Auswahl der wissenschaftlichen Literatur zum Thema „Anglais (langue) – Subordination (linguistique) – Histoire“

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Zeitschriftenartikel zum Thema "Anglais (langue) – Subordination (linguistique) – Histoire"

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Godard, Barbara. „La traduction comme réception : les écrivaines québécoises au Canada anglais“. TTR : traduction, terminologie, rédaction 15, Nr. 1 (29.07.2003): 65–101. http://dx.doi.org/10.7202/006801ar.

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Résumé S'inspirant de la théorie de Pierre Bourdieu de la stratification violente du « champ de production culturelle » et de la théorie d'André Lefevere de la médiation hégémonique du patronage dans la survivance des oeuvres littéraires, cet essai analyse la ré-écriture de la littérature québécoise au Canada anglais par le biais des pratiques de traduction. Toronto (et New York) contribuent à la légitimation de la littérature québécoise : les maisons d'éditions anglophones choisissent ce que l'on traduit et qui le traduit — des processus de séléction qui ont féminisé la culture québécoise comme alternative au matérialisme américain. Les romans de Gabrielle Roy, Anne Hébert, et Marie-Claire Blais ont été intégrés pleinement au système littéraire anglo-Canadien où, ré-écrits comme « réalistes » et présentant une image d'un Québec unilingue anglais, ils ne circulent que dans le champ de grande production ou le champ de la production restreinte, addressés à la bourgeoisie. En dépit de l'hypothèse de Carolyn Perkes, cependant, l'écriture d'une génération féministe plus jeune (Nicole Brossard, France Théoret, etc.) n'a pas transformé les normes du champ littéraire cannadien-anglais. Un nouveau genre de « fiction/théorie» s'est développé au Canada anglais, mais il ne circule que dans le champ de production marginale (les presses féministe et d'avant-garde) sans la reconnaissance d'autres positions dans le champ culturel. En effet, dans cette fiction/théorie, la thématique du langage, qui met en relief l'asymétrie du pouvoir entre l'anglais et le français, a été fortement critiquée parce qu'elle enfreint les normes de la purété linguistique et du sens transparent qui structurent le champ de la production restreinte. Un dialogue entre féministes à travers les langues a influencé l'écriture des écrivaines québécoises pour qui le motif de la traduction informe quelques romans récents. Répondant par un jeux de variations à la violence d'une subordination symbolique, ces romans entreprennent le travail du deuil pour l'objet perdu (la mère absente, la langue unique) en employant la traduction comme une figure de perlaboration. La traduction n'implique pas la tragédie d'une perte de la langue, mais un excès carnavalesque de la répétition dans beaucoup de langues potentielles. La traduction constitue alors un accès privilégié à une créativité autre.
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Dunoyer, Christiane. „Alpes“. Anthropen, 2020. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.124.

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Le nom « alpe » d’origine prélatine, dont le radical alp signifie « montagne », est commun à tout le territoire en question. L’espace physique ainsi dénommé crée une série d’oppositions entre la plaine et la montagne, entre la ville et la montagne et entre les populations intra-alpines, dotées de connaissances spécifiques pour vivre dans cet espace, et les populations demeurant à l’extérieur des Alpes ou les traversant (voir aussi Monde alpin). Redécouvertes à l’époque des Lumières, dans un cadre positiviste, les Alpes deviennent un objet de spéculation philosophique (Rousseau 1761) et d’étude pour les sciences naturelles, notamment la biologie, et la médecine. L’apport de ces disciplines ne manqua pas d’influencer le regard porté par le monde urbain sur les Alpes, à partir de ce moment. En suivant l’exemple du philosophe et naturaliste Horace B. de Saussure (1779-1796), qui explora cette région à la fin du 18e siècle et qui accomplit l’ascension du mont blanc en 1787, un an après la première de Balmat et Paccard, les voyageurs anglais à leur tour découvrirent les Alpes et opposèrent la grandeur de ces paysages au côté misérabiliste des populations rencontrées, dans le cadre d’une sorte d’anthropologie spontanée empreinte d’idéologie, où les locaux sont perçus et décrits comme des survivances de sociétés primitives et donc étrangères à la nature sophistiquée de leurs observateurs. La naissance de l’alpinisme se situe dans ce contexte. En tant que paysage, les Alpes jouent un rôle important à l’âge romantique : Étienne Pivert de Senancour (1804) est le premier écrivain romantique à les avoir parcourues dans un but contemplatif. Objet contradictoire, les Alpes sont souvent peintes en vertu de leur beauté terrifiante. Au fil de voyages initiatiques, de découvertes et de rencontres, la vision romantique s’enrichit jusqu’à acquérir une dimension pédagogique, voire d’édification morale (Töpffer 1844), et nourrit encore en partie les représentations collectives de nos jours. Intégrées dans la société globale, les Alpes exercent un attrait sur le citadin depuis deux siècles. Celui-ci y projette tantôt la nostalgie d’un univers sauvage, tantôt le désir de conquérir et de domestiquer l’espace naturel. Les collections présentes dans quelques grands musées urbains font aussi partie de ce regard que les villes portent sur les Alpes, notamment au cours de la première moitié du 20e siècle. Tel est le cas des objets de la vie quotidienne réunis par Hippolyte Müller, fondateur du Musée Dauphinois, et par les plus de 8000 collectés par Georges Amoudruz, qui ont été acquis par le Musée d’Ethnographie de Genève. Ce n’est que plus récemment que les Alpes sont devenues un objet d’étude pour les géographes (Raoul Blanchard fonde en 1913 la Revue de géographie alpine) : les problématiques sociales, territoriales et environnementales des espaces montagnards sont au centre de ces recherches. Enfin, les anthropologues s’y sont intéressés aussi en privilégiant une approche qui combine l’étique et l’émique (voir Monde alpin). Terres de contrastes, les Alpes échappent à toute catégorisation trop stricte, tantôt appréhendées comme une unité qui efface les spécificités, tantôt comme un ensemble problématique : « un vaste territoire dont l'unité se décompose en un grand nombre de variétés régionales » que le géographe étudie en portant à la lumière « de multiples problèmes relatifs à de multiples pays » (Arbos 1922). Bätzing (2003, 2007) propose un essai de définition des Alpes en montrant la difficulté de la tâche à cause de l’absence de frontières claires, que ce soit sur le plan géographique ou sur le plan humain. Il désigne cette variabilité géographique comme l’origine du problème pour l’éclosion d’une politique alpine. Par exemple, la définition classique des Alpes en tant que massif au-delà de la frontière où poussent les arbres (1900-2200 mètres) est aujourd’hui contestée après la mise en évidence de l’existence de montagnes hautes, très arides et sans glaciers, qui ne rentrent pas dans cette définition. Quant à Fernand Braudel (1966) et Germaine Veyret-Verner (1949), qui introduisent la dimension sociale à travers les études démographiques, définissent les Alpes comme un espace isolé, à l’écart des bouleversements de l’histoire. Ces théories ont été depuis sérieusement remises en question, les archéologues ayant amplement démontré que déjà pendant la préhistoire les Alpes étaient le théâtre de passages et d’échanges. Une deuxième définition, qui est à la base de la loi anthropogéographique des Alpes théorisée par Philippe Arbos (1922), l’un des pères fondateurs de la géographie alpine, et de l’alpwirtschaft de John Frödin (1940), est centrée sur les notions de pente et de verticalité, impliquant une organisation humaine et une modalité d’exploitation de la montagne par étagements successifs où tout est lié dans un système d’interdépendance et de complémentarité. Cette définition est aussi partiellement dépassée : le système traditionnel s’est transformé (sédentarisation des populations, abandon de la montagne, nouvelles installations à cause du tourisme). D’ailleurs, le tourisme, qui semble une constante de l’espace alpin contemporain, n’est pourtant pas présent partout : le tourisme touche moins de 40 % des communes des Alpes (Bätzing 2007). D’autres façons de délimiter les Alpes font référence aux unités géographiques formées par les vallées (ayant chacune son histoire, son évolution et son organisation pour l’exploitation des ressources locales) ou par les groupements de massifs et de sommets (qui revêtent un intérêt notamment pour les alpinistes) : dans le premier cas les frontières passent par les cours d’eau, dans le deuxième par les sommets. Enfin, la division politico-administrative est une autre tentative de définition : les Alpes sont partagées et loties sur la base de subdivisions territoriales qui en ont fait « un facteur de séparation plus ou moins déterminant » (Fourny 2006), à la base de conflits, notamment lorsque les aires culturelles ne recoupent pas les délimitations politiques, ce qui est assez fréquent, étant donné que les unités de peuplement, de langue, de religion, se différencient dans les plaines et les vallées et non sur les lignes de crête. Le signe le plus manifeste en est la langue. En effet, les Alpes sont une vraie mosaïque de groupes linguistiques, ethniques et religieux : des populations de langue provençale du secteur sud-occidental aux populations slaves de l’extrémité orientale. Parfois la variation existe à l’intérieur de la même vallée et remonte au Moyen Âge, par exemple dans les vallées occitanes et francoprovençales du secteur occidental, versant italien. Dans certains cas, elle est la conséquence de mouvements migratoires, tels que l’expansion colonisatrice des Walser, qui en partant de l’Oberland bernois entre le 13e et le 15e siècle se sont implantés dans plus de cent localités alpines sur une région très large qui va de la Savoie au Vorarlberg (Weiss 1959, Zinsli 1976), ou les déplacements des paysans carintiens et bavarois qui occupèrent la partie supérieure de nombreuses vallées des Alpes orientales, italiennes et slovènes. Les situations de contact linguistique dans les Alpes orientales italiennes et slovènes ont fait l’objet d’études anthropologiques de la part de Denison (1968) et de Brudner (1972). Le problème des relations entre milieu physique et organisation sociale est au cœur des études sur les Alpes. Les études de Philippe Arbos (1922) sont une réaction au déterminisme largement partagé jusqu’ici par les différents auteurs et se focalisent sur la capacité humaine d’influencer et de transformer le milieu. Dans ce filon possibiliste s’inscrit aussi Charles Parain (1979). Germaine Veyret-Verner (1949, 1959) introduit la notion d’optimum, à savoir l’équilibre démographique résultant de la régulation numérique de la population et de l’exploitation des ressources locales. Bernard Janin (1968) tente de cerner le processus de transformation économique et démographique dans le Val d’Aoste de l’après-guerre jusqu’aux années 1960, dans un moment perçu comme crucial. D’autres études se sont concentrées sur l’habitat humain, notamment sur l’opposition entre habitats dispersés, typiques des Alpes autrichiennes, bavaroises et suisses (et plus marginalement des Alpes slovènes : Thomas et Vojvoda, 1973) et habitats centralisés, typiques des Alpes françaises et italiennes (Weiss 1959 : 274-296 ; Cole et Wolf 1974). Au lieu de focaliser sur la variabilité interne des phénomènes alpins et sur leurs spécificités culturelles, quelques chercheurs sous la direction de Paul Guichonnet (1980) tentent une approche globale des Alpes, en tant qu’entité unitaire en relation avec d’autres espaces physiques et humains. Cette approche se développe parallèlement à la transition qui s’opère au niveau institutionnel où les Alpes deviennent un objet politique et ne sont plus un assemblage de régions : en effet, avec la Convention alpine (1991), les Alpes acquièrent une centralité en Europe. Plutôt que les confins d’un territoire national, elles sont perçues comme des lieux d’articulation politique, une région de frontières. Dans cette optique, les Alpes sont étudiées sous l’angle des forces extérieures qui les menacent (transport, tourisme, urbanisation, pollution) et qui en font un espace complémentaire de l’urbain et nécessaire à la civilisation des loisirs (Bergier 1996). C’est ainsi que « le territoire montagnard tire sa spécificité non pas d’un “lieu” mais de la complexité de la gestion de ce lieu. » (Gerbaux 1989 : 307) Attentifs au nouvel intérêt que la société porte sur les Alpes, après l’orientation vers les problèmes urbains, les anthropologues étudient la mutation rapide que connaît cet espace. Gérald Berthoud et Mondher Kilani (1984) entreprennent des recherches sur les transformations des Alpes en démontrant comment l’axe tradition-modernité demeure central dans les représentations des Alpes, toutes d’origine urbaine, qui se succèdent au fil des siècles, à tel point que les phénomènes contemporains y sont toujours interprétés en fonction du passé. Kilani (1984) décrit les Alpes comme un puissant lieu d’identification et analyse les effets de la manipulation de cette image figée sur les communautés alpines, que ce soient les images négatives renvoyant à la montagne marginale et arriérée ou les images utopiques de la nature vierge et du berceau de la tradition. La question de l’aménagement des Alpes étant devenue cruciale, en vue de la promotion touristique et de la préservation des milieux naturels, Bernard Crettaz met l’accent sur cette nouvelle représentation des Alpes qui régit l’aménagement contemporain et introduit la notion de disneylandisation (Crettaz 1994). Parallèlement, la floraison de musées du territoire semble être un signal parmi d’autres de cette volonté des populations locales de se libérer des représentations urbaines, qui en ont longtemps affecté le développement en imposant un sens univoque dans la diffusion de la pensée, et de raconter à leur tour les Alpes. Enfin, une réflexion sur l’avenir et le devenir des Alpes s’amorce (Debarbieux 2006), sur la déprise humaine entraînant un ensauvagement généralisé et la reforestation massive, qui est en train de progresser vers le haut, au-delà des limites écologiques, à cause du réchauffement climatique. À cette déprise, s’oppose la densification de l’impact humain le long des grands axes de communication (Debarbieux 2006 : 458), une constante de l’histoire alpine à l’échelle des millénaires, ayant comme conséquence un contraste croissant dans l’accessibilité entre les différentes localités, les villes situées le long des couloirs de circulation devenant toujours plus proches les unes des autres (Tschofen 1999 ; Borsdorf & Paal 2000). Marginalisation progressive ou reconquête de l’espace et de l’héritage?
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Dissertationen zum Thema "Anglais (langue) – Subordination (linguistique) – Histoire"

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Lelandais, Manon. „Expression multimodale de la subordination en anglais“. Thesis, Nantes, 2019. http://www.theses.fr/2019NANT2018/document.

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À partir d'un corpus vidéo de conversation spontanée en anglais, notre travail de thèse s'attache à déterminer si plusieurs types syntaxiques de constructions subordonnées expriment le même degré d'intégration à leur environnement co-textuel, d'une perspective multimodale. La littérature syntaxique décrit les subordonnées comme des formes dépendantes, qui spécifient ou élaborent le contenu d'une autre proposition. En montrant que les constructions sous étude n'expriment pas une dépendance uniforme à leur environnement selon la façon dont les locuteurs utilisent les modalités prosodique et gestuelle pour exprimer plus ou moins de démarcation, les résultats en production comme en perception suggèrent d'une part que les appositives sont produites avec davantage de rupture que les autres types syntaxiques, et d'autre part que la création d'une rupture s'appuie majoritairement sur des moyens davantage prosodiques que gestuels
Based on a video recording of conversational British English and within the framework of Multimodal Discourse Analysis, this study tests whether three different syntactic types of subordinate structures are evenly integrated to their environment. Subordinate constructions have been described in syntax as dependent forms elaborating on primary elements of discourse. Beyond showing that subordinate constructions are not evenly dependent on their environment depending on how speakers use the prosodic and kinetic modalities to express greater (in)dependency, our results in production as in perception suggest on the one hand that appositive clauses show more break than the other syntactic types, and on the other hand that the creation of a break mainly relies on prosodic cues
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Vallée, Michaël. „La coordination et la subordination à l'épreuve des opérations énonciatives : le cas du connecteur "for"“. Poitiers, 2001. http://www.theses.fr/2001POIT5007.

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Les définitions actuelles se révèlent trop étroites et trop étanches pour embrasser les phénomènes dits de "coordination" et de "subordination". Elles ne peuvent pas rendre compte de certains connecteurs avec précision comme "for". Certains affirment qu'il appartient aux conjonctions de "coordination" alors que d'autres pensent qu'il doit être rangé parmi les conjonctions de "subordination". Nous avons montré qu'il est possible d'unifier les deux phénomènes à partir d'un schéma général de la connexion qui permet d'obtenir, en fonction de certains critères, une relation soit de "coordination" soit de "subordination". Cette nouvelle perspective nous a conduit à définir un continuum entre ces deux phénomènes ainsi que trois critères précis applicables sur l'élément précédant le connecteur et celui qui le suit afin de déterminer les caractéristiques propres à chaque relation et la place des marqueurs sur le continuum. Ce dernier a été défini en deux zones théoriques à l'aide d'une nouvelle terminologie : celle des marqueurs de continuité énonciative (anciennement "coordonants") et celle des marqueurs de discontinuité énonciative (anciennement "subordonnants"). Cette démarche nous a donc permis d'analyser un marqueur comme "for" considéré comme problématique. Afin d'offrir une analyse approfondie du connecteur, nous avons prolongé les études déjà menées à ce sujet et nous avons ensuite testé nos trois critères. Nous avons conclu que "for" se trouve vers la fin de la partie du continuum réservée aux marqueurs de continuité. Cette approche nous a également permis de montrer que "for" et "because" se trouvent à des endroits différents sur le continuum et de ce fait possèdent des propriétés différentes.
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Le, Draounlec Anne. „Étude présuppositionnelle des subordonnées temporelles“. Toulouse 2, 1997. http://www.theses.fr/1997TOU20096.

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Le principal objectif de cette thèse est de montrer que l'analyse du comportement des subordonnées temporelles peut bénéficier d'une perspective présuppositionnelle. L'étude se découpe en trois grandes parties. La première partie est consacrée à un état de l'art sur l'inférence présuppositionnelle en général (chapitre 1), ainsi que sur le problème dit de "projection" des présuppositions (chapitre 2). La deuxième partie vient préciser ce qu'il faut entendre par présupposition des subordonnées temporelles. Il apparaît que le caractère présuppositionnel des subordonnées temporelles explique bien la façon dont celles-ci participent à la structuration du discours (chapitre 3). Le chapotre 4, plus spécifiquement consacré aux propriétés acceptuo-temporelles des subordonnées temporelles, montre qu'il faut leur reconnaître un temps de référence "subsidiaire", également présupposé. Le chapitre 5 fait le point sur la difficulté qu'il peut y avoir à rendre compte de subordonnées temporelles renvoyant à une situation future. On vérifie enfin, au chapitre 6, que c'est l'impossibilité de localiser le temps de référence qui explique en grande partie la difficulté a introduire une négation dans la subordonnée temporelle. L'objet d'étude est radicalement circonscrit dans la troisième partie, ou il ne s'agit plus que des subordonnées introduites par avant que ne présupposant pas que la situation décrite s'est effectivement réalisée. Le chapitre 7 reprend d'abord une hypothèse selon laquelle la présence d'une implication contextuelle suffit a expliquer l'interprétation "contrefactuelle" de la subordonnée. Il apparait cependant que l'analyse reste insuffisante, en occultant toute une gamme de constructions dans lesquelles la réalisation de la subordonnée reste en suspens. En réponse a cette difficulté je suis amenée, dans le chapitre 8, a montrer que la perspective a travers laquelle la présupposition est envisagée joue un rôle essentiel
The main goal of this dissertation is to show that the analysis of temporal subordinate clauses may benefit from a presuppositional approach. The study is divided in three parts. The first one is devoted to a survey of presuppositional inference in general (chapter 1), and of the "presupposition projection" problem. The second part defines in more precise terms the relation between presupposition and temporal subordination. It appears that the presuppositional character of temporal clauses explains how they take part in the organization of discourse (chapter 3). Chapter 4, more specifically devoted to the aspectual and temporal properties of temporal clauses, shows that they have a "subsidiary" reference time, which is also presupposed. In chapter 5, we examine the difficulties raised by temporal clauses referring to a future situation. We finally see, in chapter 6, that the absence of a reference time explains the difficulty in introducing a negation in the temporal clause. In the third part, the interest focuses on before-clauses which do not presuppose that the eventuality described has actually taken place. Chapter 7 develops the hypothesis that a contextual implication may justify the counterfactual interpretation of the subordinate clause. However, it appears that the analysis remains insatisfactory, for it fails to explain why, in some cases, the realization of the situation described in the clause is in suspension. In a attempt to resolve this difficulty, i show in chapter 8 that what plays a fundamental role is the perspective from which the presupposition is viewed
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Castagné, Clotilde. „La logique énonciative des structures relatives "déviantes" en anglais contemporain“. Paris 3, 1992. http://www.theses.fr/1993PA030069.

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Dans le cadre theorique de la linguistique de l'enonciation, cette recherche s'interesse aux relatives "deviantes", propres a l'anglais oral: relatif zero sujet, relatifs "as" et "what", decumul du relatif. Apres avoir propose une hypothese de fonctionnement des relatives dites standard, fondee sur l'operation de preconstruction - ce qu'illustrent bien les phenomenes d'acquisition des relatives - nous essayons de degager la logique enonciative des relatives deviantes en termes de cohesion discursive. Le relatif zero sujet, largement atteste en moyen-anglais, apparait aujourd'hui dans deux grands types de structures ("it is np" et "there is np"). Chacune repond a des phenomenes discursifs distincts, tout en presentant un schema syntaxique commun qui maintient l'ordre canonique de la phrase simple. Cela est une constante des relatives "deviantes", qui evitent ainsi l'operation de preconstruction des relatives dites standard, rejoingnant par la les grandes strategies de relativisation dans diverses langues du monde
Within the linguistic frame of the theory of enunciation this 6research deals with non-standard relative structures in oral english - zero subject relative pronoun, "as" and "what" relative pronouns and relative clauses with a redundant pronoun. First of all, we put forward a hypothesis about the so-called standard relatives, bringing into light the operation of preconstruction well illustrated by the acquisition of relatives by children. We then try to analyse the enunciative logic of non-standard relative structures in terms of discursive integration. Zero subject relatiwe commonly found in middle-english now appear in two main types of structures ("it is np" and there is np"). Each corresponds to different discursive patterns but to one and the same syntactic pattern in which the svo word order is maintained. This is also true of the other non-standard relatives, thus avoiding the operation of preconstruction above mentioned, and it seems to be a universal feature of relativisation in various languages in the world
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Ranger, Graham. „Les constructions concessives en anglais moderne“. Aix-Marseille 1, 1997. http://www.theses.fr/1997AIX1A025.

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Cette etude porte sur les enonces habituellement appeles 'subordonnees concessives'. La construction metalinguistique d'une signification concessive releve d'une triple problematique opposant l'unicite et l'heterogeneite. Ainsi, la signification concessive, supposee unique, peut etre construite de facon heterogene ; une forme unique peut recevoir diverses interpretations ; on peut egalement demontrer le caractere heterogene de la signification concessive elle-meme, ce qui nous inciterait a parler de significations concessives plurielles. Pour l'analyse de la construction d'une signification concessive, il ne suffit pas d'inventorier les formes potentiellement concessives, ou de relever les divers effets de sens concessifs. Il faut au contraire une approche qui mette en evidence les rapports dialectiques entre langue et langage (chapitre 1). Le probleme des divers types de signification concessive peut etre partiellement resolu a l'aide d'un schema concessif unique auquel on pourra ramener formellement tout enonce concessif (chapitre 2). Quant aux relations entre forme et signification elles sont moins paradoxales, des qu'on accepte qu'une forme linguistique ne renvoie pas a une signification rigide, mais a une forme schematique, abstraite et deformable, qui recoit une signification precise en interaction complexe avec d'autres elements du contexte. Il s'agit donc non pas d'une construction concessive au sens d'une structure syntaxique, mais d'une veritable acte de construction enonciative. On peut relever differents modes de construction d'une signification concessive : par differenciation (though etc. , chapitre 3), par renvoi au haut degre (chapitre 4), par une operation de parcours (chapitre 5), par des marqueurs d'hypothese (chapitre 6), et par des marqueurs de negation (chapitre 7). Pour chaque mode de construction, un raisonnement formel metalinguistique permet de demontrer le rapport entre la forme schematique postulee pour les marqueurs en cause, le schema concessif general et la signification concessive particuliere
The study deals with those utterances normally labelled 'subordinate clauses of concession'. The metalinguistic construction of a concessive signification implies a three-way opposition between unicity and heterogeneity. Thus a supposedly unique concessive signification can in fact be constructed heterogeneously ; a single form can receive various interpretations ; the concessive signification itself can similarly be shown to be fundamentally heterogeneous, so that one might speak of concessive significations in the plural. For an accurate analysis of the construction of a concessive signification it is not sufficient to list potentially concessive forms, or to indicate various concessive effects in context. One must adopt an approach which works on the dialectic relation between the language-artefact and the activity of language (chapter 1). The problem posed by various sorts of concessive signification may be partially resolved using a unique concessive schema which all concessive utterances can be reduced to (chapter 2). The links between form and signification become less paradoxical if one accepts that a linguistic form does not refer to a rigid signification but to an abstract and deformable schematic form, which receives a precise signification only after complex interaction with other contextual elements. Thus the term of concessive construction is used not to mean a syntactical structure, but a veritable act of enunciative construction. Different means of constructing a concessive signification may be indicated : by differentiation (though etc. Chapter 3), by reference to a high degree (chapter 4), by a class-scanning operation (chapter 5), by markers of hypothesis (chapter 6), and by markers of negation (chapter 7). For each of these means of construction, one may demonstrate the existence of a formally motivated metalinguistic link between the schematic form postulated for the markers in question, the general concessive schema and the particular concessive signification
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Kanté, Issa. „La complétive nominale finie : entre syntaxe et sémantique : une étude contrastive anglais-francais“. Paris 13, 2011. http://scbd-sto.univ-paris13.fr/secure/ederasme_th_2011_kante.pdf.

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Cette thèse est organisée en deux parties. Composée des chapitres 1, 2 et 3, la première partie porte sur les structures lexico-syntaxiques et les fonctions grammaticales des complétives en that / que. Dans cette partie, nous proposons une analyse critique des classements « traditionnels » des complétives et de la question du statut fonctionnel de la subordonnée en that / que. Regroupant les chapitres 4, 5, 6 la deuxième partie est consacrée à la sémantique des noms recteurs et aux restrictions / contraintes distributionnelles. Le chapitre 4 présente notre hypothèse principale, construite autour du concept de modalité, en examinant les approches théoriques soutenant la possibilité d’une analyse modale des complétives du nom. Le chapitre 5 propose une série d’études contrastive révélant que la modalité apparaît comme une propriété sémantique jouant un rôle primordial dans la complétive. Nous indiquons que le statut recteur des noms se définit par un faisceau de propriétés sémantiques : abstrait, non-humain, inanimé, modalité et endophoricité. Parmi ces traits, la modalité, en interdépendance avec l’endophoricité, joue un rôle central dans la constitution de la propriété de nom recteur. Enfin, le chapitre 6 porte sur les restrictions et contraintes de co-occurrences. D’une part, nous analysons les rapports entre le nom recteur, en tant qu’élément ayant une valeur particulière de madalité, et la forme du verbe de la subordonnée. D’autre part, l’analyse est centrée sur le SN recteur de la complétive afin d’élucider certaines restrictions entre le nom et ses constituants immédiats.
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Gardelle, Laure. „Le genre en anglais moderne (seizième siècle à nos jours) : le système des pronoms“. Paris 4, 2006. http://www.theses.fr/2007PA040012.

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Alors que les grammaires de l’anglais présentent aujourd’hui le genre comme une catégorie au fonctionnement simple, de nombreux emplois demeurent inexpliqués. Par exemple, pourquoi varie-t-il aussi souvent en discours pour un même référent ? Pourquoi associer parfois le féminin à un bateau ou une pelouse, le masculin à une fourche ou une mygale ? La présente thèse se propose de rechercher les fondements véritables du genre en anglais moderne, à travers une étude des pronoms qui en portent la marque. Après avoir défini la notion de genre et établi un panorama des théories existantes, on propose une étude détaillée d’un vaste corpus représentatif de la production langagière du XVIe siècle à nos jours. Constatant des évolutions parfois importantes dans l’emploi des genres en discours, on cherche à déterminer si elles sont le reflet d’évolutions systémiques ou s’il existe malgré tout un critère de choix unique en langue. Une description cognitive de la catégorie, éclairée par une brève comparaison avec les dialectes, permet de s’interroger enfin sur la raison d’être profonde du genre
While grammars of English today view gender as a category that can be easily accounted for, they fail to explain many of its uses. For example, why are there so many variations in discourse for a given referent ? Why use the feminine sometimes for a ship or a lawn, but the masculine for a fork or a spider ? This thesis explores the true foundations of the category of gender in modern English, by analyzing those pronouns on which gender is marked. After defining the notion of gender and reviewing existing theories, it offers a detailed analysis of an extensive corpus sampling language use from the 16th century to the present. It shows obvious evolutions in the use of gender in discourse ; the study seeks to determine whether they reflect systemic evolutions or whether they can be ascribed to other factors. Finally, a cognitive description of the category, enriched with a brief comparison with dialects, enables to look into the fundamental function of gender
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Mélac, Éric. „L'évidentialité en anglais - approche contrastive à partir d'un corpus anglais-tibétain“. Thesis, Paris 3, 2014. http://www.theses.fr/2014PA030172/document.

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Cette étude vise à fournir une description détaillée de l’évidentialité en anglais dans une approche contrastive avec le tibétain. Elle repose sur un corpus spécialement recueilli au Tibet et en Angleterre (TSC et CSC/LAC, 2010-2012, 10 h.). Le tibétain possède un système évidentiel complexe et grammaticalisé dont la description peut fournir une grille d’analyse préliminaire pour notre étude de l’évidentialité en anglais. Des exemples authentiques et des données quantitatives issus du corpus nous permettent d’illustrer et de compléter les descriptions du groupe verbal tibétain dans plusieurs travaux pionniers antérieurs à la présente recherche (Tournadre & Sangda Dorje 1998) afin de poser les bases de la sémantique évidentielle. Les marqueurs évidentiels qui émergent dans les parties tibétaine et anglaise du corpus sont examinés afin de déterminer les paramètres qui motivent leur utilisation. Les marqueurs tibétains sont principalement grammaticaux et intégrés à des paradigmes syntaxiques : copules, suffixes verbaux et enclitiques. Les marqueurs évidentiels anglais sont lexicaux ou semi-grammaticaux : verbes de perception, verbes de cognition, verbes de discours, modaux, adverbes, conjoints, parenthétiques et marqueurs de discours (Nuyts 2001a, Cappelli 2007, Sanders & Sweetser 2009, Mortensen 2010, Whitt 2010, Gisborne 2010, Miller 2008, Boulonnais 2010, Gurajek 2010, Kaltenböck et coll. 2011, Heine 2013). Cette description de l’évidentialité en tibétain et en anglais nous permet d’analyser les conséquences d’un rendu grammatical ou lexical de cette notion (Talmy 2000, Bybee et coll. 1994, Nuyts 2001a, Boye & Harder 2009). Des analyses quantitatives et qualitatives du corpus contrastif et sur large corpus illustrent les différences de complexité, d'optionalité, de fréquence, de restriction sémantique, de prise en charge, de statut informatif, et de stratégie de discours dans les deux systèmes.Enfin, nous réévaluons la dichotomie, souvent considérée comme acquise, entre évidentialité grammaticale et lexicale (Aikhenvald 2004). Nous avançons que les marqueurs évidentiels des deux langues se positionnent à différents endroits sur un continuum multidimensionnel lexique-grammaire. Cette étude ne remet pas en question que le système évidentiel tibétain est plus grammaticalisé que le système anglais, mais démontre que ce dernier présente tous les signes d’une grammaticalisation partielle. Nous concluons ainsi que l’évidentialité est une notion pertinente et nécessaire pour une description linguistique complète de l’anglais
This study aims to give a detailed description of evidentiality in English in contrast with Tibetan. It is based on a specialised corpus collected in Tibet and in England (TSC and CSC/LAC, 2010-2012, 10 h.).Tibetan has a complex and grammaticalised evidential system, and its description can provide a preliminary analytical grid for a semantic assessment of English evidentiality. Athentic examples and quantitative data from the corpus illustrate and supplement the analyses of the Tibetan verb phrase from previous research (Tournadre & Sangda Dorje 1998), in order to lay the foundation of the semantics of evidentiality. The evidential markers that emerge in the Tibetan and English sections of the corpus are examined so as to determine the parameters that motivate their usage. Tibetan evidentials are mainly grammatical and paradigmatised: copulas, verb suffixes and enclitics. English evidentials are either lexical or semi-grammatical: perception verbs, cognition verbs, speech verbs, modals, adverbs, conjuncts, parentheticals and discourse markers (Nuyts 2001a, Cappelli 2007, Sanders & Sweetser 2009, Mortensen 2010, Whitt 2010, Gisborne 2010, Miller 2008, Boulonnais 2010, Gurajek 2010, Kaltenböck et al. 2011, Heine 2013).This survey of Tibetan and English evidentiality provides precise data for the analysis of the consequences of a grammatical or a lexical rendering of this notion (Talmy 2000, Bybee et al. 1994, Nuyts 2001a, Boye & Harder 2009). Qualitative and quantitative evidence illustrates the differences in complexity, optionality, frequency, semantic restriction, speaker commitment, informative status and discourse strategy in the two systems. Finally, this study reassesses the assumed dichotomy between grammatical and lexical evidentiality (Aikhenvald 2004), arguing that evidentials in both Tibetan and English inhabit a lexicon-grammar multidimensional continuum, merely in different positions. This study does not question that the Tibetan evidential system is more grammaticalised than the English one, but it shows that the latter presents all the signs of partial grammaticalisation. This reassessment leads to the conclusion that evidentiality is a relevant and necessary notion for a thorough linguistic description of English
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Leonarduzzi, Laetitia. „La subordonnée interrogative en anglais contemporain“. Phd thesis, Université de Provence - Aix-Marseille I, 2000. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00597613.

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Cette thèse propose une caractérisation syntaxique et sémantique de la subordonnée interrogative en anglais contemporain en l'opposant aux autres structures proches en surface (subordonnées introduites par des mots en WH- : relatives libres, exclamatives, circonstancielles en " if ", " when " et " whether "). Cette étude passe par un examen attentif des contextes d'emploi et des termes introducteurs de chacun de ces types de subordonnées. Nous abordons également les questions suivantes : quelle définition donner à la subordination ? Comment définir l'ambiguïté et traiter les cas limite (nous exploitons ici les notions d'ambivalence et de neutralisation) ? Quel rapport existe-t-il entre interrogatives et propositions en that ? Entre exclamatives et factivité ? Comment analyser des exemples comme Tell me the time ou Tell me if it's too expensive ? Et surtout que dire de I know who came ?...
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Passot, Frédérique. „La hiérarchisation des constituants discursifs dans un corpus d'anglais oral spontané“. Phd thesis, Université de la Sorbonne nouvelle - Paris III, 2004. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00011240.

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Ce travail cherche à dégager certains phénomènes relatifs à la structure de l'anglais conversationnel. Il s'intéresse en particulier à l'organisation de segments de taille et de nature diverses par la syntaxe et la prosodie, et décrit une hiérarchisation des constituants discursifs sur les plans thématique, intersubjectif et interactionnel.

L'étude de la subordination causale révèle l'apparition de formes nouvelles et d'usages propres à l'oral spontané. Distribution et valeur intersubjective distinguent ainsi cos de because. Plus généralement, la dépendance syntaxique entre propositions liées s'assouplit, les marqueurs de subordination contribuant essentiellement à l'organisation thématique.

Hauteur mélodique, intensité et pauses participent à l'édifice conversationnel à tous les plans qui nous intéressent. Nous montrons dans quelle mesure l'intonation contribue à la construction du consensus sur lequel se fonde l'échange, ainsi qu'à son organisation thématique et interactionnelle.
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Bücher zum Thema "Anglais (langue) – Subordination (linguistique) – Histoire"

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Watching English change: An introduction to the study of linguistic change in standard Englishes in the twentieth century. London: Longman, 1994.

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2

David, Graddol, Leith Dick 1947- und Swann Joan, Hrsg. English: History, diversity, and change. Milton Keynes [England]: Open University, 1996.

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3

Kelly, Ann Cline. Swift and the English language. Philadelphia: University of Pennsylvania Press, 1988.

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The prodigal tongue: Dispatches from the future of English. [Toronto]: Random House Canada, 2008.

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5

Inc, ebrary, Hrsg. Historical corpus stylistics: Media, technology and change. London: Continuum, 2008.

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Proper English?: Readings in language, history, and cultural identity. London: Routledge, 1991.

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Kelly, Ann Cline. Swift and the English Language. Univ of Pennsylvania Pr, 2001.

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Amador-Moreno, Carolina P. Orality in Written Texts: Using Historical Corpora to Investigate Irish English 1700-1900. Taylor & Francis Group, 2019.

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Orality in Written Texts: Using Historical Corpora to Investigate Irish English 1700-1900. Taylor & Francis Group, 2020.

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10

Amador-Moreno, Carolina P. Orality in Written Texts: Using Historical Corpora to Investigate Irish English 1700-1900. Taylor & Francis Group, 2019.

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Buchteile zum Thema "Anglais (langue) – Subordination (linguistique) – Histoire"

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Atangana, Marie Renée. „Apport du numérique dans la dynamisation et l’opérationnalisation des langues nationales au Cameroun“. In Multilinguisme, multiculturalisme et représentations identitaires, 313–31. Observatoire européen du plurilinguisme, 2021. http://dx.doi.org/10.3917/oep.goron.2021.01.0313.

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Derrière une langue, se cachent une histoire, une intentionnalité et une culture ; d’où le réel besoin des Africains de s’exprimer en leurs langues identitaires. Aussi, constituent-elles un grand facteur de développement comme c’est le cas du Mandarin en Chine. Cela étant, la présente réflexion présente le dispositif de dynamisation des langues camerounaises. Il s’est agi de montrer la contribution de l’univers numérique dans la promotion des langues camerounaises à travers la localisation web. Ce procédé est d’un atout considérable dans la modernisation des techniques d’apprentissage et d’enseignement des langues camerounaises adaptées à leur portée et à leur complexité. Il embrasse plusieurs mécanismes, notamment la traduction à partir des corpus déjà écrits en langues officielles, comme c’est le cas ici de la traduction en bulu de la plateforme culinaire Camerdish. Ainsi, les résultats de nos enquêtes montrent que le numérique constitue un dispositif permettant de rendre nos langues attractives, performantes, compétitives et opérationnelles. Aussi, favorise-t-il le remodelage des politiques linguistiques en vue d’une gestion efficiente de nos langues dans leur cohabitation avec le français, l’anglais, et bien d’autres codes. Ce qui aboutira progressivement à des choix judicieux de langues vernaculaires visant l’officialisation d’une langue camerounaise capable d’œuvrer au développement économique et idéologico-culturel du Cameroun. Des orientations qui présentent des atouts et des contraintes face à cette diversité linguistique.
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