturel, créant ainsi une coexistence basée sur l'acceptation de l'autre, en tant qu'entité différente, avec une identité différente. Cette acceptation de la différence et la coexistence naît de la conscience de la société et, par conséquent l'individu, à travers l'histoire de toute une société, une identité plurielle, ou plutôt une identité avec différents aspects et diverses facettes. Cette prise de conscience permet de donner plus d'importance à l'aspect de l'harmonie et de l'intégration de la culture sociale qu'aux différences. C'est dans cette perspective que la diversité et la multiplicité sont perçues davantage comme des facteurs de richesse et d'enrichissement que comme une division.
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Athamneh, Naser Al-Hassan, und Jehan Ibrahim Zitawi. „English-Arabic Translation of Dubbed Children's Animated Pictures“. Babel. Revue internationale de la traduction / International Journal of Translation 45, Nr. 2 (20.08.1999): 127–48. http://dx.doi.org/10.1075/babel.45.2.03ath.

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Abstract This study aims at evaluating the translation of dubbed children's animated pictures shown on Jordan Television and other Arab televisions in terms of accuracy and faithfulness to the original text. In an attempt to achieve this goal, the researchers have studies the translations of (56) episodes of Arabic versions of five children's animated pictures. Upon close examination of the translated material, it has been found that most of the translators have given erroneous renderings of some portions of the original texts, thus distorting the message conveyed in the target language text and, consequently, affecting, in a direct way, the educational level of the children. The researchers analyse and categorise some erroneously translated words, phrases and sentences observed in the corpus of the study. They also try to attribute the errors to their possible causes. Finally, the researchers suggest alternative, supposedly more appropriate translations of the source language utterances. The study concludes with some recommendations which would hopefully enhance the process of translating dubbed children's animated pictures in general and improve the performance of Arab translators working in the field of English-Arabic dubbing. Résumé Le but de l'étude est d'évaluer la traduction de films animés doublés pour enfants, diffusés à la télévision jordanienne et d'autres télévisions arabes en termes de précision et de concordance avec le texte original. Dans un effort d'arriver à cette fin, les chercheurs ont étudié les traductions de 56 épisodes des versions arabes de cinq films animés pour enfants. Suite à un examen approfondi du matérial traduit, on a trouvé que la plupart des traducteurs ont donné une version erronée de certaines parties des textes originaux déformant ainsi le message transmis dans la lnague cible et, par conséquent, ayant une influence directe sur le niveau d'instruction de l'enfant. Dans le corpus de l'étude, les chercheurs analysent et categorisent certains mots, locutions et phrases observés et traduits erronément. Ils font également un effort pour attribuer les erreurs à leurs causes probables. Enfin, les chercheurs suggèrent une alternative et, par supposition, mieux appropriée des propos de la langue de départ. L'étude termine avec quelques recommandations qu'on espère, relèverait en général le processus de la traduction de films animés doublés pour enfants et améliorerait la tāche des traducteurs arabes spécialisés dans le domaine du doublage anglais-arabe.
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Karim, Belhaouchet, und Meriem Kerdja. „Influence De La Conscience Morphosyntaxique Sur La Compréhension De La Lecture En Langue Arabe Chez Les Élèves Scolarisés Du Cycle Primaire“. مجلة الحكمة للدراسات التربوية والنفسية, 2017, 2. http://dx.doi.org/10.34277/1459-000-011-018.

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Dominguez, Virginia. „Anthropologie israélienne“. Anthropen, 2020. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.130.

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Israël est un pays complexe et les anthropologues qui en font l’étude le savent bien (Dominguez 1989; Marx 1980; Motzafi-Haller 2018). La plus grande partie de l’anthropologie en Israël a jusqu’à présent été réalisée par des anthropologues juifs, hommes et femmes, ashkénazes (principalement d’ascendance européenne du nord et de l’est d’Europe) et mizrachi (principalement d’origine nord-africaine, ibérique et du Moyen-Orient). Les juifs ashkénazes ont largement prédominé dans les domaines politique, universitaire, économique et artistique au cours des premières décennies qui ont suivi la création de l'État d'Israël, ce pays qui vient de fêter ses 70 ans. Il n'est donc pas surprenant qu’on y retrouve beaucoup plus d'anthropologues juifs ashkénazes que d’anthropologues juifs Mizrachim ou d’anthropologues palestiniens. La plupart des anthropologues en Israël sont des anthropologues sociaux ou socioculturels (Abuhav 2015). Certains d’entre eux sont des anthropologues praticiens / appliqués qui travaillent dans les ministères de l’éducation, de la santé et de l’absorption des immigrants juifs et qui ont font partie d’une association d’anthropologie appliquée. Mais beaucoup n’adhèrent à aucune association. L'archéologie, partie des quatre champs de l’anthropologie selon la conception américaine de cette dernière, n'est pas considérée comme une carrière anthropologique en Israël, même si elle y est considérée comme une discipline visible et importante. On trouve la présence d’anthropologues médicaux et biologiques en Israël, mais ils ne sont certainement pas la majorité et ils sont rarement embauchés par les départements de l'université ou du collège dans lesquels travaillent la plupart des anthropologues universitaires. Jusqu'à récemment, tous ces départements étaient dans les faits des départements de sociologie et d'anthropologie, composés d’une majorité de sociologues. Ce n'est que depuis 5 ans qu'un département entièrement composé d’anthropologues a vu le jour, soit le département de l'Université de Haïfa qui se consacre au niveaux supérieurs de formation. L’association d’anthropologie d’Israël ((HaAguda HaAntropologit HaYisraelit)) remonte au début des années 1970 et n’a compté jusqu’à présent que des anthropologues juifs comme chefs ou présidents. Des efforts ont été faits pour changer cette situation au fil des ans, car tous les membres de l’Association ne sont pas juifs et certains d’entre eux croient fermement qu’ils ne doivent pas tous être juifs. Cette question demeure délicate pour certains des membres les plus en vue de la communauté anthropologique en Israël, citoyens d’Israël mais également Palestiniens (Kanaaneh 2002; Sa’ar 2016). Alors que l’association d’anthropologie d’Israël s'oppose largement à l'occupation de la Cisjordanie et à toute forme de discrimination à l'encontre des Palestiniens, en particulier de ses concitoyens, cette organisation est toujours israélienne et a toujours été une association fortement juive. En fait, ce n’est que récemment que la plupart des départements universitaires israéliens ont engagé des Arabes, des Palestiniens, voire des musulmans, en tant que membres du corps enseignant. Pour les quelques Palestiniens qui occupent actuellement ces postes dans des universités ou des collèges israéliens, les postes de direction de l'association anthropologique israélienne les laisseraient ouverts à la critique selon lesquelles ils seraient simplement des collaborateurs ou des complices des sionistes israéliens qui considèrent Israël comme un pays réservé aux juifs et un pays réalisé par les juifs dont les valeurs morales l'obligent à être tolérant envers les non-Juifs parmi eux. Ainsi, une nouvelle association appelée Insaniyyat a simplement été créée ces dernières années pour et par des anthropologues palestiniens Pendant des années et avant la date de la fondation de l’association (1973) l’anthropologie a été enseignée aux niveaux universitaire dans toutes les grandes universités israéliennes et les étudiants ont obtenu un baccalauréat en sociologie et en anthropologie, une maîtrise en anthropologie et un doctorat en anthropologie en Israël. Le corps professoral et les étudiants israéliens font des recherches, présentent leurs travaux lors de conférences et pratiquent périodiquement des activités d'anthropologie engagée ou de plaidoyer. La qualité de leurs recherches et de leurs publications est généralement élevée, et les universités s'attendent à de nombreuses publications dans des revues savantes internationales de haute qualité destinées à toute personne considérée pour une promotion et une permanence. Pendant des années aussi, l'anglais a été fortement enseigné et fortement favorisé à la fois dans la communauté universitaire en général en Israël et dans la communauté anthropologique israélienne en particulier. En fait, la publication en hébreu dans des revues israéliennes n'a pas autant de valeur que celle dans des revues de langue anglaise au Royaume-Uni, aux États-Unis, en Australie ou au Canada. Une partie de cette tendance est valable pour les universités israéliennes en général, mais une autre est spécifique à l'anthropologie en Israël. Au fil des ans, plusieurs influences ont marqué l'anthropologie en Israël. Le regretté professeur Shmuel Eisenstadt (1967), qui a marqué la sociologie et l'anthropologie en Israël, en particulier dans son département d'origine à l'Université hébraïque de Jérusalem, compte parmi celles-la. Pendant bon nombre d'années, ce professeur a été nommé à Harvard (pendant six mois) alors qu'il était également à l'Université hébraïque de Jérusalem. Ce professeur se croyait autant anthropologue que sociologue et considérait l'anthropologie comme une branche de la sociologie, cela bien que ce n’était généralement pas l’opinion des anthropologues qu’il était disposé à engager comme professeurs dans ce même département. Sa connexion à Harvard était importante. C’est vers les États-Unis qu’il s’est tourné en ses qualités de sociologue et d’anthropologue, mais aussi que sur l’organisation de l’enseignement supérieur en Israël. Ce n’était pas l’Allemagne, la Pologne, la France, l’Italie ou tout autre pays imaginable. Ce n’est donc pas un hasard si ce chercheur a privilégié les publications en anglais et plus particulièrement aux États-Unis. La deuxième influence importante qui a marqué l’anthropologie israélienne a été celle de la Manchester School dirigée par Max Gluckman, un juif sud-africain émigré en Angleterre à l’origine de ce puissant département d'anthropologie à l'Université de Manchester en Angleterre. Gluckman a formé des anthropologues à Manchester pour effectuer des travaux d'anthropologie sociale en Israël, et certains de ses plus importants étudiants sont restés en Israël et y sont devenus professeurs d'anthropologie sociale. Une troisième influence sur le développement de l'anthropologie en Israël fut le sionisme travailliste lui-même. Des juifs d'autres pays sont venus s'installer en Israël pour participer au développement d'un Israël à tendance socialiste dans les années 1950 et 1960. Certains d'entre eux étaient des anthropologues titulaires d'un doctorat de pays anglophones (ou dominants anglophones), comme les États-Unis, le Royaume-Uni, Canada, l’Australie, l’Afrique du Sud et la Nouvelle-Zélande. Pendant de nombreuses années, peu de postes de professeur d’anthropologie dans des universités israéliennes ont été occupés par des Israéliens nés dans le pays, et certainement pas par des anthropologues n’ayant jamais étudié dans un pays anglophone, suivi une formation postuniversitaire dans un pays anglophone ou encore terminé au moins un postdoc dans un pays anglophone. Quand des collègues qui sont des rédacteurs de revues anglophones en anthropologie aux États-Unis, au Royaume-Uni ou au Canada font une remarque sur le nombre de manuscrits qu’ils reçoivent d’anthropologues israéliens et sur leur qualité, je souris. Les anthropologues israéliens publient en dehors d’Israël parce que leur université accorde plus d’importance, en particulier dans les articles de revues, et que leurs textes sont bons (c’est-à-dire que leurs problèmes sont familiers et qu’ils respectent les normes des articles de journaux aux États-Unis), car ils ont en grande partie été formés et par des anthropologues anglophones. Une génération plus jeune est maintenant moins à l'aise de publier ou de présenter ses recherches en anglais, parce que l'anglais n'est pas la langue maternelle des anthropologues israéliens, mais le fait demeure qu'ils lisent des livres et des articles en anglais tout au long de leurs études universitaires. Il faut mentionner que peu de livres ou d'articles académiques sont traduits de l’anglais vers l’hébreu. Quoi que les conférences et conversations universitaires soient en hébreu, de nombreux livres et articles qu'ils sont censés lire sont en anglais. Quels sont les champs et thèmes de recherche privilégiés par ces anthropologues ? Sans surprise, ils travaillent sur une variétés de sujets, mais aussi, sans surprise, on note quelques changements au fil des ans (Feldman 2008; Levy et Weingrod 2004; Markowitz 2013). Les premières vagues d'anthropologues en Israël avaient tendance à travailler sur des groupes d'immigrants juifs non ashkénazes en Israël ou sur des communautés non juives vivant en Israël. Pour la plupart, ils ont étudié les kibboutzim et les moshavim ou villes de développement en Israël. Cette tendance s’est partiellement modifiée dans les années 1980 et 1990, mais la plupart des anthropologues israéliens travaillent encore largement sur le terrain en Israël et non en dehors d’Israël. L'adaptation et l'intégration des nouveaux arrivants ne sont plus des thèmes dominants. D’autres thèmes de recherche apparaissent tels que les LGBTQ, les New Agers en Israël, certains se penchent sur la science et la technologie en Israël, d’autres sur la reproduction et sa politique en Israël, sur le néolibéralisme en Israël ou encore les tribunaux de conversion en Israël. Les autres sujets prédominants sont l'anthropologie médicale et psychologique, la jeunesse, le féminisme et le genre, et ainsi que les études environnementales. L'anthropologie israélienne interroge de nombreux aspects de la vie en Israël. Elle se considérait de gauche dans les premières décennies d’Israël (quand Israël avait un gouvernement à tendance socialiste) comme c’est toujours le cas aujourd’hui (malgré le mouvement connu d’Israël vers la droite) (voir Lomsky-Feder et Ben-Ari 2000). L'anthropologie israélienne a longtemps été influencée par l'anthropologie dans le monde anglophone et aucun signe n’indique que cela soit en train de changer. L’anthropologie israélienne a longtemps été centrée sur la vie en Israël (juive et arabe) ; bien que les thèmes de recherche aient tendance à se diversifier, et encore là tout indique que cette tendance se poursuit, même si davantage d’anthropologues israéliens travaillent dorénavant sur terrains en dehors d’Israël. Les anthropologues israéliens ont reçu une formation rigoureuse à tous les niveaux de leurs études universitaires, et je vois que cela continue. Reste à savoir si les juifs et les palestiniens trouveront davantage de collaborations que ce que l’on constate aujourd’hui. Lorsque la communauté anthropologique américaine a sérieusement envisagé le mouvement BDS (mouvement britannique de boycott, désinvestissement et sanction face à Israël) (voir Redden 2016) les anthropologues israéliens se sont préparés au boycott qu'ils attendaient des départements, revues et maisons d'édition anthropologiques américains. Ils ont également subi un peu de pression (de leurs universités et de leurs collègues) pour combattre le BDS. Beaucoup s'inquiètent de l'impact du BDS sur la communauté anthropologique israélienne. Rétrospectivement, c’est un signe vraiment visible de la manière dont la communauté anthropologique israélienne a été liée - et continue de l’être - à la communauté anthropologique américaine. Certains[DVR1] [DVR2] [DVR3] [DVR4] anthropologues israéliens de la première génération craignent que la jeune génération ne fasse plus de travail sur le terrain en immersion totale et, partant, que l'anthropologie disparaisse bientôt de la vie et du monde universitaire israéliens, mais je vois des continuités tout autant que des changements dans l'anthropologie israélienne, et je ne pense pas que l'anthropologie est susceptible de disparaître en Israël.
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Dissertationen zum Thema "Arabe (langue) – Influence sur l'espagnol"

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Ouadi-Chouchane, Ibtissam. „Les représentations de l’altérité migrante originaire d’Afrique, du Proche et du Moyen-Orient dans la littérature espagnole 2000-2018“. Electronic Thesis or Diss., Strasbourg, 2024. http://www.theses.fr/2024STRAC024.

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Cette recherche explore le genre théâtral et ses ponts avec le genre romanesque dans la représentation de l’altérité migrante dans la littérature espagnole contemporaine entre 2000 et 2018. En nous concentrant sur les migrations africaines et proche et moyen-orientales, qui ont marqué les côtes espagnoles dès les années 1990, nous comparons l’évolution de la figure de l’altérité migrante entre les années 1990 et 2000, marquée par un tournant dramaturgique et littéraire. L’analyse s’élargit aux dramaturges de langue arabe ayant vécu ce phénomène migratoire, interrogeant la manière dont le théâtre et le roman construisent la figure de l’altérité migrante et cristallisent les stéréotypes alimentés par nos sociétés. Ces œuvres, loin d’une simple mimésis, questionnent le regard social façonné par les médias et offrent un espace pour examiner les contours de l’altérité migrante, ainsi que les stratégies littéraires et dramatiques qui la mettent en débat. Nous questionnons enfin l’impact de ces représentations sur la société espagnole, confrontée depuis les années 1990 à des flux migratoires massifs, et sur les nouvelles lois qui en découlent (Loi organique 4/2000 et ses modifications successives). En dernière instance, cette littérature dramatique nous permet d'évaluer en quoi elle participe à la construction de la citoyenneté et de l’engagement civique, en offrant un prisme critique sur la figure de l’Autre
This research explores the theatrical genre and its connections with the novelistic genre in the representation of migrant otherness in contemporary Spanish literature between 2000 and 2018. Focusing on African and Middle Eastern migrations that have reached Spanish shores since the 1990s, we compare the evolution of the figure of migrant otherness between the 1990s and 2000s, marked by a dramaturgical and literary shift.The analysis extends to Arabic-speaking playwrights who have experienced this migratory phenomenon, questioning how theater and the novel construct the figure of migrant otherness and crystallize the stereotypes perpetuated by our societies. These works, far from mere mimesis, challenge the social gaze shaped by the media and provide a space to examine the contours of migrant otherness, as well as the literary and dramatic strategies that bring it into debate.Finally, we examine the impact of these representations on Spanish society, which has been confronted with massive migratory flows since the 1990s, and on the new laws that have emerged in response (Organic Law 4/2000 and its successive amendments). Ultimately, this dramatic literature allows us to assess how it contributes to the construction of citizenship and civic engagement by offering a critical lens on the figure of the Other
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Lafon, Michel. „Le Shingazidja (grand comorien) : une langue bantu sous influence arabe“. Paris, INALCO, 1987. https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00131147.

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El, Fakir El Bouazzaoui. „Contact des langues au maroc : emprunts linguistiques de l'arabe marocain au francais : approche sociolinguistique“. Paris 5, 1992. http://www.theses.fr/1992PA05H093.

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La presence de la langue francaise au maroc depuis la colonisation jusqu'a nos jours a considerablement influence son marche sociolinguistique. Toutes les langues locales ont fait et font recours a cette langue pour pouvoir communiquer les nouvelles realites sociolinguistiques (institutions, concepts, objets, etc) subitement parues dans la societe marocaine. De par leurs rapports etroits avec la vie quotidienne des locuteurs marocains (agents de ce contact) les langues maternelles (l'arabe marocain et le berbere) ont beaucoup emprunte au francais ; le taux des emprunts introduits dans ces deux langues en temoigne. C'est en fonction des rapports de force entretenus entre le francais et ces langues que la forme et le contenu du contrat s'est decide et s'est deroule de telle sorte que chaque langue a ses propres usages, ses propres usagers et ses propres fonctions. En bref, une complementarite fonctionnelle entre ces langues est apparente dans l'usage quotidien des locuteurs marocains, cela est vrai malgre le caractere conflictuel qui a marque et marque jusqu'a present leurs contacts
The presence of the french language in morocco from the colonization period to nowdays has influenced considerably its sociolinguistic reality. To communicate recent realities that sundenly appear in moroccan society (suches institutions, concepts, objects. . . ) the local languages has and still has revourse to the french language. The close relations between the mother tongue languages and the evryday-life of native speakers (contact agent) have led these languages (maroccan arabic, berber) toborrow a greet deal from french. The number of borrowed words introduced in moroccan languages testify to that. According to the balance of power between french and moroccan languages, the shape and the content of contact was decided and took place so that each language has its own uses, own users and its own fonctions. Afonctional complementarity between these languages is clear in the moroccan speakers'daylife. This is true though the conflictuel character that marked and still marks their contact
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Rafiq, Malika. „L'intégration phonologique des emprunts français en arabe dialectal marocain (étude du parler de Khouribga)“. Paris 5, 1997. http://www.theses.fr/1997PA05H022.

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L'étude de l'emprunt est un phénomène linguistique qui a suscité de multiples études et continue à éveiller la curiosité de nombreux linguistes qui demeurent insatiables dans ce domaine. L'emprunt est un element étranger introduit dans un système donne à un moment bien précis et se définit par opposition aux autres éléments de la langue réceptrice. L'introduction de celui-ci est d'abord un fait individuel ensuite, social puis, il s'inscrit dans une communauté. Cette infiltration est favorisée par deux facteurs : les facteurs internes et les facteurs externes. Les facteurs internes ce sont des individus vivant en société. Les facteurs externes sont une nécessite économique comme le commerce, les échanges culturels, les activités de missionnaires religieux, les immigres, les étudiants, les soldats. Tous ces facteurs ont été la cause de la diffusion de ce phénomène. Dans cette étude, nous avons proposé d'abord une esquisse concernant la situation linguistique au Maroc, qui reste plurilingue, ou l'arabe classique, l'arabe dialectal, l'espagnol et le français sont en perpétuel contact. La langue française demeure très présente et continue à prendre de l'ampleur malgré au Maroc malgré les efforts déployés pour l'arabisation. Cette situation linguistique antagoniste et complémentaire de la contiguïté du français et de l'arabe dialectal nous a poussés à étudier le phénomène de l'emprunt en relevant le degré d'emprunt dans chaque groupe, les motivations et le niveau d'intégration de ce phénomène. Certes beaucoup d'études ont été faites sur l'emprunt; cependant, celles consacrées a ce phénomène bien souvent théoriques. C'est également l'une des raisons qui a déterminé cette recherche qui se veut analytique et dont le but est l'étude du fonctionnement et des altérations de l'emprunt dans le parler de Khouribga en particulier, l'arabe marocain en général. Bien que notre étude soit analytique, nous n'avons pas négligé la partie théorique qui constitue une synthèse de tout ce qui a été dit sur l'emprunt, voire une bibliographie critique de ce dernier. Dans cette recherche, nous avons tenté de donner un aperçu sur l'historique de l'emprunt. Puis, nous avons défini l'emprunt dans la langue, qui est une création nouvelle de la langue a introduit dans la langue b a un moment donne. L'identification de l'emprunt est basée sur quatre éléments : l'histoire, la phonologie, /. . .
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Marmouz, Hassina. „Les emprunts français en arabe : l'exemple du parler algérois de Blida“. Paris 5, 1990. http://www.theses.fr/1990PA05H054.

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Amzid, Mohamed. „Les traces de la langue espagnole dans le nord du Maroc, ancienne zone espagnole : le cas de Tanger“. Toulouse 2, 1997. http://www.theses.fr/1997TOU20014.

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Tanger, ville située tout à fait au nord du Maroc à quelques dizaines de kilomètres de l'Europe par Gibraltar ou par Algesiras, est, compte tenu de sa situation stratégique, le pont et le lien de rencontre entre deux vieux continents, l'Afrique et l'Europe. Notre sujet, qui porte sur la présence et l'influence espagnole dans le nord du Maroc et les traces de la langue castillane dans le parler de Tanger, est orienté exclusivement vers la linguistique. Le principal parler tangérois est bien entendu l'arabe dialectal de forme par rapport au dialecte national, car il présente un mélange de mots empruntés d'autres dialectes comme celui des Djebalas, des Berbères et surtout des mots empruntés à l'espagnol. Tout comme d'autres villes qui ont subi dans leurs parlers d'origine citadine une assez forte influence des montagnards voisins, Tanger a été fortement imprégnée par les parlers des Rifains, et bien entendu par les occupants espagnols. Cette influence qui éloigne le tangérois de la langue classique, est surtout visible au niveau linguistique
Tangiers, a town situated at the extreme north of Morocco, a few dozen kilometers from Europe passing through Gibraltar or Algeciras, forms, if one takes into account its strategic position, the bridge and meeting point between two ancient continents, Africa and Europe. Our research deals with Spain's presence and influence in the northern regions of Morocco, together with what remains of Castilian in the vernacular of Tangiers, our research then is strictly orientated towards linguistics. The main forms of vernacular in tangiers is of course dialectal Arabic in its differences from the national language, for it offers a mixture of words borrowed from other dialects, such as that of the Djebelas, of the Berbers and above all words borrowed from Spanish. Like other towns which have felt in their town-bred vernacular the rather strong influence of the neighbouring mountain-dwellers, Tangiers was impregnated by the language of the population of the Rif and, of course, by the Spaniards who held the town. Such influences, which account for the differences between the vernacular of Tangiers and classic Arabic, are mainly to be found in the lexical field
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Deme, Abdoulaye. „Les emprunts linguistiques du wolof à l'arabe (contribution à la lexicologie du wolof)“. Paris 5, 1994. http://www.theses.fr/1994PA05H007.

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Ce travail, consacre aux emprunts linguistiques du wolof a l'arabe, a pour objectif de mettre en relief l'origine et l'interet des emprunts. Pour ce faire, nous avons analyse, a partir d'une presentation historique, les phenomenes qui ont permis l'emprunt, en particulier celui des contacts de populations de langues differentes. Ces contacts avec les arabes ont permis aux wolofs de se confronter a une culture a tradition ecrite. Du contact entre langue orale et langue ecrite est nee une conception et une elaboration du wolof ecrit (le wolofal). Nous avons effectue une analyse linguistique des emprunts sur le plan phonetique pour voir comment le locuteur wolof prononce un phenomene arabe inexistant en wolof. Sur le plan morphologique, nous avons analyse comment ces mots sont integres dans la langue et comment ils se combinent avec d'autres morphemes propres au wolof. Nous avons egalement inclus une etude semantique des emprunts qui nous eclaire sur leur sens primitif
The present work, concerning linguistic borrowings from arabic to wolof, aims at bringing forward the origin as well as the significance of borrowings. With this object, beginning with a historical presentation, we proceeded towards an analysis of the phenomena which have given way to borrowings, more specifically the phenomenon of interaction between people of different language groups. Interaction with arab allowed wolofs to encounter a culture with a literary tradition. The contact between the oral and the written language led to the conception and elaboration of written wolof (wolofal). We have undertaken a linguistic analysis of borrowings on the phonetical level to observe how a wolof speaker would pronounce an arabic phoneme non-existant in his own language. On the morphological level we have examined how these loanwords have been assimilated in the language and how they combine with morphemes specific to wolof. We have included a semantic study of borrowings as well, which throws light on their original meaning
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Lemut, Olympe. „Présence du lexique mésopotamien ancien dans les parlers arabes contemporains de la région : aspects de l'emprunt“. Paris, INALCO, 2006. http://www.theses.fr/2006INAL0018.

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L'étendue géographique concernée par cette étude est la Mésopotamie ancienne qui couvrait à son extension maximum l'Irak, la Syrie, l'Anatolie, et l'ouest de l'Iran. Les dialectes arabes utilisés ici sont donc avant tout ceux d'Irak et de Syrie, mais d'autres dialectes sont mentionnés comme les dialectes libanais ou yéménites. Il s'agit donc de rechercher et d'analyser les emprunts à l'akkadien dans ces dialectes, afin de retracer leur trajet depuis le IIIème millénaire avant l'ère chrétienne. Les langues susceptibles de servir d'intermédiaire sont l'araméen , le syriaque, l'hébreu et le persan, mais d'autres langues comme les dialectes néo-araméens sont également citées. Certains champs sémantiques plus riches en emprunts de ce genre ont été choisis au préalable, notamment ceux de l'agriculture et des techniques artisanales. La diversité des sources reste problématique et nécessite une méthodologie adaptée, car l'on n'étudie pas de manière similaire un texte akkadien et un conte irakien. L'analyse linguistique des données devrait ainsi permettre de dégager des règles phonologiques et morphologiques régissant le phénomène d'emprunt entre les langues sémitiques, et également d'en préciser la nature. Enfin, les données seront replacées dans leur contexte culturel et historique, ce qui permettra de préciser la notion d'emprunt, et plus largement d'illustrer la constitution du lexique de ces langues à l'échelle régionale
The geographical span of this study is ancient Mesopotamia at its greatest extension, which means Iraq, Syria, Anatolia and Western Iran. Iraqi and Syrian Arabic are thus the main dialects used in this study but other Arabic dialects will be mentioned, such as Lebanese and Yemeni Arabic. The aim of this work is to search for and analyse potential borrowings (loanwords) to Akkadian in these dialects, in order to trace back their origin from the IIIrd millenium B. C. Aramaic, Syriac, Hebrew and Persian are the languages that might serve as intermediaries in this process, but other languages such as Neo-Aramaic will be mentioned. A choice has been made among the semantic fields that could be the richest in borrowings, like agriculture and traditional crafts (pottery, weaving). The diversity of the sources remains a problem that requires an adequate methodology : obviously, an akkadian text cannot be studied like an Iraqi folk song. The linguistic analysis of the data should help to shed light on the phonological and morphological rules at work in the process of borrowing between semitic languages, and thus help to specify the nature of this process. Eventually, the date will be analysed in its cultural and historical background, which will help qualify the notion of "borrowing", and in a larger perspective illustrate the constitution of the lexicon of these languages on a regional scale
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Barety, Marc. „Les mots arabes et berbères dans la littérature maghrébine d'expression française : étude de quelques romans et nouvelles“. Paris 13, 1985. http://www.theses.fr/1985PA131001.

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Quinsat, Françoise. „Contribution à l'étude des emprunts lexicaux arabes en Europe occidentale : les mots d'origine arabe dans les textes latins antérieurs au XIIe siècle“. Paris 3, 1993. http://www.theses.fr/1993PA030110.

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Cette these fait l'inventaire des mots d'origine arabe qui se trouvent dans des textes latins de l'europe occidentale anterieurs au xiie siecle. Elle reeunit 173 etymons arabes etant a l'origine de formes latinisees. 29 de ces mots ne sont pas techniques et appartiennent a des champs semantiques divers, 109 d'entre eux sont des termes d7astronomie et d7astrologie et 36 sont des termes de medecine et de pharmacopee. Ce travail montre que les emprunts occidentaux a la langue arabe ont commence dans le 3e tiers du viiie siecle. Il souhaitait notamment mettre en evidence l'etat des emprunts lexicaux faits a la langue arabe avant la " chanson de roland" qui est le premier texte francais a en contenir
This thesis inventories words of arabic origin that we can find in latin texts before the xiith century. It is a contribution to the study of arabic loanwords in western europe. 173 etymons have been collected : 29 words of different nature, 109 of astronomy and astrology, and 36 of medecine and pharmacy. This work shows that the occidental loanwords from the arabic language have beginning during the third part of the eighth century
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Bücher zum Thema "Arabe (langue) – Influence sur l'espagnol"

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Benatia, Abderrahman. Le périple méconnu d'une langue ancienne: Le berbère de l'himalaya aux ardennes : influence de la langue berbère sur le parler arabe d'occident : essai. [Alger: s.n., 2005.

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