Dissertationen zum Thema „Académie Royale de Médecine (France)“

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Charton, Fabrice. „« Vetat Mori » : une institution au service du Prince, de la Petite Académie à l’Académie royale des Inscriptions et Belles-Lettres (1663-1742)“. Paris, EHESS, 2011. http://www.theses.fr/2011EHES0030.

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En 1663, Jean-Baptiste Colbert, surintendant des bâtiments du roi, réunit une petite équipe composée de membres de l’Académie française : la Petite Académie est née. Chargée de rédiger l’histoire du Roi-Soleil par les devises, les inscriptions et les médailles, elle va rapidement devenir un acteur incontournable de la politique publicitaire royale. En 1701, elle reçoit un règlement qui l’institutionnalise et devient Académie royale des Inscriptions et Belles-Lettres. Dès le début du XVIIIe siècle, l’institution va diversifier ses activités, passant de tâches panégyriques à des études historiques plus fines. L’Académie, institution royale, devient alors le reflet de la figure du prince lettré. Elle est un maillon essentiel de la République des Lettres. Le fonctionnement de cette Académie sur une période de cent ans est le reflet d’un monde qui change, coincé entre les valeurs du Grand Siècle et les innovations du Siècle des Lumières
In 1663, Jean-Baptiste Colbert, Superintendant of the King’s Buildings, gathered a small team composed of members of the Académie Française: the petite Académie was born. Entrusted with the responsibility of writing the history of the Roi Soleil (Louis xiv) in tokens, inscriptions and medals, it soon became an essential actor of royal propaganda. In 1701, it was institutionalised and became the Académie Royale des Inscriptions et Belles Lettres (Royal Academy of Inscriptions and Letters). In the early 18th century, the institution started to add some finer historical studies to its panegyric task. The Académie, a royal institution, then became a reflection of the figure of the Lettered Prince. It thus became an essential link in the Republic of Letters. The way this academy functioned during a century reflects a changing world, between the values of the Grand Siècle (17th century) and the innovations of the period of Enlightment in the 18th century
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Rivet, Elisabeth. „Etude du premier prix distribué de 1720 à1792, par l'Académie royale des Sciences de Paris, le prix Rouillé de Meslay d'astronomie“. Paris 7, 2000. http://www.theses.fr/2000PA070128.

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Le présent travail consiste à mieux cerner les conditions d'attribution du premier prix de l'Académie royale des sciences de Paris, et les motivations de son fondateur Jean Baptiste Rouillé de Meslay. L'ampleur du sujet est telle qu'il serait vain de prétendre l'enfermer dans un traité de taille forcément réduite. Ce travail s'est limité à donner une description et une analyse de tout un ensemble de phénomènes tournant autour de ce prix, qui a existé entre 1720 et 1792. Il décrit : le procès intenté à l'Académie par les héritiers du testateur, l'élaboration du règlement des prix, la gestion financière des fonds Rouillé de Meslay, l'implication des académiciens dans cette activité du prix, les modes de diffusion des sujets mis au concours, l'évolution du nombre de participants, et leur identité, les thèmes des sujets, et leur analyse, l'impact du prix dans le développement des sciences au XVIIIe siècle. Le développement du prix Rouillé de Meslay au cours du siècle - soit par les thèmes mis au concours, soit par le contenu des pièces primées - va de pair avec l'adoption des idées de Newton en France. Dix annexes placées après la dernière partie, résument l'essentiel de ce qui doit être retenu. Basé sur un ensemble de documents principalement conservés au service des archives de l'Académie des sciences, ce travail a aussi utilisé les fonds du service des Archives départementales d'Eure-et-Loir, des Archives nationales, ainsi que les ouvrages de la bibliothèque de l'Observatoire de Paris et de la Bibliothèque nationale de France
The aim of this study is to try to better define the requirement which had to be met for the awarding of the first prize of the Académie royale des sciences de Paris, and the motivations of its founder, Jean Baptiste Rouillé de Meslay. The subject is so wide that it would be of little use to attempt to reduce it to a small size booklet. This work is therefore limited to a description and analysis of the various phenomena involved in the awarding of this prize during the period 1720-1792. It details: the lawsuit brought against the Académie by the legator's heirs, the elaboration of the rules of procedure concerning this prize, the financial management of the Rouillé de Meslay fund, the involvement of the academicians themselves in the various activities relating to this prize, the way of diffusing the topics subject to consideration, the evolution of the number of candidates and their identity, the topics of the essays and their analysis, the impact of the prize on the development of the sciences in the 18th century. The development of the Rouillé de Meslay prize during that century - either by the subjects under consideration or by the contents of the prize-winning essay - is closely linked to the acceptance in France, of Newton's ideas. Ten annexes to be found at the end of the last part of this study summarize the main above mentioned ideas. Based on a set of documents mainly preserved in the department of archives of the Académie des sciences, this study has also benefited from the collections available at the Archives départementales d'Eure-et-Loir, the Archives nationales, as well as of those of the library of the Observatoire de Paris and of the Bibliothèque nationale de France
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Delaunay, Bernard. „La pensée technique de l'Académie Royale des Sciences (1699-1750)“. Thesis, Paris 1, 2013. http://www.theses.fr/2013PA010637/document.

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Fondée en 1666, «Renouvelée» par un règlement royal en 1699, devenue une institution de la monarchie absolue, l'Académie Royale des Sciences réunit les meilleurs savants du XVIIIe siècle. Etre un acteur majeur dans le champ de la technique n'allait pas de soi pour une Académie des sciences. Cette thèse analyse les raisons et les modalités de cette présence et en mesure la place. De l'examen des inventions aux études techniques, en passant par les expertises et les descriptions des arts, une nouvelle pensée apparaît caractérisée par l'émergence du régime de la technologie de la pensée opératoire. Dans la première moitié du XVIIIe siècle ce régime de pensée s'installe et se caractérise par une nouvelle relation entre sciences et techniques. Délaissant progressivement les techniques des métiers réglés pour se tourner vers les techniques nouvelles pour en rechercher les principes, les causes de leur fonctionnement plutôt que de le décrire, l'Académie applique les méthodes de la science moderne à la technique. Cette pensée technique se diffuse, elle est partagée et enseignée dans des lieux nouveaux. De là, l'enseignement des techniques va quitter le mode de la transmission et de l'apprentissage pour entrer dans un modèle spécifiquement français de la formation scientifique des ingénieurs. Dans cette période des liens particuliers unissent l'Académie aux écoles des armes savantes, ainsi qu'à une école de « mathématiques pratiques ». Les savants qui ont pris le contrôle d'une technique devenant scientifique vont, alors, céder la place à des ingénieurs qui deviennent aussi des scientifiques
As an institution of the absolute French Monarchy first founded in 1666 and later "renewed' by royal decree in 1699, the "Académie Royale des Sciences" brings together the best scientific minds of the Eighteenth Century. Becoming a major player in the technical field did not represent an obvious task for a scientific Academy. The present thesis analyzes how and why such an action came to be while measuring its importance. Starting with an examination of inventions and moving on to technical studies, taking into consideration technical assessments as well as the descriptions of currently employed techniques, we see the emergence of a new type of operational thinking characterized by the rule of technology. Once established during the first half of the 18th century, such a conceptual régime enables a new relationship to develop between science and techniques. Progressively abandoning the current techniques with the aim of studying new techniques and uncovering the principles and causes of their functioning rather than merely describing the latter, the Academy thus began to apply the methods of early modem science to techniques. Gaining currency in ever wider circles, this way of thinking was both taught and shared in new places. Hence technical training moves from transmission and apprenticeship to a specifically French way of training engineers scientifically. During this period special links are established between the Academy and military engineering schools as well as with a school of "practical mathematics” founded in Reims. Those scientists who first endowed technical thinking with a scientific outlook will in tum give way to engineers who become scientists
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Suberchicot, Jean-Luc. „Le service de santé de la Marine Royale (1661-1793)“. Paris 4, 1998. http://www.theses.fr/1998PA040010.

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En se constituant une flotte puissante, la France de Louis XIV découvre la limite majeure des opérations navales des XVIIe et XVIIIe siècles: la maladie. Misant sur la prévention et les ressources civiles, Colbert juge d'abord inutile de fonder un service de santé de la marine. L'expérience de la guerre navale le conduira toutefois à engager quelques praticiens, et surtout à créer les premiers hôpitaux maritimes. Apres 1690, les hommes de l'art employés par la marine augmentent en nombre, mais restent des éléments marginaux. A partir de 1722, la fondation des écoles de chirurgie bouleverse la situation; de cette initiative locale du premier médecin de l'arsenal de Rochefort, Cochon-Dupuy, découle la formation progressive d'une véritable administration sanitaire navale, où la différenciation des grades et des emplois permet des carrières plus motivantes. Construction empirique plus que bureaucratique, le service de santé doit être appréhendé par les trajectoires de ses membres plus que par les textes de loi. A travers une base de données décrivant la carrière des 1560 médecins, chirurgiens et apothicaires ayant servi la marine entre 1670 et la Révolution apparaissent les lignes de force de cette première administration sanitaire d'État. Organisé plus rationnellement par les secrétaires d'État, le service reste morcelé entre les arsenaux de Brest, Rochefort et Toulon, chacun gardant des règles propres et une notable autonomie de gestion. Développant une pédagogie novatrice, les écoles des arsenaux assurent un enseignement médical de qualité. Plus praticiens que théoriciens, compensant par le dévouement leur manque d'efficacité thérapeutique, les officiers de sante médicalisent efficacement les gens de mer et deviennent des éléments essentiels et respectés de la marine de la fin du XVIIIe siècle.
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Lunel, Alexandre. „L'organisation des professions médicales sous l'Ancien régime : entre corporatisme et autorité royale : XVIe siècle-XVIIIe siècle“. Paris 2, 2004. http://www.theses.fr/2004PA020017.

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A compter des années 1560, la pratique médicale en France est progressivement encadrée. Ce développement corporatif est soutenu par la Couronne. Le roi s'appuie également sur sa Maison médicale et son premier médecin pour développer une organisation rationnelle des professions médicales. Cette politique royale se heurte aux corporations et à la Faculté de médecine de Paris. A partir des années 1690, s'affirme de plus en plus l'autorité royale sur les corporations. La Maison médicale au XVIIIe siècle s'accroît, ses chefs deviennent particulièrement influents et puissants. Si le monopole juridique des corporations médicales s'affirme, le roi, appuyé sur sa Maison médicale, attire également de nombreux praticiens sous sa coupe. Par ailleurs, la réglementation des professions médicales s'exerce principalement au bénéfice des chirurgiens. La politique royale aboutit à un corporatisme maîtrisé consacré par la législation consulaire.
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Cachau, Philippe. „Jacques Hardouin-Mansart de Sagonne, dernier des Mansart (1711-1778)“. Paris 1, 2004. http://www.theses.fr/2004PA010548.

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Jacques Hardouin de Sagonne (1711-1778), dernier des Mansart, était le petit-fils de Jules Hardouin-Mansart et l'arrière-arrière-petit- neveu de François Mansart. Malgré cette prestigieuse ascendance, il n'eut pas la même postérité, son oeuvre ayant été victime de l'ostracisme qui affecta l'art rocaille au milieu du XVIIIe. Quoiqu' handicapé par sa naissance adultérine, Mansart de Sagonne était parvenu, à force de labeur et de ténacité, a mener une importante carrière d'architecte du roi. Ses collaborateurs eurent pour nom les célèbres ornemanistes Nicolas et Dominique Pineau, Jules-Antoine Rousseau, les entrepreneurs Louis Letellier et Jean Rondel. . . Il oeuvra pour Louis XV (église Saint-Louis de Versailles; monastère royal de Prouille ; projets des places royales de Paris et Marseille) et des personnalités de la cour (comtes de Clermont et de Saint-Florentin ; marquis de Voyer. . . ) ; des financiers {Richard ; Clautrier. . . ) ; des parlementaires (Le Conte des Graviers. . . ) ; des princes étrangers {duc des Deux-Ponts ; landgrave de Hesse- Cassel). . . Parallèlement à l'architecture, Mansart de Sagonne se lança dans l'ingénierie { canaux), les sciences et les techniques, qui ne lui valurent pas le même succès. Sa réussite et sa fortune - il possédait la prestigieuse terre de Lévy en Bourbonnais - suscitèrent la jalousie de son entourage, si bien qu'il mourut misérablement. Dernier grand maître de la rocaille, son oeuvre atteste qu'il avait su faire sienne les formules de ses ancêtres. Par son talent et son exigence, il sut se montrer leur digne successeur.
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Vigroux, Perrine. „Les femmes à l'Académie royale de peinture et de sculpture (1663-1793) : sociabilité, pratique artistique et réception“. Thesis, Montpellier 3, 2016. http://www.theses.fr/2016MON30030.

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Quinze femmes artistes seront admises à l’Académie royale de peinture et de sculpture entre 1663 et 1793. Depuis laRenaissance, en Europe et en France, un petit nombre de femmes bénéficie d’une certaine renommée aussi biennationale qu’internationale, dans les arts, la littérature et les sciences, ouvrant ainsi la voie à de nouveaux talents. Cesfemmes sont notamment encouragées par les thèses philosophiques de François Poulain de la Barre (1647-1723) quivont leur permettre d’occuper une place de plus en plus privilégiée au sein d’une société qui se cristallise autour dessalons. Ce sont de petites réunions où savantes et artistes invitent chez elles hommes et femmes pour discuter delittérature, de philosophie, d’art mais aussi de politique. Ces lieux très courus connaissent un grand succès à la fin duXVIIe siècle et tout au long du XVIIIe siècle. La réception des premières femmes à l’Académie se fait dans ce climattout à fait favorable aux femmes tant sur le plan social et culturel, que politique.Mais cette admission n’en reste pas moins précaire. Effectivement après l’entrée de Catherine Perrot, le 31 janvier 1682,il faudra attendre près de quarante ans, soit le 26 octobre 1720, pour que soit à nouveau admise une peintre : RosalbaCarriera. Certes, elles ouvrent les portes de cette institution, mais elles ne restent pas moins exclues de nombreusesactivités et de plusieurs privilèges. Elles n’ont pas le droit d’assister aux cours d’après le modèle vivant – lequel pose nu– leçons pourtant fondamentales dans l’enseignement promu par l’Académie, ni de concourir aux grands prix, pourtantau coeur du système d’émulation, en fait les académiciennes n’auront jamais accès aux postes à responsabilité. Pourtantelles ont contribué à réinventer le paysage artistique français et plus particulièrement le genre du portrait. Prônant lenaturel, elles contribuèrent à renouveler le vestiaire féminin avec des tenues plus légères et vaporeuses. Mal perçues parla critique, ces nouvelles chemises appelées gaules, participèrent à la simplification des portraits officiels. En mêmetemps, la féminisation des portraitistes de cour offre de plus grandes possibilités aux femmes peintres. Poussant leslimites toujours plus loin, elles réussirent par le biais des portraits historiés à investir la peinture d’histoire, genre réservéaux peintres les plus aboutis et qui maîtrisent bien l’anatomie.Leurs contemporains à travers leurs écrits ou leurs oeuvres artistiques proposèrent une image idéalisée, truquée parfoistrompée de ces académiciennes. Femmes de talent, femmes ambitieuses, les académiciennes réussirent malgré tout àimposer une nouvelle vision de la femme peintre
Fifteen women artists will be admitted to the Royal Academy of Painting and Sculpture between 1663 and 1793. Sincethe Renaissance, Europe and France, a small number of women enjoys a certain reputation both nationally andinternationally, in arts, literature and science, thus opening the way for new talent. These women are particularlyencouraged by the philosophical theses of Francois Poulain de la Barre (1647-1723) which will enable them to occupy amore privileged in a society that crystallizes around lounges. They are small and scholarly meetings where artists invitehome men and women to discuss literature, philosophy, art but also politics. These very popular places with greatsuccess in the late seventeenth century and throughout the eighteenth century. The reception of the first women to theAcademy is in this climate quite favorable to women both socially and culturally, and politically.But this admission only remains precarious. Indeed after the entry of Catherine Perrot, January 31, 1682, it will takealmost forty years, October 26, 1720, that is again admitted a painter Rosalba Carriera. Certainly, they open the doors ofthis institution, but they are nonetheless excluded from many activities and many privileges. They do not have the rightto attend classes of the living model - which poses naked - yet fundamental lessons in teaching promoted by theAcademy, nor to compete with great prices, yet in the heart of the system emulation in fact the academicians will neverhave access to positions of responsibility. Yet they have helped to reinvent the French artistic landscape and especiallythe portrait genre. Advocating natural, they helped to renew the female locker room with more light and gauzy outfits.Badly perceived by critics, these new shirts called saplings, took part in the simplification of official portraits. At thesame time, the feminization of court portraitists offer greater opportunities to women painters. Pushing the limits stillfurther, they succeeded through portraits to invest storied history painting, genre reserved for the most accomplishedpainters and good command of anatomy.Their contemporaries through their writings or artistic works proposed an idealized image, faked sometimes deceivedthese academicians. talented women, ambitious women, academicians still managed to impose a new vision of thewoman painter
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Guillin, Marjorie. „"L'anéantissement des arts en province ?" : l'Académie royale de peinture, sculpture et architecture de Toulouse au XVIIIe siècle (1751-1793)“. Thesis, Toulouse 2, 2013. http://www.theses.fr/2013TOU20080.

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En 1751 fut fondée l’Académie royale de peinture, sculpture et architecture de Toulouse par lettres patentes royales. Dissoute par décret de la Convention le 8 août 1793, cette institution méconnue fut la seule académie d’art en province à bénéficier de cette distinction. Au siècle suivant, l’historien d’art Philippe de Chennevières-Pointel, militant pour la revalorisation des provinces, la présenta comme un modèle, par son dynamisme, en tant que garante et protectrice des arts régionaux face à l’action centralisatrice et stérilisante de l’Académie royale de peinture et de sculpture de Paris. S’appuyant sur un important corpus documentaire et graphique, pour l’essentiel inédit, cette étude propose un renouvellement complet des connaissances sur l’Académie toulousaine : ses origines, les détails de sa mise en place, le quotidien de ses enseignements, ses écueils et ses réussites
The Royal Academy of Painting, Sculpture and Architecture of Toulouse was founded in 1751 by royal letters patent. Until its termination by a Convention decree on 8th August 1793, it has been the only art academy outside Paris of that stature ever. In the 19th century, the French art historian Philippe de Chennevières-Pointel, an active advocate of provinces, presented it as a showcase of thriving guardian of regional arts that balanced the centralizing and inhibiting Paris' Royal Academy of Painting and Sculpture. Leveraging a rich corpus of documents and illustrations, most of them undescribed to this day, this study sheds a brand new light on the Toulouse Academy: its origins, the details of its rise, its daily teachings, its shortcomings and its achievements
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Chastagnol, Karen. „La seconde génération des peintres de Louis XIV (1665-1715) : peindre l'Histoire : formation, culture visuelle et production“. Thesis, Lille 3, 2014. http://www.theses.fr/2014LIL30035.

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A travers quelles modalités la peinture d’histoire se transforme-t-elle sous le règne de Louis XIV ? La peinture d’histoire connaît une évolution durant la période qui couvre la seconde partie du règne de Louis XIV. Ce changement résulte à la fois de modifications liées à l’évolution des commandes royales et à celle du cadre académique lui-même, ainsi qu’aux mutations du contexte de création en dehors de l’Académie royale qui renouvelle la manière d’appréhender et de concevoir la peinture d’histoire. A partir de l’étude et de l’analyse de la production des peintres reçus comme peintres d’histoire à l’Académie royale de peinture et de sculpture entre 1673 et 1694, cette thèse reconsidère les critères d’évolution du genre historique en peinture au tournant du XVIIe siècle. Sont d’abord étudiées la formation des artistes et la définition de la peinture d’Histoire au temps de cette formation (I). Puis vient l’analyse de la production de ces peintres pour l’Académie royale et pour le roi après leur agrément au sein de l’institution royale (II). Parallèlement, et pour mieux définir les caractéristiques de la peinture d’histoire de cette période, l’étude de la production pour les particuliers et les institutions religieuses, soit en dehors de l’Académie royale, viendra remettre en cause la vision historiographique selon laquelle cette peinture émane d’une crise et éclairer ses nouvelles voies de transformation, en particulier à travers l’hybridation des genres (III)
Through which terms History painting is changing under the reign of Louis XIV? History painting evolves during the period which covers the second part of the reign of Louis XIV. This change is due to modifications dependent on the evolution of the Royal commissions and of the Academic framework itself, as well as the transformation of the context of creation apart from the Royal Academy which renews the way of apprehending and conceiving the History painting. From the study and analysis of the works of History painters members of the Royal Academy of Painting and Sculpture between 1673 and 1694, this thesis reconsiders the criteria of evolution of historical style in painting at the turn of the XVIIe Century. To begin with, the artists’ training and the definition of History painting at that time shall be discussed (I). Then we shall analyze the production of these painters for the Royal Academy and for the King after their approval within the Royal institution (II). Furthermore, in order to define better the History painting characteristics at this time, the study of the works for private individuals and religious institutions (i.e. apart from the Royal Academy) will question the historiographic vision which claims that History painting comes from a crisis; it will also clarify its new ways of transformation, in particular through the hybridization of styles (III)
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Manceau, Nathalie. „La mise en mots de l'oeuvre d'art : les écrits de Baillet de Saint-Julien et la genèse de la critique d'art en France au XVIIIe siècle“. Paris 10, 2009. http://www.theses.fr/2009PA100130.

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Il s’agit d’étudier les premiers textes de critiques d’art publiés dans la presse et en brochures à l’occasion des expositions de l’Académie Royale de Peinture et de Sculpture au Salon du Louvre. L’accent est mis sur Guillaume Baillet de Saint-Julien (1726-1795), auteur de plusieurs « salons » et du premier poème français sur la peinture. Des recherches en archives ont permis de reconstituer sa biographie de critique et de collectionneur, amateur de dessin, de gravure et de peinture française. Ses « salons » sont étudiés en parallèle de ceux des critiques qui lui sont contemporains (La Font de Saint-Yenne, Gougenot, Laugier, Estève, Fréron, etc. ) et des articles parus dans le Mercure de France et le Journal de Trévoux pour dresser un examen à la fois global et précis de la critique d’art à ses débuts, vers 1750. L’intérêt se porte sur la mise en mots de l’œuvre d’art et sur la façon dont s’exprime le jugement. La critique n’est pas un reflet transparent de l’œuvre et contient des enjeux divers et contradictoires. Les auteurs tiennent un discours d’ordre artistique, suivent les attentes littéraires de leur temps (en rejetant toute érudition) en recherchant une ascension sociale. Le baron de Saint-Julien effectue un parcours personnel à une époque où les profanes s’intéressent aux beaux-arts, nouveauté mal acceptée par l’Académie. La fascination exercée par l’œuvre se fait aux dépens de l’artiste, dont le rôle est minoré, tandis que les critiques déploient des stratégies argumentatives pour légitimer leur intervention. Ce nouveau discours est rédigé par des non spécialistes et s’adresse à des néophytes désireux de s’approprier les œuvres par l’appréciation orale et écrite
The purpose of this paper is to study the first documented art review published in the press and in brochures on the exhibitions by the Académie Royale de Peinture et de Sculpture at the Salon du Louvre. Greater emphasis is given to the work of Guillaume Baillet de Saint-Julien (1726-1795) who wrote texts on several “salons” as well as the first French poem on painting. Through research into archives, it was possible to piece together his biography and career as both a critic and collector who particularly appreciated drawings, engravings and French paintings. His “salons” are set against those of his contemporaries (La Font de Saint-Yenne, Gougenot, Laugier, Estève, Fréron, etc. ) as well as articles printed in the Mercure de France and the Journal de Trévoux to give both an overall and specific account of the origins of art reviews around 1750. This text focuses on the way in which works of art are translated into words and how judgment is expressed. Reviews are not transparent reflections of the work and consist of many diverse and contradictory dimensions. The authors use artistic discourse, follow the literary expectations of the time (while rejecting any form of erudition) to improve their position in society. The Baron de Saint-Julien was following his personal ambitions at a time when laymen were taking an interest in fine arts, much to the dismay of the Académie. Fascination with works of art does not include the artist whose role is minimised while critics use various strategic arguments to legitimise their positions. These new texts are written by non-specialists for laymen who crave greater ownership of these works of art through oral and written assessment
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Laurenti, Jean-Noël. „Valeurs morales et religieuses sur la scène de l'Académie royale de musique (1669-1737) : étude du Recueil général des opéras“. Paris 4, 2000. http://www.theses.fr/2000PA040104.

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L'opéra français de Quinault, Lully et leurs successeurs n'est pas un simple divertissement : comme pour toute forme d'art, les œuvres rassemblées dans le Recueil général des opéras expriment une certaine vision de l'homme dans ses rapports au monde et au divin. Ainsi, sur le plan moral, doivent-ils beaucoup à la tradition épicurienne : c'est d'elle que procède l'appel incessant au plaisir et à la vie tranquille proche de la nature, sous la forme de la bergerie. Toutefois, cet épicurisme est modulé. D'une part il accorde une place importante à l'amour. D'autre part, il évolue : durant les années 1690 à 1710 s'exprime la tentation croissante d'un hédonisme facile, privilégiant l'inconstance et l'étourdissement dans les plaisirs faciles, tandis que les décennies suivantes verront une réaction moralisante, réconciliant bonheur et vertu. Un cheminement analogue se dessine concernant la vision de la divinité. La critique, déjà présente du temps de Lully, s'exacerbe par la suite : tantôt tyrans cruels, tantôt incapables de secourir les innocents, les dieux laissent en outre des prêtres criminels parler en leur nom ; le thème de sacrifice humain vient encore ajouter l'horreur. Corrélativement, la révolte libertine emprunte simultanément à la casuistique laxiste et au pessimisme augustinien pour innocenter les coupables et les transformer en victimes. Toutefois, après 1713, les dieux redeviennent les défenseurs de l'innocence ; les thèmes déistes, le merveilleux persan, l'influence maçonnique concourent à réhabiliter l'idée d'un ordre divin au service du bien, et l'homme, recouvrant son libre arbitre, est somme de retrouver la voie de l'héroïsme. Paradoxalement, il ressort de toute cette évolution qu'à l'opéra c'est sous le règne de Louis XIV que se développent les contestations les plus radicales, et que le siècle des Lumières est aussi celui de la remise en ordre sur le plan moral et théologique.
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Joly, Morwena. „La polémique anatomique dans les arts visuels français du XVIIIe siècle ou l'imaginaire de l'intérieur du vivant“. Paris 1, 2005. http://www.theses.fr/2005PA010653.

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Dans un siècle où prolifèrent les images anatomiques scientifiques, la France manifeste un intérêt pour l'anatomie artistique unique en Europe. Cependant l'enseignement de l'anatomie artistique au sein de l'Académie royale de peinture et de sculpture est resté marginal. Les images anatomiques produites, oscillant entre didactisme et art, génèrent un malaise lié à l'ambiguïté de leur destination. L'étude anatomique s'intègre mal au discours artistique comme le montre les polémiques développées au long du siècle. Au-delà des enjeux pédagogiques, la connaissance anatomique va être utilisée au sein de débats très divers: celui sur le dessin et la couleur, sur l'héritage de Michel-Ange, sur le modèle antique ou sur le jugement de l'amateur. Malgré les efforts théoriques des partisans du beau idéal comme ceux du beau réel, les images anatomiques demeurent autonomes et s'appuient sur la conscience, propre au XVIIIe siècle, qu'un imaginaire anatomique spécifique aux artistes s'est constitué.
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Faure-Carricaburu, Emmanuel. „La hiérarchie des genres dans l’Académie Royale de Peinture et de Sculpture : institution, discours, œuvres“. Electronic Thesis or Diss., Paris 8, 2017. http://www.theses.fr/2017PA080045.

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La hiérarchie des genres a longtemps été présentée par les historiens de l’art comme le symbole d’une « doctrine officielle » qui aurait dominé de manière univoque l’Académie Royale de Peinture et de Sculpture. Faute d’avoir fait l’objet d’un travail de définition articulé à l’étude d’archives telles que les statuts, les Procès-verbaux et les comptes rendus des conférences, elle a fini par devenir un lieu commun, si bien que la complexité de ses termes s’est parfois trouvé réduite à l’énoncé de la préface aux Conférences rédigée par Félibien. Elle est ainsi devenue le symbole d’un conflit théorique entre les détracteurs d’une Académie supposée étouffer la créativité des artistes et les tenants d’une réhabilitation face aux exagérations de l’historiographie traditionnelle. La perspective de cette recherche s’inscrit dans les interstices de ces approches différentes : interroger le sens et la fonction institutionnels de la hiérarchie des genres, ainsi que les résistances internes à ce dispositif, permet en effet d’appréhender l’Académie comme le lieu d’une conflictualité née du rapport qu’y entretiennent les notions d’art et de pouvoirs. J’étudie précisément l’incorporation de cette règle dans un programme (au sens où l’entend Foucault) – lequel s’est matérialisé dans la rédaction des statuts de décembre 1663 qui instituent une supériorité de la peinture d’histoire sur les autres genres, ainsi que dans la production d’un discours officiel. Les œuvres picturales de Desportes, Santerre, Chardin viennent par exemple déstabiliser les identités génériques solidifiées dans un règlement et ouvrent une piste de réflexion féconde quant à l’usage de la notion dynamique de généricité
The hierarchy of genres has long been presented by art historians with an interest in the French Royal Academy of Painting and Sculpture, as the symbol of an « official doctrin » supposedly dominating the institution. Because it was never meticulously defined in conjonction with the study of archives such as statutes and conference reports, it slowly became common knowledge, to the point where the complexity of its terminology was sometimes reduced to nothing more than the foreword to Conférences by Félibien. So it became the subject of a theoretical conflict between on the one hand detractors of the Academy, which they accused of suffocating the creativity of artists, and on the other, people who believed in its rehabilitation against the exaggerations of traditional historiography since the 19th century. The perspective of this research takes root in the cracks of these approaches : because questioning the institutional meaning and function of the hierarchy of genres, as well as the internal resistance to it, allows us to assess the Academy as the host of a conflict born from the connection between the notions of art and power one can find within. My focus is precisely the incorporation of this rule within a program (in Foucault’s sense of the term) – which materialised through the writing of the statutes of 1663, which afford superior status to history painting over other genres, as well as through the production of an official discourse. The work of Desportes, Santerre, Chardin for instance are all responsible for destablising hardened genre identities through regulations, and they suggest a prolific line of thought relating to the use of the dynamic notion of genres
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Huchet, de Quénétain Christophe. „Nicolas Besnier (1686-1754) : architecte, orfèvre du roi, directeur de la Manufacture royale de tapisseries de Beauvais, et échevin de la Ville de Paris“. Thesis, Paris 4, 2017. http://www.theses.fr/2017PA040025.

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Nicolas Besnier (1686-1754) est le fils de François Besnier, chef du gobelet du roi, et d’Henriette Delaunay. Son oncle est Nicolas Delaunay et son parrain est Corneille Van Clève. Comme architecte, Nicolas Besnier fait le voyage en Italie de 1709 à 1712 ; étudiant à l’Académie de France à Rome, il obtient le premier prix d'architecture de l’Académie de Saint-Luc en 1711. Maître orfèvre en 1714, associé à Delaunay, logé aux galeries du Louvre à partir de 1718, il est nommé orfèvre du roi par un brevet en 1723. Il travaille pour la cour de France, notamment pour le remplacement de la vaisselle ordinaire du roi et pour les Affaires étrangères, ainsi que pour les comtes de Tarroca, de Pontchartrain, les duchesses de Retz, d'Harcourt, le maréchal de Castries, les ducs de Bouillon, de Levy, Horatio Walpole, Gaspard-César-Charles de Lescalopier, William Bateman, l'église Saint-Louis-en-l'ile, la cour de Wurtemberg, etc… Il devient échevin de la ville de Paris en 1729. A cette époque, il décide de collaborer avec son gendre Jacques Roëttiers de La Tour, à qui il laissera la conduite de son atelier d’orfèvre. De 1734 à 1753, il est directeur de la Manufacture royale de tapisserie de Beauvais. Il supervise la création de nouvelles tentures par Jean-Baptiste Oudry - Métamorphoses d'Ovide, Verdures fines -, par Charles Joseph Natoire - Histoire de don Quichotte - et par François Boucher - les Fêtes italiennes, Histoire de Psyché,Seconde tenture chinoise, les Amours des dieux, la Noble pastorale, les Fragments d'opéra ; cette période est vraiment « l'âge d'or » de la manufacture. Il quitte son logement aux galeries du Louvre en 1739 et il remet son poinçon d'orfèvre en 1744
Nicolas Besnier (1686-1754) is the son of François Besnier, head of the Gobelet du Roi and Henriette Delaunay. His uncle is Nicolas Delaunay and his godfather is Corneille Van Clève. As an architect, Nicolas Besnier traveled to Italy from 1709 to 1712. As student at the Academy of France in Rome, he obtained the first prize of architecture of the Académie de Saint-Luc in 1711. He became master goldsmith in 1714, partner with Delaunay, and was housed in the Galeries du Louvre from 1718. He was appointed goldsmith of the king by a patent in 1723. He worked for the court of France, notably for the replacement of the king's ordinary serveware and for the Foreign Affairs, as well as for the Counts of Tarroca, of Pontchartrain, the Duchess of Retz, of Harcourt, the Marshal de Castries, the Dukes of Bouillon, of Levy, Horatio Walpole, Gaspard-Caesar-Charles de Lescalopier,William Bateman... He became the alderman of the city of Paris in 1729. At that time, he decided to collaborate with his son in law Jacques Roëttiers de La Tour, who led the his workshop of goldsmith. From 1734, and until 1753, he was director of the Royal Manufacture of Tapestry of Beauvais. He supervised the creation of newhangings by Jean-Baptiste Oudry - Metamorphosis of Ovide, Fine verdures, by Charles Joseph Natoire - History of Don Quixote and by François Boucher - Italian festivals, Story of Psiché, the second Chinese hangings, the Loves of the gods, the Noble pastoral, Fragments of opera. This period is truly the « golden age » ofmanufacturing. He left his lodging at the galleries of the Louvre in 1739 and in 1744 gave back his hallmark of goldsmith
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Nestola, Barbara. „L'air italien sur la scène des théâtres parisiens (1687-1715)“. Thesis, Tours, 2015. http://www.theses.fr/2015TOUR2026.

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La thèse traite la réception de l’air italien à Paris 1687 et 1715. Elle est structurée en deux parties : la première est consacrée à l’analyse des recueils d’airs italiens, manuscrits et imprimés, produits et circulant à Paris entre les deux siècles la seconde, à la pratique des airs dans le contexte du théâtre parisien (Comédie Italienne, Comédie Française et Opéra) entre la mort de LuIIy (1687) et celle de Louis XIV (1715). En complément du travail de réflexion, on présente le catalogue du corpus étudié. Le corpus choisi place l’air italien du dernier quart du siècle au cœur du phénomène de la réception et de son impact sur le monde théâtral parisien. Le travail d'identification des sources, pour la plupart anonymes, montre qu’il s’agit d’extraits d’opéras. Quant au périmètre géographique des sources, l’axe Versailles-Paris a paru comme le plus logique pour suivre la circulation d’un répertoire apanage dans un premier temps des élites et ensuite, en conséquence de la décentralisation artistique qui investit la cour à la fin du règne de Louis XIV, touchant davantage la ville. L’analyse des œuvres représentées aux deux Comédies ci à l’Opéra à la fin de règne en illustre les modalités d’appropriation par les interprètes, les poètes et les compositeurs, renfermant ainsi le cercle idéal du parcours de l’air d’opéra italien de sa scène d’origine à celle d’accueil. La continuité dans la pratique des airs italiens sur la scène parisienne en ces décennies témoigne de l’intérêt grandissant du public pour ce répertoire, anticipant les Goûts réunis et l’inclinaison pour la musique italienne de la Régence
The study concerns the reception of Italian airs in Paris between 1687 and 1715. It consists of two parts: the first one is devoted to the analysis of French volumes containing Italian airs, manuscript and printed, circulating in Paris among the two centuries; the second one concerns the performance of the repertoire of Italian airs in Parisian theatres (Comédie Italienne, Comédie Française and Opera) between the death of Lully (1687) and the death of Louis XIV (1715). As a complementary part of this work, a catalogue of the sources has also been constituted. The documentary corpus consists of Italian airs of the last quarter of the l7th century as the core of the reception of the Italian repertoire and of its impact on the Parisian theatrical world. The identification of the sources, mainly anonymous at the beginning, shows that the airs are Italian opera excerpts. As far as the geographical area concerned. the axis Versailles-Paris appeared as the most appropriate for following the circulation of this repertoire: firstly known by the élite (aristocracy. collectors), it subsequently reached Paris as the consequence of the artistic decentralization from the court to the city at the end of the reign of Louis XIV. The analysis of the Italian airs sung at the Comédie Italienne, the Comédie Française and the Opera show how performers, poets and composers seized this repertoire, closing the ideal cercle of the path of the Italian opera excerpt from its originary stage to the French stage. The continuity of this practice in Parisian theatres during several decades shows the growing interest of the public for this repertoire, anticipating the Goûts réunis and the inclination towards Italian music of the Regency
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Faure-Carricaburu, Emmanuel. „La hiérarchie des genres dans l’Académie Royale de Peinture et de Sculpture : institution, discours, œuvres“. Thesis, Paris 8, 2017. http://www.theses.fr/2017PA080045.

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La hiérarchie des genres a longtemps été présentée par les historiens de l’art comme le symbole d’une « doctrine officielle » qui aurait dominé de manière univoque l’Académie Royale de Peinture et de Sculpture. Faute d’avoir fait l’objet d’un travail de définition articulé à l’étude d’archives telles que les statuts, les Procès-verbaux et les comptes rendus des conférences, elle a fini par devenir un lieu commun, si bien que la complexité de ses termes s’est parfois trouvé réduite à l’énoncé de la préface aux Conférences rédigée par Félibien. Elle est ainsi devenue le symbole d’un conflit théorique entre les détracteurs d’une Académie supposée étouffer la créativité des artistes et les tenants d’une réhabilitation face aux exagérations de l’historiographie traditionnelle. La perspective de cette recherche s’inscrit dans les interstices de ces approches différentes : interroger le sens et la fonction institutionnels de la hiérarchie des genres, ainsi que les résistances internes à ce dispositif, permet en effet d’appréhender l’Académie comme le lieu d’une conflictualité née du rapport qu’y entretiennent les notions d’art et de pouvoirs. J’étudie précisément l’incorporation de cette règle dans un programme (au sens où l’entend Foucault) – lequel s’est matérialisé dans la rédaction des statuts de décembre 1663 qui instituent une supériorité de la peinture d’histoire sur les autres genres, ainsi que dans la production d’un discours officiel. Les œuvres picturales de Desportes, Santerre, Chardin viennent par exemple déstabiliser les identités génériques solidifiées dans un règlement et ouvrent une piste de réflexion féconde quant à l’usage de la notion dynamique de généricité
The hierarchy of genres has long been presented by art historians with an interest in the French Royal Academy of Painting and Sculpture, as the symbol of an « official doctrin » supposedly dominating the institution. Because it was never meticulously defined in conjonction with the study of archives such as statutes and conference reports, it slowly became common knowledge, to the point where the complexity of its terminology was sometimes reduced to nothing more than the foreword to Conférences by Félibien. So it became the subject of a theoretical conflict between on the one hand detractors of the Academy, which they accused of suffocating the creativity of artists, and on the other, people who believed in its rehabilitation against the exaggerations of traditional historiography since the 19th century. The perspective of this research takes root in the cracks of these approaches : because questioning the institutional meaning and function of the hierarchy of genres, as well as the internal resistance to it, allows us to assess the Academy as the host of a conflict born from the connection between the notions of art and power one can find within. My focus is precisely the incorporation of this rule within a program (in Foucault’s sense of the term) – which materialised through the writing of the statutes of 1663, which afford superior status to history painting over other genres, as well as through the production of an official discourse. The work of Desportes, Santerre, Chardin for instance are all responsible for destablising hardened genre identities through regulations, and they suggest a prolific line of thought relating to the use of the dynamic notion of genres
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Bedard, Sylvain. „Les académies dans l'art français au XVIIe siècle (1630-1720)“. Paris 4, 1999. http://www.theses.fr/1999PA040064.

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Cette étude porte sur la place dévolue à l'exercice du modèle naturel en France à partir du premier tiers du XVIIe siècle, quand s'organisent dans le pays les premières séances de dessin d'après le nu (ou académie}, jusque vers 1720. L' « école du modèle », que les français ont empruntée à l’Italie du XVIe siècle, notamment à l'académie des Carrache à Bologne, puis à celle de saint-Luc à Rome, et dont l'Académie royale de Paris, fondée en 1648, fera son enseignement principal, va assurer, à l'art français, une prééminence en Europe, dès la fin du XVIIe siècle. Un phénomène qui tient pour beaucoup à l'excellente formation que recevaient les étudiants inscrits à son cours public, initiés très tôt aux difficultés du dessin d'après le naturel. Apres avoir rappelé les expériences françaises dans le domaine avant 1648, nous examinons le développement de la classe du modèle à l'Académie royale, sa pédagogie et sa doctrine (dont ses célèbres conférences, tenues à partir de 1667), ainsi que les œuvres produites par ses professeurs et élèves. Nous abordons ensuite le développement de cet enseignement au dehors de l'Académie royale: dans les ateliers privés des artistes, de même qu'à l'école de dessin des Gobelins, ouverte par Le Brun au milieu des années 1660. Puis à l'extérieur de la capitale, comme à l'Académie de France à Rome, ou les pensionnaires du roi continuaient à dessiner le modèle sur une base régulière, ou dans les écoles académiques de province, ouvertes à partir de 1676, ou sera reprise cette formule « parisienne » de l'école du modèle vivant.
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Guichard, Charlotte. „Les amateurs d'art à Paris dans la seconde moitié du XVIIIe siècle“. Paris 1, 2005. http://www.theses.fr/2005PA010617.

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Cette thèse étudie l'émergence de la figure de l'amateur, qui s'impose dans la seconde moitié du XVIIIe siècle comme un maillon essentiel dans le passage du système monarchique des arts au marché de l'art du XIXe siècle. L'amateur n'est pas seulement un collectionneur, c'est une figure plurielle, constituée par un faisceau de pratiques et de représentations. Constituée dans un jeu entre le statut académique d'amateur honoraire, la circulation des œuvres, la diffusion de la commande privée et les pratiques mondaines de l'image, l'amateur devient une figure-clé de l'espace artistique parisien. Promue par le mouvement de réforme académique des années 1740, qui dispense un modèle régulateur du public, la figure de l'amateur cristallise les polémiques sur les fondements du jugement de goût et sur la définition des pratiques patriotiques dans le domaine artistique, qui accompagnent la naissance de l'espace public de l'art à Paris. Parallèlement, le développement des collections est au cœur de la figure de l'amateur: les collections servent de support à des pratiques d'expertise, de sociabilité et de publication du nom. Ces réputations individuelles naissent dans des cercles restreints et locaux, et dans l'espace du marché de l'art. Au siècle des Lumières, les amateurs incarnent alors la mise en ordre, artistique ou savante, du monde des objets tandis que l'esthétique de la collection témoigne des appropriations privées des œuvres. Enfin, la diffusion des arts au sein des élites sociales et l'apparition de sociabilités artistiques et mondaines favorisent l'essor des pratiques artistiques non professionnelles. L'amateur est aussi un artiste amateur.
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Blaney, Gerald W. „Nicolas Poussin, Charles Le Brun and the Royal Academy of Painting and Sculpture, Paris 1648, a kinship of aesthetics“. Thesis, National Library of Canada = Bibliothèque nationale du Canada, 1999. http://www.collectionscanada.ca/obj/s4/f2/dsk2/ftp03/MQ50497.pdf.

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Loustalot, Bernard. „Desgenettes : 1762-1837 : un homme de réseau dans la transformation de l'art de guérir“. Paris, EHESS, 2016. http://www.theses.fr/2016EHES0041.

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Médecin, Desgenettes a traversé une époque très mouvementée tant sur le plan politique que militaire et a constitué un important réseau de connaissances : Franklin, madame Rolland, Chaptal,. . . Et Napoléon Bonaparte. Assidu des salons de différentes époques, il a été témoin des transformations de la société et lui aussi « personnage historique », il a été acteur dans la médecine militaire. Mais Desgenettes a eu une importante activité « civile », d'abord de type scientifique, dans l'enseignement (défense de l'anatomie), diffusion des connaissances en participant à l'édition de plusieurs revues, puis comme professeur d'hygiène à l'école puis faculté de médecine de Paris. C'est comme maire du Xe arrondissement de Paris et professeur d'hygiène membre de nombreux comités, qu'il affrontera en 1832 la première épidémie de peste moderne : le choléra-morbus. Issu de la bourgeoisie de province qui prétendait à la noblesse, Desgenettes est un excellent reflet de ces ambitieux qui ont adopté les idées des Lumières (cosmopolitisme intellectuel, franc-maçonnerie opérative), se sont faufilés entre les accidents de la Révolution pour constituer la méritocratie napoléonienne. Très cultivé mais sceptique dans tous les domaines, religieux, médical (ami de Broussais tout en combattant ses doctrines) ou politique (fidèle mais non inconditionnel de l'Empereur), sa forte personnalité et son indépendance d'esprit l'ont marginalisé
René Nicolas Dufriche des Genettes, known as Desgenettes, is a doctor who lived between two centuries. He had been through a tumultuous period, both on the political levels and on the military issues. Thus, he had the opportunity to meet several historic characters: Benjamin Franklin, Madam Rolland. . . And above ail Napoléon Bonaparte. Familiar with the salons of the period, he had been a witness of the transformation of the French society more than the political events, and as chief doctor of Bonaparte army's then Napoléon, he followed several campaign of the great gênerai of the time. His career survived to the Empire, tormented by the political vicissitudes. Historical character himself, he first of ail played a rôle in the military medicine in Egypt and in the Great Army after 1807. Two "prowess" are generally at his crédit: his inoculation of the plague, and his opposition to Bonaparte about the poisoning of the sick people of Jaffa. On a routine basis, he had managed health service that had to be adapted on the daily movement and the situation of an army more and more numerous and uncoordinated, often in foreign territories and with frequent and deadly epidemics. Nevertheless, Desgenettes had also had a significant civil activity, first a scientific activity with some publications about the absorbing system (lymphatic), about education (anatomy defence), spreading of knowledge by taking part of the edition of several revues, second, as a Professor of Hygiene at the school subsequently university of medicine of Paris. Besides, it is as mayor of the 10th district of Paris and Professor of Hygiene that he will faced in 1832 the first modern plague epidemic: the cholera-morbus. Born in a family part of the bourgeoisie that pretended to be aristocratic, Desgenettes is a remarkable image of this ambitious people that embraced the Enlightenment ideas (intellectual cosmopolitanism, operative freemasonry), and managed to get through the revolutionary turmoil to compose the Napoleonic meritocracy. Very cultivated but sceptical about religious, medical (friend of Broussais but fighting his doctrines) or politic (loyal but not docile to the Emperor), his strong character and his independent spirit (opposition to Bonaparte and resignation of the Academy of Medicine) ostracised him
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Guilois, Bruno. „La communauté des peintres et sculpteurs parisiens : de la corporation à l’Académie de Saint-Luc“. Thesis, Sorbonne université, 2019. http://www.theses.fr/2019SORUL098.

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La communauté des maîtres peintres et sculpteurs parisiens a connu une importante évolution entre les XVIIe et XVIIIe siècles. La création de l’Académie royale en 1648 correspond à un temps de bouleversement : l’ancien et le nouveau corps se joignent alors, et tentent de cohabiter dans une même structure. La fin du XVIIe siècle correspond à l’essor de la population de la maîtrise, à la publication des listes de ses membres, ainsi que des statuts, dans une remise en ordre globale de la communauté. C’est donc une corporation forte d’une nombreuse population et bien organisée qui obtient en 1705 une déclaration de Louis XIV lui permettant d’ouvrir une école de dessin fondée sur le modèle vivant. La toute nouvelle Académie de Saint-Luc peut s’installer durablement dans le paysage artistique de la première moitié du XVIIIe siècle. Installée dans des nouveaux locaux dont elle se porte acquéreuse, rue du Haut-Moulin en la Cité, elle transforme considérablement ses statuts, en accordant une place importante en son sein à un corps d’artistes, chargés d’assurer l’enseignement de l’école. Les années 1750 à 1775 sont des années où les évènements se précipitent, pour l’Académie de Saint-Luc. Des expositions, suivies du public, permettent de faire connaître nombre de ses membres, et d’inscrire la petite académie dans les débats artistiques du milieu du XVIIIe siècle. Le perfectionnement de l’école d’après le modèle, permet dans les années 1765-1775 de reconnaître davantage encore un statut propre pour les artistes, au sein de la communauté. L’évolution est donc spectaculaire sur plus d’un siècle, et témoigne d’une adaptation remarquable de la vieille corporation, qui a su assimiler ainsi un fonctionnement académique à l’organisation hiérarchique d’une communauté de métier
The community of Parisian master painters and sculptors went through important evolutions between the 17th and 18th centuries. The creation of the Royal Academy in 1648 corresponds to a time of upheaval: the old and the new profession then came together and tried to coexist within the same structure. In the late 17th century, the population of the maîtrise increased and the list of its members as well as its statutes were published, in an overall re-ordering of the community. Thus, in 1705, the guild was strong in numbers and well-organised when it obtained a declaration from Louis XIV allowing it to open a drawing school based on live models : the brand-new Academy of St Luke became established in the artistic landscape of the early 18th century. It purchased new premises on rue du Haut-Moulin-en-la-Cité. From there, it significantly altered its statutes, giving an important role to a body of artists who was put in charge of teaching within its school. In the years 1750 to 1775, things moved faster for the Academy of St Luke. Several well-attended exhibitions put members of the Academy of St Luke on the map and involved the small academy in mid-18th century artistic debates. The improvement in the life-drawing school in the years 1765-1775 led to an even better recognized status for artists within the community. Over more than a century, this spectacular evolution shows the remarkable adaptation of the old guild, which thus managed to integrate its academic functioning to the hierarchical organization of a professional community
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Baudez, Basile. „Pouvoir et architecture dans l'académie des Lumières : Paris au regard de Rome et Madrid, 1750-1800“. Paris, EPHE, 2006. http://www.theses.fr/2006EPHE4108.

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Cette étude, centrée sur l'Académie royale d'architecture dans la seconde moitié du XVIIIe siècle, évoque en regard l’exemple de deux des académies les plus prestigieuses de l’Europe des Lumières : l’Académie de Saint-Luc fondée à Rome, en 1593, et l’Académie de Saint-Ferdinand de Madrid, créée à l’initiative de cercles proches du pouvoir monarchique, en 1752. Sous le terme « académie » ces institutions révèlent des différences profondes, largement imputables à la spécificité de leur lien avec le pouvoir politique. Car l’académie se distingue des écoles d’art ou des corporations d’artistes contemporaines par la relation étroite qu’elle entretient avec l’État. Pour appréhender de manière efficace la particularité du phénomène académique, ont été privilégiées l’étude des modalités des relations entre l’institution et le prince et ses représentants en trois temps : l’étude des fondations et de la place de l’architecture dans le projet académique ; celle des dirigeants et des architectes membres des académies ; la question de l’architecture née de l’école académique. L’institution académique se plaçait résolument au cœur du monde architectural. Sa force résidait dans son caractère protéiforme, organe de conseil du prince, cercle rassemblant l’élite de la profession et école d’art. Ni le pouvoir politique, ni ses membres n’émirent clairement le souhait de voir l’institution dotée de pouvoirs de police et de réglementation de l’architecture. La diversité des architectures pratiquées par ses membres marquait sa vitalité, mais tendit à s’estomper à la fin du siècle. La spécificité des académies de la France d’Ancien Régime résidait dans l’absence de choix entre les fonctions de conseil et de transmission du savoir. Ce furent leur richesse, mais également une des raisons de leur disparition
We focus our study on the French Académie royale d'architecture in the second half of the Eighteenth Century and we compare its specificities with two of the most proeminent art academies of Europe, the Roman Accademia di San Luca and the Spanish Academia de San Fernando, in Madrid. If they all bare the title "academy", they are profoundly different, as a result of the specific relationship they maintain with the local political power. For the academy can be distinguished from the art school by the closeness of their link with the government. We studied the way the institution and the prince and his ministers interacted in three parts : the foundations and the part of the architecture in the academic project; the direction of the institution and the architects who belonged to it ; finally, the type of architecture created within the academy schools. The French Academy was at the center of the architectural world and debates of the Enlightenment. The institution derived its strength from its protean form: an architectural council for the prince and the society, a club and an art school. The specificity of the Ancien Régime academies lay in the fact that there was no clear choice between their activity of expertise and the important part they played in the transmission of the architectural knowledge. It was one of the reason why they were partly condemned by the new political powers which needed before all, efficiency
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Salama, Benjamin. „Gabriel François Doyen (1726-1806), peintre du roi“. Thesis, Sorbonne université, 2020. http://www.theses.fr/2020SORUL007.

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Acteur pionnier au sein du mouvement de régénération de la peinture d’histoire dans la seconde moitié du XVIIIe siècle, Gabriel François Doyen (1726-1806) doit sans aucun doute être considéré comme l’un des artistes les plus importants de sa génération. Elève de Carle Vanloo puis à l’École royale des élèves protégés, il s’illustre avec un premier grand chef d’œuvre présenté au Salon de 1759, La Mort de Virginie, qui le fit considérer par la critique comme l’un des espoirs du renouveau de la peinture française. Sa gloire culmine avec une grande commande religieuse, Le Miracle des ardents, exposé au Salon de 1767 et resté célèbre grâce à une longue critique que lui consacra Diderot, dans laquelle il opposera le style puissamment lyrique de l’artiste à la manière de Vien, annonçant de l’esthétique néoclassique. Chargé d’importantes commandes royales au cours des années 1770, apprécié pour ses œuvres puissamment poétiques inspirées par l’Iliade, Doyen finit néanmoins par perdre la faveur du public dans les années 1780, au moment même où s’impose la génération de David. Sous la Révolution, l’artiste sera chargé d’importantes fonctions au sein de la Commission des monuments et œuvrera pour la préservation du patrimoine français aux côtés d’Alexandre Lenoir, son ancien élève. En 1792, il choisira finalement de partir en Russie pour achever sa carrière ; il y occupera la charge de professeur à l’Académie impériale des Beaux-arts de Saint-Pétersbourg, mais aussi la place de peintre de l’impératrice Catherine II et de son fils Paul Ier
As one of main pioneer in the regeneration movement of history painting in the second half of the eighteenth century, Gabriel François Doyen (1726-1806) must undoubtedly be considered one of the most important artists of his generation. Student of Carle Vanloo and then at the École royale des élèves protégés, he is illustrated with a first great masterpiece presented at the Salon of 1759, La mort de Virginie, which made him consider by critics as one of the new hopes of the renewal of French painting. His glory culminates with a great religious command, Le Miracle des Ardents exposed to the Salon of 1767 and remained famous thanks to a long criticism that Diderot dedicated to him, in which he contrasted the powerful lyric style of the artist like Vien, announcer of neoclassical aesthetics. He was in charged with important royal commands in the 1770s, appreciated for his powerful poetic works inspired by the Iliad, Doyen eventually lost the public 's favor in the 1780s, at the very same moment when the generation of David is needed . Under the French Revolution, the artist will be in charged with important functions within the Comission des monuements and will work for the preservation of French heritage alongside Alexandre Lenoir, his former student. In 1792, he finally chose to go to Russia to complete his career ; he held the position of professor at the Imperial Academy of Fine Arts in St. Petersburg, but also the rank of painter of the Empress Catherine II and his son Paul I
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Mathis, Véronique. „Louis Lafitte : un peintre d'histoire de la Révolution à la Restauration“. Thesis, Normandie, 2020. http://www.theses.fr/2020NORMR081.

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Louis Lafitte (1770-1828) a tenu toute sa vie à se présenter, avec fierté, comme peintre d’histoire, ce que sa formation artistique justifie pleinement. Après un apprentissage chez le graveur Gilles-Antoine Demarteau, il entre dans l’atelier de Jean-Baptiste Regnault, concurrent et rival de celui de Jacques Louis David dans les années 1780. Présenté par ce maître, il est inscrit à l’Académie royale de peinture, sculpture et architecture en 1784 ; son cursus y est honorable : première médaille au quartier d’octobre 1788, et surtout grand prix de peinture, lors de sa première participation au concours en 1791. Ce parcours d’excellence lui vaut une place à l’Académie de France à Rome, mais il ne peut guère profiter de ce privilège, la situation politique de la France ne trouvant pas grâce aux yeux du gouvernement romain. La population supporte de plus en plus mal la présence française et en janvier 1793, c’est l’explosion ; le Palais Mancini siège de l’Académie est incendié, les pensionnaires dispersés. Tous rentrent plus ou moins rapidement en France ; certains comme Lafitte iront se réfugier à Florence jusqu’à la rupture de la neutralité de la Toscane en octobre 1793. De retour en France, commence une période paradoxale : pensionnaire de la République sur le papier jusqu’en septembre 1800, il en perçoit les modestes indemnités, compte peut-être sur un nouveau séjour romain qui ne viendra pas, mais ne parvient pas à « faire la peinture » à laquelle il aspire, faute d’obtenir un atelier, malgré des demandes répétées. Il n’entre pas non plus dans le cénacle des artistes sollicités régulièrement par les gouvernements successifs, mais il donne parfois de timides signes d’assentiment au régime en place, de l’an II jusqu’à l’Empire où il bénéficie alors de commandes officielles plus importantes, comme le simulacre de l’Arc de triomphe de l’Etoile pour le mariage de Napoléon et Marie-Louise. Son ralliement enthousiaste à la Restauration montre sans doute le vrai visage de Lafitte quant à ses affinités politiques. Il en résulte une place très officielle de dessinateur du Cabinet du Roi, qui conclut avec panache une carrière dont le parcours est souvent difficile à reconstituer. La plus grande partie de sa vie, il n’est pas dans la lumière, car faute de clients publics, il s’est tourné très vite vers une clientèle privée, que son titre de peintre d’histoire, inlassablement mis en avant, n’a pas manqué d’attirer et que ses réels talents de dessinateur ont fixé. On lui demande surtout des travaux en rapport avec les goûts du temps, décors intérieurs pompéiens, ou portraits, tous objets qui malheureusement n’ont que très exceptionnellement laissé des traces. Son crayon sûr et incisif travaille pour les graveurs d’estampes, avec des morceaux célèbres comme les figures du calendrier républicain, ainsi que pour les éditeurs de belles éditions illustrées, dont les lecteurs de l’époque sont friands. On pense notamment à la luxueuse édition Didot de Paul et Virginie, orchestré de bout en bout par Bernardin de Saint Pierre lui-même. Il s’est taillé dans ce dernier domaine une réputation telle, qu’il est resté comme un illustrateur de livres pour une part non négligeable d’auteurs du XIXe siècle. Il n’a pas manqué non plus d’être intéressé par les arts appliqués et de fournir des dessins aussi bien pour de l’orfèvrerie que pour des papiers peints ; des objets de luxe, produits en petit nombre certes, mais industriellement quand même, qui montre un artiste ne dédaignant pas les demandes d’une société de consommation exigeante. Comme on le voit, il ne fait pas œuvre de peintre d’histoire ; mais ce parcours très diversifié, faisant feu de tout bois, montre une adaptation originale à la situation nouvelle que rencontrent les artistes dans une période particulièrement troublée. Elle permit à Louis Lafitte, peintre d’histoire, sinon d’atteindre la gloire, au moins de vivre correctement de son art
All his life Louis Lafitte (1770-1828) insisted on introducing himself, with pride, as a history painter, a statement which his artistic training fully justified. After an apprenticeship with the engraver Gilles-Antoine Demarteau, he was the pupil of Jean-Baptiste Regnault, a competitor and rival of Jacques Louis David's in the 1780s. Introduced by his master, he was enrolled at the Royal Academy of Painting, Sculpture and Architecture in 1784; his studies there were honourable: first medal in October 1788, and above all the grand prize in painting, when he first took part in the competition in 1791. This course of excellence earned him a place at the Académie de France in Rome, but he could hardly take advantage of this privilege, as the political situation in France was not acceptable to the Roman authorities. The population could not stand the French presence and in January 1793, it was mayhem; the Mancini Palace, the seat of the Academy, was burnt down and the residents dispersed. All of them returned to France more or less quickly; some, like Lafitte, took refuge in Florence until the neutrality of Tuscany was ruptured in October 1793. On his return to France, a period of uncertainty began: an official resident of the Republic until September 1800, he received modest compensation. His desire to return to Rome was unfulfilled as was his aspiration to become a history painter, as he was unable to obtain a studio, despite repeated requests. Nor did he enter the cenacle of artists regularly solicited by successive governments, but he sometimes gave timid signs of assent to the regime in power, from the year II to the Empire, where he received more important official commissions, such as the simulacrum of the Arc de Triomphe de L'Etoile for the wedding of Napoleon and Marie-Louise. His enthusiastic rallying to the Restoration undoubtedly shows the true face of Lafitte's political affinity. The result was a very official position as draughtsman in the King's Cabinet, which concluded his artistic career which is often difficult to reconstruct. For most of his life, he was not in the limelight, lacking public clients, he very quickly turned to a private clientele, which he obtained by using his title of a history painter. He was mainly asked to paint works in line with the tastes of the time, Pompeian interior decorations, or portraits, which we have little trace of today. A skilled draughtsman, he worked for print engravers, producing famous pieces such as figures from the republican calendar, but also for publishers of refined illustrated editions, very appreciated by the readers of the time. One thinks, in particular, of the luxurious Didot edition of Paul and Virginie, directed from beginning to end by Bernardin de Saint Pierre himself. In the publishing field, he earned such a reputation that he remained a book illustrator for a large number of 19th-century authors. He was also interested in the applied arts and provided drawings for both the goldsmiths and wallpaper trade. These were luxury objects, produced in small numbers but mechanically manufactured. As an artist, Louis Lafitte accepted the demands of consumer society, his eclectic career showed his constant ability to adapt during the revolution and although he is not remembered as a history painter, he succeeded in making a living from his trade
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Pichet, Isabelle. „Expographie, critique et opinion : les discursivités du Salon de l'Académie de Paris (1750-1789)“. Thèse, 2009. http://www.archipel.uqam.ca/5476/1/D1890.pdf.

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L'objet central de cette étude se définit autour de la mise en exposition des Salons de l'Académie de peinture et de sculpture de Paris dans la seconde moitié du XVIIIe siècle. Les Salons ont toujours été considérés comme le lieu de l'éclosion de la critique d'art, mais très rarement perçus comme une exposition du point de vue muséologique. Dans cette optique, la distribution des tableaux en tant que discours construit, par le tapissier d'une part et par le public d'autre part, servira de fil conducteur à cette thèse. L'objectif premier est d'analyser un fragment de l'histoire de l'art en France, celui des Salons entre 1750 et 1789, et de l'étudier comme agent et culturel de cette époque. Le but ultime de la thèse est de démontrer que la mise en exposition au Salon est productrice de discours et que ceux-ci permettent aux publics des Salons de se forger une opinion personnelle ainsi que collective. Pour ce faire, j'entends examiner les tenants et les aboutissants de cet arrangement (discursif) afin de démontrer que la disposition des œuvres proposée au Salon n'est pas gratuite mais structurée et intentionnelle. L'hypothèse centrale propose que la mise en exposition des Salons de l'Académie contient un discours et, par conséquent, offre un espace discursif public, favorisant l'émergence de l'opinion personnelle et collective, ainsi que le développement d'une pensée sociale. Il s'agit de déterminer comment l'arrangement des œuvres aux Salons se matérialise en discours. Une analyse de la structure langagière de la mise en exposition s'impose et permet de relever certaines règles de base ou conventions qui régissent l'organisation des peintures : l'accrochage à touche-touche, le goût, l'harmonie, la symétrie, les caractères et la hiérarchie des genres. L'utilisation de ces conventions dans l'organisation de l'espace d'exposition semble donner lieu à la production et la diffusion d'un discours spécifique aux expositions. La distribution des œuvres et la reconnaissance des codes par le visiteur le guident dans la lecture d'un message et lui suggèrent des relations entre les objets exposés. Les échanges de similitudes et de contrastes à propos des œuvres, qui apparaissent dans les commentaires des Salonniers, livrent une lecture spécifique de la mise en exposition et produisent un modèle de lecture : la comparaison. Les choix faits par le tapissier dans la distribution des œuvres et l'utilisation de conventions dites « familières » dirigent le visiteur dans la lecture du message proposé au Salon. En confrontant les représentations visuelles des Salons et les textes critiques, il semble possible de faire ressortir l'impact de la mise en exposition du Salon sur le visiteur. Pour ce faire, je propose une analyse des Salons de 1753, 1767, 1779 et 1785, soit un par décennie, et du discours de chacun des tapissiers s'y rapportant, soit Jacques-André Portail (1695-1759), Jean-Baptiste Siméon Chardin (1699-1779), Louis-Jean-François Lagrenée l'aîné (1724-1805) et Amédée Van Loo (1718-1795). L'utilisation des conventions et du modèle de lecture comme points de repère permettent aux visiteurs de circonscrire la construction de l'arrangement des œuvres dans ce Salon. Ainsi, le pouvoir discursif de l'exposition amène le public à développer ses connaissances artistiques, à exercer sa capacité de juger et à formuler un discours critique et une opinion personnelle. Les multiples observations faites par les auteurs des écrits sur l'exposition, les artistes et les œuvres, démontrent l'influence du discours muséal sur leur point de vue et leur opinion. L'usage répété de cette aptitude à critiquer, la fréquentation régulière du Salon, les échanges entre les particuliers et la diffusion oralement et par l'écrit des idées et des modèles artistiques laissent entrevoir la formation d'un jugement ou d'une opinion personnelle et même collective. Dans cette optique, la mise en exposition des Salons et son pouvoir discursif deviennent un catalyseur de la pensée sociale de cette période. Les résultats de l'analyse du Salon de 1753, par exemple, permettent d'appuyer mon hypothèse et ma méthode de travail, même si les conclusions diffèrent de celles recueillies au sujet des Salons de 1767, 1779 et 1785. Contrairement aux trois autres Salons, les comparaisons entre les œuvres ne s'établissent pas tout à fait de la même manière, les différences naissent plutôt dans le ton ou dans les éléments critiqués. De plus, toujours en 1753, une grande majorité des Salonniers discute et critique l'opinion manifeste : celle des autres commentaires et écrits qui paraissent sur le Salon, tandis qu'en 1779, notamment, un plus grand intérêt est porté sur l'opinion sous-jacente : celle de l'autre, d'un accompagnateur ou des autres visiteurs. Ces différences mettent en relief les particularités des commentaires des quatre Salons mis à l'étude et définissent les caractéristiques du discours expographique et des opinions personnelles ou collectives pour chacun des Salons afin de proposer un portrait plus général de l'évolution et de l'impact du discours expographique des Salons dans la deuxième moitié du XVIIIe siècle. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Salons, Académie royale de peinture et de sculpture, exposition, discours, tapissier, critique, opinion, espace public, Paris, XVIIIe siècle.
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